Chasseresse
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-12-2014 dans la catégorie Plus on est
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Chasseresse
Je ne fais pas parti de ce monde un peu snob où certaines pratiques perdurent. Je suis invité un jour à une chasse dans un domaine privé, un grand domaine, comme il y en a peu. Je dois participer à une chasse privée au faisan. A l’heure dite je suis présent dans la cour d’un petit château où plusieurs dizaines de personnes sont là. Je ne possède pas de fusil, comme d’ailleurs aucune arme à feux. C’est une femme blonde dans la quarantaine qui distribue les armes. Je la verrai ailleurs que dans ce rôle. Je ne sais pourquoi elle me sourit: je dois lui plaire sans doute. Pour aller sur le terrain j’aï bien ma voiture, une voiture tout ce qu’il y a de bien, malheureusement pas adaptée pour aller l’abimer dans des terrains innommables. C’est la femme de tout à l’heure qui me propose de monter avec elle dans son 4x4. Elle est habillée comme une chasseresse doit l’être: des bottes, une jupe longue, une veste large, presque trop qui m’empêche de distinguer sa poitrine. Elle sait bien conduire et nous voilà arrivés sur les lieux du massacre. Nous ne nous approchons pas des autres pour ne pas les gêner.
L’attente commence: nous entendons bien quelques coups de feu: chez nous pas un seul gibier ne passe. Nous bavardons, la chasse passant au second plan, surtout du temps qui ……….Au fond je suis en attente, d’un évènement plus intéressant qui n’arrive pas: j’aimerai que nous nous perdions dans les fourrés pour flirter un peu. Un rayon de soleil bien venu réchauffe un peu l’atmosphère. Ma guide tient à profiter du soleil: elle enlève la veste. Elle porte un chemisier presque transparent qui me permet de voir ses dessous, à dire vrai, son dessous, une soutien gorge en dentelle. En restant ainsi je vois une belle femme sexy, avec une longue jupe, un chemisier transparent.
Il est vrai que le soleil tape: je suis obligé moi aussi d’enlever mon pull. Je reste en simple chemise. Je ne sais pourquoi nous nous regardons en éclatant de rire. Nous remontons en voiture, la chasse ne donnait rien elle m’emmène à nouveau au château qui est vide. Nous y entrons: elle me mène vers un salon où nous commençons à parler:
- Savez-vous que personne ne rentrera avec au moins deux heures. Nous avons le temps de faire ce que nous voulons. Que désireriez vous faire.
- Moi, je vous regarde depuis tout à l’heure et je vous trouve à mon goût, alors si c’est réciproque nous pourrions ….
Je n’ai pas le temps de finir:
- Nous pourrions jouer ensemble par exemple.
- Si nous pensons au même jeu, pourquoi pas, j’aime bien jouer avec une ……… dame comme vous.
- J’aime aussi jouer avec des hommes comme vous aussi. Venez avec moi, ne restons pas ici.
Elle se lève vient vers moi. Elle est très près, je ne peux m’empêcher de commencer à jouer: je l’embrasse. C’est sa langue qui vient dans ma bouche la première
Elle me mène par la main vers sa chambre.
- Ici nous pouvons tout faire, personne pas même mon mari ne peux y entrer. Par contre si tu veux, je peux demander à une fille qui travaille pour moi et qui aime ça, venir avec nous pour nous amuser à trois. J’aime bien les trios. Pas les quatuors.
Je suis surpris de la proposition. Elle doit être assez coquine pour me proposer ce baiser à trois alors que nous n’avons même pas tiré un coup ensemble.
