Mes débuts en soumission

Récit érotique écrit par Docile époux [→ Accès à sa fiche auteur]
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Mes débuts en soumission
Comment suis-je devenu un larbin pour dames ?
Ma formation a commencé dans ma jeunesse.
J’étais encore un enfant lorsque ma mère et ma grand-mère, deux femmes d’une grande bonté mais autoritaires, ont décidé qu’après le départ de notre père, comme Maman devait reprendre un travail, nous les enfants devions nous charger du ménage. En tant qu’aîné l’essentiel de cette charge reposait sur moi. J’ai donc appris comment effectuer les travaux ménagers : vaisselle, lessive, repassage, nettoyage des sols, cuisine – mais pas la couture. L’exécution de ces corvées traditionnellement dévolues aux femmes (je vous parle d’un temps…) ne m’épargnait pas les travaux considérés comme plus masculins, comme le jardinage et le bricolage, enseignés par mon grand-père.
Mes deux sœurs étaient largement épargnées, même à l’adolescence. Maman ne leur imposait guère de corvées puisqu’elle pouvait compter sur moi.
A l’âge de 18 ans, je décroche un job d’été dans un bar du sud de la France. Je manque d’expérience mais pense naïvement que ça ne pose aucun problème. La patronne est Mireille, une quadragénaire un peu dodue. Elle parle fort, visiblement habituée à commander. Mon plan foireux pour un logement ayant échoué, Mireille me propose gentiment un hébergement temporaire dans sa maison. Je fais aussi la connaissance de Julie, sa fille, une jolie brune de mon âge, ma collègue au bar. Après la fermeture, je m’installe donc dans la chambre d’amis, puis Mireille m’invite à partager leur repas. Au cours du dîner, je ne peux m’empêcher de regarder Julie à la dérobée. Elle porte une tenue décontractée, légère : short et débardeur sans soutien-gorge. Elle remarque mon manège, elle joue à m’exciter. Je pense à tort que Mireille ne s’en aperçoit pas.
Il se fait tard et Mireille nous envoie tous au lit. Dans ma chambre, je pense au joli corps de Julie et je bande. Je commence à me caresser sur mon lit, lorsque la porte s’ouvre et Mirelle déboule près de moi, allumant la lumière au passage.
« Oh je t’y prends mon cochon ! Pas de ça chez moi ! »
Elle m’attrape par les cheveux et m’entraîne au salon. Sidéré, je la suis sans réagir. Je suis nu et Julie me détaille en arborant un sourire narquois.
« Tu avais raison Maman ! Il se tripotait. »
« Mais bien sûr que j’avais raison, je les connais moi ces gamins ! »
Puis elle me relève la tête, toujours en me tirant par les cheveux.
«Je vais te faire regretter tes cochonneries mon garçon. Tu te branlais, je vais t’en mettre une de branlée, si fort que demain tu seras content de travailler debout ! Viens sur mes genoux.»
Je m’aperçois que Mireille a préparé une espèce de trique en bois. Cela me fait peur mais je n’ose désobéir et me courbe sur ses cuisses. Je reçois une fessée mémorable, perds rapidement le compte des coups assénés, au moins une trentaine. Je pleure, supplie, sans que les coups faiblissent. Mirelle pose la trique et me caresse les fesses.
« Voilà un petit cul bien rouge, c’est comme ça que je les aime. Alors, pense-tu que cette leçon suffira à te calmer ? »
« Oui Madame, ça suffira, je vous demande pardon, j’ai compris. »
« Mais non, tu n’as pas compris ! Tu mérites d’être puni par Julie aussi. Pour ta peine, je te donne un supplément. »
La fessée reprend, une douzaine de coups supplémentaires.
Ensuite, elle me pelote à nouveau les fesses, puis les couilles. A mon étonnement je bande à nouveau. « Dis-moi mon garçon, tu es puceau ? »
« Oui je suis vierge. »
« Ma fille aussi et pour le moment, elle le restera. Mais ça ne doit pas l’empêcher de s’amuser avec toi. Elle va te donner sa part. Donnes-lui la trique et prends place sur ses genoux. »
Tout penaud, je me relève et prends la trique, puis la tends à Julie avant de prendre place sur ses cuisses. Julie me nargue. D’abord ses doigts pianotent sur mes fesses, puis elle me les tapote à la main pour commencer, après quoi elle m’assène une rapide série de coups de trique, qui me coupe le souffle. Je crois que c’est terminé, mais Julie me maintient en position et m’envoie encore cinq coups plus espacés, plus appuyés aussi. Elle termine en me tapotant les fesses à la main, puis en me saisissant les bourses.
« On peut dire que maintenant je te tiens par les couilles ! A partir de maintenant tu vas filer doux, sinon tu vas bien dérouiller ! »
« Oui Mademoiselle. »
Mireille m’ordonne ensuite de retourner me coucher. « Dors sur le ventre et laisse ta porte ouverte. »
Mes fesses cuisantes ne me permettent pas de dormir tout de suite, je ne supporte pas d’y poser un drap ou un vêtement et prends le parti de dormir nu, fesses à l’air.
J’entends pouffer de rire lorsque ces dames viennent se coucher.
Le lendemain matin, très tôt, je suis réveillé par le contact des mains de Mireille. Des mains qui me caressent, puis me pétrissent le cul ! Mireille accompagne ce pelotage en règle de commentaires salaces : « Alors mon cochon, on montre son cul ? Oh mais je l’aime bien, ton petit cul ! Il est à moi maintenant. Tu es à moi ! Dis-le que tu es à moi, petit vicelard ! » Comme je n’obéis pas tout de suite, Mireille me saisit fermement les couilles. « Dis-le ! »
« Oui je suis à vous Madame. »
« Et ton cul aussi m’appartient, dis-le ! »
« Oui, mon cul vous appartient, Madame. »
« Je veux t’entendre dire que tu es mon esclave à partir de maintenant, que je pourrai faire ce que je veux de toi et de ton petit cul. » En disant cela, elle me serre les bourses.
« Oui, je suis votre esclave Madame, vous ferez tout ce que vous voudrez de moi et de mon cul, je vous obéirai. »
« Je vais fermer la porte et commencer ton initiation. En premier lieu, un bon esclave doit savoir lécher sa maîtresse et lui donner du plaisir. »
Mireille ferme la porte, elle relève sa chemise de nuit, sans rien dessous, puis s’assied sur le bord du lit. Elle m’indique le sol « Agenouilles-toi là et viens me lécher le minou. Je te guide. »
Je commence à lui prodiguer cette caresse, mais je manque d’expérience. Heureusement, Mireille m’indique comment faire et je finis par me débrouiller, du moins je l’espère. Malgré ma position difficile, à genoux sur le carrelage, je suis très excité par la situation, ce dont elle se rend compte.
