chaude semaine pour Vero
Récit érotique écrit par Lancer [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-06-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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chaude semaine pour Vero
Hervé,vingt quatre ans, et Véro, vingt deux ans, sont à dix jours de leur mariage. Tout est prêt,
sauf pour quelques invités qu'il faut encore hébergés. C'est le cas de Ludo, vingt trois ans,
cousin d'Hervé, qui arrive de Bretagne. Il arrive aujourd'hui, pour enterrer la vie de garçon
d'Hervé, qui à lieu demain. Ludo reste toute la semaine, jusqu'au mariage.
Hervé demande à Véro si elle peut le récupérer à la gare, et le mener à son hôtel.
-Mais, je ne le connais pas, dit Véro, et lui non plus.
-Tu peux pas te tromper, il aura qu'un beau gosse sur le quai, ironise Hervé, ce sera lui.
-Bon d'accord, dit Véro, je le repairerai bien quand même.
Véro enfile un short blanc moulant, et une chemise nouée à la taille. Elle arrive en retard
à la gare, ralenti par les bouchons. Du coup, elle peut pas se tromper, il reste qu'une personne dans le hall. "Putain, pense Véro, si c'est lui, c'est vrai que c'est un super canon"
Est-ce un coup de foudre.
Ludo est vêtu d'un bermuda, d'une chemise blanche, tennis, et lunette noire, assis sur
sa valise.
-Vous êtes Ludo, je suppose. Je suis Véro. C'est moi qui suis chargée de vous récupérer.
-Dit dont, dit Ludo, Hervé m'a dit qu'il aller épousé une bombe, mais là, il est en dessous
la vérité. Quelle beauté.
Véro rougit devant tant de compliment, et Ludo le remarque.
-Bon, demande-t-il, vous m'emmenez ou? Je voudrais prendre une douche. Et puis on
peut se tutoyer.
-Ok, répond Véro, monte je te mène a l'hôtel.
Arrivé dans la chambre, Ludo quitte sa chemise, découvrant un torse musclé et légèrement
poilu. Il va au frigo.
-Tiens, Véro, tu sert à boire, s'il te plait.
Véro sert. Ludo apperçoit les seins dans l'échancrure de la chemise.
-Joli poitrine, remarque-t-il. Ils ont l'air ferme. Quel veinard cet Hervé. J'aimerai bien les
caresser, dommage que tu sois ma cousine.
-Je ne le suis pas encore, répond Véro.
Elle fait face à Ludo, déboutonnes sa chemise, défait le noeud.
-Si çà te fait plaisir, te gène pas, fit-elle en s'approchant.
Ludo a l'habitude, il ne se démonte pas. Il pose ses mains sur les seins de Véro, en fait
rouler les bouts entre le pouce et l'index. Ils doublent de volume.
Véro gémit de plaisir. Elle passe une main derrière la nuque de Ludo, l'attire vers elle et
l'embrasse. Son autre main descend entre les jambes de son futur cousin.
-En plus du physique, tu as se qu'il faut, remarque-t-elle.
Elle défait le bouton, fait glisser la fermeture éclair, et baisse le bermuda. Une queue de
bien vingt centimètres jaillie du bermuda.
-Putain, j'aurai pas çà la semaine prochaine, dit Véro.
Elle prend le calibre, le branle un peu, puis le prend dans sa bouche, jusqu'a ceux qu'il
soit tendu au maximum. Elle pousse Ludo vers le lit, quitte son short.
-Tire moi, supplie-t-elle, vite fait.
Une fois Ludo allongé sur le lit, elle s'empale sur sa queue dans un râle de plaisir, et
commence son va et vient.
-Caresse mes seins, demande-t-elle, regarde comme tu me les fait durcir salaud. Et
cette grosse bite qui me bourre, et qui me fait jouir. Oui oui oui c'est bon haha quel régal.
Véro se penche sur son partenaire et l'embrasse à lui mordre les lèvres. Elle aspire
carrément sa langue.
-A toi maintenant, lui dit-elle.
