Caroline accepte un complice
Récit érotique écrit par Tyroler frantz [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Caroline accepte un complice
La toute première expérience candaulisme de Caroline (Caro),
Caro avait enfin accepté de "sortir" avec moi depuis plusieurs semaines alors qu'au départ elle y était réticente par rapport à mon jeune âge ( 18 ans ½ par rapport à ses 22 ans) nous en étions arrivés à avoir des rapports sexuels satisfaisants malgré son éducation judéo-chrétienne un peu trop encrée. Caro deviendra ma première épouse 2 ans plus tard. Nos rapports sexuels devenaient fréquents et, par la même occasion sa "liberté sexuelle"devenait de plus en plus libertine. Il lui arrivait de faire, à ma demande, le "topless" en bord de rivière devant des amis accompagnateurs "intéressés" par rapport à sa magnifique poitrine (105C) et aussi par le fait de changer librement son maillot mouillé sans gêne. Nous campions et passions des soirées agréables entre copains. Je savais que mon copain le plus proche, Michel, était amoureux de Caro et qu'il aurait bien aimé avoir le privilège de caresser sa poitrine et même plus. De plus son sentiment amoureux était trop visible pour pouvoir le renier. Ses érections l'obligeaient à se protéger avec son drap de bain par discrétion. J'étais certes très amoureux de ma Caro, et si j'étais fier de l'effet d'excitation qu'elle pouvait provoquer, l'idée d'en faire profiter Michel me trottait dans la tête. Alors qu'à la fin d'un week-end nous n'étions que tous les trois, je discutais avec Caro et plaisantais sur les sentiments que lui portait notre ami. De plaisanteries en plaisanteries j'en suis arrivé à lui demander si elle serait d'accord pour accepter un "petit câlin" avec Michel. A son étonnement interrogatif j'ai précisé la teneur de ce "petit câlin" :
« -Comme les autres sont partis et que nous sommes tous les trois, tranquilles, sans voisinage, pourquoi n'accepterais tu pas de te laisser caresser les seins, puis le sexe, et que toi même même le caresse, le masturbe. J'ajoutais que si les caresses de Michel en arrivaient à un cunnilingus et un flirt complet (avec langue) tu pourrai l'accepter et « lui rendre la pareille », c'est a dire lui faire une pipe entière. »
Sans être réticente, ni étonnée, elle a poursuivit la discussion. Elle avait bien compris les sentiments amoureux de mon copain pour elle et en était assez flattée. Elle avait aussi compris mes sentiments de fierté pour son "impudeur". Elle m'avouait même que si elle changeait son maillot mouillé sans se cacher, c'était que cela l'excitait plutôt et que s'était surtout pour Michel qu'elle le faisait ainsi sans pudeur. Mais qu'elle ne voulait absolument pas, ni le prendre comme amant, ni faire l'allumeuse. Elle m'avouait aussi que si les autres "copains" la laissaient totalement indifférente, seules les œillades même discrètes de Michel l'excitaient sans espérer autre chose. C'est ainsi après ½ h de discussion elle pouvait accepter ma proposition à condition que ce soit des câlins EXCEPTIONNELS, et qu'elle n'espérait aucune "prolongations" à ces câlins AVEC préservatifs et en toutes discrétions. Nous avons tout de suite décidé que se serait pour le soir même. Elle a donc accepté de passer la soirée dès le départ en Topless ce qu'elle ne faisait jamais lorsque les autres copains étaient là. A peine sortie de la tente, Caro est allée faire une petite trempette avant de revenir vers nous. Comme d'habitude elle a sorti la culotte du maillot, faisant face à Michel qui n'en perdait pas une miette et elle s'est rendue compte qu'elle n'avait pas prit la culotte de rechange. C'est donc toute nue qu'elle est allée chercher la culotte sèche dans la tante. Puis nous avons tous les trois préparé la soirée et le repas, le feu, et même la musique. Je disais à Michel que de voir ma copine aussi belle, et les seins ainsi exhibés me mettait dans tous mes états.Il m'a répondu qu'effectivement elle avait une poitrine magnifique et qu'elle "était sacrément bien roulée". Alors qu'elle ramassait du bois et qu'elle revenait, je stoppais la discussion et lui ai fait un clin d’œil. Comprenant mon message, elle nous a interrogé du pourquoi avions nous arrêtés notre discussion. Prenant Michel au dépourvu, je lui ai répondu que nous étions en train de parler d'elle et que Michel disait qu'elle avait une très belle poitrine et qu'il appréciait sa plastique. Alors avec un grand sourire et en le regardant droit dans les yeux, Caro l'a remercié et ajoutait que c'était tout de même très flatteur alors qu'elle n'avait qu'une poitrine tout à fait ordinaire et qu'elle trouvait que ses tétons (pourtant bien ronds et de couleur foncés) auraient pu être plus clairs, mais que surtout ils réagissaient un peu trop facilement ce qui était assez gênant. J'ai repris la parole pour hypocritement la contredire et qu'en plus sa peau était très douce et lisse et agréable à caresser. En même temps que je disais cela, j'entamais une caresse sur le sein à ma portée. Et prenant Michel à témoin, je l'invitais à vérifier. Bien sûr, Caro n'émettant aucune protestation, Michel ne s'est pas fait prier et prenant l'autre sein a pleine main, l'a caressé tendrement certifiant la douceur de la peau et la réaction instantanée du tétons qui se dressait sans pudeur. Là, Caro est intervenue de manière on ne peut plus encourageante :
-Bon, messieurs, à me caresser comme ça tous les deux, vous comprendrez que vous commencez à m'exciter, je commence même à mouiller, regardez ma culotte toute propre, dans l'état ou vous me mettez. C'est sûr, c'est bien agréable. Ou vous arrêtez ou vous en faites plus.
