Ma rencontre avec Marion, autrice sur HDS (4) suite et fin
Récit érotique écrit par Surcouf [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma rencontre avec Marion, autrice sur HDS (4) suite et fin
— Bien, c’était une très bonne première leçon. Cependant, il faudra t’exercer pour la prochaine séance, je te conseille de pratiquer tes gammes, ou je risque d’être déçu.
— Au revoir, professeur, et merci pour tout, répond-elle avec un clin d’œil.
Le soir même, je relis les histoires de mon élève sur HDS. Je peux désormais mettre un visage sur cette véritable coquine et c’est encore mieux qu’avec mon imaginaire. Je n’arrive même pas au troisième chapitre que je jouis en inondant mon ventre de ma semence.
Le jeudi soir, je reçois un MMS de Marion. C’est une photo d’elle, en culotte (vous savez, sa culotte avec un cœur rouge sur le devant) et seins nus, penchée en avant, ses bras comprimant ses seins pour les rendre plus gros. Elle a deux couettes qui lui donnent l’air d’une écolière faussement disciplinée.
« Bonne nuit mon petit coquin » accompagne la photo.
Quelques secondes plus tard, je reçois un message correctif :« Oups, désolé professeur, trompée de destinataire. ;-) »Quelque chose me dit que cette erreur n’est pas le fruit du hasard, et le smiley coquin confirme mon hypothèse. Je réponds :« Pas de souci, j’aime beaucoup tes couettes, ce sera parfait pour notre prochaine leçon. A mardi, n’oublie pas de pratiquer. »
Le mardi suivant, donc, Marion se présente à la porte de mon appartement à l’heure prévue. Elle porte un t-shirt blanc court qui dévoile son ventre plat et son nombril, et une jupe courte noire. Elle a coiffé ses longs cheveux blonds en deux couettes comme je le lui ai demandé et souligné ses yeux d’un discret trait de maquillage.
Je l’invite à entrer et à me montrer ses progrès au piano.
La belle s’installe et entame une gamme. Elle glisse sur le mi et fait une fausse note.
Je la laisse recommencer. Erreur lors de la redescente.
Troisième et dernier essai. Les doigts de Marion tremblent. Le tempo est mauvais. Ma colère éclate.
— Vous n’avez pas révisé, mademoiselle.
— Je… je suis désolée, excusez-moi.
— Vous avez préféré passer votre semaine à envoyer des photos compromettantes. C’est votre choix. Mais il faudra en assumer les conséquences.
— Je les assume, professeur.
— Bien. Levez-vous.
La coquine s’exécute, elle semble impressionnée par le ton autoritaire et froid de ma voix. Je m’assied sur le banc du piano et lui demande de se pencher en avant. Elle s’allonge sur mes genoux pour recevoir sa punition.
Je relève sa jupe en profitant de la vue sur ses splendides fesses rebondies. Elle n’a pas mis de culotte. J’adore. Je passe ma large main calleuse sur ses douces colines et lui donne une première fessée. Elle laisse échapper un petit cri alors que la marque rougie de mes doigts s’efface déjà sur son derrière. Je caresse et claque. Aie. J’alterne, à droite, à gauche, et les marques s’impriment sur sa chair. Bientôt, ses cris de surprise se transforment en gémissements de plaisir. D’un doigt entre ses cuisses, je récolte le liquide cyprin qui suite de son antre. Elle est excitée comme jamais. Je vais lui donner ce qu’elle veut. Je l’attrape par les couettes et redresse sa tête pour lui donner un baiser délicat sur ses lèvres. Son regard suplicateur en redemande, mais je l’ai assez fessée pour aujourd’hui. Je l’invite à se relever et la penche sur le piano. Je baisse mon pantalon et présente mon gland à son orifice.
— Comme ça ? Directement ? Tu ne veux pas un bisou dessus avant ?
— Pas besoin, tu es tellement trempée que ça va glisser tout seul.
Et je n’ai pas tort. Si mon sexe est sec, lui, sa chatte est tellement trempée que ses lèvres s’écartent et aspirent mon engin. Elle est tellement serrée que c’est un véritable délice. Je fais et viens en douceur, caressant son dos et ses petits seins tendus. Marion se tortille et se déhanche pour m’acceuillir plus profondément encore en elle. Je glisse une main entre ses lèvres et viens titiller le bouton de son clitoris. C’en est trop pour mon élève qui gémis et se tord en hurlant son bonheur dans un orgasme puissant. Les parois de son vagin se contractent sur mon sexe et je dois lutter pour ne pas jouir à mon tour.
