Chapitre V - Arrivée au parc Aquatique - Tequesquitengo

- Par l'auteur HDS Marcfram -
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Récit libertin : Chapitre V - Arrivée au parc Aquatique - Tequesquitengo Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Chapitre V - Arrivée au parc Aquatique - Tequesquitengo
Résumé
Pendant notre voyage de noces, Marie-Jo, ma jeune épouse, se laisse tripoter lors d’une excursion. Elle tombe sous l’emprise d’un vieux mexicain particulièrement pervers.

J’arrive dans un parking presque vide. Un parc aquatique attirant pour l’essentiel, une clientèle familiale, je pense que ce manque d'affluence n'a rien d'étonnant en ce début de matinée de semaine.
Il faut savoir qu’au Mexique, les scolaires commencent tôt le matin, à 7 h ou au plus tard à 8 h, pour sortir vers 13 ou 14 h. Ce rythme est parfaitement adapté à la chaleur, écrasante la plus grande partie de l’année, dans la quasi-totalité du pays.

Je me gare donc au plus près des guichets, valide ma réservation et me dirige aussitôt vers les vestiaires. Je prends toutefois le temps d'admirer les installations, surpris par une telle immensité et une telle variété d'attractions. La taille des toboggans en particulier est impressionnante. Certains sont réservés aux adultes et d’autres, prévus pour des enfants de toutes les tailles.

Les vestiaires viennent d'être rénovés, une chance.
Comme prévu les cabines sont minuscules, mais à prés de 10 heures du matin je suis apparemment le premier client. Il y a plusieurs ensembles distribués à partir d’un rond-point central. D’abord des casiers, puis des cabines. Tout cela étant accessible moyennant 50 pesos.

Après m’être assuré que je pourrai m’isoler le moment venu, je refais surface direction la cafétéria. Je commande un chili sin carne bien pimentée et une Corona. Je vérifie une nouvelle fois que mon épouse sauvegarde bien ses conversations WhatsApp sur son compte google-drive, mais au moment de lancer le programme de transfert je réalise que la restauration des conversations ne peut basiquement fonctionner que sur un mobile ayant le même numéro de téléphone, à savoir dans le cas précis, celui de mon épouse, heureusement il n’en est pas de même pour les photos échangées.

Mon hypothèse est que Juan et Juan et Miguel lui envoient toutes ces photos pour lui mettre la pression et la faire chanter. J’aimerais bien avoir confirmation qu’ils la menacent de tout me révéler. Je suis convaincu que la présence de ces photos va l’inciter à protéger l’accès à son smartphone, sans compter qu’elle va les supprimer dès que possible. Aucun doute là-dessus.

Il me faut les récupérer sans perdre un instant. J’accède à Google photo et commence par faire une capture d’écran de toutes les photos. Il y a en vingt en tout. Douze nouveaux clichés sont encore arrivés sur son compte. Il y a toute une série ou l’on peut voir ma femme se faire baiser et sucer Juan dans toutes les positions et dans tous les coins du camping-car. J’ai un véritable coup au cœur en découvrant les quatre dernières photos.
Ma femme y est photographiée en compagnie d’un troisième homme inconnu et cela se passe dans notre chambre d’hôtel. Il ne s’agit ni de Juan ni de Miguel. Les positions sont nombreuses et je suis choqué par leurs obscénités.

Sur la première photo, elle est allongée sur le dos au bord de notre lit, les pieds au sol. On ne voit pas son visage vu qu’elle a le nez profondément enfoui dans le trou du cul poilu de son partenaire. Ce dernier tranquillement assis sur son visage se laisse bouffer les couilles. Elle lui lèche les boules avec application tout en se caressant ostensiblement. Je note encore que ma femme a les cuisses largement écartées, sans la moindre pudeur à l’égard du photographe qui lui fait face et qui doit consciencieusement la mitrailler. Son partenaire se contente de triturer ses tétons dans tous les sens. Ce cochon a dû très vite comprendre qu’il pouvait la faire jouir rien qu’en lui malaxant ses beaux nichons blancs aux mamelons incroyablement érectiles.

Ensuite, la position étant toujours la même, je peux admirer en prime et en gros plan les fesses de Miguel puis de Juan. Ils viennent baiser la salope chacun leur tour pendant qu’elle mange toujours les couilles du troisième homme .

