Caroline 17 - Fin
Récit érotique écrit par Candaule13 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Caroline 17 - Fin
Partie 17 :
Virée comme une malpropre par sa soi-disant meilleure et seule amie Clémence, Valentine s’était retrouvée à la rue. Par chance, elle avait pu profiter de l’hospitalité de Théo mais le jeune homme avait négocié en contrepartie un accès libre à ses faveurs.
Il avait fallu plusieurs jours à Valentine pour se remettre de la duperie de son amie mais elle avait repris pied et était décidée à tout faire pour retrouver sa mère coûte que coûte. Dans ses souvenirs, elle se souvenait qu’un nom revenait souvent dans les conversations avec sa mère.
Termou ! Termont Non, un truc pas loin. Elle avait le nom sur le bout de la langue mais ce nom se refusait à elle.
Un soir, pendant que Théo la prenait en levrette sur le lit, il lui parla de faire un truc à trois avec son copain Thomas. Ça fit tilt dans son esprit !
Thomas, oui Thomas Vermont, c’était ça le nom qu’elle cherchait. Une claque de Théo sur ses fesses la ramena à sa réalité de femme objet.
- Alors t’es partante pour une partie à trois avec mon pote Thomas ?
- Non c’est pas notre deal.
-
Le lendemain, Valentine était décidée à reprendre sa vie en main. Elle rechercha frénétiquement les coordonnées de ce Thomas Vermont mais aux vues de sa position de haut dirigeant de l’ancienne société de sa mère, il était difficile de trouver un numéro ou un mail pour le joindre en direct.
Sans contact direct, elle se résolut, à passer par le standard de l’entreprise en espérant qu’elle puisse lui parler en direct.
Ses espoirs furent vite douchés, le standard faisant barrage à ses demandes, lui laissant juste la possibilité de laisser ses coordonnées avec un espoir que monsieur Vermont la recontacte.
Trois jours passèrent et elle n’avait toujours pas eu de rappel de l’entreprise, la jeune femme commençait à ne plus y croire quand son téléphone sonna en affichant un numéro masqué.
- Mademoiselle Valentine C… ?
- Oui c’est moi.
- Bonjour, je suis Lisa D… l’assistante de monsieur Vermont.
- Ah oui, merci de me rappeler.
- Votre maman a quitté notre entreprise que voulez-vous à monsieur Vermont.
- Oui, je sais mais je cherche à la retrouver la recontacter, c’est très important pour moi. Je suis un peu perdue depuis son départ et …. Aidez-moi s’il vous plait.
- Monsieur Vermont avait votre maman en haute estime, même s’il a été un peu penné par son départ précipité. Je vais lui en parler et le cas échéant je reviendrai vers vous. Mais je ne vous garantis rien, monsieur Vermont n’a pas de temps à perdre.
- Oui, merci d’avance, merci du fond du cœur et je vous assure que c’est très important pour moi. Merci- Au revoir mademoiselle- Merci madame et au revoir.
La conversation terminée, Valentine était tiraillée entre deux sentiments. D’un côté, elle avait eu un bon feeling avec cette Lisa mais de l’autre, elle se doutait que ce monsieur Vermont avait surement autre chose à faire que de s’occuper de ses soucis. Le départ imprévu et précipité de l’entreprise par sa mère ne jouait certainement pas en sa faveur.
L’attente fut interminable. Une semaine passa, à chaque sonnerie, elle espérait mais non, ce n’était pas le coup de fil espéré. Une autre semaine passa à la suite et elle commençait à perdre tout espoir, c’était foutu, pour elle, elle se sentait au fond du trou et avait l’impression de tomber encore plus bas tous les jours.
Au milieu de la 3ème semaine, le téléphone sonna, sans regarder elle décrocha.
- Bonjour mademoiselle Valentine C…, c’est Lisa D, l’assistante de monsieur Vermont.
Son regard s’alluma, enfin l’espoir renaissait.
- Oui bonjour, et merci de me rappeler.
- Je n’ai pas de très bonnes nouvelles pour vous.
- Oui je vous écoute…- Monsieur Vermont a été et est encore très déçu du comportement de votre maman. Elle était importante dans l’entreprise et l’a quitté sur un coup de tête. Vous pouvez comprendre que ça ne se fait pas trop.
- Oui, je comprends et je suis désolé mais c’est important pour moi. Si je peux faire quelque chose pour arranger les choses… mais j’ai besoin de retrouver ma maman, je vous en prie.
- Bon écoutez, cela n’a pas été facile mais j’ai obtenu de monsieur Vermont qu’il vous reçoive.
- Merci, merci merci et merci madame.
- Son emploi du temps est très chargé, je n’ai réussi à vous trouver un créneau qu’à 20h, c’est tard mais je n’ai pas d’autres possibilité.
- C’est très bien, ça me va bien.
- Alors notez jeudi prochain à 20h00.
- C’est noté, merci de tout mon cœur- Juste un dernier détail, habillez-vous correctement et surtout pas de pantalon, monsieur Vermont trouve cela très vulgaire.
- Oui, d’accord je mettrai une robe, merci madame, merci.
Valentine était folle de joie, elle avait réussi.
D’accord, elle n’avait que décroché un rendez-vous mais pour elle c’était la lumière au bout du tunnel, elle allait y arriver. Oui, enfin, elle allait y arriver.
Le jour qui la séparait de son rendez-vous, elle le passa à se torturer l’esprit. Comment s’habiller correctement, que lui raconter. Elle essaya quelques robes qui lui restaient mais Clémence avait fait un tri et il ne restait que les plus sexy pour ne pas dire provocantes avec des décolletés très échancrés.
Peut-être un peu trop pour de telles circonstances. La robe qu’elle choisit était courte et très ouverte mais c’était à ses yeux la moins vulgaire même si le décolleté qui interdisait tout soutien-gorge, menaçait à chaque mouvement de découvrir sa poitrine gonflée par sa grossesse. Un petit gilet par-dessus, le tout ferait assez correct même si en fait il ne lui restait pas d’autre choix malheureusement.
La nuit fut courte, elle eut beaucoup de mal à trouver le sommeil, cherchant dans tous les sens comment formuler le lieux possible sa requête. La journée passa très lentement, elle regardait sa montre à chaque instant mais l’heure n’avançait pas.
Une demi-heure avant le rendez-vous, elle était déjà devant l’entreprise, faisant les cent pas pour tuer le temps.
Avec 10 minutes d’avance, elle se présenta à l’accueil de l’entreprise. On la fit patienter encore 5 minutes avant que Lisa D vint l’accueillir avec un grand sourire.
- Bienvenue mademoiselle, venez, suivez-moi.
Valentine lui emboita le pas sans un mot. Au 4ème étage, elle s’assit dans un fauteuil pour patienter.
À la vue de l’heure, elle pensait l’attente courte mais se prolongea.
20h40, Lisa réapparut.
- Monsieur Vermont va vous recevoir, je suis désolé il a eu un contre temps.
- Merci et ce n’est pas grave.
