Caroline 8

- Par l'auteur HDS Candaule13 -
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Auteur couple.
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Récit libertin : Caroline 8 Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-09-2020 dans la catégorie Plus on est
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Couleur du fond :
Caroline 8
Partie 8 :
Une nouvelle semaine de travail avait repris, le lundi en entrant sur le parking, c’était un autre agent de sécurité. Tous les matins c’était un peu la loterie pour elle, son amant africain ne lui disait jamais quand il travaillait, ni où il travaillait en fait elle ne savait pas grand-chose de lui, il ne discutait pas, venant juste prendre son dû comme il disait et repartant comme il était venu en coup de vent.
L’homme de ménage le soir n’était pas là, elle s’en inquiéta auprès de la remplaçante, il semblerait qu’il avait été changé de site, cela n’était pas pour lui déplaire, voilà au moins un risque d’indiscrétion de moins pour elle.

En partant le lundi soir, elle trouva une enveloppe à son nom sur son parebrise, elle l’ouvrit, un bandeau opaque était accompagné d’un petit mot lui demandant de se garer dans le fond du parking au deuxième sous-sol le lendemain et d’appliquer les consignes qui suivaient. Caroline sourit intérieurement, encore une idée lubrique de Bienvenu pensa-t-elle.

Le mardi matin, toujours pas de Bienvenu à l’entrée du parking, l’agent la salua, elle lui rendit avec un sourire poli. Elle ne se gara pas sur sa place attitrée mais descendit jusqu’au deuxième sous-sol et se stationna tout au fond, là ou quasiment plus personne ne se garait. Le bip de fermeture de la voiture puis le bruit de ses talons qui frappaient le sol résonnaient dans ce grand volume vide, traverser cette entendue peu fréquentée était un peu angoissante pour elle.
L’ascenseur mit du temps à arriver, elle entra, il s’arrêta au rez de chaussée pour prendre du monde et elle sortit à son étage.

Toute la journée, elle était émoustillée par son rendez-vous du soir, imaginant les scénarios les plus inattendus et pervers.
La journée touchait à sa fin, comme chaque soir, il ne restait plus grand monde dans le bâtiment, Caroline rassembla ses affaires et prit l’ascenseur en direction du deuxième sous-sol. La porte s’ouvrit, elle passa le petit sas et entra dans le parking. Il était vide, seule la camionnette du service logistique était, comme toujours, garée à ce niveau. Elle marcha vers sa voiture, accompagnée par le bruit des talons qui résonnaient dans ce grand volume. Elle ouvrit la portière avant, posa sa sacoche et sa veste.

Les instructions étaient claires, elle devait mettre le bandeau sur ses yeux et attendre assise près de la voiture. Les secondes défilaient, les yeux dans le noir, ces secondes ressemblaient à des minutes, à une éternité. Combien de temps elle est restée à attendre elle ne le sait pas mais ses sens étaient tous en éveil, écoutant, sentant, cherchant à deviner l’approche de son amant.

Soudain des pas ! Des pas lents se dirigeant en silence vers elle. Et si ce n’était pas Bienvenu ? Non, ce n’était pas possible, qui viendrait à cette heure-ci dans cet endroit. Une personne qui passe aurait parlé, demandé ce qu’elle faisait là. Ce doute était terriblement excitant. Dans le silence du parking, elle entendait à peine la respiration de la personne. Adossée, contre sa voiture, elle attendait, offerte, sans défense.
L’homme s’approcha sans un bruit, elle sentait sa présence à ses côtés. Les mains se posèrent sur son chemisier, défaisant les boutons un à un jusqu’au dernier. La fine étoffe était complètement ouverte sur le devant, elle sentait le passage de l’air frais sur son nombril découvert. Une main fit glisser une épaule du vêtement, un sein devait être à présent visible par celui qui se tenait devant elle, son téton pointait, d’un mélange de froid et d’excitation. La main poussa l’étoffe de l’autre épaule et le chemiser, glissa silencieusement jusqu’au sol. Elle était torse nu et bombait la poitrine, quémandant une caresse sur ses seins érigés.