« Mais c’est que tu bandes mon salaud ! Couches-toi sur le dos, je vais te baiser. »
Bien vite, Mireille me chevauche avec enthousiasme, je vois que ça lui plaît. A la fin, elle mouille un doigt et me l’enfonce dans l’anus, ce qui me fait jouir aussitôt. Mireille rit et me tapote la joue.
« Avec moi, quand on fait des saletés, on nettoie, » dit-elle en plaçant son pubis sur ma bouche. « Lèches et avales tout. Va bien laper ton jus à l’intérieur, comme un bon chien ! »
J’obéis du mieux que je peux. J’ai du mal à respirer mais je m’active. Mireille se relève.
« Pas trop mal pour un puceau. On va bientôt voir ce que tu vaux comme esclave. Pour commencer, tu te lèves et tu vas à la cuisine préparer le petit-déjeuner. Pas la peine de te rhabiller. »
Comme je me levais, Mireille m’a envoyé une grande claque au cul en me disant « Quand je te donne un ordre, tu t’inclines et tu dis oui Madame, bien Madame, je le fais tout de suite Madame, ou bien à votre service Madame ! ».
Je me suis donc incliné pour lui dire « à votre service Madame » et suis allé dans la cuisine. Julie était déjà là. Elle m’accueillait d’un sourire triomphant, presque carnassier.
« Bonjour Mademoiselle. Pourriez-vous me dire ce qu’il faut préparer pour le petit-déjeuner ? »
« Débrouille-toi, mais c’est simple : il faut faire du café, sortir le beurre et le pain, ainsi que la confiture. Et n’essaye pas de cacher tes couilles, je les ai déjà vues et même prises en mains si tu te souviens. Fais comme si tu étais habillé. »
« Oui Mademoiselle. »
Je me mets au travail. Julie ne cesse de me taquiner, me pince les fesses, les tétons. Mireille nous rejoint et s’installe. Je n’ai droit qu’à du pain et de l’eau, que je dois consommer à genoux aux pieds de ces dames. Finalement, je peux me débarbouiller et enfiler mes vêtements, il est temps de partir au travail. Mireille m’a toutefois interdit le port du slip.
La journée est longue et éprouvante. Ces dames me donnent des ordres, me font recommencer ce qui ne les satisfait pas vraiment, me houspillent à la moindre erreur et n’hésitent pas à me claquer les fesses devant la clientèle, voire m’adresser des remarques salaces : « c’est bien de tortiller ton petit cul, mais bouge-le que je passe, » « toi ce soir, c’est deux doigts que je te mettrai, » « tu mérites une bonne fessée mais j’ai pas le temps tout de suite, faut réserver ». A chacune de ces invectives, je m’incline en répondant « oui Madame » et obtempère.
Dans l’après-midi, je surprends une conversation téléphonique de Mirelle. « Solange, c’est Mireille. J’ai un arrivage. Chair fraîche et tendre, c’est du jeune veau, tu vas te régaler. J’ai déjà attendri la viande hier soir. Idéal pour une cuisson au bambou, je sais que tu aimes ça. » J’entends un rire. « Viens ce soir, on va se marrer. Vers vingt heures, ok. » Pendant toute la conversation, Mireille n’a pas baissé la voix et je suis certain qu’elle me détaillait du regard. Une cliente demande à Mirelle : « Soirée spéciale alors ? » et celle-ci opine. Cette dame me lance alors un regard lubrique en souriant. « Je ne voudrais pas rater ça ! »
Je n’ai pas une minute de répit et remarque les sourires goguenards des clients et clientes. J’ai l’impression que le bar est connu pour cette ambiance. Je perçois des regards grivois, soutenus sur mon anatomie. Certaines clientes renchérissent : « pas mal le petit jeune » et plus tard, une cliente demande « dis-moi Julie, il est comment son cul ? » à quoi Julie répond « depuis hier, rouge ! », provoquant l’hilarité de ces dames.
Durant la soirée, je m’aperçois que Mireille parle à Solange, cliente habituelle, une dame de son âge, blonde, vêtue d’un ensemble chic. Les deux complices me lancent des regards vifs et gourmands. Je me demande ce qui m’attend. La conversation de tout à l’heure stimule mon imagination et je commence à bander dans mon jean. Il faut croire que ça m’excite d’être le jouet de dames au fort caractère. Et ce matin malgré tout, j’ai vraiment pris du plaisir.
Je suis vite fixé. Solange commande un cognac et lorsque je la sers, elle prétend qu’elle a commandé un calvados. Je lui fais remarquer son erreur, mais elle me réprimande : « Je sais bien ce que j’ai commandé, gamin ! Sers-moi mon calva ! » Je veux prendre Julie à témoin, mais celle-ci confirme que « Non, Solange boit du calva avec son café. »
A ce moment, Mireille m’assène « Et alors, on dérange ma meilleure clientèle ? Tiens Solange, prends déjà le cognac, cadeau de la maison, ce sera retenu sur la paie de ce petit con. Et maintenant, il va te servir ton calva et s’excuser. »
« Excusez-moi Madame, j’avais cru que vous commandiez un cognac. »
Madame Solange me toise depuis son tabouret de bar. « Et tu crois t’en tirer comme ça ? il faut que tu apprennes le respect mon garçon ! Tout à l’heure, j’ai entendu Mireille dire que tu méritais une fessée mais qu’elle n’avait pas le temps. Maintenant c’est plus calme ici, je dirais que c’est le moment idéal. »
Plusieurs clientes se mettent à scander « Une fessée ! Une fessée ! »
Je ne sais pas quoi faire, je rougis, je bafouille des excuses.
Je vois Julie fermer la porte et tirer un rideau, tandis que sa mère me traîne dans la salle par l’oreille.
Solange me saisit l’autre oreille. « Désape-toi. »
Je n’ose pas protester, désobéir. Je me dénude sous le regard narquois de l’assistance. Mireille me fait mettre les mains sur la tête et tourner sur moi-même, guidé à coups de claques. Elle chante « ainsi font, font, font, les petites marionnettes… » Tout le monde rit, sauf moi.