- Plus ? Que veux tu dire ?
• Plus, eh bien on se met à poils et on se caresse. Mais pas plus !
• En deux mots, on entame les préliminaires sans baiser, tu serais d'accord ?
• Avec Michel oui je suis d'accord !. Y aurait eu les autres il y a longtemps que j'aurais mis une chemise. Mais avec Michel, je sais qu'on peut lui faire confiance, ça n'ira pas plus loin. Il me respectera si je dis qu'on ne baisera pas. Non ?
• Non c'est sûr que ça n'ira pas plus loin si tu ne veux pas, à dit Michel.
• Bon, les préliminaires OK mais tous les préliminaires . Ai je rajouté (pensant au cunnilingus éventuel de Michel et ses conséquences)
• OK, d'accord pour tous ? A approuvé Caro.
• OK promis ! Michel et moi en cœur.
Caro a sorti sa culotte et est allée, toute nue, la jeter sous la tente. Nous nous sommes dénudés. Pendant quelques secondes, un silence gêné s'est installé. Mais caressant une cuisse de ma femme j'ai rompu cette gêne. Michel s'est jeté sur la poitrine, maintenant si gracieusement offerte. Et le grand jeu était partit. Il suçait, léchait, mordait les tétons puis a essayé un premier baiser amoureux, complet et fougueux. Caro répondait tout aussi amoureusement. Rassuré il a repris et c'est longuement amusé avec les nichons et les tétons qui pointaient avec une folle arrogance. Voulant donner la chatte baveuse et le clito à Michel, j'ai remplacé ses mains caressantes des seins de Caro. Dès les premiers attouchements, les gémissements de Caro nous ont encouragés. Après quelques baisers sur le torse, le ventre et les cuisses, Michel à posé sa tête entre les cuisses écartées et a entamé le cunni qui, espérions nous, amènerait certainement à faire accepter une pipe à Caro pour la bite en totale érection de mon copain. Je le savais Bien Monté. Et cela se confirmait maintenant. Cette magnifique érection n'avait pas échappé aux yeux de Caro. Prenant Michel par la taille elle l'attirait de manière à se trouver en position de 69. Et voilà que mon fantasme de voir ma copine avec la queue de mon copain dans la bouche et la bouche de mon copain sur la chatte béante de Caro allait enfin se réaliser. J'avais réussi. Après une telle soirée, ma copine baiserait assez rapidement avec Michel et je rêvais déjà de voir ma queue défoncer le "fripé" de mon amour. OUI, j'y arriverais, ce n'étais que le début de l'été, je prendrais tout mon temps. Surtout qu'aujourd'hui, j'étais persuadé que Karen était faite pour donner du plaisir à beaucoup de messieurs. Elle aimait le sexe depuis peu mais déjà elle voulait rattraper le temps perdu. Sortant de mes rêves, je pouvais très nettement entendre les bruits de succion de la queue de Michel et de ceux de la chatte de ma copine, recouvert des gémissements encourageants. Je savais, connaissant Caro, qu'effectivement, pour ce soir, ça n'irait pas plus loin. Mais un rendez vous pour le week-end prochain à tous les trois pourrait se révéler très prometteur. La soirée c'est terminée au matin avec plusieurs pipes et plusieurs cunnis et caresses. Elle m'a avouée plus tard que la promesse de ne pas aller plus loin avait été regrettée car elle aurait accepté un trio très facilement. C'est d'ailleurs ce qui c'est passé la semaine suivante.