La main prit un téton, le tourna, le pinça puis l’étira brutalement, Caroline émit un petit cri de douleur. La main prit l’autre téton et lui fit subir le même traitement, la directrice réagit de la même façon. Ses seins rougis pointaient, la main les maltraitait un après l’autre et recommençait sans cesse. A chaque fois Caroline laissait sortir des petits sons plaintifs de douleur mais la main ne faisait pas de bruit elle.
Le petit jeu cessa, de longues secondes, rien ne se passa, elle attendait droite avec sa jupe comme seul vêtement et l’autre ne bougeait pas. Perdre la vue rendait ses autres sens encore plus en éveil et cela lui donnait encore plus d’envie, elle aurait eu envie de retirer son bandeau et de lui crier de la baiser sans ménagement mais elle attendait soumise la suite des évènements.

Les mains se posèrent sur ses épaules, d’une pression conjuguée, elles firent pivoter lentement la directrice. Elle devait se tenir face à sa voiture et l’autre devait être dans son dos. Les mains agrippèrent la fermeture éclair de la jupe, elle entendit doucettement le zip descendre et s’ouvrir. La jupe glissa de ses hanches à ses cuisses et s’écrasa sur ses pieds. Elle était nue dans ce parking, incapable de voir quoi que ce soit mais la situation la faisait mouiller abondement.
Les mains la prirent par les hanches et la déplacèrent pour la positionner face au capot de sa voiture. Caroline avait failli se prendre les pieds dans sa jupe mais son partenaire avait anticipé et l’avait retenue. Face au capot, les mains appuyèrent sur son dos pour lui indiquer de se pencher, elle se plia à l’injonction. Se baissant un peu trop, la pointe de ses seins toucha le métal froid de la voiture, elle frissonna, rendant encore plus dur ses tétons.
Un doigt partait du dos et glissait doucement dans une caresse légère jusqu’à ses fesses, cette lenteur était une torture sensuelle, Caroline aurait voulu se faire prendre sans ménagement et ce doigt jouait avec sa peau, glissant sur le bas du dos, sur les fesses et entre ses jambes mais sans jamais toucher à sa fente détrempée. Voulant signifier à l’autre qu’elle était prête, elle écarta sensiblement ses jambes pour rendre encore plus accessible sa grotte d’amour mais le doigt continuait tranquillement ses passages sur tous les endroits de son corps. La directrice remuait des fesses pour appeler au contact avec son sexe mais rien n’y faisait.
Le doigt disparu, sa respiration s’était accélérée à cause de son excitation, elle n’attendait que cela. Le bout d’une verge d’homme s’était posé sur ses lèvres vaginales, d’un petit mouvement de recul, elle avait fait pénétrer le gland, l’homme s’introduit entièrement en elle d’un seul coup. Elle gémit et gloussa un « oui… » Les mains la tenaient par la taille et la verge entamait son délicieux va et vient dans son antre lubrifié à souhait. La directrice se laissa retomber sur le capot froid de la voiture pendant que cette queue visitait ses chairs les plus intimes.

En excitation permanente toute la journée en prévision de cet épisode, elle savait qu’elle n’allait pas être longue à jouir, elle espérait que son amant n’allait pas trop durer non plus, même si la situation lui plaisait, elle courrait toujours le risque d’être surprise par une autre personne. Elle gémissait doucement de plus en plus, la chair de poule parcourrait tout son corps, cette jouissance attendue pointait le bout de son nez et la submergea d’un coup. Les coups de queue avaient accéléré, son amant n’était pas loin lui non plus.
D’un coup la verge sortit brusquement de sa grotte et força l’entrée de la bouche de la femme, elle s’appliqua à sucer comme un démon cette queue qui l’avait fait jouir. 4 longs jets de sperme se déversèrent dans la bouche, Caroline avala les deux premiers sans problème mais les suivant coulèrent de sa bouche. Elle caressait délicatement ce sexe qui ramollissait quand elle rendit compte qu’il était poilu ! Et Bienvenu lui était rasé !
La directrice voulut se redresser et enlever son bandeau mais en lui saisissant les poignets, les mains l’en empêchèrent, avant qu’elle ait pu réagir, une seconde queue avait pris place dans son sexe.