Elle glisse le long de son corps, prend sa queue, et commence à lui tailler une pipe. Elle
pousse des petits cris tellement elle prend du plaisir à dominer cet homme.., en s'amusant
avec sa queue. Elle sait qu'il va la supplier, qu'il ne pourra pas se retenir. Il est à sa merci.
-Ha ha ha, tu m'a eu salope, ha ha quelle pipe, vas-y.
Elle a tout avalé, mais continue à l'aspirer, elle veut le vider, lui faire voir que si elle, s'etait
régalée, elle pouvait en faire autant avec lui.
- Arrête, je t'en prie, tu me crève, assez, implore Ludo.
-Alors mon chéri, on est épuisé. Tu as de la chance que le temps me presse, je t'aurai vidé
complètement. On a encore une semaine, on va se revoir.
Elle se rhabille, l'embrasse avec force tout en lui serrant les couilles.
- Je sens qu'on va bien s'amuser tout les deux. A plus.
Ludo reste scotché sur le lit, lessiver, et pourtant ce n'est qu'une pipe, mais quelle pipe.
"Hervé tu as interêt à assurer, pense-t-il, tu es déjà cocu avant d'être marié.
Hervé enterre sa vie de garçon. Tout les copains sont là. Pas de fille, c'est la règle.
L'alcool coule à flot. Dieu merci, tout le monde couche sur place. Ludo, lui, est plus sobre,
il gère bien la situation. L'odeur de fumée a rendu l'air irrespirable. Il décide de sortir prendre l'air cinq minutes. Des appels de phares attire son attention. Il s'avance et là surprise. Véro.
-Monte, lui dit-elle.
-Mais, tu es folle, reprend Ludo, si on te voit, qu'est-ce-que tu es venu faire?
-Je suis venu me faire doigter, je t'en prie, j'ai trop envie, je part de suite après, promis.
Regarde, je suis prête.
Elle remonte sa mini jupe. Elle n'a rien dessous.
-Mais tu es une vrai pute, lui dit-il. Tu pense qu'a çà.
-Ne me juge pas mal, c'est toi qui me fit cet effet. Je suis toute mouillée, caresse moi.
Ludo passe deux doigts sur la chatte de Véro. Elle est en nage, le clitoris complètement
sorti de son capuchon. Il l'a branle, d'abord doucement, puis l'entendant gémir, il accélère.
Les jambes ceux sont écartées instinctivement. Elle joui.
-Oh ouioui oui, vas-y, t'arrête pas, je t'avais dit que ce serai vite fait. Mon dieu, que c'était
bon. Tu sais y faire avec les femmes, salaud. En plus d'Hervé, je vais te prendre pour ma
nuit de noce, dit-elle.
Elle l'embrasse, un baiser farouche.
-Je t'aimes, avoue-t-elle, c'est con, mais c'est comme çà.
Véro parti, Ludo se demande s'il doit rester au mariage. Lui aussi commence à tombé
amoureux.
Nous sommes le jour du mariage. La mariée est d'une beauté à coupé le souffle. Hervé
est impeccable et fier d'avoir un si belle femme pendu à son bras. Ludo, lui ressemble à un mannequin.
"Quel beau mâle, "pense Véro les yeux humides. A travers ses lunettes noires, Ludo
admire Véro "J'espère qu'on dansera ensemble ce soir," pense Ludo.
L'apéritif est terminé, on peut passer à table.
La première danse est pour les mariés. L'ambiance est à son comble.
-Ludo, j'espère que tu feras danser ma femme, c'est ta cousine maintenant, bégaie Hervé
un peu emmêché.
-Mais bien sur cousin. Tu viens Véro.
-Qu'elle question, répond-elle en le prenant par le bras.
En dansant, la jambe de Véro passe entre celles de Ludo, remontant presque jusqu'au
couilles. Elle a passé ses deux bras autour de son coup, et lui murmure à l'oreille.
-Tu as vu l'état d'Hervé. C'est toi qui va me niquer cette nuit. Que d'y pensé, je suis toute
mouillé.
-Déconne pas Véro, tu es folle, tu n'y pense pas. Tu es marié maintenant.
-Tais toi ou je fait un scandale, menace-t-elle. Laisse ta porte ouverte.
En effet, cette nuit, Ludo est hébergé sur place.
