Céline infirmière

- Par l'auteur HDS Divinmarkiz -
Auteur homme.
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Récit libertin : Céline infirmière Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Céline infirmière
Céline infirmière






Il y a quelques années de ça, une femme lointaine (elle habitait Marseille) m’écrivit. Elle avait lu un de mes récits qui, comme souvent, était une ode à la féminité dans tous ses secrets, dans toute son intimité ; depuis toujours fascinée par le corps de mes consœurs, je n’aimais que les courbes des seins, la rondeur des hanches et des fesses de femmes, les secrets des vulves et, par-dessus tout, leurs odeurs et fluides intimes.
Martine, mariée depuis de nombreuses années avait étrangement trouvé une résonnance dans cet écrit. Elle avait depuis l’enfance été harcelée pour ce qu’elle était, rousse. Quolibets sur la couleur de sa pilosité, l’incandescence de sa chevelure, elle subissait ces moqueries, ces méchancetés, les pires étant celles sur sa prétendue odeur. Prétendue n’était peut-être pas le meilleur mot car elle m’avoua que son intimité dégageait rapidement une odeur puissante que l’excitation rendait présente voire envahissante. Ronde avec de gros seins, Martine transpirait facilement si bien que même une hygiène impeccable ne pouvait masquer ses odeurs, c’est en tous cas ce qu’elle me dévoila après de longs échanges.
Son activité sexuelle de couple sporadique et sans fantaisie lui pesait et lors de l’une de nos nombreux échanges, elle me dévoila que jamais une bouche d’homme ou de femme ne s’était posée sur sa chatte encore moins son cul. A 40 ans passés cette frustration à laquelle elle s’était pendant longtemps résignée lui devint insupportable. La lecture de mes récits avait réveillé cette envie depuis si longtemps refoulée.
J’ai adoré ces moments d’intimité virtuelle avec Martine ; elle déversait ce manque, ce désir brulant pendant nos conversations et nous échangions passionnément sur nos envies tenant l’une et l’autre un discours d’une intimité crue, sans retenue.
J’oubliais de me présenter, Céline infirmière dans un grand hôpital parisien, j’ai 38 ans. Ronde voire très ronde, je n’ai toujours été attirée que par les femmes. Je vais relater ici certains de nos échanges, incomplets certes car nous avons beaucoup parlé et pendant longtemps.

-Ce que tu écris tu l’as vraiment vécu ?
-Il y a un peu de fantasmes mais pour la plupart c’est du vécu. Pourquoi ?
-Je n’ai jamais couché avec une femme et n’en ai jamais eu envie jusqu’à ce que je te lise.
-Tu me flattes mais ça me fait plaisir.
-Tu as déjà connu des femmes rousses, des femmes rondes ?
-Plusieurs, j’aime beaucoup les deux. Je suis moi-même très ronde.
-Ronde comment ?-95D, 90kg pour 1,70m, tu vois, bien ronde.
-Mes mensurations ne sont pas éloignées des tiennes.
-J’adore !
-C’est rare, moi mon physique me gêne.
-Vraiment, pourquoi ?
-Je vois bien que je ne plais pas et je sais qu’on se moque de mon allure.
-Tu veux bien m’envoyer une photo ?
J’ouvris son message pour découvrir une femme sagement habillée d’une robe fermée jusqu’au cou ; on pouvait malgré ça deviner ses formes.
-Tu n’en as pas qui soient plus intimes ?
-Montre-toi avant.
Je n’avais aucune pudeur surtout via un écran et surtout je sentais que je pouvais avoir confiance en elle. Je choisis à dessein une photo de moi nue dans une pose lascive qui cachait peu de mon intimité.
-Merci , en effet tu es bien ronde toi aussi.
-Ca te dérange ?
-Pas du tout, je vais même te dire que tu me fais envie.
-A toi maintenant, montre-moi plus.
-Je n’ai pas de photos de moi nue.
-Tu ne peux pas en faire maintenant ?
-Attends-moi je vais en faire.
Quelques minutes plus tard je reçus la première photo intime de Martine ; elle s’était assise dans les toilettes, cuisses écartées pout faire son selfie.
Une toison rousse, abondante ornait son pubis comme ses lèvres épaisses et ourlées d’où pointait un clito imposant par sa taille ; j’agrandis la photo pour découvrir une trainée blanche à la commissure de ses lèvres. Cette vision qui me transporta fit monter la température de nos échanges.
-Pour une fille qui n’a pas de photos intimes celle-là est bien excitante et indécente.
-Pourquoi ?
-Agrandis ta photo tu verras.
Après quelques minutes pendant lesquelles j’ai pensé l’avoir perdue, elle finit par répondre.
-Excuse-moi je n’avais pas vu, je suis désolée. Ca te dégoute ?
Pour toute réponse je lui envoyai une photo de la chatte d’une de mes amantes les lèvres étirées entre ses doigts qui dévoilait ses nymphes liées par des filets de mouille.