Caro avait enfin accepté de "sortir" avec moi depuis plusieurs semaines alors qu'au départ elle y était réticente par rapport à mon jeune âge ( 18 ans ½ par rapport à ses 22 ans) nous en étions arrivés à avoir des rapports sexuels satisfaisants malgré son éducation judéo-chrétienne un peu trop encrée. Caro deviendra ma première épouse 2 ans plus tard. Nos rapports sexuels devenaient fréquents et, par la même occasion sa "liberté sexuelle"devenait de plus en plus libertine. Il lui arrivait de faire, à ma demande, le "topless" en bord de rivière devant des amis accompagnateurs "intéressés" par rapport à sa magnifique poitrine (105C) et aussi par le fait de changer librement son maillot mouillé sans gêne. Nous campions et passions des soirées agréables entre copains. Je savais que mon copain le plus proche, Michel, était amoureux de Caro et qu'il aurait bien aimé avoir le privilège de caresser sa poitrine et même plus. De plus son sentiment amoureux était trop visible pour pouvoir le renier. Ses érections l'obligeaient à se protéger avec son drap de bain par discrétion. J'étais certes très amoureux de ma Caro, et si j'étais fier de l'effet d'excitation qu'elle pouvait provoquer, l'idée d'en faire profiter Michel me trottait dans la tête. Alors qu'à la fin d'un week-end nous n'étions que tous les trois, je discutais avec Caro et plaisantais sur les sentiments que lui portait notre ami. De plaisanteries en plaisanteries j'en suis arrivé à lui demander si elle serait d'accord pour accepter un "petit câlin" avec Michel. A son étonnement interrogatif j'ai précisé la teneur de ce "petit câlin" :
« -Comme les autres sont partis et que nous sommes tous les trois, tranquilles, sans voisinage, pourquoi n'accepterais tu pas de te laisser caresser les seins, puis le sexe, et que toi même même le caresse, le masturbe. J'ajoutais que si les caresses de Michel en arrivaient à un cunnilingus et un flirt complet (avec langue) tu pourrai l'accepter et « lui rendre la pareille », c'est a dire lui faire une pipe entière. »
Sans être réticente, ni étonnée, elle a poursuivit la discussion. Elle avait bien compris les sentiments amoureux de mon copain pour elle et en était assez flattée. Elle avait aussi compris mes sentiments de fierté pour son "impudeur". Elle m'avouait même que si elle changeait son maillot mouillé sans se cacher, c'était que cela l'excitait plutôt et que s'était surtout pour Michel qu'elle le faisait ainsi sans pudeur. Mais qu'elle ne voulait absolument pas, ni le prendre comme amant, ni faire l'allumeuse. Elle m'avouait aussi que si les autres "copains" la laissaient totalement indifférente, seules les œillades même discrètes de Michel l'excitaient sans espérer autre chose. C'est ainsi après ½ h de discussion elle pouvait accepter ma proposition à condition que ce soit des câlins EXCEPTIONNELS, et qu'elle n'espérait aucune "prolongations" à ces câlins AVEC préservatifs et en toutes discrétions. Nous avons tout de suite décidé que se serait pour le soir même. Elle a donc accepté de passer la soirée dès le départ en Topless ce qu'elle ne faisait jamais lorsque les autres copains étaient là. A peine sortie de la tente, Caro est allée faire une petite trempette avant de revenir vers nous. Comme d'habitude elle a sorti la culotte du maillot, faisant face à Michel qui n'en perdait pas une miette et elle s'est rendue compte qu'elle n'avait pas prit la culotte de rechange. C'est donc toute nue qu'elle est allée chercher la culotte sèche dans la tante. Puis nous avons tous les trois préparé la soirée et le repas, le feu, et même la musique. Je disais à Michel que de voir ma copine aussi belle, et les seins ainsi exhibés me mettait dans tous mes états.Il m'a répondu qu'effectivement elle avait une poitrine magnifique et qu'elle "était sacrément bien roulée". Alors qu'elle ramassait du bois et qu'elle revenait, je stoppais la discussion et lui ai fait un clin d’œil. Comprenant mon message, elle nous a interrogé du pourquoi avions nous arrêtés notre discussion. Prenant Michel au dépourvu, je lui ai répondu que nous étions en train de parler d'elle et que Michel disait qu'elle avait une très belle poitrine et qu'il appréciait sa plastique. Alors avec un grand sourire et en le regardant droit dans les yeux, Caro l'a remercié et ajoutait que c'était tout de même très flatteur alors qu'elle n'avait qu'une poitrine tout à fait ordinaire et qu'elle trouvait que ses tétons (pourtant bien ronds et de couleur foncés) auraient pu être plus clairs, mais que surtout ils réagissaient un peu trop facilement ce qui était assez gênant. J'ai repris la parole pour hypocritement la contredire et qu'en plus sa peau était très douce et lisse et agréable à caresser. En même temps que je disais cela, j'entamais une caresse sur le sein à ma portée. Et prenant Michel à témoin, je l'invitais à vérifier. Bien sûr, Caro n'émettant aucune protestation, Michel ne s'est pas fait prier et prenant l'autre sein a pleine main, l'a caressé tendrement certifiant la douceur de la peau et la réaction instantanée du tétons qui se dressait sans pudeur. Là, Caro est intervenue de manière on ne peut plus encourageante :
-Bon, messieurs, à me caresser comme ça tous les deux, vous comprendrez que vous commencez à m'exciter, je commence même à mouiller, regardez ma culotte toute propre, dans l'état ou vous me mettez. C'est sûr, c'est bien agréable. Ou vous arrêtez ou vous en faites plus.
