Caroline, la bourgeoise abandonnée (5)
Récit érotique écrit par Surcouf [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Caroline, la bourgeoise abandonnée (5)
Le lendemain, donc, tu te rends au travail, l’objet de ton désir enfoui entre les jambes. Si cette forme étrange te gênait dans tes déplacements au début, tu t’y es vite habituée, et tu savoure désormais le massage intérieur qu’il te procure à chaque pas. Toute la matinée, tu es tendue à l’idée de savoir que l’orgasme peut survenir à tout instant, mais il ne se passe rien. Finalement tu oublies que tu as cet objet entre les cuisses et tu retrouves ton mari pour discuter à la bonne bouffe. Ton mari est déjà attablé, et il a commandé deux verres de vin blanc. Vous trinquez et regardez la carte, que vous connaissez par cœur. Le serveur arrive et prend votre commande.
— Comme d’habitude ? demande-il.
— Oui, comme d’habi….wow ! réponds-tu, surprise, alors que les boules viennent de glisser l’une contre l’autre en appuyant contre ton point G.
— Tout va bien, te demande ton mari.
— Oui tout va bien, merci Hervé, réponds-tu. Tu ne trouves pas qu’il fait chaud.
En effet, tu es submergée par des vagues de chaleur, et l’intensité de la pression augmente progressivement, en salves de plus en plus fortes et rapprochées. Tu te tortilles sur ta chaise afin de les déloger de cet endroit si érotique, si bien que ton mari te demande ce que tu fais.
— Oh, non, rien, ne t’inquiète pas mon amour, dis-tu en défaisant la boucle de ta chaussure à talon. J’ai très faim, pas toi ?
En disant cela, tu presse ton pied nu contre son entrejambe. Tu n’as encore jamais fait ça en public et il est surpris, presque choqué. Il fait mine de te dire d’arrêter, mais l’érection que tu lui as déclenchée te prouve le contraire. Tu presse donc encore plus ton pied sur son entrejambe, complètement désinhibé par la stimulation de ton sexe par les boules qui n’en font qu’à leur tête.
Les plats sont servis et les geisha glissent de leur position, te laissant un peu de répit, c qui te permet d’engloutir ton repas avec avidité. Au moment où le dessert arrive, ton mari te demande ce qu’il t’a pris de lui faire cela, tout à l’heure, en public, et tu lui réponds que tu ne savais pas, que c’était une simple pulsion. Comme par un fait exprès, alors que tu croises tes jambes l’une sur l’autre, les boules se remettent à titiller ton point G de plus belle, et tu ne peux réprimer un petit cri de surprise. Tu plaques de nouveau ton pied sur le sexe d’Hervé et le masse avec ardeur. De ton côté, l’excitation grandit, ton rythme cardiaque s’accélère, déversant en toi des salves orgasmiques, et tu n’es pas loin d’en avoir un, ici, en plein milieu d’un restaurant, alors que personne ne t’a encore touchée. N’en pouvant plus, tu te lèves, et lui susurre à l’oreille.
— Rejoins-moi aux toilettes, j’ai envie que tu me fasses l’amour.
Tu files vers les toilettes afin de retirer les boules de ton intimité. Quelques instants plus tard, ton mari entre à ta suite.
— Caroline, dit-il d’une voix soufflée.
Tu fermes la porte derrière lui et tu t’agenouilles devant lui pour sortir son sexe devant tes yeux. Décidément, ces derniers jours, tu es une véritable bouffeuse de bites, et tu sembles adorer ça. Tu enfournes son sexe dans ta gorge et le dévore avec passion. Puis, tu te relèves, baisse ta culotte à tes genoux et lui dis :— Prends-moi en levrette. Maintenant !
Hervé s’exécute et se place derrière toi, puis enfonce son sexe d’un seul coup dans ta fente trempée. Il grimace de plaisir, et fait des aller-retours hésitant à s’enfoncer en toi davantage. La masturbation que tu lui as faite avec ton pied tout à l’heure l’a beaucoup trop excité et il se déverse rapidement en toi en poussant un râle de jouissance. Il t’embrasse sur la joue, te remercie, se rhabille et sort pour aller régler l’addition. Obéissant à mon ordre, tu remets les boules à leur place, en espérant de tout cœur qu’elles continuent le massage exquis qu’elles t’ont procuré tout au long de la matinée…
Les jours suivants, à ton grand désespoir, tu ouvres la boite aux lettres chaque matin et la trouve vide. Le vendredi, cependant, il y a une lettre à ton adresse, scellée par un cachet de cire rouge. Tu l’ouvres fébrilement et lis le message qui y est inscrit :
J’ai réussi à convaincre ma copine de venir Samedi. Je lui ai parlé de toi, de nous, et elle est terriblement excitée à l’idée de te voir. Je vais te baiser à quelques mètres de ton mari, et il n’en saura rien, je te le promets, et ensuite, je te confierai à elle, elle te fera découvrir des plaisirs nouveaux. Mais avant cela, je veux te torturer un peu, Je veux que, comme jeudi dernier, tu mettes les boules de geisha dans ta vulve, cachées sous ta culotte. Comme je serais à quelques mètres, j’aurais un plus grand contrôle sur l’appareil, et je pourrais voir tes réactions en direct… A demain.