Lisa ouvrit la porte sombre d’un bureau et annonça que la jeune femme. Elle s’assit en face de monsieur Vermont, il l’intimidait. Pendant 10 minutes, il finit de signer des feuilles et de relire des notes avant de lever la tête et de s’adresser à elle.
- Bon alors comme ça, vous êtes la fille de madame Caroline C.
- Oui monsieur, c’est cela.
- Son départ nous a mis dans un sacré merdier dans l’entreprise, je peux vous dire que je n’ai pas apprécié du tout sa façon de faire.
- Oui monsieur je suis désolée, je comprends bien - Bon, ne perdons pas de temps, pourquoi je vous aiderai à retrouver votre mère ?
- C’est très compliqué pour moi, j’ai besoin de la retrouver, c’est vital.
- Vous êtes enceinte, votre mère vous a aussi abandonné alors vivez votre vie avec votre conjoint et passez à autre chose. Ça sera plus simple pour vous.
- Monsieur… je suis seule et je ne voulais pas être enceinte…. On s’est joué de moi, ma vie est catastrophique… ma mère est mon seul espoir d’en sortir…..
Valentine fondit d’un coup en larmes. Thomas Vermont lui tendit un mouchoir pour qu’elle les sèche et d’une voix très douce, il lui dit.
- Je veux bien vous aider mademoiselle mais avant, il faut être franc avec moi et tout me raconter.
La jeune femme ravala un soupir, sécha une larme qui coulait sur sa joue et la tête baissé, elle commença.
- D’accord, je vais tout vous raconter mais par pitié, ne me jugez pas.
Prenant une grande inspiration pour se donner du courage, Valentine se mit à raconter son histoire, parlant de Bienvenue, de Clémence, de son tatouage, de ses piercings, de ses exploits sexuels et de tout ce qu’elle avait fait depuis le départ de sa mère.
Quand elle eut fini son récit, le silence régna dans la pièce de longs instants. Thomas Vermont gardait un visage impassible.
- Excusez moi mademoiselle, j’ai un peu de mal à croire ce que vous m’avez raconté. En plus connaissant votre mère qui avait de la prestance et de la classe, j’ai du mal à imaginer que sa fille se laisse autant aller.
- Je vous assure monsieur, tout est vrai.
- Soit mais j’en doute, je pense que vous n’êtes qu’une petite mythomane qui se fait des films dans sa petite tête…- Non monsieur, je ne mens pas.
- Alors si c’est le cas, vous n’aurez pas de mal à faire ce que je vous dis.
- …- Déshabillez-vous.
Valentine se leva de son siège, elle retira son gilet, le posant sur le dossier de la chaise, elle fit glisser les bretelles de sa robe qui tomba au sol. En string devant Thomas Vermont, elle lui sourit et le fit également glisser par terre.
- Voilà monsieur.
- A mon bureau, vous prenez le téléphone et composez le 8865. Vous dites à Ahmed mon chauffeur ce que vous êtes et qu’il vienne vous sodomiser ici maintenant.
Valentine opina de la tête. Elle s’approcha du bureau, saisissant le téléphone, elle composa le 8865.
- Monsieur Ahmed ?
- …- Bonsoir, je suis dans le bureau de monsieur Vermont. Je suis une pute et j’aimerais que vous veniez me défoncer le cul maintenant s’il vous plait.
- …
Valentine raccrocha le combiné et posa son torse sur le bureau. Offrant la vue de ses fesses offertes à quiconque entrerait dans le bureau. Elle écarta un peu les jambes pour être plus ouverte et disponible, attendant en silence le chauffeur. Le regard de Thomas Vermont ne pouvait se détacher de la fente humide de la jeune femme. Sa soumission ne faisait pas de doute et il imaginait déjà tout le bénéfice qu’il pourrait tirer de la situation.
5 minutes plus tard, on toqua à la porte.
- Entrez Ahmed !
La porte s’ouvrit, le chauffeur entra, la vue de la croupe de la jeune femme offerte lui semblait assez irréelle.
- Bonsoir monsieur- Bonsoir Ahmed. Elle vous attend- Oui monsieur.
Le chauffeur s’approcha de la jeune femme, la situation ne le laissait pas de marbre, il bandait sous son pantalon. Il défit sa ceinture, ouvra les boutons et descendit pantalon et caleçon sur ses chevilles.
Valentine ne disait pas un mot, elle regardait devant elle, attendant la pénétration de son anus. Ahmed sortit un tube de gel lubrifiant de sa poche et en enduisit son sexe et la rondelle de la jeune femme.
Il posa son gland sur l’œillet et tourna la tête vers son patron. Thomas Vermont sourit et fit un petit signe de la tête. Ahmed poussa d’un coup et il fit entrer sa queue de toute sa longueur dans le cul de Valentine. Elle laissa échapper un petit gémissement de douleur mais se ne fit rien pour empêcher la sodomie.
- Ça vous plait mademoiselle d’avoir la bite d’Ahmed dans le cul ?
- Oui monsieur, elle est grosse mais j’aime cela. Je suis une pute qui aime se faire baiser.
- Et si Ahmed se vide les couilles dans votre cul sans vous faire jouir, ça vous dérange ?
- Non monsieur, je suis faite pour cela.
- Ahmed, allez-y, faites-vous plaisir.
Le chauffeur la saisit à la taille et se mit à bouger, faisant coulisser son sexe en érection de tout son long entre les fesses de la jeune femme.
- Alors Ahmed, quelles sont vos impressions ? est-ce que c’est une bonne petite pute ?
- Oui monsieur, elle est bien docile et son cul est un délice pour ma bite. J’en ai plutôt une grosse d’après mes partenaires mais elle n’a rien dit quand je la lui ai enfournée d’un coup en entier.
- Merci Ahmed et faites-vous plaisir, elle est toute à vous, vous me laissez juste sa chatte, je lui remplirai quand vous aurez fini.
- Oui monsieur, merci bien.
Valentine sentait bien le sexe d’Ahmed coulisser dans ses fesses. Il était effectivement bien doté par la nature mais Clémence l’avait déjà enculée avec des objets plus importants. La tournure de cet entretien avec Thomas Vermont prenait une tournure qu’elle n’avait pas imaginé mais si elle devait en passer par là pour retrouver sa mère, elle l’acceptait.
Ahmed accéléra puis se colla à elle, lui martyrisant les seins en jouissant en elle.
- Merci petite pute, t’as un cul d’enfer. Maintenant il faut me nettoyer la queue avec ta bouche, allez bouge.
Valentine se redressa, se mit à genou devant le marocain et enfourna son sexe dans sa bouche, suçant et léchant pour lui enlever toutes les traces de sperme qui la maculait.
Le chauffeur remonta son pantalon et quitta la pièce en remerciant son patron.
- Bon, vous avez l’air assez convaincante, mademoiselle, mais on peut toujours se demander si vous ne jouez pas un rôle.
- Croyez-moi monsieur, je ne mens pas. Demandez-moi ce que vous voulez et vous verrez. Mon sexe est tout à vous, comment voulez-vous me pénétrer ? Dites-le-moi. Dites-le à votre petite pute.
- Sur la table de réunion, allongez-vous sur le dos.
