Ce soir ma maîtresse reçoit une amie

- Par l'auteur HDS Docile époux -
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Récit libertin : Ce soir ma maîtresse reçoit une amie Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-06-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Ce soir ma maîtresse reçoit une amie
Agé de 45 ans, je suis marié depuis cinq ans à Florence, une Camerounaise de 33 ans. Avant de la connaître, je cherchais une Africaine dominatrice. Elle a mis fin à ma quête au-delà de mes espérances. Madame Florence a volontiers placé notre union sous un régime d’esclavage de ma personne à son service. Elle est très sévère, exigeante, me domine avec naturel. A son estime, l’ordre des choses veut qu’il existe des personnes supérieures et des inférieures, ces dernières devant obéir aux premières. Je suis chargé de toutes les tâches ménagères, mon épouse a tous les pouvoirs, me donne des ordres, abuse sans hésiter de son ascendant sur moi, me châtie et m’humilie souvent.

Ce matin, Madame m’annonce qu’elle recevra une amie d’enfance pour la soirée, puis elle me dicte le menu : ce sera un repas fin pour les deux dames et l’ordinaire pour moi. Je rentre assez tôt du travail pour tout acheter et commencer la préparation du repas de ces dames. Je sais que Florence a rejoint son amie en ville.

Madame m’appelle : « Blanchette, le train vient de partir. Tu viendras nous chercher à 18 heures, en tenue légère. » Je lui réponds par la formule rituelle « A vos ordres, Madame. » J’ignore qu’elle a mis le haut-parleur de son smartphone. J’entends le début d’un rire, puis Madame raccroche.

Dans le compartiment de première classe, son amie Aline rit de bon cœur. « Eh bien il a l’air de filer droit ton mari ! C’est presque ton larbin ! Comment as-tu fait pour en trouver un comme ça ? »

« C’est vraiment mon larbin, mon esclave, il n’y a pas de presque qui tienne. Il paye pour tous les esclavagistes de sa race. » Comme à l’accoutumée, Florence ne fait aucun effort pour baisser la voix, lorsqu’elle parle de ma soumission. Elle sait que cette attitude est humiliante pour moi, elle en joue, même si je ne suis pas là : elle prendra un malin plaisir à me le raconter plus tard.

Je n’ai pas eu à le trouver, c’est lui qui cherchait une Africaine dominatrice. Des chiens blancs qui veulent être dominés par des femmes noires, ou qui le prétendent, ça ne manque pas. J’ai juste posé mes conditions et mes règles, puis quand il a accepté j’ai pris mes garanties pour être bien certaine que c’est sérieux, qu’il ne peut pas reculer. »

« Et c’était quoi alors tes conditions et tes garanties ? »

« D’abord, le principe : je commande, il obéit. Sinon je le punis sévèrement, pas pour son plaisir mais vraiment pour punir. Et parfois, je le châtie pour mon propre amusement. Il doit m’obéir au doigt et à l’œil, immédiatement et sans jamais rechigner, quel que soit l’ordre que je lui donne. Il doit aussi démontrer un dévouement total à ma personne mon confort, mon plaisir, sans même attendre mes ordres. Et pour lui faire respecter ses engagements, je m’appuie sur plusieurs piliers : les corvées, le contrôle des finances, la chasteté forcée, l’isolement, la vénération, l’humiliation, le cocufiage, la sodomie et la chicotte.

D’abord, comme tu le verras ce soir, il fait toutes les corvées comme un vrai larbin. Il me parle à la troisième personne, il fait vraiment tout, pas question que je fasse quoi que ce soit, je suis la reine il est le valet. Mieux encore, dans l’intimité il se déguise en soubrette sexy pour accomplir les corvées : mules à talons, corset, bas, minuscule tablier en dentelle, coiffe dans les cheveux, ainsi que des bracelets aux chevilles et poignets, enfin collier et laisse, pour pouvoir l’attacher si je le veux. A part ça rien : ni chemise, ni caleçon, cul nu bien visible. Parfois je le contrains à effectuer ses tâches dans des conditions plus difficiles, en lui attachant les chevilles pour limiter ses mouvements, ou en lui liant les couilles aux chevilles pour qu’il reste accroupi tout le temps. Je lui ajoute souvent des pinces aux tétons, reliées par une chaînette.

Ensuite, le contrôle des finances : lui seul travaille, il doit gérer tout et tenir le budget puisque c’est une corvée, mais c’est moi qui décide et il n’a pas accès aux comptes bancaires. Chez moi tout m’appartient : les économies, la maison, les meubles, la voiture aussi, il ne possède même pas le tablier qu’il porte. »

« Lui seul travaille, mais toi qu’est-ce que tu fais ? »

« Je profite de l’argent qu’il gagne ! Je suis une reine à plein temps. Je me lève quand je veux et j’ai mes activités : gym, shopping, coiffeuse, soins de beauté, wellness, etc.