Solange s’est installée sur une chaise. Elle ôte un escarpin et m’indique ses cuisses. J’y prends place. « Ecarte les cuisses, les clientes aiment bien voir des petites couilles, » me dit Mireille. Une cliente me tient les mains, deux autres les pieds, maintenus bien écartés. Une volée de coups s’abat sur mes fesses. Elle me donne du plat de la semelle, mais aussi du talon ! Pour finir, je reçois deux coups dans les couilles qui me coupent le souffle. J’ai aperçu Julie prenant des photos. On me relâche et je m’écroule.
« Maintenant, c’est comme ce matin au petit-déjeuner, tu sers à poils. Chères clientes, ce petit cul est à vous, profitez-en ! » Cette annonce est saluée par une tempête de rires et d’exclamations. Je suis alors contraint de continuer mon service entièrement nu. Bien entendu, je dois servir à table et ces dames ne manquent pas de me peloter et se moquer de moi.
Peu avant la fermeture, Mireille annonce : « Et maintenant chères clientes, la cerise sur le gâteau : ce petit cul va goûter au bambou. Viens ici toi. Mains sur le comptoir, jambes écartées et cambre bien le cul. » Mireille tient en main une fine canne de bambou. Je crains la suite mais j’obéis, tremblant comme une feuille. « Tu vas subir une cannée. C’est plus douloureux que la trique et les coups de chaussure. Chaque dame ici présente pourra te flanquer 10 coups si elle veut. Toi tu peux geindre, supplier et pleurer, mais tu dois rester en position et bien offrir ton cul, sinon la volée peut reprendre au début. Après chaque volée, tu remercies. C’est bien compris ? » « Oui Madame, j’ai compris. » « Solange, tu veux commencer ? »
J’entends un bruit de talons dans mon dos. A côté, le bruit d’un appareil photo, sans doute Julie qui continue son reportage. Solange commence par promener le bout de la canne sur mon dos, mes épaules, elle me la passe devant les yeux, redescend lentement jusqu’à mes fesses. « Ne sois pas si crispé, esclave. Détends les fesses ou ce sera pire. » J’entends qu’elle s’éloigne un peu et un sifflement lorsqu’elle donne quelques coups dans le vide, puis elle revient vers moi. Elle s’approche et me susurre dans l’oreille « C’est un plaisir de faire ta connaissance. Lâche prise, abandonne-toi. Mais n’oublie pas de cambrer ce petit cul. »
Un pas en arrière, Solange marque un bref temps d’arrêt, puis à nouveau ce sifflement, mais cette fois je ressens la morsure du bambou et ne peux retenir un petit cri. « Il faut laisser un temps d’arrêt pour que la victime craigne le coup suivant, l’anticipe et le sente bien, et aussi pour corriger la position de la cible, » dit Solange qui m’administre ainsi les dix coups, en laissant chaque fois deux ou trois secondes d’intervalle. Elle vient ensuite me caresser les fesses, puis présente sa main devant mes lèvres. « Remercies-moi et embrasse la main qui t’éduque. » « Merci Madame Solange pour la leçon, je ne l’oublierai pas, » dis-je avant de déposer un bisou sur sa main gantée. « A qui le tour ? »
Une dame s’approche, mais celle-ci ne s’embarrasse pas de préliminaires et m’inflige une volée à un rythme soutenu. Cette fois-là, je m’écroule sur le bar en sanglotant. La dame décrète que sur la fin, j’ai tenté d’esquiver les coups et que je n’ai pas remercié. Mireille l’autorise à recommencer, malgré mes supplications. Je souffre le martyre mais je veille à rester cambré et je remercie à la fin. Une autre dame prend le relais, en espaçant les coups comme Solange.
Enfin, Mireille termine le tour. Elle frappe avec l’extrémité du bambou, d’abord cinq coups sur la fesse gauche, les cinq derniers sur la droite. Julie est à présent passée derrière le bar pour tirer mon portrait pendant la fessée. Elle me tapote la joue. « Eh bien, ne fais pas cette tête ! Je t’ai saisi juste quand le coup tombait, ça fera un beau souvenir de toi. »
Le bar ferme. Mon jean me torture durant la courte marche jusqu’à la maison. Je suis soulagé d’entendre l’ordre de Mireille : « A poils ! » et y obéis avec enthousiasme. Je dois réchauffer le repas, puis servir ces dames, manger à terre comme ce matin. Alors que ces dames vont se coucher, un dernier ordre claque : « Fais la vaisselle, puis mets ton réveil à 6 heures. Demain c’est mardi, le bar est fermé. Nous on fera la grasse mat’ mais tu iras faire le ménage chez Solange. Son adresse est sur ce papier, je t’ai fait un dessin pour que tu comprennes. Tu y seras à 7 heures et demie, avant qu’elle parte au boulot. Ne fais pas de bruit. » « Oui Madame. » Je lave donc la vaisselle tout doucement, en silence, puis vais me coucher sur la pointe des pieds.
Le lendemain matin, je me dépêche de me préparer, toujours en silence, puis je me rends chez Solange. Elle m’accueille, déjà prête à partir.
« Tu te fous à poils. Tu trouveras un tablier dans la cuisine. La liste de tes tâches se trouve sur la table. Ne traîne pas mais je veux un résultat impeccable. Dès que tu auras fini, je veux que tu te prosternes dans le hall d’entrée. Je rentrerai ce midi. »
« Je m’y mets tout de suite, Madame. »
Je me déshabille, enfile le petit tablier de dentelle et constate que la liste de corvées est importante : laver la vaisselle, puis toute la maison (plumeau, sols, vitres), plus du repassage et le rangement du linge. Je ne perds donc pas de temps. Lors du nettoyage des vitres, je me demande si un voisin pourrait me voir dans cette tenue si légère. Mais craignant de décevoir Solange, je ne m’en préoccupe plus et je fais vite pour limiter les risques d’être vu.
Il est un peu plus de midi lorsque j’ai terminé et m’agenouille dans le hall. Je me prosterne et attends de longues minutes. Enfin j’entends la clé dans la serrure, la porte qui s’ouvre, un bruit de pas. La pointe d’une chaussure est sous mes yeux.
« Lèche. »
Je nettoie cet escarpin à grands coups de langue, puis l’autre qui m’est aussi présenté.
« Ne bouge pas. »
Solange vient se placer derrière moi.
« Il est bien marqué ton cul, on ne t’a pas raté hier soir. Ecarte les genoux, esclave, offre-moi tes couilles. »
J’obéis, elle m’expédie aussitôt un coup de pied dans les couilles, en riant.