La jeune femme s’exécuta, elle prit place sur la table et attendit les jambes écartées. Thomas Vermont se leva sans un mot, s’approchant, il contemplait le magnifique corps de la jeunette offerte à ses désirs. Il posa un doigt sur la fente entre ouverte et luisante et le fit pénétrer sans aucune résistance.
- Vous êtes ouverte et mouillée mademoiselle.
- Oui monsieur et vous pouvez me la mettre.
Thomas Vermont marcha jusqu’à son bureau, en ouvrit un tiroir, prit quelque chose et revint à côté de la jeune femme.
- Avez-vous diné ce soir ?
- Non monsieur.
- Alors remettez votre robe, je vous invite.
- Oui monsieur mais vous n’avez pas envie de vous vider avant monsieur ?
- On verra plus tard, si j’ai bien compris je suis votre dernier espoir, alors ça nous laisse du temps.
Valentine releva, ramassa son string pour le remettre mais Thomas Vermont le lui interdit.
- La robe mademoiselle, j’ai dit juste la robe. Pas besoin de superflu.
- Oui monsieur.
- Tenez, jetez-le à la poubelle, vous n’en n’aurez plus besoin je pense.
La jeune femme obéît et enfila sa robe. Hésitant un instant à remettre son gilet, elle ne posa pas la question et le laissa sur place. Sortant du bureau, le couple se dirigea vers l’ascenseur. A chaque pas, les pans du vêtement s’écartaient menaçant de laisser apparaitre ses seins.
Dans l’ascenseur, Thomas Vermont lui demanda de plaquer ses mains contre la paroi et d’écarter les jambes. Il passa une main et introduit un petit objet rond.
- C’est un cadeau pour agrémenter votre soirée mademoiselle, interdiction d’y toucher ou de le perdre.
- Oui monsieur mais c’est quoi.
Les portes de l’ascenseur s’ouvrèrent, il sortit sans prendre la peine de répondre et se dirigea dans le parking. Elle suivait comme son ombre. Ils entrèrent dans une grosse berline et quittèrent le parking.
Le trajet fut assez court, autour d’un quart d’heure. La voiture entra dans une cour et se gara.
Thomas Vermont sortit de sa pochette son portable et ouvrit une application. Il pianota un peu et Valentine sentit l’objet introduit dans sa fente vibrer.
- Oh, mon dieu…. Monsieur…- Vous n’aimez pas mon œuf vibrant mademoiselle ?
- Si… mais ça me… ouh… il…. Bien…
Thomas Vermont stoppa l’appareil et sourit.
- J’espère que vous saurez vous tenir mademoiselle et que vous ne me ferez pas honte.
- Oui monsieur mais votre truc quand il vibre, ça me …- Allons-y mademoiselle.
Un serveur les accompagna jusqu’à la table que Thomas Vermont avait demandée. La table était située au milieu de la pièce à la vue de toutes les autres tables. L’entrée de la jeune femme et de sa robe qui dévoilait à chaque pas ses charmes attira tous les regards masculins.
Rapidement, un serveur arriva pour prendre la commande.
- Madame, monsieur je vous souhaite une bonne soirée. Prendrez-vous un apéritif ?
- Oui mettez nous deux coupes de champagne- Bien monsieur. Souhaitez-vous des amuses bouche avec ?
- Moi non mais je pense que mademoiselle oui. Elle aimerait bien vous sucer, n’est-ce pas Valentine ?
La jeune femme rougit. Thomas Vermont avait parlé assez fort pour que les tables à côté entendent, les regards s’étaient à nouveau tournés vers la jeune femme, attendant sa réponse. Le serveur lui restait stoïque. Valentine était rouge de honte, baissant la tête pour essayer d’échapper aux regards des voisins.
- Valentine ?
La jeune femme avala sa salive et voyant Thomas Vermont pianoter sur son portable, elle supplia.
- Oui monsieur, je veux bien mais pas ça ici.
Il n’accéda pas à sa demande et mit en marche au niveau 1 sur 5. Elle ferma les yeux essayant de se concentrer sur le contrôle de ses sensations.
- Suivez le serveur Valentine et ne me décevez pas.
Valentine se leva, un sein s’échappa de sa robe mais elle le remit en place. La main sur son bas ventre, elle suivit le serveur. A peine hors de vue, un autre serveur apporta les deux coupes de champagne et les posa sur la table. Thomas Vermont leva son verre en direction de son voisin et sourit. Il but une gorgée et passa le programme sur le niveau 3 sur 5, le laissant 3 minutes. Puis il le coupa.
De longues minutes plus tard, Valentine revint à table. Elle était décoiffée, la robe un peu froissée.
Elle s’assit sous le regard de la salle sans un mot.
Le serveur revint lui aussi avec une tenue impeccable.
- Vous avez eu le temps de choisir ?
Valentine baissa la tête et enfila la moitié de la coupe de champagne.
Thomas Vermont impassible se tourna vers le serveur.
- Est-ce que mademoiselle vous a contenté ?
- Oui monsieur, mademoiselle a un talent incontestable avec sa bouche. Je vous en remercie.
- Pour la commande, je m’en remets entièrement aux choix de Valentine.
La jeune femme releva la tête un peu étonnée. Ce type de restaurant n’était pas son quotidien et elle était un peu perdue.
- Euh monsieur Vermont, je ne sais pas quoi choisir…- Pouvez-vous aider mademoiselle Valentine. Tiens conduisez la auprès de votre chef pour qu’il la conseille.
- Oui monsieur, avec plaisir.
- Et précisez-lui que c’est une gourmande…- Oui monsieur, bien entendu. Mademoiselle, si vous voulez bien me suivre.
Valentine se leva à nouveau, un sein se dévoila mais elle ne prit pas la peine de le remettre en place. Elle suivit le serveur et disparut en cuisine.
Quelques instants plus tard, le serveur revint à la table et posa une nouvelle coupe de champagne.
- C’est offert par la maison monsieur. Nous apprécions toujours les bons clients.
- Je vous remercie et j’espère que mademoiselle Valentine aura également droit à une attention.
- Oui monsieur, notre chef et son commis y veillent tout particulièrement.
- Ah, parfait.
- Bonne soirée monsieur.
Thomas Vermont remit en route son application et la poussa au niveau 4 pendant 5 longues minutes. Les gémissements de jouissance féminine qui s’échappaient des cuisines alimentaient les conversations des différents convives du restaurant et déclenchaient des sourires.
Quand Valentine revint, elle avait le regard noir.
- Vous êtes dégueulasse, vous me prenez pour une pute monsieur Vermont !
- Mais mademoiselle, ce n’est pas ce que vous m’avez dit être ?
Elle encaissa sans broncher.
- Maintenant, je ne vous ai rien demandé, on peut mettre fin à tout ceci si vous le souhaitez.
- …- Je veux bien essayer de vous aider à retrouver votre mère mais cela a un prix. A vous de voir, si cela vous convient ou non. Vous êtes libre à tout moment de dire stop et de partir.
- ….
- Alors mademoiselle ?
- ….
- Mademoiselle ?