Sur le cliché suivant Marie-Jo à quatre pattes, lèche maintenant le cul poilu de cet homme inconnu dont je ne distingue toujours pas le visage. Par contre le visage de ma femme lui est bien visible et la position montre clairement que tout en lui fourrant sa langue dans le derrière, elle a coulé son bras droit par en dessous pour lui traire la bite.
Quelle salope! Elle ne m’a jamais prodigué une telle caresse et je n’aurais jamais osé le lui demander. Je n’en crois pas mes yeux, et pourtant, c’est bien la même femme, qui au restaurant fait tant de manières sur la propreté des couverts qui est maintenant en train de lécher le cul d’un inconnu. Si elle fait ça dans l’intention de redonner toute sa vigueur à son partenaire, je ne doute pas un instant du résultat.
Résultat qui se confirme avec la photo suivante qui la montre en train de peaufiner bien consciencieusement le travail. Elle s’attarde avec application sur le gland de belle taille qu’elle astique à grands coups de langues. Je peux imaginer qu’elle est en train de penser à la façon dont une fois bien mise il va pouvoir longuement lui tripatouiller les entrailles.

J’ai honte de l’avouer, mais je termine les téléchargements avec une belle érection. En me dirigeant vers les vestiaires, je me demande si je ne devrais pas immédiatement téléphoner à ma femme. Je ne peux pas m’empêcher d’imaginer qu’elle va me répondre en train de se faire prendre. J’imagine qu’il y a plusieurs hommes dans notre chambre, qu’ils ne lui laissent aucun répit, et entendre le mari qui ne se doute de rien, parler pendant que l’on baise sa femme, quoi de plus excitant?
Un groupe de vacanciers vient de débarquer et commence à investir le plus grand des toboggans à grand renfort de cris.
Je m’installe au bord de la piscine et me décide à passer mon appel avant de rejoindre les vestiaires.

— Allo Chérie ?
— Oui...Marc ?
— Je viens d’arriver. Je t’envoie une photo. Comment vas-tu ma petite chérie?
— Ça va un peu mieux, mais par moments je me sens toute gonflée, j’ai l’impression que mes organes me remontent par à-coup jusque dans l’estomac.

Je comprends que la petite garce a décidé de profiter de ce coup de téléphone pour pimenter un peu plus la situation. Cela l’excite de me parler pendant qu’elle me cocufie. Je ne sais trop pourquoi, mais je rentre dans son jeu.

— Ah bon. Et tu as pensé à changer de position ?
— Oui, j’ai essayé toute sorte de postures.
— Bon OK, tu as reçu ma photo, comment tu là trouves ?
—Attends un peu, mon écran est tout sale, il y a comme un voile dessus, je vais le nettoyer.
— ...
Comment aurais-je pu imaginer que ma femme était alors en train de lécher son écran entièrement recouvert par le sperme de son partenaire.
Notre conversation se poursuit encore quelques minutes sur le même registre : elle déclare qu’on lui a apporté le petit déjeuner dans la chambre. Une grosse portion. Elle a eu du mal, mais elle a fini par tout avaler.
Maintenant, elle se sent bien remplie, etc.

Tout ça me rend dingue, sur la plupart des photos, non seulement son visage n’est pas dissimulé, mais on peut la voir la bouche grande ouverte ou la langue tirée, j’imagine qu’elle est en train de crier ou de couiner, chose qu’elle ne fait jamais avec moi. Cette salope ne fait rien pour cacher qu’elle prend son pied alors même que ces hommes n’arrêtent pas de la photographier.

Je me trouve un vestiaire isolé. En fouillant au fond de mon sac je retrouve la petite culotte noire transparente de Marie-Jo qui, je m’en souviens alors, est là depuis Acapulco. Je l’avais récupérée lorsqu’elle s’était mise en maillot de bain sur la plage juste après notre arrivée sur l’île. Je la passe et contrôle une nouvelle fois son dossier photo sur mon smartphone. Il y a encore trois photos de plus.


