Céline infirmière Chapitre 2

- Par l'auteur HDS Divinmarkiz -
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Récit libertin : Céline infirmière Chapitre 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Céline infirmière Chapitre 2
Céline infirmière Chapitre 2

Ce long échange avec Martine m’avait bien chauffée, j’en ressentait les effets à chaque pas depuis mon entrejambe poisseux enfermé dans le fin coton jusqu’au frottement humide de mes cuisses en marchant. Il fallait qu’avant l’arrivée de Juliette je sois calmée et un doigt sur ma culotte je me caressai pour avoir un premier orgasme qui malgré sa rapidité s’accompagna d’un écoulement abondant. Je gardais une petite envie d’uriner pour elle ne lâchant que quelques gouttes pour le seul plaisir de lui faire découvrir une large tâche sur mes dessous que je retirai pour les enfiler à l’envers.

Ce mardi lorsqu’elle passa le pas de ma porte, Juliette se colla à moi et bouche contre bouche nous échangeâmes un baiser fougueux ; sa langue s’enfonça et s’agita passionnément dans ma bouche. Elle reprit son souffle.
-Ca fait trois jours que je coule pour toi. J’ai tellement envie.
Je passais la main sous sa jupe, remontais avant de la glisser sur ses fesses en me frayant un chemin dans sa culotte. Du périnée à son petit trou (j’évitais à dessein sa chatte), mon doigt baladeur par son seul va-et-vient déclencha un joli clapotis qui me fit chavirer ; Juliette engloutit ce doigt dans sa bouche qu’elle lécha les yeux fermés.
-Hmmm tu coules bien ma chienne.
-Ouiii, je suis ta chienne.
-Agenouille-toi et enlève ma jupe.
Elle la dégrafa, la fit glisser ; je soulevais les pieds pour qu’elle la prenne et la plie soigneusement. Debout les jambes écartées je la contemplais lorsqu’elle leva la tête, les yeux remplis de désir en attente de mes paroles. Sans en prononcer, je saisis son visage que j’approchai lentement de mon pubis avant de l’y coller.
Sa respiration se fit plus bruyante, haletante et je sentis le mouvement de ses lèvres sur le gousset ; j’aimais ces moments de frustration et d’excitation. Je la repoussai doucement pour la regarder maculées de mes humeurs. Elle passa sa langue sur chacune de ses lèvres avant de les reposer et dévorer bruyamment ma culotte. Les yeux clos, je me repaissais de ces bruits de succion, de sentir sa salive l’imprégner puis l’aspirer avant de déglutir. Elle y mettait une passion qui me fit présager qu’elle serait sans limites ce soir.
-Tu as envie des jus de ta maitresse ?
Elle ne fit que relever les yeux sans quitter son ouvrage et me dit oui d’un clignement de paupières.
-Déshabille-toi mais garde ta culotte.
Elle retira fiévreusement son haut pour découvrir ses seins lourds qu’ornaient des tétons dressés au milieu de petites aréoles, fit glisser sa jupe et, prise par la main me suivit docilement. Allongée, jambes repliées dans la douche profonde elle attendait. Ma culotte retirée je la mis en boule dans sa bouche et m’accroupis. Depuis longtemps adepte des jeux d’uro, je savais maitriser ma vessie ; lèvres et nymphes écartées je commençais par lâcher à petits jets mon fluide. La culotte s’imprégna et je la laissai la macher de ses lèvres ; je recommençais jusqu’au moment ou il fallut me vider. La culotte retirée, je me déversai sans retenue dans sa bouche avide.
-Viens dans la chambre. Tu sais par quoi commencer ?
Comme chaque dominatrice, j’avais établi des protocoles, des scenarios dont Justine connaissait maintenant bien les codes et les enchaînements.
-Oui je sais. Ce soir j’aimerais que tu me fouilles le cul sans retenue.
-Tu parles déjà de plaisir mais tu sais bien que tu ne l’as pas encore mérité.
Elle baissa la tête et la hocha en murmurant :
-Non mais je voudrais le mériter.
-Et comment vas-tu le mériter ?
-Tu peux me travailler les seins et la chatte autant que tu veux, je veux te mériter.
Je lui caressai le visage, posai les mains sur le lit jambes écartées. Ses mains posées sur mes fesses les ouvrirent et je sentis son souffle chaud, longuement.
-J’aime ton odeur de femme, elle me rend folle. Je voudrais lécher ta chatte.
-Pas encore, occupe-toi de mon cul.
Sa langue se posa sur mon anus et débuta un ballet doux qui s’accéléra, elle déposa sa salive en abondance et d’un doigt puis de deux commença à me dilater. Lentement mon fourreau se détendit et lorsqu’elle sentit ses doigts glisser sans difficultés, elle les remplaça par sa langue qui me pénétra, s’agita. J’avais une passion sans limites pour cette caresse et ce fut à regret que je lui fis comprendre que c’était assez.
-Retire ta culotte et viens te mettre à quatre pattes.
