Charlotte (XII)
Récit érotique écrit par Kaminu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Charlotte (XII)
Le lendemain, Charlotte propose que nous dînions chez elle. En vacances, elle a toute
la journée pour faire des courses et préparer à manger, je ramènerai juste une
bouteille de vin. Je demande à Julie si elle n'est pas déçue et aurais préféré aller
au resto, elle me dit que c'est parfait comme ça.
À 8 heures, je vais la chercher. Elle s'est changée pour mettre un robe légère
assortie de mocassins blancs tous simples. Craquante. La soirée allait être habillée,
une fois n'est pas coutume. Charlotte, elle, s'est fringuée vacances : chemisette en
voile de coton, jupe ultra courte et sandalettes, évidemment ni culotte ni soutien-
gorge. Si l'absence de culotte n'est pas visible sauf sous certains angles, ses seins
sont quasiment au grand jour sous sa chemisette à peu près transparente. Je porte une
chemise d'été, un jean et des mocassins (sans chaussettes), pas de slip ni caleçon.
Je fais les présentations : "Julie, Charlotte ; Charlotte, Julie". Elles se font
spontanément la bise, le courant passe et leurs sourires respectifs sont sincères. La
tenue plus que légère de Charlotte ne semble pas choquer Julie (elle nous dira plus
tard que ça l'avait même séduit et un peu excitée).
Les langues se délient dès l'apéro :
- [Charlotte] Sylvain ne m'a pas menti, tu es vraiment très mignonne.
- ça la gêne Charlotte...
- on doit lui dire trop souvent !
- [Julie] disons qu'il n'y a pas que ça. Et puis vous aussi vous être mignons.
Charlotte, tu es très belle, Sylvain a beaucoup de chance.
- mais il le sait, il le sait (rires).
- [Julie] je ne connais pas grand-monde ici, il a dû te le dire.
- [Charlotte] il m'a dit, oui.
- alors ça fait plaisir d'être reçue à dîner comme ça. Voilà, comme ça c'est dit !
(grand sourire) Les soirée devant la télé, je sature un peu.
- [Charlotte] je sens qu'on va être copines, tu me plais. Enfin, si tu es d'accord.
- pourquoi pas" (sourire).
Dans la cuisine pour donner un coup de main à Charlotte, à voix basse :
- c'est une idée où tu la dragues ?
- elle me plaît ta copine.
- je t'en demande pas tant !
- rassure-toi, je suis une fille très partageuse.
- garce."
Elle me tire la langue et me met la main au paquet en passant pour regagner le séjour.
- mais t'es déchaînée ce soir. Mollo quand même.
- je me calme, promis."
Je dépose un petit baiser sur ses lèvres.
- [Julie, depuis le salon] je peux vous aider ?
- [Charlotte] merci, c'est sympa, on arrive, installe-toi Julie."
Le dîner est secoué de rires comme si nous étions amis depuis 10 ans. Ce qui se passe
est incroyable, je ne pensais pas que ça aurait été si facile. Mais tant mieux, la
soirée est des plus agréable.
Un peu avant le dessert, Charlotte lui propose carrément :
- tu veux venir passer le week-end à la campagne avec nous ? Un copain garde la maison
de ses parents pendant qu'ils sont en vacances, c'est à peine à 10 kilomètres d'ici.
- alors là...
- non ?
- si, au contraire, ce serait génial.
- [moi] il y a une piscine.
- [Charlotte] et un grand jardin.
- c'est sympa, vraiment.
- [Charlotte] il y a juste un détail...
- lequel ?
- Sylvain t'a dit qu'il était naturiste ?
- [moi] Charlotte aussi.
- ah...
- tu n'as jamais essayé ?
- ben... non, et j'avoue que je n'en ai pas envie.
- tu pourras garder ton maillot, il n'y a aucun problème.
- je préfèrerais."
Je sens Julie refroidie et quelque peu pensive.
- [moi] on t'a choquée.
- non non... Enfin si, un peu. Finalement, je ne sais pas si je vais venir.
- [Charlotte] si tu veux, on gardera nos maillots nous aussi pour que tu ne sois pas
mal à l'aise.