- Mais qui …. Non…
Un vent de panique s’empara d’elle, qui étaient ces deux hommes lequel était Bienvenu ? Était-ce bien celui qui la pénétrait en ce moment ? Cela ne pouvait pas être l’autre qui avait éjaculé dans sa bouche, il était au contraire de Bienvenu très poilu.
Le sexe passait et repassait en elle, à quoi bon se rebeller, ces deux hommes avaient eu le temps de la mater et de la baiser, ça n’aura plus beaucoup de sens maintenant. Sous les coups de bite, Caroline se détendait de plus en plus. Celui qui avait souillé sa bouche lui caressait doucement les cheveux et la nuque, elle appréciait cette caresse pleine de sensualité et de tendresse.
Quand elle sentit une nouvelle main prendre son sein qui pendait, elle sursauta mais se laissa faire sans réaction. Combien étaient-ils ? Qui étaient-ils ? Lequel était son amant africain ? Des collègues ? Des copains de Bienvenu ? L’homme de ménage ? Trois millions de question traversaient l’esprit de la directrice. Nue dans ce parking, caressée par deux hommes, baissée par un troisième, elle sentait à nouveau un orgasme monter dans son corps. En parallèle de sa pénétration, celui qui avait fait son nid dans sa chatte, massait son œillet brun de son pouce. Caroline ne voulait pas offrir son cul, elle s’en ouvrit.

- Non, pas par là, pas mon cul.

L’homme la prit par les cheveux et tira sa tête en arrière, la directrice se sentit soumise à la poigne de son baiseur.

- Oui baisez moi la chatte mais laissez mon cul !

L’homme claqua plusieurs fois son pubis contre celui de la femme, elle gémit, le poussa à continuer.

- Oui défoncez moi la chatte, j’aime ça me faire baiser !

L’homme augmentant la tension sur les cheveux la fit se cabrer encore plus, il en profita pour appuyer son pouce plus fortement, il força l’œillet de Caroline.

- Aïe, non pas mon cul.

Le pouce sortit, il plongea dans le sexe détrempé et remit de la mouille sur l’entrée de ses fesses. Elle savait bien qu’il lui lubrifiait son trou serré et se doutait qu’il irait au bout mais elle tentait de le distraire pour qu’il change d’avis. L’homme montrait des signes d’excitation, elle lançait ses fesses violement à la rencontre du sexe quand il sortait. Lui tirer son jus rapidement était son idée pour ne pas subir une sodomie dans ce parking. L’homme se cabra et se colla à elle. Pendant qu’elle le sentait se vider dans sa chatte, elle le haranguait.

-Oui videz vos couilles dans ma chatte, j’aime ça, c’est bon.