« Relève-toi. Tu sais cuisiner au moins ? »
« Oui Madame. »
« Très bien, alors tu vas préparer mon repas. »
Solange se contente d’une salade accompagnée d’un verre de vin.
« Je repars au boulot. Tu fais la vaisselle, puis tu retournes chez Mireille. »
Dans l’après-midi, des corvées m’attendent chez Mireille. A la différence de Solange, ces dames prennent un malin plaisir à m’humilier et contraindre pendant mon travail : je passe la serpillière à quatre pattes, cire les chaussures à genoux et subis mille brimades.
Le soir, on sonne à la porte. Mireille m’ordonne d’aller ouvrir alors que je suis toujours nu. Sans surprise, c’est Solange.
« Bonsoir lopette. Ton cul passe à la casserole ce soir. J’ai apporté ce qu’il faut. »
Elle reste plantée dans l’entrée, semble attendre quelque chose. Puis son index impérieux m’indique le sol. Je comprends et me prosterne comme ce midi, lèche ses bottes et la laisse me contourner pour me donner un coup de pied dans les couilles.
La soirée est dans la continuité de la journée. Je sers l’apéro, prépare le repas, sers à table et me charge de la vaisselle.
Mireille demande à Solange « Tu m’en donnes combien de ce petit cul vierge ? »
« Oh, j’ai entendu dire que tu lui as déjà mis un doigt. Alors ça vaut moins cher. En plus il n’a pas l’air très résistant. Disons cinquante francs. »
« Tope-là ! »
Un billet change de mains. Solange m’ordonne de m’accroupir, me saisit les cheveux et se dirige vers la chambre d’amis en me maintenant en position basse. Elle me conduit sur le lit, où je dois prendre place à quatre pattes. « D’abord un petit échauffement. Je crois que tu n’as pas encore été battu aujourd’hui. On va arranger ça. » Elle a ôté sa fine ceinture de cuir et m’assène une série de coups. Comme avec le bambou, elle prend son temps entre deux coups, ne vise pas toujours au même endroit. Je reçois des cinglons sur les fesses bien entendu, mais aussi les cuisses, les pieds, le dos et aussi deux dans les couilles.
J’entends que Solange se déshabille et manipule des objets. « Après l’extérieur, je m’occupe de ton petit intérieur. Garde la position, bien cambré, écarte les fesses. » Elle se place derrière moi, je sens un objet froid et gras contre mon petit trou, ses mains m’agrippent les fesses. « Quand je commence, respire un grand coup. » Elle donne un coup de reins et je respire très fort comme elle m’a dit. La chose est énorme, j’ai l’impression que mes intestins vont éclater. Je crie, mais Solange me tient bien et cette chose est déjà en moi. Elle commence alors des va et vient qui me déchirent, en me claquant les fesses. « Tu aimes ça hein, petite lopette ? Ca te plaît de te faire mettre ? Réponds-moi ! Dis-moi que ça te plaît, que tu es ma chienne, ma lopette. »
Je n’ose pas la contredire. « Oui j’aime ça Madame. Je suis votre chienne et votre lopette. »
Elle continue ses mouvements.
« Bonne lope. Tu en auras encore. L’avantage du gode-ceinture…Han ! C’est qu’on ne débande jamais et qu’on peut continuer longtemps. Han ! Mais on peut aussi le laisser en place et se faire lécher la chatte. C’est justement ce que je vais faire bientôt. »
Après quelques minutes, Solange détache le gode qu’elle laisse planté dans mon fondement et vient placer son sexe sous ma bouche. « Tu sais ce qu’il te reste à faire. T’as intérêt à me faire jouir. »
Je m’applique à lécher Solange, qui s’excite encore plus avec un autre gode. Elle finit par jouir bruyamment. « Ah ça fait du bien de se taper une lopette toute neuve ! Reste là, lèche encore un peu. » Quelques instants plus tard, elle me repousse du pied et m’ordonne d’aller laver les godes. Je m’exécute et reviens vers elle. Je me place de manière à pouvoir continuer, mais elle m’adresse un regard hautain en se rhabillant.
« Non, on ne me baise pas, c’est moi qui baise les mecs. Ta bite, tu peux te la mettre sous le bras ce soir. Mais comme je n’aime pas qu’on me colle, je vais te coller quelque chose. Baisse-toi, mains dans le dos. Là, ne bouge pas. » Elle me colle des gifles, d’abord sur les joues, puis dans les couilles.
« Allez ciao lopette, on se revoit bientôt j’en ai pas fini avec toi. »
Le mois s’est poursuivi ainsi : au travail brimades, humiliations et quelques soirées spéciales, à la maison corvées chez Mireille et Solange, et puis jouer le sex toy de ces dames le soir.
A la fin de mon séjour, Mirelle m’a fait agenouille à ses côtés et a composé un numéro de téléphone. « Allô Pierrette. Comment ça va la petite bande ? Je me demandais si vous avez un bon larbin en ce moment. » Je n’entends pas la réponse. « Ah oui, quand un chien commence à revendiquer, il faut le virer. Justement, je t’appelle parce que j’ai formé un jeune chiot cet été. Attention, formation complète : corvées à poils, bambou, sodomie, humiliations, etc. Comme il va étudier par chez vous, j’ai pensé à le recommander. Je suis trop charitable, à chaque chien je trouve sa niche et sa laisse. Sinon, il faudrait que je l’abandonne, attaché au bord d’une route, tu vois. En ce moment, il est à genoux à côté de moi. Il sait qu’il doit la fermer. Je vais lui donner ton adresse, tu n’auras qu’à l’essayer. Je t’envoie tout à l’heure une lettre avec son nom, son adresse et des photos de lui… intéressantes. Oui, comme ça tu pourras le faire chanter. Il y aura aussi son chèque, tu prendras ça pour ses loyers et s’il ne vous plaît pas, gardez l’argent pour le dérangement. Mais je t’en prie, c’est toujours un plaisir de te rendre un petit service. Tu me raconteras comment ça se passe. »
Mireille raccroche et m’indique son pied pour que je me prosterne et l’embrasse.
« Tu vois, ta bonne patronne t’a déjà trouvé un logement. C’est une communauté de femmes autoritaires, comme Solange et moi. Elles sont cinq je crois, Pierrette est un peu la patronne, mais toutes seront au-dessus de toi. Crois-moi, tu ne vas pas t’ennuyer. En plus, ton loyer sera déjà payé, comme ça tu ne claqueras pas ta paye en conneries. Elle est pas belle la vie ? On dit merci qui ? »
« Merci Madame Mireille de vous occuper de moi. »
« Bon, retourne au boulot maintenant. Je te laisse, je dois aller à la poste. »
Ma formation a commencé dans ma jeunesse.