- Je suis votre pute monsieur Vermont.
- Personnellement, Je n’emploierai pas ce mot grossier mais le sens de votre réponse me convient. Et pouvez-vous réajuster votre robe, votre sein droit est sorti.
Valentine réajusta sa robe.
Le serveur apporta la commande puis le dessert. Pour la suite du repas, la jeune femme n’eut pas d’autres demandes mais tous les autres clients la dévisageaient sans cesse.
Le diner terminé, Thomas Vermont la déposa dans une garçonnière qui l’utilisait de temps en temps quand il avait besoin d’un endroit discret.
Pendant une semaine, la jeune femme eut comme consigne de ne pas sortir, des repas lui étaient livrés matin, midi et soir et elle attendait les consignes de Thomas Vermont.
Un soir, on sonna à la porte. Valentine alla ouvrir.
- Oh, bonsoir madame Lisa. Qu’est-ce que vous ….
Sans un mot, l’assistante de Thomas Vermont entra et se planta au milieu du salon. La jeune femme un peu interloquée referma la porte et la suivit.
- Bonsoir Valentine. Vous allez bien ?
- Oui madame, merci.
- Monsieur Vermont n’a pas été trop dur avec vous ?
- Non madame, ça a été.
- Même au restaurant ?
Valentine rougit et baissa la tête honteuse.
- Je….
- S’il vous demandait de le refaire ?
- … oui …- Oui quoi ?
- Oui ... je le referais …
Lisa releva sa jupe, attrapant les élastiques de sa culotte et fit glisser cette dernière sur ses jambes. D’un geste du pied, elle l’envoya à côté de Valentine.
- Ahmed m’a baisé juste avant de venir. Ma culotte est pleine de foutre.
- …- Ramasse-la et nettoie-la avec ta langue.
La jeune femme se baissa et attrapa la culotte souillée. Elle sentait fort le sperme.
Les yeux dans les yeux, elle lécha contentieusement la culotte, jouant avec les traces blanchâtres de sperme.
- Fous toi à poil !
La jeune femme s’exécuta sans un mot, faisant tomber ses vêtements un à un au sol. Elle attendait nue et enceinte sous le regard de l’assistante.
- T’es bien foutue ma salope ! Et enceinte, tu es encore plus désirable ! Tu me fais mouiller, viens me lécher la chatte. Ahmed me l’a remplie.
Lisa releva sa jupe et s’assit sur la table les jambes écartées. Valentine s’approcha et se pencha sur Lisa. Des trainées de semence coulaient abondamment de la fente de l’assistante.
- Dépêche-toi petite pute, j’attends !
Valentine posa sa bouche sur le sexe de Lisa, donnant un grand coup de langue pour récupérer une coulée de sperme qui glissait de la fente.
- Ouuuiii…. C’est bien, continue….
La jeune femme s’appliquait à bien enlever toute trace de semence mais aussi à titiller les lèvres gonflées offerte.
- Biiieennn, tu es faite pour bouffer des chattes … oui encore… c’est bon….
Lisa adorait ce que la jeune femme lui faisait, elle sentait la langue qui fouillait tous les recoins de son intimité. Son clitoris était gonflé de désir, quand elle sentit que sa partenaire le lui mordiller, elle lâcha un petit cri accompagné par un jet d’urine. Valentine, un peu surprise le prit en bouche et l’avala.
- Oh petite pute ! Tu es encore mieux que je pensais… tu bois ma pisse !
- …- Et si je me laissais aller complètement dans ta bouche… tu boirais tout !
Valentine n’eut pas le temps de réagir, le carillon de la porte d’entrée résonna dans l’appartement. Elle se figea, attendant craintive la réaction de Lisa.
L’assistante se redressa, elle fit redescendre sa jupe et se dirigea vers la porte.
- Ne bouge pas, je reviens.
Valentine resta stoïque, nue à genou dans la pièce. Elle n’attendit pas longtemps, Lisa revint accompagnée par Thomas Vermont. La jeune femme resta immobile, la tête baissée.
- Alors, vous en pensez quoi Lisa ?
- Elle sera parfaite ! Elle est faite pour ça, comme… comme sa mère.
Valentine relava la tête et se tourna vers l’assistante qui lui sourit.
- Oui ma chérie, ta mère est devenue une escort et comme toi elle est enceinte. On va t’aider à la rejoindre comme tu le voulais. Je suis sûre qu’elle sera heureuse de voir que sa fille suit sa vocation.
Valentine rebaissa la tête, assommée par les paroles de Lisa. L’assistante se rassit sur la table, releva la jupe et écarta ses cuisses.
- Allez, viens finir ce que tu avais commencé.
La jeune femme, sans un mot, se remit à l’ouvrage, plongeant sa langue dans la fente ouverte.
Une main virile se posa sur son fessier puis une seconde, Thomas Vermont en fit glisser dans l’entre jambe, plantant un doigt dans le sexe de Valentine, caressant le ventre bombé de l’autre main.
Le doigt glissait facilement tellement la jeune femme mouillait.
Le doigt s’échappa de son antre, un court instant la jeune femme était presque déçue de cette absence mais quand elle sentit le gland de l’homme se poser sur son intimité, elle cabra un peu plus ses reins pour s’offrir encore mieux. Il la pénétra d’un trait, s’enfonçant jusqu’à la garde sans rencontrer de résistance.
- Oh oui, petite, ta chatte est accueillante ! C’est un délice de s’y enfoncer.
Elle ne réagit pas mais se contenta de mettre plus de vigueur à lécher la fente de l’assistante. Lisa mouillait de plus en plus et la langue qui la fouillait ne lui donnait du plaisir.
Thomas Vermont baisait la jeune femme, caressant son ventre rond et ses seins de femme enceinte gonflés comme des d’obus. Plus il passait en elle et plus la jeune femme léchait l’assistante.
Lisa partit la première, jouissance bruyamment sous les coups de langue. Valentine, excitée par la situation et les puissants coups de boutoir qu’elle subissait se laissa aller peu après à un orgasme.
Thomas Vermont suivit les deux femmes assez rapidement, se vidant tout au fond du sexe de Valentine.
Le plaisir redescendu, il se retira et mit son sexe semi bandé en face du visage de la jeune femme. Valentine le prit en bouche, nettoyant de ses lèvres et sa langue la queue qui venait de la faire jouir.
L’homme et l’assistante se rhabillèrent de concert. Valentine, elle, attendait sans un mot.
- Rhabillez vous mademoiselle, on vous attend à l’aéroport. Ce soir vous partez retrouver votre mère.
Valentine ramassa ses vêtements mais Lisa la stoppa.
- Non laissez cela ici, je t’ai acheté une petite robe qui sera parfaite pour toi maintenant. Et rien d’autre en dessous.
La jeune femme prit le vêtement et l’examina. Il semblait si petit. Elle l’enfila sur son corps nu, le bas arrivant tout juste en dessous de ses fesses et ses seins menaçaient à tout moment de sortir.
Valentine suivit le couple et elle prit l’avion accompagnée par les associés russes de Thomas Vermont.
Personne n’eut plus jamais de nouvelle d’elle ou de sa mère.