-Pour te rassurer voilà ce que j’aime.
-Ah oui vraiment ?
-Vraiment, j’aime les fluides et odeurs de filles.
Ces quelques mots lui permirent un début de libération et ce soir-là et les suivants nous allâmes de confessions en confessions, Martine la première.
-Difficile à croire mais personne ne m’a jamais léchée.
-A ton âge ? difficile à croire, ni la chatte ni le cul ?
-Si c’est possible j’ai honte de te l’avouer.
-Mais pourquoi ? Tu ne veux pas ?
-Si tu savais comme j’en ai envie mais j’ai peur qu’on soit dégouté.
-Dégouté par quoi ?
-Difficile à t’expliquer.
-On s’est déjà dit beaucoup de choses et je ne juge pas alors vas-y.
-Je sens très fort et je coule beaucoup.
-Mais moi j’adore ça je te l’ai dit.
-Je sais mais c’est quand même difficile à dire.
-Tu n’aimes pas ton odeur ?
-Tu poses des questions tellement gênantes !
-Rien n’est gênant entre femmes. Lorsque tu te caresses tu ne sens jamais tes doigts ?
Elle hésita un instant.
-Si je les lèche aussi.
-Et tu aimes ça, tu aimes ton odeur de fille ?
-Oui, beaucoup. Je me caresse aussi le petit trou.
Il fallait que je l’encourage.
-Moi aussi j’adore ça et je le pénètre aussi.
-Avec tes doigts ? Combien ?
-Un ou deux ça dépend.
-Le soir lorsque j’ai beaucoup transpiré et que j’ai la raie mouillée j’arrive à mettre trois doigts…je les lèche aussi.
-Tu es plus coquine que tu me le laissais entendre ; j’aime beaucoup.
-C’est toi qui me fais dire des choses que je n’avais jamais dites avant.
-Je suis contente que tu aies confiance. Moi aussi j’ai confiance en toi. Et avec ton mari que fais-tu ?
-Pas grand-chose, il n’aime que la position missionnaire et la fellation.
-Il jouit dans ta bouche ? Tu aimes ça ?
-Oui aux deux.
-Tu aimerais que je jouisse dans ta bouche ?
-Je ne sais pas, jamais fait avec une femme. Tu es fontaine ?
-Ca m’arrive oui lorsque je suis très excitée.
-Tu es douce avec tes amantes ?
On arrivait sur un terrain plus délicat ; je ne voulais pas cacher mes goûts mais faute d’en savoir plus je ne souhaitais pas l’effrayer (le mot est trop fort mais bon).
-J’alterne toujours douceur et fermeté.
-C’est quoi fermeté pour toi ?
-Je vais t’en dire plus mais toi lorsque tu te caresses tu es toujours douce ?
-Pas toujours.
-Tu veux bien m’en dire plus ?
-Ca m’arrive de me pincer les seins
-Moi aussi j’aime beaucoup ça. Tu le fais avec tes doigts ?
-Non, je pose des pinces à linge.
-Hmmm. Tu n’en poses pas sur ta chatte.
-Si je fais ça aussi.
-Une sur chaque lèvre ?
Long silence.
-Trois de chaque côté. A toi maintenant.
Excitée et heureuse de l’avoir amenée à me dévoiler ses penchants, il était temps que moi aussi je me dévoile.
-Moi je domine les femmes.
-Je m’en doutais un peu. Alors je pose de nouveau ma question, tu es sévère ?
-Ca dépend mais toujours douleur et plaisir. J’aime aussi beaucoup l’humiliation.
-Tout ça me déroute un peu.
-Que veux-tu dire ?
-Je n’ai jamais eu envie d’une femme mais là je découvre des désirs enfouis depuis longtemps. Associer douleur et plaisir est une chose que je fais seule, naturellement. Il ne m’est jamais venu à l’esprit de le partager avec quelqu’un.
-Vraiment ? Pourquoi ?
-Parce que je ne pensais qu’aux hommes, que je n’ai jamais trompé mon mari et que le faire avec un homme me fait peur.
-Mais une femme ?
-C’est vrai que j’aurais moins peur.
-Je te donne envie ?
-Oui beaucoup. Mais j’imagine que tu as beaucoup d’amantes à Paris et je suis loin.
-Tu ne viens jamais à Paris ?
-Ma sœur y habite, je viens parfois la voir.
-Tu aimerais qu’on se rencontre ?
-Je ne sais pas encore. Parle-moi plus de que tu fais avec tes soumises. Celle dont j’ai vu la photo par exemple.
-Je la connais depuis longtemps, mariée comme toi, elle vient me voir régulièrement lorsqu’elle est seule.
-Je ne veux pas être indiscrète mais que subit-elle avec toi ?