- Plus ? Que veux tu dire ?
• Plus, eh bien on se met à poils et on se caresse. Mais pas plus !
• En deux mots, on entame les préliminaires sans baiser, tu serais d'accord ?
• Avec Michel oui je suis d'accord !. Y aurait eu les autres il y a longtemps que j'aurais mis une chemise. Mais avec Michel, je sais qu'on peut lui faire confiance, ça n'ira pas plus loin. Il me respectera si je dis qu'on ne baisera pas. Non ?
• Non c'est sûr que ça n'ira pas plus loin si tu ne veux pas, à dit Michel.
• Bon, les préliminaires OK mais tous les préliminaires . Ai je rajouté (pensant au cunnilingus éventuel de Michel et ses conséquences)
• OK, d'accord pour tous ? A approuvé Caro.
• OK promis ! Michel et moi en cœur.
Caro a sorti sa culotte et est allée, toute nue, la jeter sous la tente. Nous nous sommes dénudés. Pendant quelques secondes, un silence gêné s'est installé. Mais caressant une cuisse de ma femme j'ai rompu cette gêne. Michel s'est jeté sur la poitrine, maintenant si gracieusement offerte. Et le grand jeu était partit. Il suçait, léchait, mordait les tétons puis a essayé un premier baiser amoureux, complet et fougueux. Caro répondait tout aussi amoureusement. Rassuré il a repris et c'est longuement amusé avec les nichons et les tétons qui pointaient avec une folle arrogance. Voulant donner la chatte baveuse et le clito à Michel, j'ai remplacé ses mains caressantes des seins de Caro. Dès les premiers attouchements, les gémissements de Caro nous ont encouragés. Après quelques baisers sur le torse, le ventre et les cuisses, Michel à posé sa tête entre les cuisses écartées et a entamé le cunni qui, espérions nous, amènerait certainement à faire accepter une pipe à Caro pour la bite en totale érection de mon copain. Je le savais Bien Monté. Et cela se confirmait maintenant. Cette magnifique érection n'avait pas échappé aux yeux de Caro. Prenant Michel par la taille elle l'attirait de manière à se trouver en position de 69. Et voilà que mon fantasme de voir ma copine avec la queue de mon copain dans la bouche et la bouche de mon copain sur la chatte béante de Caro allait enfin se réaliser. J'avais réussi. Après une telle soirée, ma copine baiserait assez rapidement avec Michel et je rêvais déjà de voir ma queue défoncer le "fripé" de mon amour. OUI, j'y arriverais, ce n'étais que le début de l'été, je prendrais tout mon temps. Surtout qu'aujourd'hui, j'étais persuadé que Karen était faite pour donner du plaisir à beaucoup de messieurs. Elle aimait le sexe depuis peu mais déjà elle voulait rattraper le temps perdu. Sortant de mes rêves, je pouvais très nettement entendre les bruits de succion de la queue de Michel et de ceux de la chatte de ma copine, recouvert des gémissements encourageants. Je savais, connaissant Caro, qu'effectivement, pour ce soir, ça n'irait pas plus loin. Mais un rendez vous pour le week-end prochain à tous les trois pourrait se révéler très prometteur. La soirée c'est terminée au matin avec plusieurs pipes et plusieurs cunnis et caresses. Elle m'a avouée plus tard que la promesse de ne pas aller plus loin avait été regrettée car elle aurait accepté un trio très facilement. C'est d'ailleurs ce qui c'est passé la semaine suivante.
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