- je ne veux pas gâcher votre week-end.
- [Charlotte] *notre* week-end Julie. Et tu ne le gâcheras absolument pas.
- [moi] on gardera nos maillots.
- d'accord alors. Vous êtes sûrs que ça ne vous dérange pas ?
- [Charlotte] on préfère garder nos maillots et que tu sois là plutôt que l'inverse.
Oublie qu'on t'a dit qu'on était naturistes.
Elle sourit : "mais vous l'êtes."
- [moi] tu as l'impression que c'est "sale" ?
- pas sale, non, mais je ne pourrais pas être toute nue devant d'autres personnes.
- même pas des amis ?
- je ne sais pas. Pourtant... Non, rien.
- [Charlotte] Julie, moi je te considère comme une amie, tu peux me dire ce que tu as
sur le coeur.
- en fait, une fois ça m'est arrivé mais j'étais seule.
- [Charlotte] et tu as vécu ça comment ?
- j'ai adoré, mais je serais incapable de faire ça en public.
- [Charlotte] écoute, on gardera tous nos maillots. Si tu as envie d'essayer, on te
laissera la piscine pour toi toute seule, on ne regardera pas, on ira faire des
courses. Personne, absolument personne ne te forcera à te déshabiller.
- [moi] on te dira à quelle heure on rentre – et on ne rentrera pas avant – pour que
tu puisse remettre ton maillot à temps.
- vous êtes super sympas, je viens."
Après le dîner, nous allons prendre un verre en terrasse avant de raccompagner Julie
chez elle. Vers 11 heures, nous l'embrassons sur le pas de sa porte :
- vers quelle heure tu veux qu'on passe te prendre demain matin ?
- 10 heures ?
- on sera là.
- bonne nuit à vous deux et merci pour cette super soirée, j'ai hâte d'être à demain.
- bonne nuit Julie."
Je passe la nuit chez Charlotte pour l'aider à ranger et retrouver le bonheur de son
lit.
- au fait, tu as prévenu Fabrice ?
- oui, je dois juste le rappeler demain matin pour lui dire à quelle heure on arrive
et qu'on sera trois au lieu de deux.
- elle te plaît bien, "ma" Julie, on dirait.
- cette fille est adorable et elle cache bien son jeu.
- pardon ?
- je te parie ma culotte...
- quelle culotte ?
- je te parie une culotte que demain après-midi, elle est nue dans la piscine avec
nous.
- qu'est-ce qui te fait dire ça ?
- elle joue les saintes Nitouche, ça se voit comme le nez au milieu de la figure.
- ben dis donc, moi j'ai rien vu.
- normal, t'es un mec.
- salope, tu vas me payer ça (rire).
- vas-y, tringle-moi comme une chienne, je le mérite.
- non, sérieux Charlotte, tu es sûre de ton pronostic.
- tu verras."
Elle se déshabille, ce qui lui prend une dizaine de secondes, j'en fais autant.
- [elle] qu'est-ce qui t'excite chez elle ?
- c'est bête à dire mais peut-être une forme de pureté.
- elle est bien foutue aussi.
- c'est sûr, elle est canon, mais en même temps elle a un côté...
- sainte Nitouche. Tu crois pas qu'elle sait que les mecs voient qu'elle n'a pas de
soutif sous son t-shirt au bureau ?
- oui, maintenant que tu le dis...
- elle a des seins magnifiques et elle le sait.
- le reste est pas mal non plus.
- je lui boufferais bien la moule.
- Charlotte...
- quoi ? pas toi ?
- si, et plutôt deux fois qu'une (sourire).
- imagine-là en train de te sucer.
- hmmm...
- regarde ça comme tu bandes sale cochon !
- tu peux parler toi, le nez dans sa chatte.
- je te parie qu'elle est en train de se masturber en ce moment."
. . .
- [moi] branle-toi, j'aime tellement te voir te branler.
- je sais." (sourire)
- tu sais ce que je voudrais, c'est que tu... que tu m'inondes.
- précise.
- que ta mouille coule sur mes joues, mon front, mes yeux, je voudrais que tu jouisses
sur moi.