J’étais encore un enfant lorsque ma mère et ma grand-mère, deux femmes d’une grande bonté mais autoritaires, ont décidé qu’après le départ de notre père, comme Maman devait reprendre un travail, nous les enfants devions nous charger du ménage. En tant qu’aîné l’essentiel de cette charge reposait sur moi. J’ai donc appris comment effectuer les travaux ménagers : vaisselle, lessive, repassage, nettoyage des sols, cuisine – mais pas la couture. L’exécution de ces corvées traditionnellement dévolues aux femmes (je vous parle d’un temps…) ne m’épargnait pas les travaux considérés comme plus masculins, comme le jardinage et le bricolage, enseignés par mon grand-père.
Mes deux sœurs étaient largement épargnées, même à l’adolescence. Maman ne leur imposait guère de corvées puisqu’elle pouvait compter sur moi.
A l’âge de 18 ans, je décroche un job d’été dans un bar du sud de la France. Je manque d’expérience mais pense naïvement que ça ne pose aucun problème. La patronne est Mireille, une quadragénaire un peu dodue. Elle parle fort, visiblement habituée à commander. Mon plan foireux pour un logement ayant échoué, Mireille me propose gentiment un hébergement temporaire dans sa maison. Je fais aussi la connaissance de Julie, sa fille, une jolie brune de mon âge, ma collègue au bar. Après la fermeture, je m’installe donc dans la chambre d’amis, puis Mireille m’invite à partager leur repas. Au cours du dîner, je ne peux m’empêcher de regarder Julie à la dérobée. Elle porte une tenue décontractée, légère : short et débardeur sans soutien-gorge. Elle remarque mon manège, elle joue à m’exciter. Je pense à tort que Mireille ne s’en aperçoit pas.
Il se fait tard et Mireille nous envoie tous au lit. Dans ma chambre, je pense au joli corps de Julie et je bande. Je commence à me caresser sur mon lit, lorsque la porte s’ouvre et Mirelle déboule près de moi, allumant la lumière au passage.
« Oh je t’y prends mon cochon ! Pas de ça chez moi ! »
Elle m’attrape par les cheveux et m’entraîne au salon. Sidéré, je la suis sans réagir. Je suis nu et Julie me détaille en arborant un sourire narquois.
« Tu avais raison Maman ! Il se tripotait. »
« Mais bien sûr que j’avais raison, je les connais moi ces gamins ! »
Puis elle me relève la tête, toujours en me tirant par les cheveux.
«Je vais te faire regretter tes cochonneries mon garçon. Tu te branlais, je vais t’en mettre une de branlée, si fort que demain tu seras content de travailler debout ! Viens sur mes genoux.»
Je m’aperçois que Mireille a préparé une espèce de trique en bois. Cela me fait peur mais je n’ose désobéir et me courbe sur ses cuisses. Je reçois une fessée mémorable, perds rapidement le compte des coups assénés, au moins une trentaine. Je pleure, supplie, sans que les coups faiblissent. Mirelle pose la trique et me caresse les fesses.
« Voilà un petit cul bien rouge, c’est comme ça que je les aime. Alors, pense-tu que cette leçon suffira à te calmer ? »
« Oui Madame, ça suffira, je vous demande pardon, j’ai compris. »
« Mais non, tu n’as pas compris ! Tu mérites d’être puni par Julie aussi. Pour ta peine, je te donne un supplément. »
La fessée reprend, une douzaine de coups supplémentaires.
Ensuite, elle me pelote à nouveau les fesses, puis les couilles. A mon étonnement je bande à nouveau. « Dis-moi mon garçon, tu es puceau ? »
« Oui je suis vierge. »
« Ma fille aussi et pour le moment, elle le restera. Mais ça ne doit pas l’empêcher de s’amuser avec toi. Elle va te donner sa part. Donnes-lui la trique et prends place sur ses genoux. »
Tout penaud, je me relève et prends la trique, puis la tends à Julie avant de prendre place sur ses cuisses. Julie me nargue. D’abord ses doigts pianotent sur mes fesses, puis elle me les tapote à la main pour commencer, après quoi elle m’assène une rapide série de coups de trique, qui me coupe le souffle. Je crois que c’est terminé, mais Julie me maintient en position et m’envoie encore cinq coups plus espacés, plus appuyés aussi. Elle termine en me tapotant les fesses à la main, puis en me saisissant les bourses.
« On peut dire que maintenant je te tiens par les couilles ! A partir de maintenant tu vas filer doux, sinon tu vas bien dérouiller ! »
« Oui Mademoiselle. »
Mireille m’ordonne ensuite de retourner me coucher. « Dors sur le ventre et laisse ta porte ouverte. »
Mes fesses cuisantes ne me permettent pas de dormir tout de suite, je ne supporte pas d’y poser un drap ou un vêtement et prends le parti de dormir nu, fesses à l’air.
J’entends pouffer de rire lorsque ces dames viennent se coucher.
Le lendemain matin, très tôt, je suis réveillé par le contact des mains de Mireille. Des mains qui me caressent, puis me pétrissent le cul ! Mireille accompagne ce pelotage en règle de commentaires salaces : « Alors mon cochon, on montre son cul ? Oh mais je l’aime bien, ton petit cul ! Il est à moi maintenant. Tu es à moi ! Dis-le que tu es à moi, petit vicelard ! » Comme je n’obéis pas tout de suite, Mireille me saisit fermement les couilles. « Dis-le ! »
« Oui je suis à vous Madame. »
« Et ton cul aussi m’appartient, dis-le ! »
« Oui, mon cul vous appartient, Madame. »
« Je veux t’entendre dire que tu es mon esclave à partir de maintenant, que je pourrai faire ce que je veux de toi et de ton petit cul. » En disant cela, elle me serre les bourses.
« Oui, je suis votre esclave Madame, vous ferez tout ce que vous voudrez de moi et de mon cul, je vous obéirai. »
« Je vais fermer la porte et commencer ton initiation. En premier lieu, un bon esclave doit savoir lécher sa maîtresse et lui donner du plaisir. »
Mireille ferme la porte, elle relève sa chemise de nuit, sans rien dessous, puis s’assied sur le bord du lit. Elle m’indique le sol « Agenouilles-toi là et viens me lécher le minou. Je te guide. »
Je commence à lui prodiguer cette caresse, mais je manque d’expérience. Heureusement, Mireille m’indique comment faire et je finis par me débrouiller, du moins je l’espère. Malgré ma position difficile, à genoux sur le carrelage, je suis très excité par la situation, ce dont elle se rend compte.