L’homme lâcha son étreinte et sortit sa queue. Caroline coulait, son sexe dégoulinait de sperme, elle attendait sans bouger la venue du troisième.
Les hommes la firent pivoter, elle se retrouva couchée allongée sur le capot, couchée sur le dos. Les hommes ne la laissaient pas toucher le sol, ils maintenaient ses jambes en l’air et écartées, elle était offerte dégoulinante de la semence du second amant.
Le sperme s’écoulait de sa fente, il lui dégoulinait entre les jambes, recouvrant son œillet sombre. Des doigts fouillaient sa fente et récupéraient le précieux liquide pour s’en servir à lubrifier son autre entrée. Les jambes en l’air, elle sentait ces doigts qui forçaient l’entrée interdite, le sperme mélangé à sa mouille étaient de parfait lubrifiant pour son cul. Elle ne disait plus rien, résignée à cette pénétration annoncée, écoutant les sensations de son corps.
Le troisième homme pénétra d’un trait son vagin, elle envoya ses mains à sa rencontre et sentit un sexe rasé, Bienvenu peut être ? L’homme était un ventripotent, une petite bedaine surmontait son sexe glabre. Ça ne pouvait pas être Bienvenu, lui son amant au corps musclé.
L’homme quitta sa fente, plaça son gland sur son œillet et poussa. La lubrification avait été bien faite, le sphincter laissa pénétrer ce sexe sans aucune résistance. Elle grimaça mais essaya de se détendre en acceptant cette sodomie. N’ayant plus de contraception depuis quelques semaines, se faire remplir le sexe devenait risqué, la sodomie devenait à défaut une meilleure option.
Il passait et repassait dans son fondement, la douleur vive du début avait assez vite disparu, elle commençait à laisser le champ libre au plaisir. Caroline prenait du plaisir, son cul était labouré, ses seins étaient pétris, pincés, tordus, des doigts masturbaient son sexe, une multitude de sensations qu’elle appréciait. Cette queue qui allait tout au fond de ses entrailles et ressortait complètement, elle y prenait goût, le sexe glissait en elle sans effort, ses sphincters s’étaient détendus.
Prise par les deux côtés, Caroline ne luttait plus, elle se laissait complètement envelopper par la montée du plaisir, l’accompagnant de gémissements de plus en plus prononcés. Elle était un jouet dans les mains de ces hommes, oubliant toute pudeur ou retenue, elle les exhortait à continuer de plus belle et à la baiser comme la salope qu’elle était.
L’homme la pistonnait sans ménagement, galvanisé par les demandes de la femme, il faisait claquer son pubis à chaque passage. Un coup un peu plus fort et il resta fiché tout au fond des entrailles de Caroline, grognant en se vidant logement dans son cul.

Elle y était presque mais n’avait pas joui, moite de plaisir, elle se laissa entrainer par les autres mains. Ils la placèrent à quatre pattes sur le sol en béton et un autre l’encula d’un coup. Caroline eut un hoquet de surprise et lâcha un petit « oui » de satisfaction. L’homme ne s’occupait pas de son plaisir, il profitait de son cul juste pour se faire plaisir. A chaque coup, les seins de Caroline bougeaient en cadence. L’homme la tenait par les hanches mais de temps en temps, il attrapait ses seins, les tirant, pinçant violement. Une main vit sous le menton de la femme et le releva. Elle sentit un sexe pousser contre ses lèvres, elle ouvrit la bouche et l’accueillit goulument entre ses lèvres.
L’homme qui la sodomisait, la doigtait de concert, Caroline suçait le sexe devant elle, le plaisir s’invita assez vite, elle jouit intensément pendant de longues secondes. L’orgasme passé, elle se remit à sucer avec frénésie, aspirant comme une folle ce sexe offert à elle.
L’homme qui l’enculait se figea et jouit dans son cul. Le sexe dans sa bouche cracha peu après ses jets de semence et se retira.

Caroline restait à quatre pattes sur le sol, le sexe dans ses fesses perdait de sa rigidité. L’homme se retira, laissant son trou ouvert. Un court instant plus tard, elle sentit une matière froide venir contre son œillet et prendre la place du sexe parti. Une claque frappa sa fesse gauche, elle entendait les hommes s’éloigner mais elle ne bougeait pas.

Quand le silence fût revenu, elle toucha ses fesses, un plug avait été mis dans son cul, bouchant le trou, empêchant le sperme de s’en échapper. Elle enleva son bandeau et se releva. Elle se tenait nue, le parking était vide et silencieux. Ils étaient partis, qui étaient-ils ?
Reprenant ses esprits, elle chercha ses affaires, fit le tour de la voiture, regarda dedans espérant trouver son chemisier et sa jupe mais rien. Elle ne les voyait pas ! Qu’avaient-ils fait de ses vêtements, il les lui fallait pour repartir, elle ne pouvait pas conduire nue. Miséricorde, elle ne les trouvait pas, se rendant à l’évidence, ils avaient dû les prendre en partant.
Que faire ? Dans un acte de désespoir, elle fouilla toute sa voiture mais rien pas un vêtement de rechange ou de quoi la couvrir pour rentrer chez elle. Il y avait bien son gilet jaune mais cela lui semblait ridicule. Elle l’enfila quand même. Il était très transparent et ne cacha pas grand-chose. A chaque mouvement, un de ses seins s’échappait et se montrait à qui voulait le voir. Pas trop de choix, elle se rendait à l’évidence, elle allait rentrer chez elle avec juste ce petit gilet jaune sur la peau, les fesses à l’air posées sur le siège, un plug enfoncé dans ses fesses. Elle avait bien pensé à l’enlever ce plug mais le sperme aurait coulé et elle aurait tâché tout son siège. Comment expliquer après des grosses tâches de sperme sur le siège de sa voiture de fonction.

