Chapitre III - Cantina à Jojutla de Juárez

- Par l'auteur HDS Marcfram -
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Récit libertin : Chapitre III - Cantina à Jojutla de Juárez Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-02-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Chapitre III - Cantina à Jojutla de Juárez
Marie-Jo m'avait amené dans un restaurant qui servait de la cuisine mexicaine traditionnelle et régionale. L'aménagement intérieur minimaliste avait tout de la "cantina" mexicaine moderne.
Sur la carte, des délices telles que tacos, burritos ou ceviche avec du poulpe, des kumquats ou des piments jalapeño fumés. Je suppose que Juan lui avait conseillé cet endroit proche de notre hôtel.
Il avait également dû la briefer sur les quelques curiosités du coin histoire de pouvoir justifier la durée de son absence. Malgré la chaleur elle avait apprécié l'architecture et la composition du parc Centrales Garden à peu près la seule curiosité de cette bourgade
de 20 000 habitants.
En réalité Juárez n'était qu'une étape programmée pour notre journée de repos sur les bords du lac Tequesquitengo.
Nous étions ensuite directement rentrés à notre hôtel. En passant devant le camping-car de Juan, je n'avais pas pu m'empêcher de faire une réflexion agacée sur le stationnement anarchique qui semblait être la norme dans cette partie du Mexique. Je n'étais pas près d'oublier que j'avais vu Marie-Jo sortir de ce même camping-car deux heures après y être rentrée. Je ne parvenais pas à m'enlever de la tête cette succession d’images courtes et vicieuses ou elle jouait un rôle central, parfois avec plusieurs hommes. Un déferlement permanent
Pour moi , il n'y avait aucun doute, elle en avait eu envie et ce Mexicain avait su la faire jouir au-delà de tout ce qu’elle aurait pu imaginer en se rendant à son rendez-vous. Ce vieux cochon en avait largement profité. J’en eus très vite la confirmation, ma femme avait accepté de se livrer sans retenue aux pires cochonneries dès ce premier rencart.

Marie-Jo s'était très vite endormie. Les couilles vides, je ne tardais pas à la suivre en imaginant son ventre fécond rempli du sperme que lui avaient injecté tour à tour plusieurs inconnus bien montés.

Je me réveillais plusieurs fois dans la nuit pour vérifier l’écran d’accueil de son smartphone. Ses précédents échanges m'avaient convaincu qu'elle était loin d'en avoir terminé. J’imaginais même qu'elle allait continuer de me cocufier jusqu'à la fin de notre séjour.

Elle était déjà réveillée lorsque les premiers messages étaient arrivés.
Son téléphone était en silence, mais il m'avait bien semblé voir son écran s'éclairer brièvement. Récupérant son smartphone au passage elle était restée longtemps enfermée dans les toilettes à les consulter et à se laisser entraîner, du moins je l’imaginais, dans des conversations encore plus obscènes que celles de la veille.
Je ne fus qu'à moitié surpris en la voyant sortir la mine défaite et les jambes flageolantes. Je ne savais trop que penser, mais m'attendais au pire.

Nous avions prévu toute une journée relax sur les bords du lac Tequesquitengo. Tout était organisé. Nous devions passer la matinée dans le parc aquatique Aqua Spash suivi d'une ballade en Montgolfière aux abords du lac. Bien que tout soit réservé et payé, elle ne se sentait vraiment pas de partir toute une journée. Certainement le repas de la veille qui ne passait pas.
Elle avait la nausée et très mal au ventre.
Des crampes abdominales intermittentes, des douleurs violentes dans le bas-ventre irradiant au dos. Impossible de faire quoi que ce soit. Elle devait absolument se reposer pour avoir une chance de se retrouver en état pour le lendemain.
Même si elle paraissait réellement mal en point, je me doutais bien qu'il s'agissait là d'un prétexte pour passer toute une journée avec Juan.