Sans que je lui demande elle me la remit. Son gousset n’avait rien à envier au mien. Ma collection de pinces étalée sur le lit, je les choisis minutieusement. J’alternais pinces japonaises et pinces à linge sur ses lèvres, quatre sur chacune, posais deux clips sur ses nymphes et enfin une pince terminée par un poids sur son clito. A la pose de cette dernière elle se cabra mais sans un mot.
-Lève-toi, tiens-toi cuisses écartées, mains sur la tête.
Elle se releva, posa avec lenteur les pieds sur le tapis et pris sa position. Je posai mes lèvres sur les siennes pour un baiser tendre.
-Lorsque je te le demanderai tu répèteras « j’aime que ma maitresse torture ma chatte ». Tu as compris ?
Elle répondit oui dans un souffle plaintif.
Une badine de bambou à la main, j’en promenai d’abord la pointe sur chaque pince en les comptant à voix haute de un jusqu’à onze ; je fis durer l’exercice pour ensuite balayer les pinces de droite à gauche. Après une dizaine d’aller-retour j’attendis ses paroles.
-J’aime que ma maitresse me torture la chatte.
-Donc je continue ?
-Oui encore.
Je le fis cinq fois, à chaque fois elle répéta la phrase, à chaque fois je posai la même question, à chaque fois elle répondit oui.
Les yeux remplis de larmes, les lèvres marquées de les avoir mordues, elle hoqueta sans que je le demande : « merci maitresse, je le méritais ».
Je la libérai de ses tourments et massai longuement sa chatte avant de recueillir ses sécrétions que j’étalais sur sa bouche.
-Viens tu as mérité un peu de plaisir avant de continuer.
Allongées l’une contre l’autre nos doigts caressaient, fouillaient nos orifices pour venir ensuite pénétrer nos bouches ou nos langues les léchaient longuement.
-Tu sens très fort la chienne.
-Oui je sais comme toi. Tu aimes aussi mon odeur de femme.
-Tu le sais bien. Viens me lécher maintenant.
C’est dans un soixante-neuf passionné que nous eûmes notre premier orgasme. Ma bouche encore collée à sa chatte, mes doigts dans son cul, Juliette avait comme chaque fois relâché une mouille épaisse et blanche que je savourais.
-Tu vas m’enculer, s’il-te-plait, j’en ai très très envie.
-Oui mais pas encore, j’ai encore envie de m’occuper de ta chatte. Allonge-toi sur le dos.
Agenouillée au-dessus de son visage, j’enfilais un gant de crin que je frottai longuement à l’intérieur de ses cuisses ouvertes pour ensuite faire la même chose sur ses lèvres. C’est lorsqu’elles furent devenues écarlates et gonflées que de deux doigts je les ouvris pour passer le gant sur son clito et dans les plis de sa chatte. Pour l’avoir déjà subi, Juliette connaissait l’enchaînement de son épreuve et lorsque je retirais le gant d’elle-même elle me tendit la cravache. Je l’abattis sur sa chatte de nombreuses fois avant d’y plonger ma bouche. Je recommençais sous ses grognements jusqu’à ce que tendue comme un arc elle pousse un cri de jouissance qu’elle accompagna d’un jet de mouille.
-Oh oui ma chienne, vas-y donne-moi ton jus de chatte. J’aime quand tu coules dans ma bouche.
Hébétée et inerte, Juliette les yeux clos était ailleurs. Je m’harnachais, la fit mettre à quatre pattes. La caresse de mon doigt faisait palpiter son anus.
-Oui maintenant défonce-moi le cul, vas-y.
Après avoir posé une paire de pinces sur sa chatte je la pénétrais doucement mais d’un mouvement de reins elle engloutit le membre. Son bassin s’élançait au-devant de mes assauts.
-Viens au fond de mon cul, enfonce-toi, tire les pinces, plus fort, oui comme ça. C’est bon, c’est bon, encore. Je jouis, je jouis, je jouiiiis.
Je me retirais doucement pour contempler son cul encore dilaté ; allongée, sans vie je caressais son dos lorsqu’elle tourna son visage vers moi.
-Personne ne me fait couler et jouir comme toi. Je t’aime. Laisse-moi un petit moment avant que moi aussi je te fasse jouir. Moi aussi je veux boire ton jus.
-Oui ma Juliette, viens quand tu en as envie.
Elle défit mon gode-ceinture pour me lécher ; sa langue se promenait de mon clito à mon petit trou, longuement.
-Mets tes doigts dans mon cul.
Elle en glissa un puis deux et me branla, mon clito durcissait sous les assauts experts de sa langue qui l’enveloppait
-Vas-y branle-moi fort, prends ma chatte, fouille-la, encore.
Elle cessa un instant de me lécher, saisit un gode qu’elle enfonça dans ma chatte avant que sa langue reprenne ses caresses.
-Tu aimes que je remplisse tous tes trous, tu sens ton jus venir.
-Hmmm oui j’aime ça, continue, plus fort.
J’eus soudain l’impression que tous mes orifices s’ouvraient, que tout devenait incontrôlable et dans un orgasme puissant je sentis que je m’écoulais sur le visage de Juliette. Lorsqu’elle se glissa contre moi, sa bouche, son nez et son menton étaient couverts de ma mouille épaisse et blanchâtre, sublimement obscène. Un long baiser gluant vint clore nos premières heures.