-Ca n’est pas indiscret. Juliette, c’est son nom qui était novice lorsqu’on s’est rencontrée est maintenant très endurante mais c’est son gout ; elle a peu de limites sinon de ne pas avoir trop de marques pour des raisons évidentes et pas de scato.
-Ce serait la même chose pour moi.
-Te décrire ce qu’on fait serait vaste, disons qu’elle aime passionnément le « travail » des seins et de la chatte, l’humiliation, la sodomie, les jeux d’impact ,… bref un peu tout.
-C’est quoi le « travail » ?
-Fouet, pinces et poids pour les étirements, badine, dilatation etc
-Quel genre d’humiliation ?
-Par exemple nettoyer ma culotte et mes orifices avec sa bouche.
-La culotte que tu as portée toute la journée ?
-Non !
-Plusieurs jours ?
-Oui.
-Ah, je vois. Et ta chatte ?
-Que veux-tu dire ?
-Tu ne la laves pas ?
-Non
-Tu ne l’essuies pas ?
-Non plus.
-Pendant combien de jours ?
-Quatre jours ou plus ça dépend.
-Et elle aime ça ?
-Elle est là pour obéir, faire ce que je lui demande. Ça te choque ?
-Ca ne me choque pas, c’est différent et je n’imaginais pas qu’on pusse faire ça.
-Toi tu ne le ferais pas ?
Il y eut là une longue pose dans nos échanges, un silence de sa part que je ne brisai pas.
-Je ne sais pas encore.
A dessein ce fut moi qui observai un long, très long silence.
-Excuses-moi je n’aurais pas dû te dire ça mais je suis troublée par notre conversation.
Je restais muette pour voir jusqu’où elle irait.
-S’il te plait réponds-moi.
-C’est à toi de me répondre.
-Oui je le ferai.
-C’est une réponse qui me plait beaucoup.
-Et moi.
-Que veux-tu dire.
-Tu voudrais que je fasse la même chose.
-La même chose, sois précise.
-Tu ne vois pas ce que je veux dire ?
-Je veux que tu dises les choses.
-Porter ma culotte pendant plusieurs jours et avoir la chatte pas lavée.
-Voilà c’est précis. Ça fera sans doute partie des instructions que je te donnerai.
-Très difficile pour moi.
-Pourquoi ?
-Je sens très fort déjà après une journée alors plus !
-Tu me l’as déjà dit. Je ne te demande pas ton avis. Tu fais ce que je te dis c’est tout. Si ça me repousse tu seras punie.
-Ca te plait que j’aie honte ?
-Beaucoup oui.
-Si je suis punie tu ne seras pas trop sévère ?
-Je ne fais jamais rien qui ne soit accepté. Je te donnerai un mot clé, il te suffira de le prononcer pour que j’arrête.
-Ton amie Juliette a aussi un mot clé ?
-Bien sûr.
-Elle l’a déjà prononcé ?
-Jamais. Lorsque je la verrai ce soir je lui parlerai de toi.
Tu la vois ce soir ? J’aimerais que tu me racontes la soirée, ce qu’elle a subi, ce qu’elle t’a fait. Tu accepterais ?
-Après chaque séance elle doit m’envoyer un message décrivant son ressenti détaillée. Je lui demanderai de te copier sur ce message.
-C’est très intime de sa part de partager ses écrits avec moi qu’elle ne connait pas.
-Ca n’est pas à elle de décider.
-Je comprends. Tu dois être très excitée de la voir.
-Ha ha ha, tu peux le dire ! Cette perspective et notre conversation m’ont bien fait couler.
-Et tu n’as pas fait de toilette intime ?
-Oh non surtout pas.
-Depuis quand ?
-Plusieurs jours. Tu veux voir ?
-Hmmm oui s’il te plait.
-Attends, laisse-moi faire une photo.
J’étirai ma culotte pour faire la photo que je détaillai avant de lui envoyer. Ma chatte était parfaite pour Juliette, je me demandais cependant quelle serait la réaction de ma nouvelle recrue.
Notre conversation avait pris un tour inattendu ; je n’imaginais pas que Martine me fasse tant d’aveux pas plus que ses gouts soient aussi formés. C’était la première fois que j’avais de tels échanges avec une femme par la seule grâce à mes écrits. Voilà donc un nouveau récit à publier, peut-être aurais-je de nouvelles bonnes surprises.
J’envoyai la photo et attendis sa réaction avant de me manifester. Il lui fallut un certain temps pour s’exprimer.