- que j'éjacule, comme un mec ?
- oui.
- mais je ne peux pas éjaculer comme toi.
- non, mais tu pourrais... tu pourrais couler.
- on va essayer."
Je m'étends, elle s'accroupit au-dessus de mon visage et se masturbe avec vigueur. Son
jus coule doucement le long de sa raie, une première goutte tombe sur ma joue, je
m'ajuste afin de recevoir la seconde dans la bouche :
- ça marche, tu commences à couler.
- doigte-moi le cul, ça devrait m'exciter encore plus."
Je satisfais sa demande immédiatement, la coulée de cyprine poursuit son rythme,
plusieurs gouttes sont déjà tombées sur mon visage dont quelques unes que j'ai pu
avaler. Je la doigte sans relâche en essayant de ne pas détourner le cours de sa
mouille.
- c'est géant, continue...
- mordille mon clito sans lui faire mal."
Elle s'abaisse jusqu'à coller sa vulve sur mon menton, je passe ma langue autour de
son bouton puis le mords très doucement. Pas très longtemps, elle se relève et
recommence à se branler fortement, écarte ses grandes lèvres pour faire goutter son
jus directement sur mon visage.
- ouiii, je meurs tellement c'est bon, inonde-moi Charlotte !"
Je suis presque couvert de mouille du nez au menton, je m'en pourlèche. Sa source ne
se tarit pas, au contraire, j'ajuste la tête pour en recevoir partout : le nez, les
joues, les oreilles, les paupières, le front. Régulièrement, elle me donne son doigt à
lécher que j'engloutis comme une friandise :
- si on la récoltait sans un verre, je pourrais le boire.
- un jour, on va le faire. Tu en as bien partout, je te montrerai dans la glace
après."
Je suis tellement excité que j'en oublie de me branler, elle s'en étonne.
- après."
Ma douche de mouille m'envoie au septième ciel et Charlotte continue à couler sur moi,
même mes cheveux sont mouillés. Pour m'exciter encore plus, elle y joint la parole :
- tu te sens comment ?
- souillé, j'adore ça.
- si je suis une bouche à pipes, tu es un essuie-moule.
- oui.
- tu aimes ça être une serpillère ?
- ...
- un vide-chatte ?
- ...
- avale, ma petite salope."
C'était à peu près les mots qu'elle utilisait lors de nos joutes oratoires sans
conséquences, mais là le ton de sa voix était différent, plus détaché, presque froid,
autoritaire. Elle continue :
- cochon, sale cochon. Si tu voyais ta gueule."
Surpris, je m'arrête et tente de me dégager, elle plaque sa chatte sur mon visage.
- ne bouge surtout pas ma salope, tais-toi et continue à m'éponger la moule.
- mais Charlotte...
- tais-toi j'ai dit, n'ouvre la bouche que pour bouffer mon jus."
Son regard était noir, elle ne souriait plus.
- je...
- encore un mot et je te pisse dessus.
- ...
- compris ?!"
Je hoche la tête pour dire oui. Charlotte s'était transformée en monstre et me
terrifiait.
- tu comprends vite, vide-chatte. Maintenant, lèche-moi et applique-toi, fais-moi
reluire le cul."
Elle s'essuie la vulve et l'anus sur mon visage comme on essuie ses chaussures sur un
paillasson. Je manque d'étouffer et ne parviens pas à retenir un gémissement.
- qu'est-ce que j'entends ? Tu veux vraiment que je te pisse dessus alors ?"
Je balance la tête de gauche à droite pour dire non. Pitié, pas de pisse. Ça me
dégoûtait.
- c'est bien, salope. Maintenant, branle-toi". Ouf, je respire. Elle se relève,
enjambe mon visage trempé et réitère son ordre : "branle-toi comme tu te branles
devant tes films de cul, magne-toi, je te regarde." Ma queue est presque totalement
débandée, je la branle pour la faire durcir mais elle reste molle.
- branle-toi mon coeur, tu veux bien ?"
Elle redevient subitement douce, me sourit l'air de dire "c'est fini, n'aie pas peur".
L'excitation me gagne à nouveau, mon érection revient et je peux me branler à fond.