-Allez les gars, un dernier verre, invite Hervé sur les talons. Et après dodo.
Ludo regarde Hervé, l'air triste. Il est ivre. le jour de son mariage. "Pauvre cousin, tu vas manquer ta nuit de noce.
Ludo est allongé sur le lit, recouvert juste d'un drap. Comme elle l'avais décidé, Véro se
pointe dans la chambre, juste vêtu d'un peignoir.
-J'espère que tu sais ce que tu fais, et ce que tu vas me faire faire, dit-il.
-Je sais simplement que je vais me faire baiser toute la nuit.
Elle enlève son peignoir et se glisse sous le drap. Elle embrasse Ludo, tout en glissant
un main entre ses cuisses.
-Ce que j'aime, avoue-t-elle, c'est ta grosse queue et tes couilles bien pleines, et qui
demande à être vidées.
Elle enjambe Ludo et s'empale sur sa queue, et se penche sur lui. Ils sont lèvres
contre lèvres.
-Je suis déjà prête mon chéri, gémit-elle. Oh mon dieu, comme tu me nique oua, que
c'est bon, oui oui, çà fait pas cinq minutes que tu me donne et j'ai déjà joui une fois.
Elle continue ses va et vient. Elle veut avoir Ludo aussi.
-Allez, mon amour, rempli moi la chatte, vas-y.
-Oh oui, chéri, çà y est, je viens, je me vide ha ha ha, tu la sent ma queue.
Le sperme gicle dans la chatte de Véro par long jets chauds interminables. Leur langue
sont enroulées une à l'autre. La jouissance est totale. Mais Véro en à pas assez. Elle se
tourne dos à lui, toujours empalée sur sa queue en érection.
-Caresse moi les seins et mon clitoris en même temps, s'il te plait.
Ludo s'exécute tout en faisant des va et vient dans la chatte de Véro. C'en est trop pour elle.
Son souffle est de plus en plus saccadé. Elle crie. Un orgasme terrible.
-Oui oui, tu es en train de me rendre pute, vas-y nique, je joui. Quel amant merveilleux tu es
Véro est toujours empalée sur Ludo. Elle se soulève et sort la queue de sa chatte. Elle
dirige le gland et le frotte contre son clitoris, juste sur le méat.
-On m'a jamais fait çà, soupire Ludo.
-Moi non plus je l'est jamais fait, c'est toi mon amour qui me donne des idées. Tu veux voir
ce que je te fait.
-Oh oui, s'il te plait,gémit-il.
Elle se met face à lui.
-Tu sens mon bouton contre ton gland, tu vas voir comme je vais le faire pleurer.
On dirai que Véro essaie de rentré son clitoris dans le méat de Ludo.
-Si on pouvait jouir ensemble, ce serai une nuit magnifique. Je joui oui oui oui salaud.
-Moi aussi je joui, hurle ludo. Comme tu sais te servir d'une queue, je crache.
-Oh c'est pas vrai, on joui en même temps, je t'aime, vas-y vide toi mon amour. Regarde
le jet qui sort de ma chatte, cri Véro..
Ludo éjacule sur le clito de Véro qui, elle aussi a couvert le gland de toute sa mouille.
Les deux corps, repus sont allongés un contre l'autre.
-Faut regagner ta chambre, dit Ludo, il est tard.
-Tu vas partir, répond Véro en larmes. Reste avec moi ou partons tout les deux.Tu veras
je te rendrai heureux.
-Tu sais bien que sait impossible chéri, mais je t'oublierai jamais,je t'aime. Embrasse moi
et rejoint Hervé.
Le baiser est torride, interminable. A contre coeur, et en larmes, Véro quitte la chambre.
Ils promettent de s'appeler.
Deux mois après, Ludo reçoit un texto de Véro.
-Mon amour, pendant la semaine qu'on à passé ensemble. J'avais arrêtée la pilule.
