Ma rencontre avec Marion, autrice sur HDS (1).
Récit érotique écrit par Surcouf [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2020 dans la catégorie Pour la première fois
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Ma rencontre avec Marion, autrice sur HDS (1).
Connaissez-vous Marion ? Coquine1836 sur HDS. Cette petite blonde aux yeux bleus d’1m65 et d’à peine 20 ans. Cette coquine est une adepte de la fellation, comme vous pouvez le lire dans ses récits, et je vais vous raconter l’histoire de notre rencontre.
C’était en juin dernier. Peu après le confinement, Marion avait décidé d’apprendre le piano pour pallier l’ennui de sa routine quotidienne. Moi-même, je sortais d’une période difficile financièrement, et j’avais accroché des papiers avec mon adresse mail sur tous les poteaux du quartier. Il se trouve que j’habite près de la fac de Marion, et elle est tombée sur mon annonce par hasard. Le hasard fait parfois bien les choses, me direz-vous, et la suite de l’histoire va le prouver. Un soir, donc, je rentre chez moi, épuisé, et reçois un email. Je suis interpellé par l’adresse que j’ai l’impression d’avoir déjà vu quelque part. Pourtant, je ne la retrouve pas dans mon historique. Voilà ce qu’elle me dit :— Bonjour, j’ai lu votre annonce, est-ce vrai que vous donnez des cours de piano ?
— Bonjour, en effet. Je donne des cours à domicile, ou je peux recevoir dans mon appartement. Qui êtes-vous ? Cherchez-vous des cours pour vous ou pour vos enfants ?
Quelques minutes plus tard, je reçois sa réponse.
— Je m’appelle Marion, j’ai 20 ans, et je souhaite apprendre le piano. Mais je n’en ai pas chez moi, alors je préfèrerai que cela ait lieu dans votre appartement, si cela vous va.
Marion. Le lien se fait dans mon esprit. C’est une autrice d’HDS. Je me précipite sur mon ordinateur pour vérifier. C’est exactement ça. Coquine1836. C’est dingue. Je relis ces histoires et je sens mon braquemard tendu comme un arc. Je n’en peux plus, je me branle en relisant l’épisode de la douche avec Victor. Si c’est bien elle, je sens que je vais m’amuser. J’espère qu’elle est aussi coquine que dans ses écrits.
Nous convenons d’un cours d’essai le mardi suivant. Il est 18h, elle sonne à la porte. Je suis en jean et chemise blanche sur ma peau déjà bronzée par les premiers pique-niques de l’été. Elle se tient sur le pallier, toute timide, toute menue. Elle porte une robe d’été, légère, et je distingue deux petits seins sans soutien-gorge sous le tissu de la robe (tu peux détailler ta tenue si tu veux). C’est bien elle. Elle est plutôt mignonne, je lui souris et l’invite à entrer. D’après ses écrits, je sais que sous ses airs de petite fille sage se cache une véritable coquine. Je compte bien en profiter…
J’ai la chance d’avoir hérité d’un superbe appartement. C’est un immense deux pièces avec des moulures au plafond et un paquet en chevrons. Il y a un grand piano à queue au centre de la pièce.
— Tu as déjà fait du piano ?
— Quelques cours, quand j’étais en primaire, répond-elle. Bien, tu vas me montrer ce que tu sais faire. Installe-toi.
Je la regarde passer devant moi, et devine sous la robe de belles fesses bien fermes et rebondies. Mon traquenard commence à s’animer dans mon jean. Elle s’assied, ajuste sa robe, et commence à jouer au clair de la lune. Je l’interromps après quelques notes.
— Ca ne va pas, il faut soigner ta position. Et quand on joue au piano, déjà, on attache ses cheveux.
Je me glisse derrière elle et empoigne d’une main ses cheveux. Je la sens tressaillir mais elle ne dit rien. Je profite de cette position dominante quelques seconde, je sens qu’elle a le souffle court, qu’elle ne sait pas quoi faire. J’attache ses longs cheveux blonds en un chignon parfait et pose mes deux mains sur ses épaules. J’approche ma bouche de son oreille et parle avec une voix grave, suave, sensuelle.
— Bien, Marion. Il faut ajuster ta position. Redresse-toi. Le dos droit, les épaules en arrière.
J’allie le geste à la parole et serre mes paumes rugueuses sur ses épaules menues. Elle frémit. De là où je suis, j’ai une vue plongeant sur le décolleté de sa robe. Je vois ses petits tétons pointés, comme s’ils voulaient traverser le tissu pour s’offrir à moi. C’est qu’elle a l’air excitée ! Moi aussi, et je suis de plus en plus à l’étroit dans mon jean.