« Mais c’est que tu bandes mon salaud ! Couches-toi sur le dos, je vais te baiser. »
Bien vite, Mireille me chevauche avec enthousiasme, je vois que ça lui plaît. A la fin, elle mouille un doigt et me l’enfonce dans l’anus, ce qui me fait jouir aussitôt. Mireille rit et me tapote la joue.
« Avec moi, quand on fait des saletés, on nettoie, » dit-elle en plaçant son pubis sur ma bouche. « Lèches et avales tout. Va bien laper ton jus à l’intérieur, comme un bon chien ! »
J’obéis du mieux que je peux. J’ai du mal à respirer mais je m’active. Mireille se relève.
« Pas trop mal pour un puceau. On va bientôt voir ce que tu vaux comme esclave. Pour commencer, tu te lèves et tu vas à la cuisine préparer le petit-déjeuner. Pas la peine de te rhabiller. »
Comme je me levais, Mireille m’a envoyé une grande claque au cul en me disant « Quand je te donne un ordre, tu t’inclines et tu dis oui Madame, bien Madame, je le fais tout de suite Madame, ou bien à votre service Madame ! ».
Je me suis donc incliné pour lui dire « à votre service Madame » et suis allé dans la cuisine. Julie était déjà là. Elle m’accueillait d’un sourire triomphant, presque carnassier.
« Bonjour Mademoiselle. Pourriez-vous me dire ce qu’il faut préparer pour le petit-déjeuner ? »
« Débrouille-toi, mais c’est simple : il faut faire du café, sortir le beurre et le pain, ainsi que la confiture. Et n’essaye pas de cacher tes couilles, je les ai déjà vues et même prises en mains si tu te souviens. Fais comme si tu étais habillé. »
« Oui Mademoiselle. »
Je me mets au travail. Julie ne cesse de me taquiner, me pince les fesses, les tétons. Mireille nous rejoint et s’installe. Je n’ai droit qu’à du pain et de l’eau, que je dois consommer à genoux aux pieds de ces dames. Finalement, je peux me débarbouiller et enfiler mes vêtements, il est temps de partir au travail. Mireille m’a toutefois interdit le port du slip.
La journée est longue et éprouvante. Ces dames me donnent des ordres, me font recommencer ce qui ne les satisfait pas vraiment, me houspillent à la moindre erreur et n’hésitent pas à me claquer les fesses devant la clientèle, voire m’adresser des remarques salaces : « c’est bien de tortiller ton petit cul, mais bouge-le que je passe, » « toi ce soir, c’est deux doigts que je te mettrai, » « tu mérites une bonne fessée mais j’ai pas le temps tout de suite, faut réserver ». A chacune de ces invectives, je m’incline en répondant « oui Madame » et obtempère.
Dans l’après-midi, je surprends une conversation téléphonique de Mirelle. « Solange, c’est Mireille. J’ai un arrivage. Chair fraîche et tendre, c’est du jeune veau, tu vas te régaler. J’ai déjà attendri la viande hier soir. Idéal pour une cuisson au bambou, je sais que tu aimes ça. » J’entends un rire. « Viens ce soir, on va se marrer. Vers vingt heures, ok. » Pendant toute la conversation, Mireille n’a pas baissé la voix et je suis certain qu’elle me détaillait du regard. Une cliente demande à Mirelle : « Soirée spéciale alors ? » et celle-ci opine. Cette dame me lance alors un regard lubrique en souriant. « Je ne voudrais pas rater ça ! »
Je n’ai pas une minute de répit et remarque les sourires goguenards des clients et clientes. J’ai l’impression que le bar est connu pour cette ambiance. Je perçois des regards grivois, soutenus sur mon anatomie. Certaines clientes renchérissent : « pas mal le petit jeune » et plus tard, une cliente demande « dis-moi Julie, il est comment son cul ? » à quoi Julie répond « depuis hier, rouge ! », provoquant l’hilarité de ces dames.
Durant la soirée, je m’aperçois que Mireille parle à Solange, cliente habituelle, une dame de son âge, blonde, vêtue d’un ensemble chic. Les deux complices me lancent des regards vifs et gourmands. Je me demande ce qui m’attend. La conversation de tout à l’heure stimule mon imagination et je commence à bander dans mon jean. Il faut croire que ça m’excite d’être le jouet de dames au fort caractère. Et ce matin malgré tout, j’ai vraiment pris du plaisir.
Je suis vite fixé. Solange commande un cognac et lorsque je la sers, elle prétend qu’elle a commandé un calvados. Je lui fais remarquer son erreur, mais elle me réprimande : « Je sais bien ce que j’ai commandé, gamin ! Sers-moi mon calva ! » Je veux prendre Julie à témoin, mais celle-ci confirme que « Non, Solange boit du calva avec son café. »
A ce moment, Mireille m’assène « Et alors, on dérange ma meilleure clientèle ? Tiens Solange, prends déjà le cognac, cadeau de la maison, ce sera retenu sur la paie de ce petit con. Et maintenant, il va te servir ton calva et s’excuser. »
« Excusez-moi Madame, j’avais cru que vous commandiez un cognac. »
Madame Solange me toise depuis son tabouret de bar. « Et tu crois t’en tirer comme ça ? il faut que tu apprennes le respect mon garçon ! Tout à l’heure, j’ai entendu Mireille dire que tu méritais une fessée mais qu’elle n’avait pas le temps. Maintenant c’est plus calme ici, je dirais que c’est le moment idéal. »
Plusieurs clientes se mettent à scander « Une fessée ! Une fessée ! »
Je ne sais pas quoi faire, je rougis, je bafouille des excuses.
Je vois Julie fermer la porte et tirer un rideau, tandis que sa mère me traîne dans la salle par l’oreille.
Solange me saisit l’autre oreille. « Désape-toi. »
Je n’ose pas protester, désobéir. Je me dénude sous le regard narquois de l’assistance. Mireille me fait mettre les mains sur la tête et tourner sur moi-même, guidé à coups de claques. Elle chante « ainsi font, font, font, les petites marionnettes… » Tout le monde rit, sauf moi.