Hervé n'a jamais éjaculé en moi, et je me retrouve enceinte. Tu m'a fait deux beaux
cadeaux, mon amour. d'abord m'avoir fait l'amour comme tu me l'a fait, et en plus un
bébé. Oh mon amour, j'espère bientôt te revoir. Je t'aime, gros bisous. Véro
sauf pour quelques invités qu'il faut encore hébergés. C'est le cas de Ludo, vingt trois ans,
cousin d'Hervé, qui arrive de Bretagne. Il arrive aujourd'hui, pour enterrer la vie de garçon
d'Hervé, qui à lieu demain. Ludo reste toute la semaine, jusqu'au mariage.
Hervé demande à Véro si elle peut le récupérer à la gare, et le mener à son hôtel.
-Mais, je ne le connais pas, dit Véro, et lui non plus.
-Tu peux pas te tromper, il aura qu'un beau gosse sur le quai, ironise Hervé, ce sera lui.
-Bon d'accord, dit Véro, je le repairerai bien quand même.
Véro enfile un short blanc moulant, et une chemise nouée à la taille. Elle arrive en retard
à la gare, ralenti par les bouchons. Du coup, elle peut pas se tromper, il reste qu'une personne dans le hall. "Putain, pense Véro, si c'est lui, c'est vrai que c'est un super canon"
Est-ce un coup de foudre.
Ludo est vêtu d'un bermuda, d'une chemise blanche, tennis, et lunette noire, assis sur
sa valise.
-Vous êtes Ludo, je suppose. Je suis Véro. C'est moi qui suis chargée de vous récupérer.
-Dit dont, dit Ludo, Hervé m'a dit qu'il aller épousé une bombe, mais là, il est en dessous
la vérité. Quelle beauté.
Véro rougit devant tant de compliment, et Ludo le remarque.
-Bon, demande-t-il, vous m'emmenez ou? Je voudrais prendre une douche. Et puis on
peut se tutoyer.
-Ok, répond Véro, monte je te mène a l'hôtel.
Arrivé dans la chambre, Ludo quitte sa chemise, découvrant un torse musclé et légèrement
poilu. Il va au frigo.
-Tiens, Véro, tu sert à boire, s'il te plait.
Véro sert. Ludo apperçoit les seins dans l'échancrure de la chemise.
-Joli poitrine, remarque-t-il. Ils ont l'air ferme. Quel veinard cet Hervé. J'aimerai bien les
caresser, dommage que tu sois ma cousine.
-Je ne le suis pas encore, répond Véro.
Elle fait face à Ludo, déboutonnes sa chemise, défait le noeud.
-Si çà te fait plaisir, te gène pas, fit-elle en s'approchant.
Ludo a l'habitude, il ne se démonte pas. Il pose ses mains sur les seins de Véro, en fait
rouler les bouts entre le pouce et l'index. Ils doublent de volume.
Véro gémit de plaisir. Elle passe une main derrière la nuque de Ludo, l'attire vers elle et
l'embrasse. Son autre main descend entre les jambes de son futur cousin.
-En plus du physique, tu as se qu'il faut, remarque-t-elle.
Elle défait le bouton, fait glisser la fermeture éclair, et baisse le bermuda. Une queue de
bien vingt centimètres jaillie du bermuda.
-Putain, j'aurai pas çà la semaine prochaine, dit Véro.
Elle prend le calibre, le branle un peu, puis le prend dans sa bouche, jusqu'a ceux qu'il
soit tendu au maximum. Elle pousse Ludo vers le lit, quitte son short.
-Tire moi, supplie-t-elle, vite fait.
Une fois Ludo allongé sur le lit, elle s'empale sur sa queue dans un râle de plaisir, et
commence son va et vient.
-Caresse mes seins, demande-t-elle, regarde comme tu me les fait durcir salaud. Et
cette grosse bite qui me bourre, et qui me fait jouir. Oui oui oui c'est bon haha quel régal.
Véro se penche sur son partenaire et l'embrasse à lui mordre les lèvres. Elle aspire
carrément sa langue.
-A toi maintenant, lui dit-elle.
Elle glisse le long de son corps, prend sa queue, et commence à lui tailler une pipe. Elle
pousse des petits cris tellement elle prend du plaisir à dominer cet homme.., en s'amusant
avec sa queue. Elle sait qu'il va la supplier, qu'il ne pourra pas se retenir. Il est à sa merci.