Elle appelle par téléphone une personne qui semble être d’accord. En attendant elle commence encore à m’embrasser, car finalement ce n’est pas moi qui l’embrasse. Sa langue est là pour le rappeler. Je peux quand même la déshabiller lentement: je découvre une foule de trésors cachés par les vêtements. Je l’embrasse partout. Elle me rend la pareille et quand je suis totalement nu, elle s’intéresse enfin à ma bite. Elle se penche un peu, juste ce qu’il faut pour venir goûter. Elle en fait un peu plus. Elle décalotte mon gland; je pense qu’elle va me branler. Elle ouvre sa bouche pour me prendre presque en entier. Je sens sa langue, encore elle, lécher toute la queue du bas vers le haut. Nous sommes debout quand la porte s’ouvre sur une jeune femme brune dans les 25 ans qui ne fait aucun cas de notre nudité, c’est ce que je crois, alors qu’elle nous regardent sans gêne. Elle imite sa patronne et se trouve vite nue. Elle s’approche et partage ma queue avec la patronne:
- Oui, Geneviève suce le, il en vaut la peine.
- Je ne vais pas me gêner pour te la prendre et la sucer seule, tu sais que j’aime le sperme plus que toi, Claire. Caresses lui les fesses et entre lui un doigt dans le cul, comme tu aime faire.
- C’est dans ton cul que j’aime mettre mes doigts. Ecarte tes jambes que je te suces.
Je suis surpris des rapports entre ces deux femmes. Ou elle sont lesbiennes ou simplement bi ? Qui finalement commande en amour, j’ai l’impressions que c’est la servante et pas la patronne.
Je regarde Claire qui penchée sur les fesses de Geneviève passe sa langue dans le creux de la raie des fesses pour aller lui prendre le clitoris, en léchant le cul au passage et sans doute y mettre des doigts. En tout cas je subit une fellation en règle. Qu’elle maestria dans cette bouche.
Je ne peux tenir longtemps à ce rythme et le dit. Geneviève arrête sa succion, même si elle me garde dans sa bouche. Je l’entend gémir: Claire doit bien la sucer aussi. Je pose la question de savoir si elle se branle en suçant l’autre femme. Evidemment: je suis bête de pose ce genre de question. Geneviève n’attend plus pour continuer, elle me suce à fond: je jouis dans sa bouche. Elle me garde en elle tout le temps que mes jets de spermes sortent.
Je ne peux plus leur servir: pour elle se n’est pas grave: elles vont s’arranger seules. Elles se couchent pour s’embrasser et se caresser les seins avant de se mettre en 69. C’est efficace de voir deux chevelures différentes s’étendre sur les ventres: je bande à nouveau. J’aimerais bien participer moi aussi à leur festin. Je vois les langues lécher le sexe de l’autre femme, je vois également des doigts qui pénètrent dans le cul de l’autre. Elles se font l’amour comme des habituées. Je sais, plus tard que presque tous les jours, elle s’amusent ensemble à se faire l’amour, Madame étant la plus sensuelle et la plus dévergondée, puisque c’est elle qui a appris l’amour entre femme à sa servante presque dès le début de leur fréquentation professionnelle.
Je ne sais pourquoi elles arrêtent de se faire l’amour. Je dois venir avec elles: Claire a besoin de ma bite pour une sodomie. Je suis volontaire toujours pour enculer une belle fille et elle l’est. C’est Geneviève qui prépare Claire: elle la fait mettre en levrette, passe sous elle pour prendre de la cyprine: de la sienne et de celle de son amante. Elle en met beaucoup sur le cul de Claire qui m’attend. Geneviève prend ma bite pour la poser sur l’anus de sa patronne. J’hésite encore à y entrer: soit d’un seul coup, soir lentement. Finalement c’est Claire qui d’un coup de rein me fait entrer dans son postérieur. J’avoue qu’elle a un cul magnifique: je m’y sens fort à l’aise. Je la lime pendant qu’avec Geneviève elles continuent à se sucer. Je sens le front de l’amante contre les couilles. Je tiens le coup longtemps. Claire ne cesse de gémir: elle dit souvent qu’elle jouit pour que Geneviève soit au courant, alors que moi je sens ses orgasmes à chaque fois.