Fin de l’histoire
Virée comme une malpropre par sa soi-disant meilleure et seule amie Clémence, Valentine s’était retrouvée à la rue. Par chance, elle avait pu profiter de l’hospitalité de Théo mais le jeune homme avait négocié en contrepartie un accès libre à ses faveurs.
Il avait fallu plusieurs jours à Valentine pour se remettre de la duperie de son amie mais elle avait repris pied et était décidée à tout faire pour retrouver sa mère coûte que coûte. Dans ses souvenirs, elle se souvenait qu’un nom revenait souvent dans les conversations avec sa mère.
Termou ! Termont Non, un truc pas loin. Elle avait le nom sur le bout de la langue mais ce nom se refusait à elle.
Un soir, pendant que Théo la prenait en levrette sur le lit, il lui parla de faire un truc à trois avec son copain Thomas. Ça fit tilt dans son esprit !
Thomas, oui Thomas Vermont, c’était ça le nom qu’elle cherchait. Une claque de Théo sur ses fesses la ramena à sa réalité de femme objet.
- Alors t’es partante pour une partie à trois avec mon pote Thomas ?
- Non c’est pas notre deal.
-
Le lendemain, Valentine était décidée à reprendre sa vie en main. Elle rechercha frénétiquement les coordonnées de ce Thomas Vermont mais aux vues de sa position de haut dirigeant de l’ancienne société de sa mère, il était difficile de trouver un numéro ou un mail pour le joindre en direct.
Sans contact direct, elle se résolut, à passer par le standard de l’entreprise en espérant qu’elle puisse lui parler en direct.
Ses espoirs furent vite douchés, le standard faisant barrage à ses demandes, lui laissant juste la possibilité de laisser ses coordonnées avec un espoir que monsieur Vermont la recontacte.
Trois jours passèrent et elle n’avait toujours pas eu de rappel de l’entreprise, la jeune femme commençait à ne plus y croire quand son téléphone sonna en affichant un numéro masqué.
- Mademoiselle Valentine C… ?
- Oui c’est moi.
- Bonjour, je suis Lisa D… l’assistante de monsieur Vermont.
- Ah oui, merci de me rappeler.
- Votre maman a quitté notre entreprise que voulez-vous à monsieur Vermont.
- Oui, je sais mais je cherche à la retrouver la recontacter, c’est très important pour moi. Je suis un peu perdue depuis son départ et …. Aidez-moi s’il vous plait.
- Monsieur Vermont avait votre maman en haute estime, même s’il a été un peu penné par son départ précipité. Je vais lui en parler et le cas échéant je reviendrai vers vous. Mais je ne vous garantis rien, monsieur Vermont n’a pas de temps à perdre.
- Oui, merci d’avance, merci du fond du cœur et je vous assure que c’est très important pour moi. Merci- Au revoir mademoiselle- Merci madame et au revoir.
La conversation terminée, Valentine était tiraillée entre deux sentiments. D’un côté, elle avait eu un bon feeling avec cette Lisa mais de l’autre, elle se doutait que ce monsieur Vermont avait surement autre chose à faire que de s’occuper de ses soucis. Le départ imprévu et précipité de l’entreprise par sa mère ne jouait certainement pas en sa faveur.
L’attente fut interminable. Une semaine passa, à chaque sonnerie, elle espérait mais non, ce n’était pas le coup de fil espéré. Une autre semaine passa à la suite et elle commençait à perdre tout espoir, c’était foutu, pour elle, elle se sentait au fond du trou et avait l’impression de tomber encore plus bas tous les jours.
Au milieu de la 3ème semaine, le téléphone sonna, sans regarder elle décrocha.
- Bonjour mademoiselle Valentine C…, c’est Lisa D, l’assistante de monsieur Vermont.
Son regard s’alluma, enfin l’espoir renaissait.
- Oui bonjour, et merci de me rappeler.
- Je n’ai pas de très bonnes nouvelles pour vous.
- Oui je vous écoute…- Monsieur Vermont a été et est encore très déçu du comportement de votre maman. Elle était importante dans l’entreprise et l’a quitté sur un coup de tête. Vous pouvez comprendre que ça ne se fait pas trop.
- Oui, je comprends et je suis désolé mais c’est important pour moi. Si je peux faire quelque chose pour arranger les choses… mais j’ai besoin de retrouver ma maman, je vous en prie.
- Bon écoutez, cela n’a pas été facile mais j’ai obtenu de monsieur Vermont qu’il vous reçoive.
- Merci, merci merci et merci madame.
- Son emploi du temps est très chargé, je n’ai réussi à vous trouver un créneau qu’à 20h, c’est tard mais je n’ai pas d’autres possibilité.
- C’est très bien, ça me va bien.
- Alors notez jeudi prochain à 20h00.
- C’est noté, merci de tout mon cœur- Juste un dernier détail, habillez-vous correctement et surtout pas de pantalon, monsieur Vermont trouve cela très vulgaire.
- Oui, d’accord je mettrai une robe, merci madame, merci.
Valentine était folle de joie, elle avait réussi.
D’accord, elle n’avait que décroché un rendez-vous mais pour elle c’était la lumière au bout du tunnel, elle allait y arriver. Oui, enfin, elle allait y arriver.
Le jour qui la séparait de son rendez-vous, elle le passa à se torturer l’esprit. Comment s’habiller correctement, que lui raconter. Elle essaya quelques robes qui lui restaient mais Clémence avait fait un tri et il ne restait que les plus sexy pour ne pas dire provocantes avec des décolletés très échancrés.
Peut-être un peu trop pour de telles circonstances. La robe qu’elle choisit était courte et très ouverte mais c’était à ses yeux la moins vulgaire même si le décolleté qui interdisait tout soutien-gorge, menaçait à chaque mouvement de découvrir sa poitrine gonflée par sa grossesse. Un petit gilet par-dessus, le tout ferait assez correct même si en fait il ne lui restait pas d’autre choix malheureusement.
La nuit fut courte, elle eut beaucoup de mal à trouver le sommeil, cherchant dans tous les sens comment formuler le lieux possible sa requête. La journée passa très lentement, elle regardait sa montre à chaque instant mais l’heure n’avançait pas.
Une demi-heure avant le rendez-vous, elle était déjà devant l’entreprise, faisant les cent pas pour tuer le temps.
Avec 10 minutes d’avance, elle se présenta à l’accueil de l’entreprise. On la fit patienter encore 5 minutes avant que Lisa D vint l’accueillir avec un grand sourire.
- Bienvenue mademoiselle, venez, suivez-moi.
Valentine lui emboita le pas sans un mot. Au 4ème étage, elle s’assit dans un fauteuil pour patienter.
À la vue de l’heure, elle pensait l’attente courte mais se prolongea.
20h40, Lisa réapparut.
- Monsieur Vermont va vous recevoir, je suis désolé il a eu un contre temps.
- Merci et ce n’est pas grave.
Lisa ouvrit la porte sombre d’un bureau et annonça que la jeune femme. Elle s’assit en face de monsieur Vermont, il l’intimidait. Pendant 10 minutes, il finit de signer des feuilles et de relire des notes avant de lever la tête et de s’adresser à elle.