— Écoute chérie, je suis désolée, mais je ne veux pas te priver de cette sortie. Tu n'as qu'à y aller sans moi.Tu pourras prendre des photos et me raconter...
Je l’écoutais sans trop savoir que répondre. L'idée, que ma toute jeune femme allait peut-être une nouvelle fois se faire enfiler par un et même j’en étais quasi certain par plusieurs Mexicains bien vicieux quelques jours seulement après notre arrivée dans ce pays, me rendait dingue.
— Cela m'ennuie vraiment de te laisser seule. J'aimerais pouvoir faire quelque chose...
Mais déjà j'imaginais la suite: rester n'apporterait rien de plus et puis tout était déjà payé !
— Tu ne peux strictement rien faire. Je vais prendre du spasfon et demain j'irai mieux.
Tu parles, à tous les coups, cette salope allait se faire mettre pendant que je serais en train de m'éclater sur des toboggans aquatiques géants. Je me remis à bander. Il me fallait absolument jeter un coup d’œil sur son smartphone avant de partir. C'était malsain, mais je savais que cela rajouterait à mon excitation.
J'imaginai les messages les plus pervers, surtout après ce qui s'était passé la veille.
— D'accord, tu as raison. Je vais me préparer.

J'en suis à mettre mes chaussures lorsqu'elle se précipite de nouveau dans les toilettes.
Occupée avec ses textos, j’imagine qu'elle n'a pas eu le temps de se soulager lors de son précédent passage aux toilettes.
Sans compter que son envie pressante ne peut que crédibiliser sa comédie. Je profite aussitôt de l'occasion pour me mettre à fouiller sur son smartphone. Il n'est toujours pas verrouillé et le son est désactivé. Je m'attends à tout, pourtant, dès les premiers messages, j’ai comme l’impression de recevoir une avalanche de coups dans l’estomac.
Pour commencer, cette garce a échangé des textos la veille, alors que nous étions ensemble au restaurant. Je me rappelle très bien qu'elle était passée aux toilettes peu de temps après que nous ayons passé commande. Elle s'était du reste un peu trop attardée et elle m'avait même embrassé pour se faire pardonner. Et moi qui ne m’étais douté de rien. Si j’avais su ce qu’elle venait de faire ! Quelle salope!
Un copier/coller du premier écran sur DeepL traducteur me tétanise :

— Hello
— Je suis au restaurant avec mon mari.
— Maintenant, va aux toilettes.
Marie-Jo, mets-moi sur haut-parleur.
Lève ta robe et baisse ta culotte.
Mets-toi le doigt dans le cul.
Prends la photo !
— Tu es fou
Tu es fou, je ne peux pas faire ça.
— Oui, salope !
Oui, je veux te voir avec un doigt dans le trou du cul.
T’aimes ça, ma salope !
— Oui, je suis une grosse salope
— Allez, suce ton doigt.
Recommence, Marie-Jo. Vas-y !
Retourne voir ton mari. Embrasse-le sur la bouche ! avec la
Langue.
— Juan, tu es un pervers et un coureur de jupons.
— La prochaine fois, tu me lécheras le cul et ensuite tu embrasseras
Ton mari.
— Ça c’est trop sale, espèce de salaud. Tu aimes qu’on te lèche le trou du cul ?
— Oui, dis-le que tu le feras, salope !
— Oui, oui, je le ferai.

Je n’en reviens pas : ce type lui fait répéter et écrire les pires cochonneries. Putain, ce petit gros tout poilu tient vraiment ma femme par le cul. En un rien de temps il en a fait une vraie chiennasse.
Sur l’écran suivant, je découvre une première photo qui vient illustrer tout ce qu’ils viennent de dire. Je reconnais les toilettes du restaurant. Le cadrage montre son alliance, notre alliance au premier plan. Ma jeune femme est en train d’exposer son derrière et de se photographier en train de se mettre les doigts dans le cul.

Les échanges continuent. Des messages de Juan.
— La próxima vez me besarás el culo y luego besas a tu marido
— Está sucio, bastardo. ¿te gusta que te laman el culo?
— Si, di que lo harás, zorra!
— Sí, si, lo haré

— Enciende la cámara para que pueda verte.
— Enséñame tu plug anal.
— Ahora, ponte esto tapón anal en el culo

— Vamos a estirar tu culo en público

— se van a divertir con tu culo en público y en las narices de tu
cornudo marido
Même si certains mots répétés encore et encore sont clairement obscènes, la compréhension générale m’échappe. Je n’ai pas le temps de me lancer dans des traductions, je me contente de faire plusieurs captures d’écran et de les transférer sur mon téléphone par Beam. Ce faisant, l’une des dernières phrases attire particulièrement mon attention et je la traduis.