Et Claire demande à Geneviève si pour une fois elle ne voudrait pas se faire mettre par derrière. Pour moi, que ce soit le cul de l’une ou de l’autre, ça m’est égal. Claire préfère l’avoir dans le con. Qu’à cela ne tienne: je change d’amante pour la lui mettre. Je sens une différence dans leurs réactions: si Claire était relativement normale que elle l’avait dans le cul, Geneviève est plus agitée. La présence d’une bite dans son sexe, décuple ses orgasmes. Elle ne gémit pas, elle hurle ses jouissances, même si la bouche de son amante est sur le sienne. Je me tourne pour qu’elle soit sur moi. Aussitôt, Claire vient me donner tout son con pour que je le lèche. Elles peuvent s’embrasser et Claire peut même branler Geneviève. Pour ces deux femmes c’est orgasmes sur orgasmes.
Le tout finit quand je jouis: je n’en peux plus. Je pense en finir là. Les deux femmes se mettent d’accord pour que je revienne souvent: je baise bien semble-t-il.
L’attente commence: nous entendons bien quelques coups de feu: chez nous pas un seul gibier ne passe. Nous bavardons, la chasse passant au second plan, surtout du temps qui ……….Au fond je suis en attente, d’un évènement plus intéressant qui n’arrive pas: j’aimerai que nous nous perdions dans les fourrés pour flirter un peu. Un rayon de soleil bien venu réchauffe un peu l’atmosphère. Ma guide tient à profiter du soleil: elle enlève la veste. Elle porte un chemisier presque transparent qui me permet de voir ses dessous, à dire vrai, son dessous, une soutien gorge en dentelle. En restant ainsi je vois une belle femme sexy, avec une longue jupe, un chemisier transparent.
Il est vrai que le soleil tape: je suis obligé moi aussi d’enlever mon pull. Je reste en simple chemise. Je ne sais pourquoi nous nous regardons en éclatant de rire. Nous remontons en voiture, la chasse ne donnait rien elle m’emmène à nouveau au château qui est vide. Nous y entrons: elle me mène vers un salon où nous commençons à parler:
- Savez-vous que personne ne rentrera avec au moins deux heures. Nous avons le temps de faire ce que nous voulons. Que désireriez vous faire.
- Moi, je vous regarde depuis tout à l’heure et je vous trouve à mon goût, alors si c’est réciproque nous pourrions ….
Je n’ai pas le temps de finir:
- Nous pourrions jouer ensemble par exemple.
- Si nous pensons au même jeu, pourquoi pas, j’aime bien jouer avec une ……… dame comme vous.
- J’aime aussi jouer avec des hommes comme vous aussi. Venez avec moi, ne restons pas ici.
Elle se lève vient vers moi. Elle est très près, je ne peux m’empêcher de commencer à jouer: je l’embrasse. C’est sa langue qui vient dans ma bouche la première
Elle me mène par la main vers sa chambre.
- Ici nous pouvons tout faire, personne pas même mon mari ne peux y entrer. Par contre si tu veux, je peux demander à une fille qui travaille pour moi et qui aime ça, venir avec nous pour nous amuser à trois. J’aime bien les trios. Pas les quatuors.
Je suis surpris de la proposition. Elle doit être assez coquine pour me proposer ce baiser à trois alors que nous n’avons même pas tiré un coup ensemble.
Elle appelle par téléphone une personne qui semble être d’accord. En attendant elle commence encore à m’embrasser, car finalement ce n’est pas moi qui l’embrasse. Sa langue est là pour le rappeler. Je peux quand même la déshabiller lentement: je découvre une foule de trésors cachés par les vêtements. Je l’embrasse partout. Elle me rend la pareille et quand je suis totalement nu, elle s’intéresse enfin à ma bite. Elle se penche un peu, juste ce qu’il faut pour venir goûter. Elle en fait un peu plus. Elle décalotte mon gland; je pense qu’elle va me branler. Elle ouvre sa bouche pour me prendre presque en entier. Je sens sa langue, encore elle, lécher toute la queue du bas vers le haut. Nous sommes debout quand la porte s’ouvre sur une jeune femme brune dans les 25 ans qui ne fait aucun cas de notre nudité, c’est ce que je crois, alors qu’elle nous regardent sans gêne. Elle imite sa patronne et se trouve vite nue. Elle s’approche et partage ma queue avec la patronne:
- Oui, Geneviève suce le, il en vaut la peine.
