Chapitre II – Juarez

- Par l'auteur HDS Marcfram -
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Récit libertin : Chapitre II – Juarez Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Chapitre II – Juarez
Le lendemain, notre étape Acapulco-Jojutla de Juárez était relativement courte, 3h30 pour 258 km. Situé dans le centre-ville l'Hotel Posada la Pastrana n'était pas de la première fraicheur. Pendant que mon épouse sortait quelques affaires de nos valises, je restais sur la galerie extérieure donnant accès aux chambres. Située au premier étage, elle donnait directement sur une rue poussiéreuse et bruyante. J'en étais à me demander si nous allions rester les deux nuits prévues lorsque je l'aperçus sortant d'un gros camping-car garé plus bas dans la rue.

J’avais du mal à le croire, obsédé par les événements de la veille, mon imagination me jouait des tours. Non, aucun doute, il s'agissait bien du Mexicain qui avait longuement et consciencieusement peloté ma jeune épouse.
Comment avait-il pu prendre connaissance avec autant de précision de la suite de notre itinéraire ?

La veille, nous étions allés directement du bateau vers une petite plage toute proche puis à notre hôtel. S’en était suivi un repas intime servi dans la chambre, prélude à une agréable fin de soirée avec tous les accents d’une nouvelle nuit de noces.
Sa présence ne pouvait-elle être qu'un effet du hasard ? La même ville, la même rue ? Non, cela n'était pas concevable. À n’en pas douter , il avait réussi à entrer en contact avec ma femme qui lui avait indiqué la destination de notre prochaine étape.
Le jour de notre arrivée au Mexique, nous avions acheté deux cartes sims dans une boutique Oxxo. Cela nous permettait de bénéficier d'internet pendant 7 jours avec SMS et appels illimités sur le Mexique. La réponse était simple.et je la trouvais particulièrement désagréable.

Marie-Jo venait de passer dans la salle de bains. Son portable était éteint, je l'allumais en composant le code par défaut de cette nouvelle carte. Elle n’avait pas changé son mot de passe.
Il y avait bien un correspondant et un début d'échange sur WhatsApp. L’écran est rempli.

Quelques copier/coller sur google traduction. J'ai du mal à le croire. Les textes qui s'affichent me bouleversent complètement.
Le gars du bateau a bien pris contact avec ma femme. Elle lui a répondu et a même engagé un dialogue. Maintenant, elle s’apprête carrément à lui envoyer une photo d’elle, nue...Quelle salope !

— Hola
— Salut
— Hola quién eres ?
— Salut, qui es tu ?
— Soy Juan ¿Recuerdas lo que pasó en el barco?
— Je suis Juan, vous souvenez-vous de ce qui s'est passé sur le bateau ?
— Envíame una foto tuya desnuda ahora.
— Envoie-moi une photo de toi nue maintenant.
— Eres un cerdo, ¿no Juan? Eres un sucio cerdito.
—Tu es un cochon, n'est-ce pas Juan ? un sale petit cochon
— No te lo preguntaria si no pensase que eres una puta.
— Je ne te demanderais pas si je ne pensais pas que tu es une pute.
— Bien, Juan, estoy enviandote una foto,pero no se lo enseñes a nadie. Pero primero, tengo que usar el baño.Vuelvo pronto...Voy a lavarme.
— OK, Juan, j'envoie une photo,mais ne la montre à personne.
Mais d'abord, je dois utiliser la salle de bain.
Je reviens bientôt...Je vais me laver.

La porte de la salle de bains est entrebâillée, j'entends que ma femme est sur le point de terminer ses préparatifs. Elle me parle, elle va libérer la place et m'annonce qu'elle compte aller faire une petite reconnaissance autour de l'hôtel, le temps que je passe, à mon tour, dans la salle de bains.
Je n’ai que le temps d’éteindre son mobile et de le remettre en place. J’ai bien failli me faire surprendre.

Elle sort toute pimpante, maquillée, vêtue d'une jupe légère presque transparente et de bas résille autofixants. Elle hésite encore sur le choix d’un petit débardeur si court qu’il laisse son ventre à moitié découvert.
— Le jaune ou le rose ?
Je mets un certain temps à réaliser qu’elle s’adresse à moi. Je suis perdu dans mes réflexions. Quelle conduite adopter ?

Je m’entends répondre « le jaune » en tournant la tête pour cacher ma mine déconfite et me faufile illico dans la salle de bains.Je pousse la porte et ouvre à fond les robinets de la baignoire. Deux, trois minutes et je lance un coup d’œil prudent dans la chambre. Face à la fenêtre, elle me tourne le dos. Elle tapote rapidement sur son smartphone, le cale sur l’ appui de la fenêtre et prend la pose. Son débardeur rose relevé au-dessus des nichons, elle soulève sa jupette de la main gauche en écartant sa culotte de l’autre main. Il n’est pas difficile de deviner que cette salope se prend en photo. Déjà, elle reprend son mobile en main, tapote très vite, s’interrompt un instant, étouffe un petit cri avant de reprendre la pose. La conversation continue. Je n’ai aucun mal à imaginer ce qu’ils sont en train de se raconter tout en échangeant des photos. Des photos de cul. Cela me rend dingue.
Je réalise tout à la fois que la tournure des événements se précise, que l’affaire devient sérieuse et que je me suis mis à bander.