Solange s’est installée sur une chaise. Elle ôte un escarpin et m’indique ses cuisses. J’y prends place. « Ecarte les cuisses, les clientes aiment bien voir des petites couilles, » me dit Mireille. Une cliente me tient les mains, deux autres les pieds, maintenus bien écartés. Une volée de coups s’abat sur mes fesses. Elle me donne du plat de la semelle, mais aussi du talon ! Pour finir, je reçois deux coups dans les couilles qui me coupent le souffle. J’ai aperçu Julie prenant des photos. On me relâche et je m’écroule.
« Maintenant, c’est comme ce matin au petit-déjeuner, tu sers à poils. Chères clientes, ce petit cul est à vous, profitez-en ! » Cette annonce est saluée par une tempête de rires et d’exclamations. Je suis alors contraint de continuer mon service entièrement nu. Bien entendu, je dois servir à table et ces dames ne manquent pas de me peloter et se moquer de moi.
Peu avant la fermeture, Mireille annonce : « Et maintenant chères clientes, la cerise sur le gâteau : ce petit cul va goûter au bambou. Viens ici toi. Mains sur le comptoir, jambes écartées et cambre bien le cul. » Mireille tient en main une fine canne de bambou. Je crains la suite mais j’obéis, tremblant comme une feuille. « Tu vas subir une cannée. C’est plus douloureux que la trique et les coups de chaussure. Chaque dame ici présente pourra te flanquer 10 coups si elle veut. Toi tu peux geindre, supplier et pleurer, mais tu dois rester en position et bien offrir ton cul, sinon la volée peut reprendre au début. Après chaque volée, tu remercies. C’est bien compris ? » « Oui Madame, j’ai compris. » « Solange, tu veux commencer ? »
J’entends un bruit de talons dans mon dos. A côté, le bruit d’un appareil photo, sans doute Julie qui continue son reportage. Solange commence par promener le bout de la canne sur mon dos, mes épaules, elle me la passe devant les yeux, redescend lentement jusqu’à mes fesses. « Ne sois pas si crispé, esclave. Détends les fesses ou ce sera pire. » J’entends qu’elle s’éloigne un peu et un sifflement lorsqu’elle donne quelques coups dans le vide, puis elle revient vers moi. Elle s’approche et me susurre dans l’oreille « C’est un plaisir de faire ta connaissance. Lâche prise, abandonne-toi. Mais n’oublie pas de cambrer ce petit cul. »
Un pas en arrière, Solange marque un bref temps d’arrêt, puis à nouveau ce sifflement, mais cette fois je ressens la morsure du bambou et ne peux retenir un petit cri. « Il faut laisser un temps d’arrêt pour que la victime craigne le coup suivant, l’anticipe et le sente bien, et aussi pour corriger la position de la cible, » dit Solange qui m’administre ainsi les dix coups, en laissant chaque fois deux ou trois secondes d’intervalle. Elle vient ensuite me caresser les fesses, puis présente sa main devant mes lèvres. « Remercies-moi et embrasse la main qui t’éduque. » « Merci Madame Solange pour la leçon, je ne l’oublierai pas, » dis-je avant de déposer un bisou sur sa main gantée. « A qui le tour ? »
Une dame s’approche, mais celle-ci ne s’embarrasse pas de préliminaires et m’inflige une volée à un rythme soutenu. Cette fois-là, je m’écroule sur le bar en sanglotant. La dame décrète que sur la fin, j’ai tenté d’esquiver les coups et que je n’ai pas remercié. Mireille l’autorise à recommencer, malgré mes supplications. Je souffre le martyre mais je veille à rester cambré et je remercie à la fin. Une autre dame prend le relais, en espaçant les coups comme Solange.
Enfin, Mireille termine le tour. Elle frappe avec l’extrémité du bambou, d’abord cinq coups sur la fesse gauche, les cinq derniers sur la droite. Julie est à présent passée derrière le bar pour tirer mon portrait pendant la fessée. Elle me tapote la joue. « Eh bien, ne fais pas cette tête ! Je t’ai saisi juste quand le coup tombait, ça fera un beau souvenir de toi. »
Le bar ferme. Mon jean me torture durant la courte marche jusqu’à la maison. Je suis soulagé d’entendre l’ordre de Mireille : « A poils ! » et y obéis avec enthousiasme. Je dois réchauffer le repas, puis servir ces dames, manger à terre comme ce matin. Alors que ces dames vont se coucher, un dernier ordre claque : « Fais la vaisselle, puis mets ton réveil à 6 heures. Demain c’est mardi, le bar est fermé. Nous on fera la grasse mat’ mais tu iras faire le ménage chez Solange. Son adresse est sur ce papier, je t’ai fait un dessin pour que tu comprennes. Tu y seras à 7 heures et demie, avant qu’elle parte au boulot. Ne fais pas de bruit. » « Oui Madame. » Je lave donc la vaisselle tout doucement, en silence, puis vais me coucher sur la pointe des pieds.
Le lendemain matin, je me dépêche de me préparer, toujours en silence, puis je me rends chez Solange. Elle m’accueille, déjà prête à partir.
« Tu te fous à poils. Tu trouveras un tablier dans la cuisine. La liste de tes tâches se trouve sur la table. Ne traîne pas mais je veux un résultat impeccable. Dès que tu auras fini, je veux que tu te prosternes dans le hall d’entrée. Je rentrerai ce midi. »
« Je m’y mets tout de suite, Madame. »
Je me déshabille, enfile le petit tablier de dentelle et constate que la liste de corvées est importante : laver la vaisselle, puis toute la maison (plumeau, sols, vitres), plus du repassage et le rangement du linge. Je ne perds donc pas de temps. Lors du nettoyage des vitres, je me demande si un voisin pourrait me voir dans cette tenue si légère. Mais craignant de décevoir Solange, je ne m’en préoccupe plus et je fais vite pour limiter les risques d’être vu.
Il est un peu plus de midi lorsque j’ai terminé et m’agenouille dans le hall. Je me prosterne et attends de longues minutes. Enfin j’entends la clé dans la serrure, la porte qui s’ouvre, un bruit de pas. La pointe d’une chaussure est sous mes yeux.
« Lèche. »
Je nettoie cet escarpin à grands coups de langue, puis l’autre qui m’est aussi présenté.
« Ne bouge pas. »
Solange vient se placer derrière moi.
« Il est bien marqué ton cul, on ne t’a pas raté hier soir. Ecarte les genoux, esclave, offre-moi tes couilles. »
J’obéis, elle m’expédie aussitôt un coup de pied dans les couilles, en riant.
« Relève-toi. Tu sais cuisiner au moins ? »
« Oui Madame. »
« Très bien, alors tu vas préparer mon repas. »
Solange se contente d’une salade accompagnée d’un verre de vin.