-Tu dois sentir très fort.
-C’est exact. Ca te dérangerait ?
-Je ne crois pas, j’en ai tellement envie. J’aimerais m’agenouiller entre tes cuisses, la regarder, la sentir.
-C’est très bien. Tu voudrais la lécher ?
-Oh oui si tu m’y autorises.
-Bonne chienne. Mais avant il faudra t’occuper de mon petit trou. Dis-moi comment tu feras.
-J’écarterai tes fesses et je commencerai par le lécher.
-Bon début et ensuite.
-Je ferai entrer un doigt pour te branler doucement jusqu’à ce que tu sois un peu dilatée.
-Tu lècheras ton doigt.
-Oui et un deuxième pour te dilater un peu plus.
-Hmmm j’adore.
-Et toi que me feras-tu ?
-D’abord j’inspecterai tes dessous et tes trous.
-Je serais tellement gênée.
-Je l’espère bien.
-Je sentirais très fort pour que tu me punisses.
Transportée, voilà le mot qui me venait à l’esprit après sa phrase.
-Très contente de te l’entendre dire.
-Tu es toujours dominante avec les femmes ?
-Même s’il m’arrive de me laisser aller à des actes qui sont ceux d’une soumise, c’est toujours moi qui dirige. Pourquoi poses-tu cette question ?
-Je me demande si je n’aimerais pas moi aussi dominer, changer de rôle.
-Ca ne serait pas avec moi mais Juliette aime la domination « à quatre mains ».
-Tu veux dire qu’on pourrait être trois.
-Tu as bien compris. Tu pourrais lui faire subir tout ce que tu veux, elle l’a déjà fait avec moi.
-Ca fait beaucoup d’étapes en un seul coup.
-Je te laisse y réfléchir, Juliette va bientôt arriver et je dois me préparer.
-Je comprends. Je vais te laisser et je vais beaucoup penser à toi ce soir.
-Je t’embrasse, on se parle demain.
Ce soir-là, seule dans sa chambre, Martine eut une nuit agitée pendant laquelle elle n’épargna pas sa chatte.

Les avis des lecteurs

Magnifique, et John La Semelle adore ce récit. Vivement la suite.

Merci pour votre commentaire. Je prépare une suite quant à sa véracité, oui l'histoire est vraie mais entre un homme et une femme

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Est-ce une histoire vraie?



Texte coquin : Céline infirmière
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