Sur les deux premiers clichés, notre « malade » pose tout sourire.
Il est clair que, même si au départ Juan l’a un peu forcée, elle n’a que très peu opposé de résistance et très vite il lui a mis le feu au cul. Elle profite à fond de l’occasion pour en tirer un maximum de plaisir.
Je comprends sur le dernier cliché la raison pour laquelle ma femme a dû interrompre notre conversation pour nettoyer son écran.
Je sens que moi aussi je vais éjaculer en regardant ce cliché.
J’ai tout juste le temps d’enfiler la petite culotte. Impossible de me retenir. J’éjacule aussitôt. Je me sens tout penaud et honteux. Je réalise que je suis en train de devenir une véritable petite fiotte. Cela n’est pas la première fois que je me soulage avant même de bander réellement et sans pouvoir me retenir. Cela m’est arrivé à plusieurs reprises depuis quelque temps et même avec mon épouse, pas plus tard que l’avant-veille . Je suis en train de devenir tout à la fois cocu et éjaculateur précoce. Cela est très humiliant, mais en même temps je ne peux me cacher que cela m’excite incompréhensiblement.
Tout à mes réflexions, j’enfile mon maillot de bain, enferme toutes mes affaires, y compris mon smartphone, dans un casier et me dirige vers la sortie. J’ai toute la journée devant moi pour profiter des installations du parc.

Ce que mon épouse ignore encore c’est que notre vol romantique en montgolfière a été reporté au lendemain. Après notre réservation sur internet j’avais reçu un appel m’informant que, conditions météorologiques obligent, les vols ne pouvaient se tenir que le matin très tôt à partir de 6h30. Compte tenu des événements, je n’avais pas cru opportun de transmettre le message. Une décision sans doute discutable, affaire à suivre…
J’emprunte plusieurs fois le grand toboggan. La chaleur devenant éprouvante, je termine la matinée dans la grande piscine.

Il est temps de prendre l’apéritif. Pour le déjeuner je cherche un bon restaurant sur le trajet du Lac. J’ai l’intention de reconnaître les lieux pour le rendez-vous très matinal du lendemain matin.
Je repense à ma femme. Que fait-elle en ce moment ? Va-t-elle prendre un déjeuner en galante compagnie?
Pour ma part, je trouve un restaurant thaï, pas vraiment sur ma route, mais cela me changera de la cuisine mexicaine.
Sur la route, je repense encore à tout ça. Je me suis promis de ne plus regarder son compte jusqu’au moment de rentrer en fin d’après-midi. Ce qu’elle a pu échanger avec Juan ce matin m’obsède en boucle. Quelle est sa véritable responsabilité? La vérité c’est qu’elle a bien manœuvré pour se débarrasser de moi.

Mais la journée est loin d’être terminée. Je ne suis pas au bout de mes surprises. Je fais le tour du lac, puis, au moment de prendre le chemin du retour vers notre hôtel je consulte une nouvelle fois mon mobile. De nouvelles photos sont arrivées. Ce sont des photos prises en extérieur. Qui a pris ces clichés ? Mais que fait ma femme à s’exhiber dans tous ces endroits ? Pour en savoir plus, je pense qu’il me faut absolument arriver à lire les WhatsApp échangés à cette occasion.

En attendant, je peux vous donner quelques précisions à partir des bribes de conversations que je suis parvenu à intercepter plus tard dans la soirée. Je n’ai eu que le temps de lire, de prendre quelques notes et de mémoriser tant bien que mal les textes. Je peux sans attendre les reconstituer approximativement.

— Tomé algunas fotos. Puedo enseñárselo a tu marido
— No, te le ruego!
— OK. Y a cambio vais a hacer la puta para mí.
Vas a ser mi puta hoy. mis amigos piensan que eres hermosa,
— Sí,si , estoy de acuerdo.
— Creo que te has comportado como una cerda!
— Si,Soy una perra dura de vencer.
Soy una muher muy puta y me encanta el sexo
— Ven aquí y te follaré tan duro que te saldrá por el culo
— Voy a llenarte toda el útero con de esperma caliente

Traduction à suivre…

Les avis des lecteurs

Ce récit est-il toujours en ligne?

Histoire Libertine
Sinon le mec plante la femme la laisse tout payer et se casse surtout qu’elle prends des risques inconsidérés !!!

Histoire Erotique
Par contre nous attendons toujours la double-anale promise... Je suppose que tôt ou tard ils lui feront "subir" de l'uro
Nous savons qu'elle est jolie mais comment est-elle ? grande ? petite ? blonde ? rousse ?



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Histoire sexe : Une rose rouge
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