Mais revenons aux piliers de la domination. Le troisième, c’est la chasteté forcée. Je le contrains à porter une cage de chasteté. C’est une cage métallique munie d’un cadenas, qui enferme son petit oiseau et l’empêche d’avoir des érections. Avec ça, impossible pour lui de me tromper ou de se masturber, j’ai littéralement la clé de sa petite queue de blanc. Il a peut-être cru qu’il pourrait en sortir de temps en temps, pour se toucher ou me pénétrer, mais alors il se trompait : il ne sort sa petite nouille de blanc que pour l’hygiène ou pour raison médicale. J’aime le garder frustré. Plus jamais il ne bande et ne baise, mais il se fait baiser la gueule et le cul.

Ce que j’appelle la chicotte, c’est l’ensemble des châtiments corporels. Il reçoit la vraie chicotte sur les fesses nues, mais aussi le bambou, la trique, la ceinture, des gifles, et pas seulement sur les fesses : je frappe aussi le bout des doigts, les couilles, les pieds, les joues, tout ce que j’ai envie de frapper.

Le cocufiage c’est l’obligation pour lui de supporter que je couche avec d’autres hommes, sans lui demander son avis, en sa présence ou non. Il doit même m’aider à trouver des amants, me conduire à mes rendez-vous galants et parfois il me sert de sex-toy en présence de mes amants.

La sodomie, c’est l’habitude de l’enculer. Je le fais mettre régulièrement à quatre pattes, ou dans une autre position de soumission, et je lui prends le cul sans ménagement. Souvent je filme nos ébats dans ces moments. Crois moi, ça le rend très humble et docile. En plus, je peux le traiter de pédé et d’enculé.

La vénération c’est son devoir de m’adorer comme la déesse que je suis. Plusieurs fois par jour, il doit se prosterner devant une image de moi et répéter ses vœux d’obéissance, de soumission et de vénération de ma personne. Il le fait en ma présence mais aussi quand je ne suis pas là.

L’isolement, consiste à lui imposer de grandes limitations dans ses contacts sociaux. Il n’a plus d’amis, plus de loisirs et ne voit plus sa famille qu’à de rares occasions. De toute façon, les services qu’il me doit ne lui en laissent guère le temps.

Et par-dessus tout ça, s’ajoute l’humiliation, par exemple ce soir où il devra s’exhiber un peu en rue puis te servir aussi, ou les soirs où il sert mes amants, ou encore toutes les occasions de se comporter servilement en public.

Crois moi, avec tout ça, je le tiens vraiment par les couilles. De toute façon, il aime ça. »

« C’est à peine croyable, ce que tu me dis là. »

« Tu verras sa tenue tout à l’heure à la gare. Sache que tu es mon invitée alors tu peux tout te permettre avec lui, du moment que tu ne l’abimes pas vraiment. Claque au cul ou dans la gueule, le gronder, ce que tu voudras. En public aussi, mais en respectant la pudeur des spectateurs. Donc pas de mise à nu en public tout de même, je n’ai pas envie que la soirée commence à la police. Tiens, voici quelques photos souvenir. »

Florence montre à Aline des photos prises avec son smartphone. « Là il est à genoux dans sa tenue de bonniche. »

« Mais il fait carrément une pipe ! »

« Je te l’avais bien dit ! Mes amants me complimentent souvent sur son dressage et son savoir-faire. Et là, cet amant lui met dans le cul. J’ai filmé cette enculade, regarde et écoute. »

Madame sort des écouteurs et montre la scène à son amie.

« Il couine bien, on dirait qu’il aime ça. Pourtant les claques sur le cul m’ont l’air puissantes. »

« Une vraie fiotte je te dis ! En fait il n’aime pas mais je lui ordonne de simuler. Et maintenant, celle-ci où il nettoie le sol à quatre pattes. Et pour finir, Blanchette en string à la plage ! » Aline se tord de rire.

Pendant ce temps je me prépare. C’est bientôt l’heure. Je sais ce que signifie une tenue légère : short en jean, très échancré sur les fesses (presque un string), tee-shirt, petites chaussures de tennis sans chaussettes. Et pourtant nous sommes en octobre, il fait frais. A peine sorti de la maison, je suis déjà transi.

J’accueille bientôt Madame et son amie Aline à la gare. « Enchanté Madame Aline, bonsoir Madame Florence ». Comme toujours, j’affiche ma soumission en gardant le regard baissé. « Puis-je me charger des valises de Madame ? Par ici, je vous prie. »

Je porte les valises de Madame Aline et les nouvelles chaussures de Madame. Madame Aline en profite pour me mettre vivement la main aux fesses. Je me laisse faire. J‘ouvre la porte de la voiture pour ces dames, en me penchant un peu pour faciliter le pelotage.