- Bon alors comme ça, vous êtes la fille de madame Caroline C.
- Oui monsieur, c’est cela.
- Son départ nous a mis dans un sacré merdier dans l’entreprise, je peux vous dire que je n’ai pas apprécié du tout sa façon de faire.
- Oui monsieur je suis désolée, je comprends bien - Bon, ne perdons pas de temps, pourquoi je vous aiderai à retrouver votre mère ?
- C’est très compliqué pour moi, j’ai besoin de la retrouver, c’est vital.
- Vous êtes enceinte, votre mère vous a aussi abandonné alors vivez votre vie avec votre conjoint et passez à autre chose. Ça sera plus simple pour vous.
- Monsieur… je suis seule et je ne voulais pas être enceinte…. On s’est joué de moi, ma vie est catastrophique… ma mère est mon seul espoir d’en sortir…..
Valentine fondit d’un coup en larmes. Thomas Vermont lui tendit un mouchoir pour qu’elle les sèche et d’une voix très douce, il lui dit.
- Je veux bien vous aider mademoiselle mais avant, il faut être franc avec moi et tout me raconter.
La jeune femme ravala un soupir, sécha une larme qui coulait sur sa joue et la tête baissé, elle commença.
- D’accord, je vais tout vous raconter mais par pitié, ne me jugez pas.
Prenant une grande inspiration pour se donner du courage, Valentine se mit à raconter son histoire, parlant de Bienvenue, de Clémence, de son tatouage, de ses piercings, de ses exploits sexuels et de tout ce qu’elle avait fait depuis le départ de sa mère.
Quand elle eut fini son récit, le silence régna dans la pièce de longs instants. Thomas Vermont gardait un visage impassible.
- Excusez moi mademoiselle, j’ai un peu de mal à croire ce que vous m’avez raconté. En plus connaissant votre mère qui avait de la prestance et de la classe, j’ai du mal à imaginer que sa fille se laisse autant aller.
- Je vous assure monsieur, tout est vrai.
- Soit mais j’en doute, je pense que vous n’êtes qu’une petite mythomane qui se fait des films dans sa petite tête…- Non monsieur, je ne mens pas.
- Alors si c’est le cas, vous n’aurez pas de mal à faire ce que je vous dis.
- …- Déshabillez-vous.
Valentine se leva de son siège, elle retira son gilet, le posant sur le dossier de la chaise, elle fit glisser les bretelles de sa robe qui tomba au sol. En string devant Thomas Vermont, elle lui sourit et le fit également glisser par terre.
- Voilà monsieur.
- A mon bureau, vous prenez le téléphone et composez le 8865. Vous dites à Ahmed mon chauffeur ce que vous êtes et qu’il vienne vous sodomiser ici maintenant.
Valentine opina de la tête. Elle s’approcha du bureau, saisissant le téléphone, elle composa le 8865.
- Monsieur Ahmed ?
- …- Bonsoir, je suis dans le bureau de monsieur Vermont. Je suis une pute et j’aimerais que vous veniez me défoncer le cul maintenant s’il vous plait.
- …
Valentine raccrocha le combiné et posa son torse sur le bureau. Offrant la vue de ses fesses offertes à quiconque entrerait dans le bureau. Elle écarta un peu les jambes pour être plus ouverte et disponible, attendant en silence le chauffeur. Le regard de Thomas Vermont ne pouvait se détacher de la fente humide de la jeune femme. Sa soumission ne faisait pas de doute et il imaginait déjà tout le bénéfice qu’il pourrait tirer de la situation.
5 minutes plus tard, on toqua à la porte.
- Entrez Ahmed !
La porte s’ouvrit, le chauffeur entra, la vue de la croupe de la jeune femme offerte lui semblait assez irréelle.
- Bonsoir monsieur- Bonsoir Ahmed. Elle vous attend- Oui monsieur.
Le chauffeur s’approcha de la jeune femme, la situation ne le laissait pas de marbre, il bandait sous son pantalon. Il défit sa ceinture, ouvra les boutons et descendit pantalon et caleçon sur ses chevilles.
Valentine ne disait pas un mot, elle regardait devant elle, attendant la pénétration de son anus. Ahmed sortit un tube de gel lubrifiant de sa poche et en enduisit son sexe et la rondelle de la jeune femme.
Il posa son gland sur l’œillet et tourna la tête vers son patron. Thomas Vermont sourit et fit un petit signe de la tête. Ahmed poussa d’un coup et il fit entrer sa queue de toute sa longueur dans le cul de Valentine. Elle laissa échapper un petit gémissement de douleur mais se ne fit rien pour empêcher la sodomie.
- Ça vous plait mademoiselle d’avoir la bite d’Ahmed dans le cul ?
- Oui monsieur, elle est grosse mais j’aime cela. Je suis une pute qui aime se faire baiser.
- Et si Ahmed se vide les couilles dans votre cul sans vous faire jouir, ça vous dérange ?
- Non monsieur, je suis faite pour cela.
- Ahmed, allez-y, faites-vous plaisir.
Le chauffeur la saisit à la taille et se mit à bouger, faisant coulisser son sexe en érection de tout son long entre les fesses de la jeune femme.
- Alors Ahmed, quelles sont vos impressions ? est-ce que c’est une bonne petite pute ?
- Oui monsieur, elle est bien docile et son cul est un délice pour ma bite. J’en ai plutôt une grosse d’après mes partenaires mais elle n’a rien dit quand je la lui ai enfournée d’un coup en entier.
- Merci Ahmed et faites-vous plaisir, elle est toute à vous, vous me laissez juste sa chatte, je lui remplirai quand vous aurez fini.
- Oui monsieur, merci bien.
Valentine sentait bien le sexe d’Ahmed coulisser dans ses fesses. Il était effectivement bien doté par la nature mais Clémence l’avait déjà enculée avec des objets plus importants. La tournure de cet entretien avec Thomas Vermont prenait une tournure qu’elle n’avait pas imaginé mais si elle devait en passer par là pour retrouver sa mère, elle l’acceptait.
Ahmed accéléra puis se colla à elle, lui martyrisant les seins en jouissant en elle.
- Merci petite pute, t’as un cul d’enfer. Maintenant il faut me nettoyer la queue avec ta bouche, allez bouge.
Valentine se redressa, se mit à genou devant le marocain et enfourna son sexe dans sa bouche, suçant et léchant pour lui enlever toutes les traces de sperme qui la maculait.
Le chauffeur remonta son pantalon et quitta la pièce en remerciant son patron.
- Bon, vous avez l’air assez convaincante, mademoiselle, mais on peut toujours se demander si vous ne jouez pas un rôle.
- Croyez-moi monsieur, je ne mens pas. Demandez-moi ce que vous voulez et vous verrez. Mon sexe est tout à vous, comment voulez-vous me pénétrer ? Dites-le-moi. Dites-le à votre petite pute.
- Sur la table de réunion, allongez-vous sur le dos.