— seremos tres para controlar tu culo
« on sera trois à contrôler ton cul. »

Cette traduction me laisse plus que perplexe. Je me souviens alors que certains comportements de Marie-Jo la veille au restaurant m’avaient paru bien étranges. Je ne sais trop comment, mais j’imagine un rapport avec le fait qu’elle n’avait pas arrêté de tortiller du cul sur sa chaise à plusieurs reprises elle avait adopté des attitudes plutôt bizarres au rythme de légers bourdonnements intermittents perceptibles malgré le bruit ambiant.
Nous étions restés pas loin de deux heures au restaurant et après son retour des toilettes elle n’avait pas cessé de gigoter. Ce n’était pas dans ses habitudes et je lui avouais même mon étonnement en l’entendant, à plusieurs reprises pousser des soupirs et même de petits cris qui ne passaient pas inaperçus. Des voisins de table allant jusqu’à se retourner d’un air interrogateur. Ses explications : piqûres de moustique ou encore nourriture trop épicée ne m’avaient qu’à moitié convaincu.

Je reviens sur certains messages précédents et je commence à comprendre, très vite je fais un dernier copier/coller de l’ensemble dans le traducteur.

« Maintenant, avant de rejoindre ton mari, tu vas mettre ce plug anal dans ton cul. Tu sais que l'on peut le contrôler partout dans le monde via Internet. Ce soir nous serons trois à contrôler ton cul.
Deux de mes amis sont dans ce restaurant et ils vont utiliser ton cul en public. On va te dilater le cul en public, ma salope.Oui, ils vont s'amuser avec ton cul en public et sous le nez de ton cocu de mari.
Ils vont étirer ton cul si loin que tu verras des étoiles et crois-moi
Après ça, on va utiliser ton petit cul de pute tous les jours »

JE n’en reviens pas, ce type est bien en train de la chienniser complètement.
Je me souviens alors de ces deux types à une table voisine qui n’arrêtaient de regarder ma femme tout en pianotant sur leur mobile. Contrairement à ce que j’avais pu penser, ils ne jouaient pas en ligne tout en la trouvant mignonne, ils s’amusaient avec le derrière de ma femme en lui dilatant son cul sous mon nez.
Ils avaient même brièvement échangé des textos avec Marie-Jo pendant le repas.
« Le service de location voiture » m’avait-elle répondu.
Je découvrais alors sur son mobile un service de location particulièrement indiscret.
— ¿Qué dices, nena, cuando te estiran el culo? ¿te gusta?
« Qu'est-ce que tu en dis, bébé, quand on te dilate le cul ? Tu-aimes ? »
— Sí sí me encanta.
« Oui, oui j'aime ça. »
— Cariño, mañana te haremos una doble penetración anal para que nunca nos olvides.
« Chérie, demain, nous te ferons une double pénétration anale pour que tu ne nous oublies jamais. »

Je me suis même souvenu qu’en partant, ils avaient échangé quelques mots lorsque nous étions passés près de leur table.

— ¿ mi hermosa te gustó que te estiraran el culo?
« Alors ma chérie tu as aimé qu’on te dilate le cul ? »
Lorsque ma femme, sans s’arrêter, leur avait simplement répondu
— sí, sí, me gustó
« Oui, oui , j’ai aimé »
j’avais logiquement pensé qu’ils parlaient de la qualité du repas !

Mais ce n’est pas terminé. Je commence maintenant à découvrir les échanges de ce matin.
— Tomé algunas fotos. Puedo enseñárselo a tu marido.

Juste derrière, je découvre, illustrant ses paroles, une photo de Juan en train d’enculer Marie-Jo.
Elle est sur le côté, à moitié appuyé sur un canapé-lit, le visage tourné vers l’objectif, son débardeur remonté au-dessus des nichons, le sexe de Juan à moitié enfoncé entre ses deux belles fesses blanches paraît encore plus gros que sur la photo de la veille. Au moins 6cm de diamètre, presque le double de la moyenne. Le cadrage est parfait, je vois Marie-Jo sourire alors que ce salaud est sur le point de lui casser le cul. Visiblement un deuxième homme les regarde et prend les photos. Il n’y a même pas de rideaux sur les fenêtres du camping-car. Si j’étais sorti de l’hôtel à ce moment-là, j’aurais peut-être pu voir toute la scène depuis la rue.