Mon épouse poursuit tranquillement ses échanges sans se douter que son conjoint et en pleine érection juste derrière elle. Lorsqu’elle enlève sa culotte, je me retiens pour ne pas me précipiter vers elle. Mais déjà, d’un seul geste, elle retire son débardeur rose, et, nue jusqu’à la taille, se retourne brusquement.
Je n’ai pas que le temps de me reculer. Elle se penche aussitôt sur sa valise et ne me voit pas. Je profite du spectacle : ses nichons pendent et se balancent le temps qu’elle mette la main sur son petit débardeur jaune qu’elle enfile aussitôt.
J’entends un « tout à l’heure chéri », la porte se referme derrière elle.

Je sors précipitamment de la salle de bains, prêt à me précipiter à sa suite pour la retenir. J’hésite une seconde en me voyant nu, courant derrière elle dans le couloir, la queue dressée comme jamais et c’est alors que j’entends les vibrations de son téléphone posé sur la table. Non seulement elle n’a pas pris son mobile, mais en plus, elle n’a même pas pris la peine de l’éteindre. Je n’y crois pas. Elle le fait exprès, ou bien, l’esprit complètement embué par l’excitation, elle ne se rend plus compte de rien. C’est tellement énorme ! Je découvre une Marie-Jo perverse comme jamais je n’aurais pu l’imaginer.
Bon, je divague, elle a tout simplement laissé son mobile sciemment, de manière à pouvoir prolonger son absence sans être dérangée et loin d’imaginer mes soupçons, elle a tout simplement oublié de l’éteindre.

L’écran vient de s’éclairer.Je m’approche.
Les textes sont là. Plusieurs écrans en espagnol. Je les fais défiler, passant .très vite. Je ne comprends pas la langue, mais certains mots, certaines expressions ne trompent pas.
Je vous laisse juger (traduction en prime). Du reste, j’ai conservé les captures d’écran (et les photos) au cas où. Et si certains sont sceptiques ils peuvent toujours s’en assurer en les demandant.

— ¡Qué puta que eres!
— Quelle salope tu fais !
— Me pones tan caliente como un macho cabrio en un zarzal.
— Tu me fais bander comme un bouc au milieu des chèvres.
— Muéstramee tu rostro de pequana puta
— Montre-moi ton petit visage de pute.
– ¿Te gustan las medias de red, Juan?
– Tu aimes les bas résilles, Juan ?
– Gracias por las medias de rejilla.
– Merci pour les bas résille.
– Llevo lencería sexy porque me gusta sentirme sexy.
— Je porte de la lingerie sexy parce que j'aime me sentir sexy.
– ¿Quieres que me quite las bragas?
mentandré mis medias
— Tu veux que j'enlève ma culotte ?
Je garderai mes bas
— Marie-Jo, dime, Oh, cuánto te gusta amas mi gran pene.
— Marie-Jo, dis-moi, oh combien tu aimes ma grosse bite.
— Sí.sí,me gusta.
¡Quiero tu enorme verga!
Penétrame con tu polla gorda y dura.
— Oui, oui, j'aime ça.
Je veux ta grosse bite!
Je veux sentir ta grosse queue dure.
— Marie-Jo, ¿Te gustan los hombres peludos?
— Marie-Jo, tu aimes les hommes poilus?
— Si oh si, Me gustan los hombres muy peludos
— Oui, oh oui, j'aime les hommes très poilus
— Enfonces ven aqui ahora y lameme el culo
— Alors viens ici maintenant et lèche mon cul
— Está bien; ok, ya voy, me voy a poner mi camiseta amarilla sin mangas
— C'est bien; ok j'arrive je vais mettre mon débardeur jaune
— .....Y yo no llevo bragas.
— .....Et je ne porte pas de culotte.
— Eres una chica muy traviesa. Me excitas tanto.
— Tu es une garce, tu me fais bander.
— ¿Dónde quedamos?
— On se donne rendez-vous où ?
— Estaré esperando abajo en la calle.
— J’attends un peu plus bas, dans la rue.
— Ahora, te voy a follar. Te voy a cojer como a una zorra !
Voy a lienarte toda el ùtero con de esperma caliente
— Maintenant, je vais te baiser. Je vais te baiser comme une salope ! Je vais remplir tout ton utérus de sperme chaud.