La jeune femme s’exécuta, elle prit place sur la table et attendit les jambes écartées. Thomas Vermont se leva sans un mot, s’approchant, il contemplait le magnifique corps de la jeunette offerte à ses désirs. Il posa un doigt sur la fente entre ouverte et luisante et le fit pénétrer sans aucune résistance.
- Vous êtes ouverte et mouillée mademoiselle.
- Oui monsieur et vous pouvez me la mettre.
Thomas Vermont marcha jusqu’à son bureau, en ouvrit un tiroir, prit quelque chose et revint à côté de la jeune femme.
- Avez-vous diné ce soir ?
- Non monsieur.
- Alors remettez votre robe, je vous invite.
- Oui monsieur mais vous n’avez pas envie de vous vider avant monsieur ?
- On verra plus tard, si j’ai bien compris je suis votre dernier espoir, alors ça nous laisse du temps.
Valentine releva, ramassa son string pour le remettre mais Thomas Vermont le lui interdit.
- La robe mademoiselle, j’ai dit juste la robe. Pas besoin de superflu.
- Oui monsieur.
- Tenez, jetez-le à la poubelle, vous n’en n’aurez plus besoin je pense.
La jeune femme obéît et enfila sa robe. Hésitant un instant à remettre son gilet, elle ne posa pas la question et le laissa sur place. Sortant du bureau, le couple se dirigea vers l’ascenseur. A chaque pas, les pans du vêtement s’écartaient menaçant de laisser apparaitre ses seins.
Dans l’ascenseur, Thomas Vermont lui demanda de plaquer ses mains contre la paroi et d’écarter les jambes. Il passa une main et introduit un petit objet rond.
- C’est un cadeau pour agrémenter votre soirée mademoiselle, interdiction d’y toucher ou de le perdre.
- Oui monsieur mais c’est quoi.
Les portes de l’ascenseur s’ouvrèrent, il sortit sans prendre la peine de répondre et se dirigea dans le parking. Elle suivait comme son ombre. Ils entrèrent dans une grosse berline et quittèrent le parking.
Le trajet fut assez court, autour d’un quart d’heure. La voiture entra dans une cour et se gara.
Thomas Vermont sortit de sa pochette son portable et ouvrit une application. Il pianota un peu et Valentine sentit l’objet introduit dans sa fente vibrer.
- Oh, mon dieu…. Monsieur…- Vous n’aimez pas mon œuf vibrant mademoiselle ?
- Si… mais ça me… ouh… il…. Bien…
Thomas Vermont stoppa l’appareil et sourit.
- J’espère que vous saurez vous tenir mademoiselle et que vous ne me ferez pas honte.
- Oui monsieur mais votre truc quand il vibre, ça me …- Allons-y mademoiselle.
Un serveur les accompagna jusqu’à la table que Thomas Vermont avait demandée. La table était située au milieu de la pièce à la vue de toutes les autres tables. L’entrée de la jeune femme et de sa robe qui dévoilait à chaque pas ses charmes attira tous les regards masculins.
Rapidement, un serveur arriva pour prendre la commande.
- Madame, monsieur je vous souhaite une bonne soirée. Prendrez-vous un apéritif ?
- Oui mettez nous deux coupes de champagne- Bien monsieur. Souhaitez-vous des amuses bouche avec ?
- Moi non mais je pense que mademoiselle oui. Elle aimerait bien vous sucer, n’est-ce pas Valentine ?
La jeune femme rougit. Thomas Vermont avait parlé assez fort pour que les tables à côté entendent, les regards s’étaient à nouveau tournés vers la jeune femme, attendant sa réponse. Le serveur lui restait stoïque. Valentine était rouge de honte, baissant la tête pour essayer d’échapper aux regards des voisins.
- Valentine ?
La jeune femme avala sa salive et voyant Thomas Vermont pianoter sur son portable, elle supplia.
- Oui monsieur, je veux bien mais pas ça ici.
Il n’accéda pas à sa demande et mit en marche au niveau 1 sur 5. Elle ferma les yeux essayant de se concentrer sur le contrôle de ses sensations.
- Suivez le serveur Valentine et ne me décevez pas.
Valentine se leva, un sein s’échappa de sa robe mais elle le remit en place. La main sur son bas ventre, elle suivit le serveur. A peine hors de vue, un autre serveur apporta les deux coupes de champagne et les posa sur la table. Thomas Vermont leva son verre en direction de son voisin et sourit. Il but une gorgée et passa le programme sur le niveau 3 sur 5, le laissant 3 minutes. Puis il le coupa.
De longues minutes plus tard, Valentine revint à table. Elle était décoiffée, la robe un peu froissée.
Elle s’assit sous le regard de la salle sans un mot.
Le serveur revint lui aussi avec une tenue impeccable.
- Vous avez eu le temps de choisir ?
Valentine baissa la tête et enfila la moitié de la coupe de champagne.
Thomas Vermont impassible se tourna vers le serveur.
- Est-ce que mademoiselle vous a contenté ?
- Oui monsieur, mademoiselle a un talent incontestable avec sa bouche. Je vous en remercie.
- Pour la commande, je m’en remets entièrement aux choix de Valentine.
La jeune femme releva la tête un peu étonnée. Ce type de restaurant n’était pas son quotidien et elle était un peu perdue.
- Euh monsieur Vermont, je ne sais pas quoi choisir…- Pouvez-vous aider mademoiselle Valentine. Tiens conduisez la auprès de votre chef pour qu’il la conseille.
- Oui monsieur, avec plaisir.
- Et précisez-lui que c’est une gourmande…- Oui monsieur, bien entendu. Mademoiselle, si vous voulez bien me suivre.
Valentine se leva à nouveau, un sein se dévoila mais elle ne prit pas la peine de le remettre en place. Elle suivit le serveur et disparut en cuisine.
Quelques instants plus tard, le serveur revint à la table et posa une nouvelle coupe de champagne.
- C’est offert par la maison monsieur. Nous apprécions toujours les bons clients.
- Je vous remercie et j’espère que mademoiselle Valentine aura également droit à une attention.
- Oui monsieur, notre chef et son commis y veillent tout particulièrement.
- Ah, parfait.
- Bonne soirée monsieur.
Thomas Vermont remit en route son application et la poussa au niveau 4 pendant 5 longues minutes. Les gémissements de jouissance féminine qui s’échappaient des cuisines alimentaient les conversations des différents convives du restaurant et déclenchaient des sourires.
Quand Valentine revint, elle avait le regard noir.
- Vous êtes dégueulasse, vous me prenez pour une pute monsieur Vermont !
- Mais mademoiselle, ce n’est pas ce que vous m’avez dit être ?
Elle encaissa sans broncher.
- Maintenant, je ne vous ai rien demandé, on peut mettre fin à tout ceci si vous le souhaitez.
- …- Je veux bien essayer de vous aider à retrouver votre mère mais cela a un prix. A vous de voir, si cela vous convient ou non. Vous êtes libre à tout moment de dire stop et de partir.
- ….
- Alors mademoiselle ?
- ….
- Mademoiselle ?
- Je suis votre pute monsieur Vermont.