Satisfaite, elle se lève pour aller dans la cuisine et en revient avec son bol de
petit déjeuner. "Elle va me faire boire son jus" me dis-je, "génial", et je me
masturbe de plus belle.
- tu vas bientôt venir ?
- je crois oui...
- hmmm, mets-toi à genoux et éjacule dans le bol, d'accord ?
- qu'est-ce que tu vas faire ?
- tu vas voir, tu vas adorer."
Je me mets à genoux et me branle au-dessus du bol, sentant mon sperme monter.
- vise bien, j'ai envie de ne rien perdre". Pas possible, elle va le boire ? Je me
branle comme un fou en espérant juter un maximum.
Difficile d'éjaculer avec précision dans un petit récipient. Les spasmes de l'orgasme
me secouant quelque peu, je m'applique et réussis à envoyer 4 à 5 jets bien nourris
sans en mettre à côté. Elle termine de purger ma queue en la prenant dans sa main et
en pressant sur mon gland, faisant s'échapper les dernières gouttes, puis tapote ma
verge sur le bord du bol.
- voilà, parfait. Allonge-toi maintenant.
- qu'est-ce que tu vas faire ?
- allonge-toi sans discuter.
- Charlotte, qu'est-ce que t...
- tu as vraiment envie que je te pisse dessus, salope ?"
Sa voix est redevenue dure, sèche, cassante.
- dépêche-toi avant que je t'arrose de pisse, et crois-moi je vais le faire. Tu fermes
ta gueule et tu t'allonges, compris ?"
Elle me fait peur, vraiment peur. Je m'allonge.
- ferme les yeux et ouvre la bouche."
Oh non...
- ne me fais pas répéter, sinon tu sais ce qui t'attend, ce sera pire que ton foutre."
Elle va me verser le bol de sperme sur la gueule, maintenant je le sais. Je lui obéis,
persuadé que si je ne m'exécute pas, elle va vraiment me pisser dessus. Dans une
dernière tentative de ruse, je fais semblant de fermer les yeux complètement et
entrouvre la bouche.
- non ! ferme vraiment les yeux et ouvre ta bouche en grand. Tu commences à me courir
et je te préviens que j'ai VRAIMENT envie de pisser. Si dans trois secondes c'est pas
fait..." Je ferme réellement les yeux et ouvre la bouche en entier, tétanisé.
- bien. Maintenant détends-toi et apprécie..."
Je sens alors mon sperme tiède goutter sur mon front, mes joues, mes lèvres puis dans
ma bouche. "Ne recrache pas". Il se mélange à peine avec le peu de mouille qu'il me
reste en bouche, juste le goût. "Avale". Je déglutis difficilement. Elle finit de
vider le bol sur mon menton, puis le racle avec ses doigts qu'elle me met dans la
bouche : "lèche". J'obéis. "C'est bien, maintenant relève-toi sans t'essuyer. Je
répète : ne t'essuie pas." Je m'assieds.
- tu peux ouvrir les yeux maintenant."
Elle m'avait tendu un miroir. J'ai du mal à croire ce que j'y vois, ce n'est plus moi
mais un visage vitré, des cheveux poissés de mouille et des traces de sperme, mon
sperme, sur le front, le nez, mes joues et coulant de mes lèvres. Les yeux rougis, les
traits flous.
- comment tu te trouves ?
- défiguré, ce n'est pas moi que je vois.
- moi je te trouve très beau."
Elle me caresse alors le visage en étalant ma jute, la mélangeant à sa mouille, elle
me barbouille. Je suis désorienté, perdu. Qu'est-ce qui m'est arrivé. Jamais je ne
l'avais entendue parler comme ça, en maîtresse. Je lui ai obéi, j'ai eu peur, elle m'a
fait subir quelque chose n'existant dans aucun de mes fantasmes. Est-ce que j'ai aimé
? Je ne sais pas, j'ai eu peur. Peur.
Maintenant que c'est terminé et que je vois Charlotte redevenir douce, redevenir
Charlotte, maintenant qu'elle me caresse presque tendrement le visage, je me sens
mieux. Est-ce que j'ai aimé ?