Plus tard, retournées au salon, un verre à la main, rassasiées, nous parlions de nos vies, de notre boulot et de nos aventures. Justine assise en face de moi sur le tapis gardait les cuisses écartées autant par obéissance que pour ne pas attiser la douleur de ses chairs encore rougies et irritées.
-Ton mari est absent pour combien de temps.
-Il est parti pour deux semaines en tournée pour son boulot.
-J’imagine que tu vas en profiter.
-Avec ce que tu m’as fait subir ce soir je vais devoir faire une pause pendant quelques jours.
Elle sourit après ces mots.
-Qui t’a dit que c’était terminé ?
Elle eut une mine faussement choquée que je connaissais bien, saisit ses seins et me regarda.
-C’est vrai tu ne m’as pas encore travaillé les tétons et je n’ai encore eu de fessée.
-Insatiable coquine ! Tu veux dormir chez moi ce soir ?
-Hmmm oui, je commence tard demain matin.
Je lui resservis du vin que nous buvions en grignotant.
-J’ai eu une conversation tout à l’heure avec une fille intéressante.
-Ah oui ! Comment l’as-tu rencontrée ?
-Figure-toi qu’elle avait lu une de mes histoires et que ça lui avait plu et même beaucoup excitée.
-Je les connais tes histoires, je m’y reconnais souvent. Elle est lesbienne ?
-Pas du tout, mariée comme toi, elle n’a jamais trompé son mari ni couché avec une femme.
-Et tu l’as convaincu grosse salope.
-Pas complètement mais j’en suis proche.
-Pourquoi men parles-tu ?
-Elle a des envies de « switch » voilà pourquoi.
-Intéressant ; tu me la montres ?
-Je vais faire mieux, je vais te faire lire nos échanges.
Je pris mon portable, me connectais sur le site et laissais Juliette faire défiler mes échanges avec Martine. L’écran posé sur ses genoux, je me tenais assise derrière elle. Peu après le début de sa lecture je vis sa main se diriger vers son entrejambe. Lorsqu’elle eut terminé elle posa le portable.
-Elle est excitante ta Martine et puis moi aussi j’aime les rousses …et les rondes mais ça tu le sais.
Elle inclina son buste pour le poser sur mes cuisses, souleva les bras pour attraper mes mains qu’elle posa sur ses seins. J’alternais le pincement de ses tétons avec des caresses tandis qu’elle se frottait la chatte avec douceur.
-J’aimerais que tu m’envoies la photo de ta chatte.
-Celle que je lui ai envoyée ?
-Oui je l’ai vu ce soir mais je voudrais la conserver.
-Je te l’enverrai. Tu veux qu’on se connecte avec elle ?
-Maintenant ?
-J’ai déjà plein d’envies mais ça pourrait nous exciter encore plus.
J’envoyais un message à Martine. En attendant sa réponse notre petit ballet se poursuivit.
-Je ne vais pas jouir maintenant, j’attends.
Le tintement du site nous tira de nos caresses.
-Bonsoir Céline, tu as passé une bonne soirée avec ton amie.
-Elle est toujours là. Et toi comment était ta soirée ?
-Elle est près de toi, elle lit nos échanges ?
-Ca te dérange ?
-Non pas vraiment. J’ai tellement pensé à vous ce soir. Tu as été sévère ?
-Je vais laisser Juliette répondre.
-Bonsoir Martine, le mieux c’est que je t’envoie une photo de ma chatte.
Juliette s’allongea, écarta les cuisses et me laissa prendre le cliché que j’envoyai.
-J’aurais aimé être à ta place.
Je repris les commandes.
-Ca ne tient qu’à toi.
-Je sais, j’ai parlé à ma sœur, je pourrais venir chez elle à Paris en fin de semaine.
-Super nouvelle, viens samedi soir.
-Je dois faire quelque chose d’ici là ? Comment veux-tu que je sois habillée ?