— Comme d’habitude ? demande-il.
— Oui, comme d’habi….wow ! réponds-tu, surprise, alors que les boules viennent de glisser l’une contre l’autre en appuyant contre ton point G.
— Tout va bien, te demande ton mari.
— Oui tout va bien, merci Hervé, réponds-tu. Tu ne trouves pas qu’il fait chaud.
En effet, tu es submergée par des vagues de chaleur, et l’intensité de la pression augmente progressivement, en salves de plus en plus fortes et rapprochées. Tu te tortilles sur ta chaise afin de les déloger de cet endroit si érotique, si bien que ton mari te demande ce que tu fais.
— Oh, non, rien, ne t’inquiète pas mon amour, dis-tu en défaisant la boucle de ta chaussure à talon. J’ai très faim, pas toi ?
En disant cela, tu presse ton pied nu contre son entrejambe. Tu n’as encore jamais fait ça en public et il est surpris, presque choqué. Il fait mine de te dire d’arrêter, mais l’érection que tu lui as déclenchée te prouve le contraire. Tu presse donc encore plus ton pied sur son entrejambe, complètement désinhibé par la stimulation de ton sexe par les boules qui n’en font qu’à leur tête.
Les plats sont servis et les geisha glissent de leur position, te laissant un peu de répit, c qui te permet d’engloutir ton repas avec avidité. Au moment où le dessert arrive, ton mari te demande ce qu’il t’a pris de lui faire cela, tout à l’heure, en public, et tu lui réponds que tu ne savais pas, que c’était une simple pulsion. Comme par un fait exprès, alors que tu croises tes jambes l’une sur l’autre, les boules se remettent à titiller ton point G de plus belle, et tu ne peux réprimer un petit cri de surprise. Tu plaques de nouveau ton pied sur le sexe d’Hervé et le masse avec ardeur. De ton côté, l’excitation grandit, ton rythme cardiaque s’accélère, déversant en toi des salves orgasmiques, et tu n’es pas loin d’en avoir un, ici, en plein milieu d’un restaurant, alors que personne ne t’a encore touchée. N’en pouvant plus, tu te lèves, et lui susurre à l’oreille.
— Rejoins-moi aux toilettes, j’ai envie que tu me fasses l’amour.
Tu files vers les toilettes afin de retirer les boules de ton intimité. Quelques instants plus tard, ton mari entre à ta suite.
— Caroline, dit-il d’une voix soufflée.
Tu fermes la porte derrière lui et tu t’agenouilles devant lui pour sortir son sexe devant tes yeux. Décidément, ces derniers jours, tu es une véritable bouffeuse de bites, et tu sembles adorer ça. Tu enfournes son sexe dans ta gorge et le dévore avec passion. Puis, tu te relèves, baisse ta culotte à tes genoux et lui dis :— Prends-moi en levrette. Maintenant !
Hervé s’exécute et se place derrière toi, puis enfonce son sexe d’un seul coup dans ta fente trempée. Il grimace de plaisir, et fait des aller-retours hésitant à s’enfoncer en toi davantage. La masturbation que tu lui as faite avec ton pied tout à l’heure l’a beaucoup trop excité et il se déverse rapidement en toi en poussant un râle de jouissance. Il t’embrasse sur la joue, te remercie, se rhabille et sort pour aller régler l’addition. Obéissant à mon ordre, tu remets les boules à leur place, en espérant de tout cœur qu’elles continuent le massage exquis qu’elles t’ont procuré tout au long de la matinée…
Les jours suivants, à ton grand désespoir, tu ouvres la boite aux lettres chaque matin et la trouve vide. Le vendredi, cependant, il y a une lettre à ton adresse, scellée par un cachet de cire rouge. Tu l’ouvres fébrilement et lis le message qui y est inscrit :
J’ai réussi à convaincre ma copine de venir Samedi. Je lui ai parlé de toi, de nous, et elle est terriblement excitée à l’idée de te voir. Je vais te baiser à quelques mètres de ton mari, et il n’en saura rien, je te le promets, et ensuite, je te confierai à elle, elle te fera découvrir des plaisirs nouveaux. Mais avant cela, je veux te torturer un peu, Je veux que, comme jeudi dernier, tu mettes les boules de geisha dans ta vulve, cachées sous ta culotte. Comme je serais à quelques mètres, j’aurais un plus grand contrôle sur l’appareil, et je pourrais voir tes réactions en direct… A demain.
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