- Personnellement, Je n’emploierai pas ce mot grossier mais le sens de votre réponse me convient. Et pouvez-vous réajuster votre robe, votre sein droit est sorti.
Valentine réajusta sa robe.
Le serveur apporta la commande puis le dessert. Pour la suite du repas, la jeune femme n’eut pas d’autres demandes mais tous les autres clients la dévisageaient sans cesse.
Le diner terminé, Thomas Vermont la déposa dans une garçonnière qui l’utilisait de temps en temps quand il avait besoin d’un endroit discret.
Pendant une semaine, la jeune femme eut comme consigne de ne pas sortir, des repas lui étaient livrés matin, midi et soir et elle attendait les consignes de Thomas Vermont.
Un soir, on sonna à la porte. Valentine alla ouvrir.
- Oh, bonsoir madame Lisa. Qu’est-ce que vous ….
Sans un mot, l’assistante de Thomas Vermont entra et se planta au milieu du salon. La jeune femme un peu interloquée referma la porte et la suivit.
- Bonsoir Valentine. Vous allez bien ?
- Oui madame, merci.
- Monsieur Vermont n’a pas été trop dur avec vous ?
- Non madame, ça a été.
- Même au restaurant ?
Valentine rougit et baissa la tête honteuse.
- Je….
- S’il vous demandait de le refaire ?
- … oui …- Oui quoi ?
- Oui ... je le referais …
Lisa releva sa jupe, attrapant les élastiques de sa culotte et fit glisser cette dernière sur ses jambes. D’un geste du pied, elle l’envoya à côté de Valentine.
- Ahmed m’a baisé juste avant de venir. Ma culotte est pleine de foutre.
- …- Ramasse-la et nettoie-la avec ta langue.
La jeune femme se baissa et attrapa la culotte souillée. Elle sentait fort le sperme.
Les yeux dans les yeux, elle lécha contentieusement la culotte, jouant avec les traces blanchâtres de sperme.
- Fous toi à poil !
La jeune femme s’exécuta sans un mot, faisant tomber ses vêtements un à un au sol. Elle attendait nue et enceinte sous le regard de l’assistante.
- T’es bien foutue ma salope ! Et enceinte, tu es encore plus désirable ! Tu me fais mouiller, viens me lécher la chatte. Ahmed me l’a remplie.
Lisa releva sa jupe et s’assit sur la table les jambes écartées. Valentine s’approcha et se pencha sur Lisa. Des trainées de semence coulaient abondamment de la fente de l’assistante.
- Dépêche-toi petite pute, j’attends !
Valentine posa sa bouche sur le sexe de Lisa, donnant un grand coup de langue pour récupérer une coulée de sperme qui glissait de la fente.
- Ouuuiii…. C’est bien, continue….
La jeune femme s’appliquait à bien enlever toute trace de semence mais aussi à titiller les lèvres gonflées offerte.
- Biiieennn, tu es faite pour bouffer des chattes … oui encore… c’est bon….
Lisa adorait ce que la jeune femme lui faisait, elle sentait la langue qui fouillait tous les recoins de son intimité. Son clitoris était gonflé de désir, quand elle sentit que sa partenaire le lui mordiller, elle lâcha un petit cri accompagné par un jet d’urine. Valentine, un peu surprise le prit en bouche et l’avala.
- Oh petite pute ! Tu es encore mieux que je pensais… tu bois ma pisse !
- …- Et si je me laissais aller complètement dans ta bouche… tu boirais tout !
Valentine n’eut pas le temps de réagir, le carillon de la porte d’entrée résonna dans l’appartement. Elle se figea, attendant craintive la réaction de Lisa.
L’assistante se redressa, elle fit redescendre sa jupe et se dirigea vers la porte.
- Ne bouge pas, je reviens.
Valentine resta stoïque, nue à genou dans la pièce. Elle n’attendit pas longtemps, Lisa revint accompagnée par Thomas Vermont. La jeune femme resta immobile, la tête baissée.
- Alors, vous en pensez quoi Lisa ?
- Elle sera parfaite ! Elle est faite pour ça, comme… comme sa mère.
Valentine relava la tête et se tourna vers l’assistante qui lui sourit.
- Oui ma chérie, ta mère est devenue une escort et comme toi elle est enceinte. On va t’aider à la rejoindre comme tu le voulais. Je suis sûre qu’elle sera heureuse de voir que sa fille suit sa vocation.
Valentine rebaissa la tête, assommée par les paroles de Lisa. L’assistante se rassit sur la table, releva la jupe et écarta ses cuisses.
- Allez, viens finir ce que tu avais commencé.
La jeune femme, sans un mot, se remit à l’ouvrage, plongeant sa langue dans la fente ouverte.
Une main virile se posa sur son fessier puis une seconde, Thomas Vermont en fit glisser dans l’entre jambe, plantant un doigt dans le sexe de Valentine, caressant le ventre bombé de l’autre main.
Le doigt glissait facilement tellement la jeune femme mouillait.
Le doigt s’échappa de son antre, un court instant la jeune femme était presque déçue de cette absence mais quand elle sentit le gland de l’homme se poser sur son intimité, elle cabra un peu plus ses reins pour s’offrir encore mieux. Il la pénétra d’un trait, s’enfonçant jusqu’à la garde sans rencontrer de résistance.
- Oh oui, petite, ta chatte est accueillante ! C’est un délice de s’y enfoncer.
Elle ne réagit pas mais se contenta de mettre plus de vigueur à lécher la fente de l’assistante. Lisa mouillait de plus en plus et la langue qui la fouillait ne lui donnait du plaisir.
Thomas Vermont baisait la jeune femme, caressant son ventre rond et ses seins de femme enceinte gonflés comme des d’obus. Plus il passait en elle et plus la jeune femme léchait l’assistante.
Lisa partit la première, jouissance bruyamment sous les coups de langue. Valentine, excitée par la situation et les puissants coups de boutoir qu’elle subissait se laissa aller peu après à un orgasme.
Thomas Vermont suivit les deux femmes assez rapidement, se vidant tout au fond du sexe de Valentine.
Le plaisir redescendu, il se retira et mit son sexe semi bandé en face du visage de la jeune femme. Valentine le prit en bouche, nettoyant de ses lèvres et sa langue la queue qui venait de la faire jouir.
L’homme et l’assistante se rhabillèrent de concert. Valentine, elle, attendait sans un mot.
- Rhabillez vous mademoiselle, on vous attend à l’aéroport. Ce soir vous partez retrouver votre mère.
Valentine ramassa ses vêtements mais Lisa la stoppa.
- Non laissez cela ici, je t’ai acheté une petite robe qui sera parfaite pour toi maintenant. Et rien d’autre en dessous.
La jeune femme prit le vêtement et l’examina. Il semblait si petit. Elle l’enfila sur son corps nu, le bas arrivant tout juste en dessous de ses fesses et ses seins menaçaient à tout moment de sortir.
Valentine suivit le couple et elle prit l’avion accompagnée par les associés russes de Thomas Vermont.
Personne n’eut plus jamais de nouvelle d’elle ou de sa mère.
Fin de l’histoire
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