Je me retire finalement et soulève Marion pour l’empaler sur mon chibre tendu. Les mains sous ses cuisses, je la soulève aussi aisément qu’une plume. Elle fait le reste du travail. Accrochée à mon cou, ses lèvres pendues aux miennes, nos langues se caressent et se fouillent tandis qu’elle ondule sur mon sexe.
Nous allons et venons ainsi quelques dizaines de secondes avant que j’exulte dans un profond orgasme. Le contact de ma semence chaude et puissante en elle lui procure une nouvelle jouissance et nous nous effondrons sur le parquet, serrés l’un contre l’autre, aucun ne voulant briser cette union sacrée.
Au bout de quelques minutes, nous nous séparons finalement, et, alors que Marion se rhabille, je lui tends un petit paquet.
— Tiens, c’est un cadeau pour toi.
— Un cadeau ? merci, pourquoi ?
— Ouvre, tu verras.
Elle déballe le paquet et en sort un morceau de tissu bleu ciel.
— C’est un tanga, je sais que tu préfères les culottes, mais essaye-le, je suis certain qu’il t’ira à ravir.
— Maintenant ? Mais tu as fini en moi, tout va couler et le salir.
— Peu importe, et puis, ça te fera un souvenir de moi, dis-je avec un clin d’œil coquin.
Elle enfile le tanga. Je n’avais pas tort. Le tissu moule avec perfection ses fesses de déesse. Elle est en coton, simple, seul un fin liseré de dentelle termine la partie arrière, soulignant la courbure de sa hanche et le galbe de son fessier musclé. Elle est ravissante.
— Ça te plait ?
— Oui, beaucoup, merci, dit-elle en se jetant dans mes bras et m’embrassant langoureusement.
Voilà, je n’ai pas revu Marion depuis. Le mois de juin a laissé place à l’été, aux vacances, et le second confinement nous a empêché de reprendre les cours à la rentrée. Mais le souvenir de cet épisode est resté gravé dans ma mémoire.
Marion, si tu lis ces lignes, je voulais te remercier. Continue d’écrire, c’est un véritable délice. Et n’hésite pas à me faire signe.
PS : j’espère que tu as toujours mon cadeau, signé du mélange de nos fluides d’amour. Je t’embrasse où tu sais.
M.
— Au revoir, professeur, et merci pour tout, répond-elle avec un clin d’œil.
Le soir même, je relis les histoires de mon élève sur HDS. Je peux désormais mettre un visage sur cette véritable coquine et c’est encore mieux qu’avec mon imaginaire. Je n’arrive même pas au troisième chapitre que je jouis en inondant mon ventre de ma semence.
Le jeudi soir, je reçois un MMS de Marion. C’est une photo d’elle, en culotte (vous savez, sa culotte avec un cœur rouge sur le devant) et seins nus, penchée en avant, ses bras comprimant ses seins pour les rendre plus gros. Elle a deux couettes qui lui donnent l’air d’une écolière faussement disciplinée.
« Bonne nuit mon petit coquin » accompagne la photo.
Quelques secondes plus tard, je reçois un message correctif :« Oups, désolé professeur, trompée de destinataire. ;-) »Quelque chose me dit que cette erreur n’est pas le fruit du hasard, et le smiley coquin confirme mon hypothèse. Je réponds :« Pas de souci, j’aime beaucoup tes couettes, ce sera parfait pour notre prochaine leçon. A mardi, n’oublie pas de pratiquer. »
Le mardi suivant, donc, Marion se présente à la porte de mon appartement à l’heure prévue. Elle porte un t-shirt blanc court qui dévoile son ventre plat et son nombril, et une jupe courte noire. Elle a coiffé ses longs cheveux blonds en deux couettes comme je le lui ai demandé et souligné ses yeux d’un discret trait de maquillage.
Je l’invite à entrer et à me montrer ses progrès au piano.
La belle s’installe et entame une gamme. Elle glisse sur le mi et fait une fausse note.
Je la laisse recommencer. Erreur lors de la redescente.
Troisième et dernier essai. Les doigts de Marion tremblent. Le tempo est mauvais. Ma colère éclate.
— Vous n’avez pas révisé, mademoiselle.
— Je… je suis désolée, excusez-moi.