Aline en profite : prenant tout son temps, elle descend vers mes couilles qu’elle soupèse, puis revient au cul, glissant un doigt dans le short, jusqu’à titiller ma « chatte anale de blanc » comme dit Madame. Puis elle retire sa main et présente son majeur devant mes lèvres. « Nettoie mon doigt esclave, » me dit-elle. J’ouvre la bouche, elle y enfonce le doigt que je lèche soigneusement. « Je sens que je vais bien m’amuser ce soir » me dit Aline, qui ponctue mon humiliation par une claque sonore sur le cul.

Lorsque ces dames ont pris place, je dépose les bagages et les chaussures dans le coffre, puis nous conduis à la maison sans interrompre leur conversation.

Sitôt arrivé, je me dépêche d’ouvrir les portes de la voiture et de la maison. « Bienvenue Madame Aline. Ces dames me permettent-elles de les débarrasser ? »

Après avoir rangé les manteaux, je porte les bagages dans la chambre d’amis, range les nouvelles chaussures, passe ma tenue de service et reviens prestement au salon où mon épouse et son amie devisent joyeusement.

« Madame veut-elle un rafraîchissement ? »

« Alors il n’est pas beau comme ça mon esclave blanc ? »

Aline rit de bon cœur et s’exclame « C’est génial ! »

« Le chien, viens plus près pour que mon amie voie mieux. Mains sur la tête, tourne sur place.
Tu vois les marques sur le cul, c’est la chicotte. »

« Je peux toucher ? »

« Oui bien sûr. »

Aline me palpe les fesses, les pinçant vigoureusement. Elle les écarte sans plus de douceur, en lisant le tatouage situé au-dessus de mon cul : « Blanchette, chien blanc soumis à la race noire supérieure » et ceux situés entre mes fesses, à gauche et à droite : il s’agit de deux flèches pointant vers mon anus, à gauche il est écrit « cul ouvert », à droite « accès libre ». Elle avait déjà eu un aperçu à la gare, grâce à mon short si échancré.

« Oui, ça c’est pour qu’on soit tout de suite au courant. Il fallait voir sa tête quand je l’ai fait se mettre en string à la plage. La cage de chasteté, les tatouages et les marques sur les fesses, ça en disait long sur notre relation. Tu vois aussi qu’il est épilé intégralement. Pas seulement le cul, mais aussi les aisselles, le pubis, les jambes, tout sauf la tête. Retourne-toi pour montrer la cage. »

Je me retourne et Madame Florence soulève le tablier.

« Waw, c’est ça la cage de chasteté alors. Ses couilles ont l’air bien prisonnières entre ces anneaux. » En disant cela, Aline me soupèse les bourses. Elle ne peut manquer mon tatouage au pubis : « Esclave Blanchette, propriété de Florence L. Cette lopette lèche, suce et prend dans le cul »

« Oui, comme ça le petit oiseau est bien captif. Et ça n’empêche pas de lui taper dans les couilles quand on veut, c’est même plus facile. Vas-y, si ça te tente. Il n’aime pas ça, mais un esclave doit pouvoir souffrir pour amuser sa maîtresse. »

Aline me tapote doucement les couilles.

« Tu peux y aller franchement, il n’est pas en sucre ! »

J’ai alors droit à une bonne gifle dans les bourses, puis une autre.

« C’est mieux. Moi j’aime bien gifler aussi. Tu voudrais ? »

Aline opine et je tends la joue. Elle m’inflige quelques gifles bien senties, en riant.

« J’aimerais bien avoir un esclave comme ça, moi aussi. »

« Oh c’est assez simple, place un profil sur un site spécialisé et tu auras des candidats. Après ça, tu imposes des épreuves pour trier et tu dictes tes conditions. Un conseil, sois inflexible. C’est ça qu’ils veulent, et ceux qui ne veulent pas ça ne sont pas de vrais esclaves. Cage de chasteté, mariage, tatouage d’appartenance, corvées, sodomies filmées, contrôle financier… avec ça tu auras des garanties. »

« J’aimerais bien essayer un peu ce genre de jeu, pour voir. Tu me le prêterais cette nuit ? »

« Bien sûr, tu es mon invitée ! Il garde sa cage de chasteté, mais à part ça tu peux jouer avec lui tant que tu veux. Il doit satisfaire tous tes désirs et tu peux tout te permettre selon tes envies, tant que tu ne l’abîmes pas. J’ai même prévu quelques jouets pour mes invités. En attendant si tu as fini de tâter la marchandise, nous allons commander l’apéro. »

La soirée ne fait que commencer.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Vous faites l’apologie de l’homme blanc esclave à 1 black comme si elle avait quelque chose à prouver.
Avec vos conneries vous faites 1 pub d’enfer de merde pour les anti blanc.



Texte coquin : Ce soir ma maîtresse reçoit une amie
Histoire sexe : Une rose rouge
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