Immédiatement derrière ce cliché, il commande à Marie-Jo de venir le rejoindre. La menace est claire « Puedo enseñárselo a tu marido », elle n’a pas trouvé d’autre solution que d’accepter.
Je me mets à trembler d’excitation et d’émotion en voyant que trois autres photos sont en train d’arriver. Presque simultanément, j’entends ma femme déverrouiller la porte des toilettes.
Je n’ai que le temps de m’envoyer les nouveaux clichés, de reposer son téléphone et de m’écarter.
Elle s’est remise au lit lorsque je quitte les lieux.

- À ce soir, ma chérie, repose-toi bien. On s’appelle.
Après avoir dit ces derniers mots, je réalise qu’elle sera certainement en train de baiser lorsque je l’appellerai dans une heure ou deux.
Dans l’ascenseur, je repense aux photos et je me remets à bander.
Arrivé dans notre voiture je m’empresse d’afficher successivement les trois photos que je n’ai pas encore pu voir.
J’en ai le souffle coupé.
Le premier cliché est un montage de deux photos. On peut y voir ma femme tout sourire, enlacée par Juan vêtu d’un sombrero charro et tout à côté, le visage de ma femme en gros plan avec la grosse bitte du mexicain dans la bouche et deux longues chandelles de sperme bien épais qui sortent de chacune de ses narines. Un texte explicatif en anglais accompagne ces deux photos. Nos deux prénoms sont mentionnés en même temps que les conditions permettant d’obtenir ce résultat particulièrement obscène.
Je traduis rapidement :

« Juan est tellement excité qu’il donne à la femme de Marc un ‘’whore’s gallon’’. La quantité exacte de sperme nécessaire pour surcharger la gorge, la bouche et la capacité nasale de Marie-Jo, ce qui fait que le sperme jaillit de sa bouche ou ici de son nez »

Les clichés suivants laissent clairement comprendre que Juan ou l’un de ses amis a eu le temps de créer un site sur ma femme et que la vidéo et les photos qui sont maintenant affichées sur mon écran ont directement été envoyées depuis son téléphone afin que tout le monde voie bien ce qu’il était en train de faire à la toute jeune mariée française.
Ce salaud a envoyé sur le net et réseaux sociaux toutes les photos et la vidéo. Le tout agrémenté d’une petite annonce accrocheuse : femme française jeune mariée cherche à baiser, envoyer message pour qui voudrait se la faire.
Je comprends que je ne contrôle plus rien. De fait, Juan a déjà mis ma femme en ligne et de découvrir que ma femme est maintenant exhibée sur le net me la fait encore durcir.
L’une des photos montre sa page d’accueil avec login et mot de passe et en fond d’écran Marie-Jo nue allongée sur le ventre.
La photo suivante montre que la photo la montrant du sperme s’écoulant de ses narines est déjà largement commentée..
Ne pouvant faire de copier/coller à partir des photos, je suis obligé de taper tout le texte sur google pour les traduire.

• Patrick Hobart - 01/04/2023
That is nasty. It is vile. It is disgusting. Can Juan show me how to do it ?
• Juan - 01/04/2023
Yes, this is very nasty and disgusting.
Swallowing is a set of coordinated muscle movements that control the mouth, back of the throat and the esophagus. My big cock filling her mouth prevents the soft palate from going up and contacting the back and sides of the throat.
I cum a lot and the swallowing disorders issue from my big cock result in nasal regurgitation.
Would you like to do this with Marie-Jo ?
• Juan - 01/04/2023
And of course, after that she had to sniff back and swallow all of my cum or as much as she could. She could do this with you while staring into your eyes...Tell her how much you would like.
• Patrick Hobart - 01/14/2023
I would love to make her shoot cum out of her nose. But would she be able to sniff it nack in? I would be happy to lick and suck it up. I could even spit it back into her mouth. The degraded nasty filthy little whore would like that I bet


Outre les commentaires, de nombreux mails relatifs à l’annonce pour baiser ma femme sont également arrivés. Il n’a pas fallu longtemps pour qu’ils tombent en masse pour la baiser.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Superbe... très excitant..... encooooreeee

De plus en plus hard! Jusqu'où ira Marie-Jo?



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Histoire sexe : Une rose rouge
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