Peut-être.
À suivre . . .
la journée pour faire des courses et préparer à manger, je ramènerai juste une
bouteille de vin. Je demande à Julie si elle n'est pas déçue et aurais préféré aller
au resto, elle me dit que c'est parfait comme ça.
À 8 heures, je vais la chercher. Elle s'est changée pour mettre un robe légère
assortie de mocassins blancs tous simples. Craquante. La soirée allait être habillée,
une fois n'est pas coutume. Charlotte, elle, s'est fringuée vacances : chemisette en
voile de coton, jupe ultra courte et sandalettes, évidemment ni culotte ni soutien-
gorge. Si l'absence de culotte n'est pas visible sauf sous certains angles, ses seins
sont quasiment au grand jour sous sa chemisette à peu près transparente. Je porte une
chemise d'été, un jean et des mocassins (sans chaussettes), pas de slip ni caleçon.
Je fais les présentations : "Julie, Charlotte ; Charlotte, Julie". Elles se font
spontanément la bise, le courant passe et leurs sourires respectifs sont sincères. La
tenue plus que légère de Charlotte ne semble pas choquer Julie (elle nous dira plus
tard que ça l'avait même séduit et un peu excitée).
Les langues se délient dès l'apéro :
- [Charlotte] Sylvain ne m'a pas menti, tu es vraiment très mignonne.
- ça la gêne Charlotte...
- on doit lui dire trop souvent !
- [Julie] disons qu'il n'y a pas que ça. Et puis vous aussi vous être mignons.
Charlotte, tu es très belle, Sylvain a beaucoup de chance.
- mais il le sait, il le sait (rires).
- [Julie] je ne connais pas grand-monde ici, il a dû te le dire.
- [Charlotte] il m'a dit, oui.
- alors ça fait plaisir d'être reçue à dîner comme ça. Voilà, comme ça c'est dit !
(grand sourire) Les soirée devant la télé, je sature un peu.
- [Charlotte] je sens qu'on va être copines, tu me plais. Enfin, si tu es d'accord.
- pourquoi pas" (sourire).
Dans la cuisine pour donner un coup de main à Charlotte, à voix basse :
- c'est une idée où tu la dragues ?
- elle me plaît ta copine.
- je t'en demande pas tant !
- rassure-toi, je suis une fille très partageuse.
- garce."
Elle me tire la langue et me met la main au paquet en passant pour regagner le séjour.
- mais t'es déchaînée ce soir. Mollo quand même.
- je me calme, promis."
Je dépose un petit baiser sur ses lèvres.
- [Julie, depuis le salon] je peux vous aider ?
- [Charlotte] merci, c'est sympa, on arrive, installe-toi Julie."
Le dîner est secoué de rires comme si nous étions amis depuis 10 ans. Ce qui se passe
est incroyable, je ne pensais pas que ça aurait été si facile. Mais tant mieux, la
soirée est des plus agréable.
Un peu avant le dessert, Charlotte lui propose carrément :
- tu veux venir passer le week-end à la campagne avec nous ? Un copain garde la maison
de ses parents pendant qu'ils sont en vacances, c'est à peine à 10 kilomètres d'ici.
- alors là...
- non ?
- si, au contraire, ce serait génial.
- [moi] il y a une piscine.
- [Charlotte] et un grand jardin.
- c'est sympa, vraiment.
- [Charlotte] il y a juste un détail...
- lequel ?
- Sylvain t'a dit qu'il était naturiste ?
- [moi] Charlotte aussi.
- ah...
- tu n'as jamais essayé ?
- ben... non, et j'avoue que je n'en ai pas envie.
- tu pourras garder ton maillot, il n'y a aucun problème.
- je préfèrerais."
Je sens Julie refroidie et quelque peu pensive.
- [moi] on t'a choquée.
- non non... Enfin si, un peu. Finalement, je ne sais pas si je vais venir.
- [Charlotte] si tu veux, on gardera nos maillots nous aussi pour que tu ne sois pas
mal à l'aise.
- je ne veux pas gâcher votre week-end.
- [Charlotte] *notre* week-end Julie. Et tu ne le gâcheras absolument pas.