Le texte est illustré de plusieurs photos. Tout d’abord Marie-Jo qui exhibe sa touffe poilue et ses beaux tétons tout congestionnés puis une autre où elle montre en plus son visage.
Mais c’est surtout l’écran qui termine de s’afficher. J’en ai le souffle coupé.
Quel salaud ce Juan, ses dimensions en semi-érection sont
incroyables. Aussitôt, je me mets à délirer.

J’imagine la rallonge qu’il va pouvoir donner en voyant ma femme.en chair et en os, le cul nul sous sa petite jupette, s’approcher de lui dans son camping-car. Je ne peux m’empêcher d’imaginer la suite. C’est certain, ce petit homme velu va maintenant la pénétrer et atteindre en elle des endroits qui me seront toujours inaccessibles. Une fois bien calé au fond de son ventre, il pourra tout à loisir, lui touiller lentement les entrailles avec sa grosse queue, lui faisant connaître des sensations que je ne pourrais jamais lui procurer. Aucun doute là-dessus. Elle, de son côté, en se sentant complètement investie, allait, j’en étais également certain, se mettre à couiner comme jamais.
Très vite, ma jeune épouse va connaître pour la toute première fois des orgasmes à répétition, perdant presque connaissance au moment de le sentir éjaculer en elle des jets puissants de foutre chaud directement au fond de son utérus.
Lui de son côté est pleinement satisfait. Il est toujours en érection prêt à remettre le couvert. J’imagine que, voyant ses mamelons tout gonflés et la façon qu’elle a de s’offrir et de participer, il a compris qu’elle est en pleine période féconde. Ce n’est pas tous les jours qu’un homme comme lui a l’opportunité d’engrosser une belle jeune mariée occidentale. Il a bien l’intention d’en profiter au maximum. Il veut prendre des photos et elle se laisse faire.

Je repose le smartphone de ma femme sur la table, saisis une serviette de bain au passage et sors précipitamment sur le balcon. Je dois m’assurer que cette garce va aller jusqu’au bout. Tout en bas de la rue , ma femme est déjà au niveau du camping-car de Juan. Une porte s’ouvre et elle disparaît à l’intérieur. Ma queue toujours bien raide pointe sous la serviette enroulée autour de ma taille.

Je repense à ce qui est en train de se passer dans ce camping-car à quelques dizaines de mètres de moi.
J’affiche la photo que ma femme vient d’envoyer à Juan. Elle est si excitante. Je commence à me branler lentement en pensant à ma jeune épouse en train de me cocufier.
Une fois de plus, j’imagine le Mexicain en train d’explorer, d’investir et de prendre possession un à un de tous les orifices de ma jeune épouse. Peut-être est-il déjà en train de la baiser en faisant battre très fort ses couilles contre son cul. Je ne sais trop pourquoi, mais je repense à ses grosses couilles poilues et j’éjacule en imaginant qu’il va les lui enfoncer partout. Dans sa bouche humide, ensuite, bien profond dans le cul puis en tout dernier dans son vagin trempé. Je suis certain que ma toute jeune femme va se laisser tout faire par ce gros cochon. En attendant, je ne sais pas trop ce qu’elle pourrait penser de moi en me voyant essuyer l’écran de son smartphone qui a reçu une bonne partie de ma giclée.

Sans même passer dans la salle de bain, je m’habille rapidement et sors sur la galerie extérieure qui donne accès aux chambres. Je monte d’un étage sans rencontrer personne. Cet étage certainement réservé au personnel m’offre un poste d’observation parfait. De là, je peux surveiller discrètement toutes les allées et venues autour de la caravane.

Une demi-heure se passe. Marie-Jo est toujours à l’intérieur. Je recommence à gamberger de plus belle. J’imagine maintenant qu’il est en train de se faire lécher le cul par ma femme. Il lui a demandé de la lui faire devenir la plus grosse et la plus dure possible et elle lui lèche le cul et les couilles en attendant de se faire sodomiser. Toutes choses qu’elle n’a encore jamais accepté de moi. Je réalise aussi que cette salope a mis ses bas résille pour lui. Elle sait que les bas m’excitent, pourtant j’ai dû insister pour les lui faire emporter.et maintenant c’est un inconnu qui en profite…J’imagine qu’elle les a gardés sur elle. Ce salaud de Mexicain se régale de ma femme de toutes les manières possible. Il ne lui reste plus qu’à la dépuceler du cul. Maintenant, Il va l’enculer jusqu’aux couilles la faisant d’abord crier de douleur puis jouir comme jamais.
Je me suis remis à bander dur et en un rien de temps, j’éjacule dans mon bermuda sans même me toucher.

Les avis des lecteurs

Marie-Jo est une sacrée chaudasse et et son mari un candauliste. Jusqu'où ira-t-elle?



Texte coquin : Chapitre II – Juarez
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