Elle monta dans la voiture et manœuvra doucement. Un coup d’œil au plafond et elle faillit défaillir. Une caméra dans la pénombre, juste braquée vers le lieu de ses exploits. Quelle conne, bien sûr que le parking était entièrement sous surveillance vidéo. Bienvenu avait dû suivre du pc vidéo et devait même y avoir donné ses consignes. Elle allait le croiser à la guérite en sortant du parking, c’était maintenant évident pour elle. Puisqu’il voulait jouer, elle allait jouer. Elle s’arrêta, enleva le gilet jaune et le posa sur le siège d’à côté. Jouons, tu vas voir que je n’ai pas froid aux yeux se dit-elle. Elle redémarra. La guerite était ouverte, la barrière baissée, elle klaxonna attendant de voir son amant dominateur. Mais non, un autre agent de sécurité sortit et s’excusa.

- Pardon madame la directrice, je ne vous avais pas vu. Je vous ouvre.

Il resta un moment figé par le spectacle de cette femme pleine d’autorité mais entièrement nue dans sa voiture. Caroline était rouge de honte, ce n’était pas ce qu’elle avait cru et s’exhiber de la sorte à visage découvert était humiliant. La barrière levée, elle démarra en trombe et réenfila ce gilet jaune en roulant pour essayer de cacher sa nudité du mieux qu’elle pouvait.

Enfin elle arrivait chez elle, son calvaire allait cesser. Peu de monde dans la rue, seul cet abruti d’Henri était dehors à regarder ses plantes. Justement à l’arrivée de la voiture de Caroline, il avait relevé la tête, regardant dans sa direction. Caroline attendait dans son véhicule, hors de question de sortir dans cette tenue sous les yeux du voisin. Henri était maintenant intrigué. Pourquoi donc ne sortait-elle pas pour aller dans sa maison. Elle le regardait, il la regardait. Elle attendait qu’il parte, il attendait qu’elle sorte. De plus en plus intrigué, Henri avança vers la voiture, elle devait maintenant faire vite, prendre une décision.
Repartir en voiture mais pour aller où ? Attendre qu’il arrive à la voiture mais comment expliquer l’inexplicable ? La nuit était tombée, personne dans la rue à part ce boulet qui l’avait déjà vu se faire tringler par son amant. Elle prit une décision folle pour elle. Henri qui continuait à se rapprocher la distinguait dans la pénombre, elle avait détaché sa ceinture de sécurité, la portière s’ouvrait lentement. Elle se leva pour sortir du véhicule, Henri se figea net. Sa voisine était quasiment nue devant lui, juste couverte par un gilet jaune de sécurité. Elle passa devant lui, lançait sans s’arrêter un peu chaleureux « bonsoir Henri ». Il se tourna, la regardant aller vers sa maison, les fesses nues, marchant d’un pas gêné par la présence d’un plug dans les fesses. Quelle salope se dit-il ! Le temps qu’elle ouvre la porte d’entrée, un sein était sorti de sa cachette, elle ne le remit pas en place et entra chez elle.

Une grosse bosse déformait le pantalon d’Henri, plus que jamais il s’imaginait que sa voisine le cherchait, sinon comment pouvait-il expliquer son comportement.

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Texte coquin : Caroline 8
Histoire sexe : Une rose rouge
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