- [moi] on gardera nos maillots.
- d'accord alors. Vous êtes sûrs que ça ne vous dérange pas ?
- [Charlotte] on préfère garder nos maillots et que tu sois là plutôt que l'inverse.
Oublie qu'on t'a dit qu'on était naturistes.
Elle sourit : "mais vous l'êtes."
- [moi] tu as l'impression que c'est "sale" ?
- pas sale, non, mais je ne pourrais pas être toute nue devant d'autres personnes.
- même pas des amis ?
- je ne sais pas. Pourtant... Non, rien.
- [Charlotte] Julie, moi je te considère comme une amie, tu peux me dire ce que tu as
sur le coeur.
- en fait, une fois ça m'est arrivé mais j'étais seule.
- [Charlotte] et tu as vécu ça comment ?
- j'ai adoré, mais je serais incapable de faire ça en public.
- [Charlotte] écoute, on gardera tous nos maillots. Si tu as envie d'essayer, on te
laissera la piscine pour toi toute seule, on ne regardera pas, on ira faire des
courses. Personne, absolument personne ne te forcera à te déshabiller.
- [moi] on te dira à quelle heure on rentre – et on ne rentrera pas avant – pour que
tu puisse remettre ton maillot à temps.
- vous êtes super sympas, je viens."
Après le dîner, nous allons prendre un verre en terrasse avant de raccompagner Julie
chez elle. Vers 11 heures, nous l'embrassons sur le pas de sa porte :
- vers quelle heure tu veux qu'on passe te prendre demain matin ?
- 10 heures ?
- on sera là.
- bonne nuit à vous deux et merci pour cette super soirée, j'ai hâte d'être à demain.
- bonne nuit Julie."
Je passe la nuit chez Charlotte pour l'aider à ranger et retrouver le bonheur de son
lit.
- au fait, tu as prévenu Fabrice ?
- oui, je dois juste le rappeler demain matin pour lui dire à quelle heure on arrive
et qu'on sera trois au lieu de deux.
- elle te plaît bien, "ma" Julie, on dirait.
- cette fille est adorable et elle cache bien son jeu.
- pardon ?
- je te parie ma culotte...
- quelle culotte ?
- je te parie une culotte que demain après-midi, elle est nue dans la piscine avec
nous.
- qu'est-ce qui te fait dire ça ?
- elle joue les saintes Nitouche, ça se voit comme le nez au milieu de la figure.
- ben dis donc, moi j'ai rien vu.
- normal, t'es un mec.
- salope, tu vas me payer ça (rire).
- vas-y, tringle-moi comme une chienne, je le mérite.
- non, sérieux Charlotte, tu es sûre de ton pronostic.
- tu verras."
Elle se déshabille, ce qui lui prend une dizaine de secondes, j'en fais autant.
- [elle] qu'est-ce qui t'excite chez elle ?
- c'est bête à dire mais peut-être une forme de pureté.
- elle est bien foutue aussi.
- c'est sûr, elle est canon, mais en même temps elle a un côté...
- sainte Nitouche. Tu crois pas qu'elle sait que les mecs voient qu'elle n'a pas de
soutif sous son t-shirt au bureau ?
- oui, maintenant que tu le dis...
- elle a des seins magnifiques et elle le sait.
- le reste est pas mal non plus.
- je lui boufferais bien la moule.
- Charlotte...
- quoi ? pas toi ?
- si, et plutôt deux fois qu'une (sourire).
- imagine-là en train de te sucer.
- hmmm...
- regarde ça comme tu bandes sale cochon !
- tu peux parler toi, le nez dans sa chatte.
- je te parie qu'elle est en train de se masturber en ce moment."
. . .
- [moi] branle-toi, j'aime tellement te voir te branler.
- je sais." (sourire)
- tu sais ce que je voudrais, c'est que tu... que tu m'inondes.
- précise.
- que ta mouille coule sur mes joues, mon front, mes yeux, je voudrais que tu jouisses
sur moi.
- que j'éjacule, comme un mec ?
- oui.
- mais je ne peux pas éjaculer comme toi.
- non, mais tu pourrais... tu pourrais couler.