— Vous avez préféré passer votre semaine à envoyer des photos compromettantes. C’est votre choix. Mais il faudra en assumer les conséquences.
— Je les assume, professeur.
— Bien. Levez-vous.
La coquine s’exécute, elle semble impressionnée par le ton autoritaire et froid de ma voix. Je m’assied sur le banc du piano et lui demande de se pencher en avant. Elle s’allonge sur mes genoux pour recevoir sa punition.
Je relève sa jupe en profitant de la vue sur ses splendides fesses rebondies. Elle n’a pas mis de culotte. J’adore. Je passe ma large main calleuse sur ses douces colines et lui donne une première fessée. Elle laisse échapper un petit cri alors que la marque rougie de mes doigts s’efface déjà sur son derrière. Je caresse et claque. Aie. J’alterne, à droite, à gauche, et les marques s’impriment sur sa chair. Bientôt, ses cris de surprise se transforment en gémissements de plaisir. D’un doigt entre ses cuisses, je récolte le liquide cyprin qui suite de son antre. Elle est excitée comme jamais. Je vais lui donner ce qu’elle veut. Je l’attrape par les couettes et redresse sa tête pour lui donner un baiser délicat sur ses lèvres. Son regard suplicateur en redemande, mais je l’ai assez fessée pour aujourd’hui. Je l’invite à se relever et la penche sur le piano. Je baisse mon pantalon et présente mon gland à son orifice.
— Comme ça ? Directement ? Tu ne veux pas un bisou dessus avant ?
— Pas besoin, tu es tellement trempée que ça va glisser tout seul.
Et je n’ai pas tort. Si mon sexe est sec, lui, sa chatte est tellement trempée que ses lèvres s’écartent et aspirent mon engin. Elle est tellement serrée que c’est un véritable délice. Je fais et viens en douceur, caressant son dos et ses petits seins tendus. Marion se tortille et se déhanche pour m’acceuillir plus profondément encore en elle. Je glisse une main entre ses lèvres et viens titiller le bouton de son clitoris. C’en est trop pour mon élève qui gémis et se tord en hurlant son bonheur dans un orgasme puissant. Les parois de son vagin se contractent sur mon sexe et je dois lutter pour ne pas jouir à mon tour.
Je me retire finalement et soulève Marion pour l’empaler sur mon chibre tendu. Les mains sous ses cuisses, je la soulève aussi aisément qu’une plume. Elle fait le reste du travail. Accrochée à mon cou, ses lèvres pendues aux miennes, nos langues se caressent et se fouillent tandis qu’elle ondule sur mon sexe.
Nous allons et venons ainsi quelques dizaines de secondes avant que j’exulte dans un profond orgasme. Le contact de ma semence chaude et puissante en elle lui procure une nouvelle jouissance et nous nous effondrons sur le parquet, serrés l’un contre l’autre, aucun ne voulant briser cette union sacrée.
Au bout de quelques minutes, nous nous séparons finalement, et, alors que Marion se rhabille, je lui tends un petit paquet.
— Tiens, c’est un cadeau pour toi.
— Un cadeau ? merci, pourquoi ?
— Ouvre, tu verras.
Elle déballe le paquet et en sort un morceau de tissu bleu ciel.
— C’est un tanga, je sais que tu préfères les culottes, mais essaye-le, je suis certain qu’il t’ira à ravir.
— Maintenant ? Mais tu as fini en moi, tout va couler et le salir.
— Peu importe, et puis, ça te fera un souvenir de moi, dis-je avec un clin d’œil coquin.
Elle enfile le tanga. Je n’avais pas tort. Le tissu moule avec perfection ses fesses de déesse. Elle est en coton, simple, seul un fin liseré de dentelle termine la partie arrière, soulignant la courbure de sa hanche et le galbe de son fessier musclé. Elle est ravissante.
— Ça te plait ?
— Oui, beaucoup, merci, dit-elle en se jetant dans mes bras et m’embrassant langoureusement.
Voilà, je n’ai pas revu Marion depuis. Le mois de juin a laissé place à l’été, aux vacances, et le second confinement nous a empêché de reprendre les cours à la rentrée. Mais le souvenir de cet épisode est resté gravé dans ma mémoire.
Marion, si tu lis ces lignes, je voulais te remercier. Continue d’écrire, c’est un véritable délice. Et n’hésite pas à me faire signe.
PS : j’espère que tu as toujours mon cadeau, signé du mélange de nos fluides d’amour. Je t’embrasse où tu sais.
M.
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