J’indiquais à Juliette d’aller chercher nos culottes, je les photographiais et lui envoyais.
-Je reconnais la tienne Céline, c’est celle que tu portais sur la photo que tu m’as envoyée cet après-midi. Pourquoi est-elle mouillée ?
-Parce que j’ai fait pipi dedans. Je pense que tu n’as besoin de beaucoup plus d’explications sur ta tenue ou tes instructions.
-Non j’ai compris, je commence ce soir ?
-Oui ce soir. Nous avons encore beaucoup d’envie et de désirs. On se voit samedi.
-Oui, je vous embrasse.
Alors, qu’en penses-tu ? Je m’adressais à Juliette.
-Je n’imaginais pas te revoir samedi mais l’idée me plait beaucoup.
-Viens j’ai très envie, j’ai même envie de me laisser faire.
-Vraiment ? J’arrive, je vais faire pipi.
-Je te suis.
Juliette me regarda, surprise avant qu’un sourire se dessine sur ses lèvres. Je ramassais nos culottes et la suivit aux toilettes ou fascinée je regardais ce fluide s’échapper en jets imparfaits de sa vulve. Elle s’avança au bord de la lunette.
-Tu m’essuies ?
Ma bouche fit son office.
-J’ai envie qu’on s’encule toutes les deux en même temps.
-Tu as nouveau jouet pour ça ?
En réponse je sortis d’un tiroir un long olisbos souple en silicone arrondi à chaque extrémité.
-Commence avec moi.
Je me mis sur le dos, cuisses relevées ; le gland longuement trempé dans mon vagin, Juliette l’enfonça dans mon cul avant de le faire aller et venir.
-A toi.
-Avant prépare moi le cul
Accroupie au-dessus de mon visage je dévorais son anus, y faisait pénétrer mes doigts puis, allongées cul à cul, elle rentra le gode et nous agitant doucement, il nous pénétra jusqu’à sentir nos fesses les unes contre les autres.
-Tu aimes ?
-J’adore.
Nous caressions nos chattes en imprimant des va-et -vient à nos bassins.
-Je veux jouir avec toi, dis-moi quand tu es prête.
Juliette poussait déjà des soupirs sans équivoque, j’accélérais ma caresse ; magnifique orgasme partagé, nous restâmes un long moment, les fesses collées l’une à l’autre, nos entrailles remplies.
-Putain c’était tellement bon.
-Ma Juliette, je suis heureuse qu’on ait joui ensemble. Il est tard, on dort.
-Oh oui, je suis aussi complètement vidée.
Le jeu de mot nous fit pouffer.
-Va chercher nos culottes j’ai envie de dormir avec la tienne.
-Tu veux que je porte la tienne ?
-Oui, tu ne veux pas ?
-Bien sûr que je veux.
Nous nous endormîmes enlacées. Je me réveillai la première, fis chauffer de l’eau pour notre thé avant d’aller uriner ; assise, la culotte sur les chevilles je sentais monter un puissant parfum de femme et d’amour de mon entrejambe, je devinais sans peine que celui de Juliette serait lui aussi à mon goût. Le thé mis à infuser, je retournais dans la chambre pour me glisser entre ses cuisses. Son parfum intime mélange de mouille, de transpiration et de pipi me saisit et je plongeais sur sa chatte encore couverte de mes dessous. Ce matin-là ce fut un nouveau déchaînement de jeux de langue jusqu’à ce que nos occupations nous appellent. C’est au moment de prendre une douche que la vicieuse Juliette m’annonça que finalement, nos chattes avaient été suffisamment nettoyées pour Martine.
Les yeux brillants je lui souris.
-Tu as bien raison mais je mettrai une culotte propre. Je pense qu’on va bien s’amuser samedi.

Les avis des lecteurs

Absolument MAGNIFIQUE et super bandant. Mille mercis.



Texte coquin : Céline infirmière Chapitre 2
Histoire sexe : Une rose rouge
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