— Bien. Reprenons. En gardant le dos droit, Marion. Allez, recommence.
C’était en juin dernier. Peu après le confinement, Marion avait décidé d’apprendre le piano pour pallier l’ennui de sa routine quotidienne. Moi-même, je sortais d’une période difficile financièrement, et j’avais accroché des papiers avec mon adresse mail sur tous les poteaux du quartier. Il se trouve que j’habite près de la fac de Marion, et elle est tombée sur mon annonce par hasard. Le hasard fait parfois bien les choses, me direz-vous, et la suite de l’histoire va le prouver. Un soir, donc, je rentre chez moi, épuisé, et reçois un email. Je suis interpellé par l’adresse que j’ai l’impression d’avoir déjà vu quelque part. Pourtant, je ne la retrouve pas dans mon historique. Voilà ce qu’elle me dit :— Bonjour, j’ai lu votre annonce, est-ce vrai que vous donnez des cours de piano ?
— Bonjour, en effet. Je donne des cours à domicile, ou je peux recevoir dans mon appartement. Qui êtes-vous ? Cherchez-vous des cours pour vous ou pour vos enfants ?
Quelques minutes plus tard, je reçois sa réponse.
— Je m’appelle Marion, j’ai 20 ans, et je souhaite apprendre le piano. Mais je n’en ai pas chez moi, alors je préfèrerai que cela ait lieu dans votre appartement, si cela vous va.
Marion. Le lien se fait dans mon esprit. C’est une autrice d’HDS. Je me précipite sur mon ordinateur pour vérifier. C’est exactement ça. Coquine1836. C’est dingue. Je relis ces histoires et je sens mon braquemard tendu comme un arc. Je n’en peux plus, je me branle en relisant l’épisode de la douche avec Victor. Si c’est bien elle, je sens que je vais m’amuser. J’espère qu’elle est aussi coquine que dans ses écrits.
Nous convenons d’un cours d’essai le mardi suivant. Il est 18h, elle sonne à la porte. Je suis en jean et chemise blanche sur ma peau déjà bronzée par les premiers pique-niques de l’été. Elle se tient sur le pallier, toute timide, toute menue. Elle porte une robe d’été, légère, et je distingue deux petits seins sans soutien-gorge sous le tissu de la robe (tu peux détailler ta tenue si tu veux). C’est bien elle. Elle est plutôt mignonne, je lui souris et l’invite à entrer. D’après ses écrits, je sais que sous ses airs de petite fille sage se cache une véritable coquine. Je compte bien en profiter…
J’ai la chance d’avoir hérité d’un superbe appartement. C’est un immense deux pièces avec des moulures au plafond et un paquet en chevrons. Il y a un grand piano à queue au centre de la pièce.
— Tu as déjà fait du piano ?
— Quelques cours, quand j’étais en primaire, répond-elle. Bien, tu vas me montrer ce que tu sais faire. Installe-toi.
Je la regarde passer devant moi, et devine sous la robe de belles fesses bien fermes et rebondies. Mon traquenard commence à s’animer dans mon jean. Elle s’assied, ajuste sa robe, et commence à jouer au clair de la lune. Je l’interromps après quelques notes.
— Ca ne va pas, il faut soigner ta position. Et quand on joue au piano, déjà, on attache ses cheveux.
Je me glisse derrière elle et empoigne d’une main ses cheveux. Je la sens tressaillir mais elle ne dit rien. Je profite de cette position dominante quelques seconde, je sens qu’elle a le souffle court, qu’elle ne sait pas quoi faire. J’attache ses longs cheveux blonds en un chignon parfait et pose mes deux mains sur ses épaules. J’approche ma bouche de son oreille et parle avec une voix grave, suave, sensuelle.
— Bien, Marion. Il faut ajuster ta position. Redresse-toi. Le dos droit, les épaules en arrière.
J’allie le geste à la parole et serre mes paumes rugueuses sur ses épaules menues. Elle frémit. De là où je suis, j’ai une vue plongeant sur le décolleté de sa robe. Je vois ses petits tétons pointés, comme s’ils voulaient traverser le tissu pour s’offrir à moi. C’est qu’elle a l’air excitée ! Moi aussi, et je suis de plus en plus à l’étroit dans mon jean.
— Bien. Reprenons. En gardant le dos droit, Marion. Allez, recommence.
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