« Je repars au boulot. Tu fais la vaisselle, puis tu retournes chez Mireille. »
Dans l’après-midi, des corvées m’attendent chez Mireille. A la différence de Solange, ces dames prennent un malin plaisir à m’humilier et contraindre pendant mon travail : je passe la serpillière à quatre pattes, cire les chaussures à genoux et subis mille brimades.
Le soir, on sonne à la porte. Mireille m’ordonne d’aller ouvrir alors que je suis toujours nu. Sans surprise, c’est Solange.
« Bonsoir lopette. Ton cul passe à la casserole ce soir. J’ai apporté ce qu’il faut. »
Elle reste plantée dans l’entrée, semble attendre quelque chose. Puis son index impérieux m’indique le sol. Je comprends et me prosterne comme ce midi, lèche ses bottes et la laisse me contourner pour me donner un coup de pied dans les couilles.
La soirée est dans la continuité de la journée. Je sers l’apéro, prépare le repas, sers à table et me charge de la vaisselle.
Mireille demande à Solange « Tu m’en donnes combien de ce petit cul vierge ? »
« Oh, j’ai entendu dire que tu lui as déjà mis un doigt. Alors ça vaut moins cher. En plus il n’a pas l’air très résistant. Disons cinquante francs. »
« Tope-là ! »
Un billet change de mains. Solange m’ordonne de m’accroupir, me saisit les cheveux et se dirige vers la chambre d’amis en me maintenant en position basse. Elle me conduit sur le lit, où je dois prendre place à quatre pattes. « D’abord un petit échauffement. Je crois que tu n’as pas encore été battu aujourd’hui. On va arranger ça. » Elle a ôté sa fine ceinture de cuir et m’assène une série de coups. Comme avec le bambou, elle prend son temps entre deux coups, ne vise pas toujours au même endroit. Je reçois des cinglons sur les fesses bien entendu, mais aussi les cuisses, les pieds, le dos et aussi deux dans les couilles.
J’entends que Solange se déshabille et manipule des objets. « Après l’extérieur, je m’occupe de ton petit intérieur. Garde la position, bien cambré, écarte les fesses. » Elle se place derrière moi, je sens un objet froid et gras contre mon petit trou, ses mains m’agrippent les fesses. « Quand je commence, respire un grand coup. » Elle donne un coup de reins et je respire très fort comme elle m’a dit. La chose est énorme, j’ai l’impression que mes intestins vont éclater. Je crie, mais Solange me tient bien et cette chose est déjà en moi. Elle commence alors des va et vient qui me déchirent, en me claquant les fesses. « Tu aimes ça hein, petite lopette ? Ca te plaît de te faire mettre ? Réponds-moi ! Dis-moi que ça te plaît, que tu es ma chienne, ma lopette. »
Je n’ose pas la contredire. « Oui j’aime ça Madame. Je suis votre chienne et votre lopette. »
Elle continue ses mouvements.
« Bonne lope. Tu en auras encore. L’avantage du gode-ceinture…Han ! C’est qu’on ne débande jamais et qu’on peut continuer longtemps. Han ! Mais on peut aussi le laisser en place et se faire lécher la chatte. C’est justement ce que je vais faire bientôt. »
Après quelques minutes, Solange détache le gode qu’elle laisse planté dans mon fondement et vient placer son sexe sous ma bouche. « Tu sais ce qu’il te reste à faire. T’as intérêt à me faire jouir. »
Je m’applique à lécher Solange, qui s’excite encore plus avec un autre gode. Elle finit par jouir bruyamment. « Ah ça fait du bien de se taper une lopette toute neuve ! Reste là, lèche encore un peu. » Quelques instants plus tard, elle me repousse du pied et m’ordonne d’aller laver les godes. Je m’exécute et reviens vers elle. Je me place de manière à pouvoir continuer, mais elle m’adresse un regard hautain en se rhabillant.
« Non, on ne me baise pas, c’est moi qui baise les mecs. Ta bite, tu peux te la mettre sous le bras ce soir. Mais comme je n’aime pas qu’on me colle, je vais te coller quelque chose. Baisse-toi, mains dans le dos. Là, ne bouge pas. » Elle me colle des gifles, d’abord sur les joues, puis dans les couilles.
« Allez ciao lopette, on se revoit bientôt j’en ai pas fini avec toi. »
Le mois s’est poursuivi ainsi : au travail brimades, humiliations et quelques soirées spéciales, à la maison corvées chez Mireille et Solange, et puis jouer le sex toy de ces dames le soir.
A la fin de mon séjour, Mirelle m’a fait agenouille à ses côtés et a composé un numéro de téléphone. « Allô Pierrette. Comment ça va la petite bande ? Je me demandais si vous avez un bon larbin en ce moment. » Je n’entends pas la réponse. « Ah oui, quand un chien commence à revendiquer, il faut le virer. Justement, je t’appelle parce que j’ai formé un jeune chiot cet été. Attention, formation complète : corvées à poils, bambou, sodomie, humiliations, etc. Comme il va étudier par chez vous, j’ai pensé à le recommander. Je suis trop charitable, à chaque chien je trouve sa niche et sa laisse. Sinon, il faudrait que je l’abandonne, attaché au bord d’une route, tu vois. En ce moment, il est à genoux à côté de moi. Il sait qu’il doit la fermer. Je vais lui donner ton adresse, tu n’auras qu’à l’essayer. Je t’envoie tout à l’heure une lettre avec son nom, son adresse et des photos de lui… intéressantes. Oui, comme ça tu pourras le faire chanter. Il y aura aussi son chèque, tu prendras ça pour ses loyers et s’il ne vous plaît pas, gardez l’argent pour le dérangement. Mais je t’en prie, c’est toujours un plaisir de te rendre un petit service. Tu me raconteras comment ça se passe. »
Mireille raccroche et m’indique son pied pour que je me prosterne et l’embrasse.
« Tu vois, ta bonne patronne t’a déjà trouvé un logement. C’est une communauté de femmes autoritaires, comme Solange et moi. Elles sont cinq je crois, Pierrette est un peu la patronne, mais toutes seront au-dessus de toi. Crois-moi, tu ne vas pas t’ennuyer. En plus, ton loyer sera déjà payé, comme ça tu ne claqueras pas ta paye en conneries. Elle est pas belle la vie ? On dit merci qui ? »
« Merci Madame Mireille de vous occuper de moi. »
« Bon, retourne au boulot maintenant. Je te laisse, je dois aller à la poste. »
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