- Je ne vais pas me gêner pour te la prendre et la sucer seule, tu sais que j’aime le sperme plus que toi, Claire. Caresses lui les fesses et entre lui un doigt dans le cul, comme tu aime faire.
- C’est dans ton cul que j’aime mettre mes doigts. Ecarte tes jambes que je te suces.
Je suis surpris des rapports entre ces deux femmes. Ou elle sont lesbiennes ou simplement bi ? Qui finalement commande en amour, j’ai l’impressions que c’est la servante et pas la patronne.
Je regarde Claire qui penchée sur les fesses de Geneviève passe sa langue dans le creux de la raie des fesses pour aller lui prendre le clitoris, en léchant le cul au passage et sans doute y mettre des doigts. En tout cas je subit une fellation en règle. Qu’elle maestria dans cette bouche.
Je ne peux tenir longtemps à ce rythme et le dit. Geneviève arrête sa succion, même si elle me garde dans sa bouche. Je l’entend gémir: Claire doit bien la sucer aussi. Je pose la question de savoir si elle se branle en suçant l’autre femme. Evidemment: je suis bête de pose ce genre de question. Geneviève n’attend plus pour continuer, elle me suce à fond: je jouis dans sa bouche. Elle me garde en elle tout le temps que mes jets de spermes sortent.
Je ne peux plus leur servir: pour elle se n’est pas grave: elles vont s’arranger seules. Elles se couchent pour s’embrasser et se caresser les seins avant de se mettre en 69. C’est efficace de voir deux chevelures différentes s’étendre sur les ventres: je bande à nouveau. J’aimerais bien participer moi aussi à leur festin. Je vois les langues lécher le sexe de l’autre femme, je vois également des doigts qui pénètrent dans le cul de l’autre. Elles se font l’amour comme des habituées. Je sais, plus tard que presque tous les jours, elle s’amusent ensemble à se faire l’amour, Madame étant la plus sensuelle et la plus dévergondée, puisque c’est elle qui a appris l’amour entre femme à sa servante presque dès le début de leur fréquentation professionnelle.
Je ne sais pourquoi elles arrêtent de se faire l’amour. Je dois venir avec elles: Claire a besoin de ma bite pour une sodomie. Je suis volontaire toujours pour enculer une belle fille et elle l’est. C’est Geneviève qui prépare Claire: elle la fait mettre en levrette, passe sous elle pour prendre de la cyprine: de la sienne et de celle de son amante. Elle en met beaucoup sur le cul de Claire qui m’attend. Geneviève prend ma bite pour la poser sur l’anus de sa patronne. J’hésite encore à y entrer: soit d’un seul coup, soir lentement. Finalement c’est Claire qui d’un coup de rein me fait entrer dans son postérieur. J’avoue qu’elle a un cul magnifique: je m’y sens fort à l’aise. Je la lime pendant qu’avec Geneviève elles continuent à se sucer. Je sens le front de l’amante contre les couilles. Je tiens le coup longtemps. Claire ne cesse de gémir: elle dit souvent qu’elle jouit pour que Geneviève soit au courant, alors que moi je sens ses orgasmes à chaque fois.
Et Claire demande à Geneviève si pour une fois elle ne voudrait pas se faire mettre par derrière. Pour moi, que ce soit le cul de l’une ou de l’autre, ça m’est égal. Claire préfère l’avoir dans le con. Qu’à cela ne tienne: je change d’amante pour la lui mettre. Je sens une différence dans leurs réactions: si Claire était relativement normale que elle l’avait dans le cul, Geneviève est plus agitée. La présence d’une bite dans son sexe, décuple ses orgasmes. Elle ne gémit pas, elle hurle ses jouissances, même si la bouche de son amante est sur le sienne. Je me tourne pour qu’elle soit sur moi. Aussitôt, Claire vient me donner tout son con pour que je le lèche. Elles peuvent s’embrasser et Claire peut même branler Geneviève. Pour ces deux femmes c’est orgasmes sur orgasmes.
Le tout finit quand je jouis: je n’en peux plus. Je pense en finir là. Les deux femmes se mettent d’accord pour que je revienne souvent: je baise bien semble-t-il.
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