- on va essayer."
Je m'étends, elle s'accroupit au-dessus de mon visage et se masturbe avec vigueur. Son
jus coule doucement le long de sa raie, une première goutte tombe sur ma joue, je
m'ajuste afin de recevoir la seconde dans la bouche :
- ça marche, tu commences à couler.
- doigte-moi le cul, ça devrait m'exciter encore plus."
Je satisfais sa demande immédiatement, la coulée de cyprine poursuit son rythme,
plusieurs gouttes sont déjà tombées sur mon visage dont quelques unes que j'ai pu
avaler. Je la doigte sans relâche en essayant de ne pas détourner le cours de sa
mouille.
- c'est géant, continue...
- mordille mon clito sans lui faire mal."
Elle s'abaisse jusqu'à coller sa vulve sur mon menton, je passe ma langue autour de
son bouton puis le mords très doucement. Pas très longtemps, elle se relève et
recommence à se branler fortement, écarte ses grandes lèvres pour faire goutter son
jus directement sur mon visage.
- ouiii, je meurs tellement c'est bon, inonde-moi Charlotte !"
Je suis presque couvert de mouille du nez au menton, je m'en pourlèche. Sa source ne
se tarit pas, au contraire, j'ajuste la tête pour en recevoir partout : le nez, les
joues, les oreilles, les paupières, le front. Régulièrement, elle me donne son doigt à
lécher que j'engloutis comme une friandise :
- si on la récoltait sans un verre, je pourrais le boire.
- un jour, on va le faire. Tu en as bien partout, je te montrerai dans la glace
après."
Je suis tellement excité que j'en oublie de me branler, elle s'en étonne.
- après."
Ma douche de mouille m'envoie au septième ciel et Charlotte continue à couler sur moi,
même mes cheveux sont mouillés. Pour m'exciter encore plus, elle y joint la parole :
- tu te sens comment ?
- souillé, j'adore ça.
- si je suis une bouche à pipes, tu es un essuie-moule.
- oui.
- tu aimes ça être une serpillère ?
- ...
- un vide-chatte ?
- ...
- avale, ma petite salope."
C'était à peu près les mots qu'elle utilisait lors de nos joutes oratoires sans
conséquences, mais là le ton de sa voix était différent, plus détaché, presque froid,
autoritaire. Elle continue :
- cochon, sale cochon. Si tu voyais ta gueule."
Surpris, je m'arrête et tente de me dégager, elle plaque sa chatte sur mon visage.
- ne bouge surtout pas ma salope, tais-toi et continue à m'éponger la moule.
- mais Charlotte...
- tais-toi j'ai dit, n'ouvre la bouche que pour bouffer mon jus."
Son regard était noir, elle ne souriait plus.
- je...
- encore un mot et je te pisse dessus.
- ...
- compris ?!"
Je hoche la tête pour dire oui. Charlotte s'était transformée en monstre et me
terrifiait.
- tu comprends vite, vide-chatte. Maintenant, lèche-moi et applique-toi, fais-moi
reluire le cul."
Elle s'essuie la vulve et l'anus sur mon visage comme on essuie ses chaussures sur un
paillasson. Je manque d'étouffer et ne parviens pas à retenir un gémissement.
- qu'est-ce que j'entends ? Tu veux vraiment que je te pisse dessus alors ?"
Je balance la tête de gauche à droite pour dire non. Pitié, pas de pisse. Ça me
dégoûtait.
- c'est bien, salope. Maintenant, branle-toi". Ouf, je respire. Elle se relève,
enjambe mon visage trempé et réitère son ordre : "branle-toi comme tu te branles
devant tes films de cul, magne-toi, je te regarde." Ma queue est presque totalement
débandée, je la branle pour la faire durcir mais elle reste molle.
- branle-toi mon coeur, tu veux bien ?"
Elle redevient subitement douce, me sourit l'air de dire "c'est fini, n'aie pas peur".
L'excitation me gagne à nouveau, mon érection revient et je peux me branler à fond.
Satisfaite, elle se lève pour aller dans la cuisine et en revient avec son bol de
petit déjeuner. "Elle va me faire boire son jus" me dis-je, "génial", et je me
masturbe de plus belle.
- tu vas bientôt venir ?
- je crois oui...
- hmmm, mets-toi à genoux et éjacule dans le bol, d'accord ?
- qu'est-ce que tu vas faire ?
- tu vas voir, tu vas adorer."
Je me mets à genoux et me branle au-dessus du bol, sentant mon sperme monter.
- vise bien, j'ai envie de ne rien perdre". Pas possible, elle va le boire ? Je me
branle comme un fou en espérant juter un maximum.
Difficile d'éjaculer avec précision dans un petit récipient. Les spasmes de l'orgasme
me secouant quelque peu, je m'applique et réussis à envoyer 4 à 5 jets bien nourris
sans en mettre à côté. Elle termine de purger ma queue en la prenant dans sa main et
en pressant sur mon gland, faisant s'échapper les dernières gouttes, puis tapote ma
verge sur le bord du bol.
- voilà, parfait. Allonge-toi maintenant.
- qu'est-ce que tu vas faire ?
- allonge-toi sans discuter.
- Charlotte, qu'est-ce que t...
- tu as vraiment envie que je te pisse dessus, salope ?"
Sa voix est redevenue dure, sèche, cassante.
- dépêche-toi avant que je t'arrose de pisse, et crois-moi je vais le faire. Tu fermes
ta gueule et tu t'allonges, compris ?"
Elle me fait peur, vraiment peur. Je m'allonge.
- ferme les yeux et ouvre la bouche."
Oh non...
- ne me fais pas répéter, sinon tu sais ce qui t'attend, ce sera pire que ton foutre."
Elle va me verser le bol de sperme sur la gueule, maintenant je le sais. Je lui obéis,
persuadé que si je ne m'exécute pas, elle va vraiment me pisser dessus. Dans une
dernière tentative de ruse, je fais semblant de fermer les yeux complètement et
entrouvre la bouche.
- non ! ferme vraiment les yeux et ouvre ta bouche en grand. Tu commences à me courir
et je te préviens que j'ai VRAIMENT envie de pisser. Si dans trois secondes c'est pas
fait..." Je ferme réellement les yeux et ouvre la bouche en entier, tétanisé.
- bien. Maintenant détends-toi et apprécie..."
Je sens alors mon sperme tiède goutter sur mon front, mes joues, mes lèvres puis dans
ma bouche. "Ne recrache pas". Il se mélange à peine avec le peu de mouille qu'il me
reste en bouche, juste le goût. "Avale". Je déglutis difficilement. Elle finit de
vider le bol sur mon menton, puis le racle avec ses doigts qu'elle me met dans la
bouche : "lèche". J'obéis. "C'est bien, maintenant relève-toi sans t'essuyer. Je
répète : ne t'essuie pas." Je m'assieds.
- tu peux ouvrir les yeux maintenant."
Elle m'avait tendu un miroir. J'ai du mal à croire ce que j'y vois, ce n'est plus moi
mais un visage vitré, des cheveux poissés de mouille et des traces de sperme, mon
sperme, sur le front, le nez, mes joues et coulant de mes lèvres. Les yeux rougis, les
traits flous.
- comment tu te trouves ?
- défiguré, ce n'est pas moi que je vois.
- moi je te trouve très beau."
Elle me caresse alors le visage en étalant ma jute, la mélangeant à sa mouille, elle
me barbouille. Je suis désorienté, perdu. Qu'est-ce qui m'est arrivé. Jamais je ne
l'avais entendue parler comme ça, en maîtresse. Je lui ai obéi, j'ai eu peur, elle m'a
fait subir quelque chose n'existant dans aucun de mes fantasmes. Est-ce que j'ai aimé
? Je ne sais pas, j'ai eu peur. Peur.
Maintenant que c'est terminé et que je vois Charlotte redevenir douce, redevenir
Charlotte, maintenant qu'elle me caresse presque tendrement le visage, je me sens
mieux. Est-ce que j'ai aimé ?
Peut-être.
À suivre . . .
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un nouveau "virage" qui laisse présager des suites torrides.
Rudy
Rudy