-Ha ha ha, tu m'a eu salope, ha ha quelle pipe, vas-y.
Elle a tout avalé, mais continue à l'aspirer, elle veut le vider, lui faire voir que si elle, s'etait
régalée, elle pouvait en faire autant avec lui.
- Arrête, je t'en prie, tu me crève, assez, implore Ludo.
-Alors mon chéri, on est épuisé. Tu as de la chance que le temps me presse, je t'aurai vidé
complètement. On a encore une semaine, on va se revoir.
Elle se rhabille, l'embrasse avec force tout en lui serrant les couilles.
- Je sens qu'on va bien s'amuser tout les deux. A plus.
Ludo reste scotché sur le lit, lessiver, et pourtant ce n'est qu'une pipe, mais quelle pipe.
"Hervé tu as interêt à assurer, pense-t-il, tu es déjà cocu avant d'être marié.
Hervé enterre sa vie de garçon. Tout les copains sont là. Pas de fille, c'est la règle.
L'alcool coule à flot. Dieu merci, tout le monde couche sur place. Ludo, lui, est plus sobre,
il gère bien la situation. L'odeur de fumée a rendu l'air irrespirable. Il décide de sortir prendre l'air cinq minutes. Des appels de phares attire son attention. Il s'avance et là surprise. Véro.
-Monte, lui dit-elle.
-Mais, tu es folle, reprend Ludo, si on te voit, qu'est-ce-que tu es venu faire?
-Je suis venu me faire doigter, je t'en prie, j'ai trop envie, je part de suite après, promis.
Regarde, je suis prête.
Elle remonte sa mini jupe. Elle n'a rien dessous.
-Mais tu es une vrai pute, lui dit-il. Tu pense qu'a çà.
-Ne me juge pas mal, c'est toi qui me fit cet effet. Je suis toute mouillée, caresse moi.
Ludo passe deux doigts sur la chatte de Véro. Elle est en nage, le clitoris complètement
sorti de son capuchon. Il l'a branle, d'abord doucement, puis l'entendant gémir, il accélère.
Les jambes ceux sont écartées instinctivement. Elle joui.
-Oh ouioui oui, vas-y, t'arrête pas, je t'avais dit que ce serai vite fait. Mon dieu, que c'était
bon. Tu sais y faire avec les femmes, salaud. En plus d'Hervé, je vais te prendre pour ma
nuit de noce, dit-elle.
Elle l'embrasse, un baiser farouche.
-Je t'aimes, avoue-t-elle, c'est con, mais c'est comme çà.
Véro parti, Ludo se demande s'il doit rester au mariage. Lui aussi commence à tombé
amoureux.
Nous sommes le jour du mariage. La mariée est d'une beauté à coupé le souffle. Hervé
est impeccable et fier d'avoir un si belle femme pendu à son bras. Ludo, lui ressemble à un mannequin.
"Quel beau mâle, "pense Véro les yeux humides. A travers ses lunettes noires, Ludo
admire Véro "J'espère qu'on dansera ensemble ce soir," pense Ludo.
L'apéritif est terminé, on peut passer à table.
La première danse est pour les mariés. L'ambiance est à son comble.
-Ludo, j'espère que tu feras danser ma femme, c'est ta cousine maintenant, bégaie Hervé
un peu emmêché.
-Mais bien sur cousin. Tu viens Véro.
-Qu'elle question, répond-elle en le prenant par le bras.
En dansant, la jambe de Véro passe entre celles de Ludo, remontant presque jusqu'au
couilles. Elle a passé ses deux bras autour de son coup, et lui murmure à l'oreille.
-Tu as vu l'état d'Hervé. C'est toi qui va me niquer cette nuit. Que d'y pensé, je suis toute
mouillé.
-Déconne pas Véro, tu es folle, tu n'y pense pas. Tu es marié maintenant.
-Tais toi ou je fait un scandale, menace-t-elle. Laisse ta porte ouverte.
En effet, cette nuit, Ludo est hébergé sur place.
-Allez les gars, un dernier verre, invite Hervé sur les talons. Et après dodo.
Ludo regarde Hervé, l'air triste. Il est ivre. le jour de son mariage. "Pauvre cousin, tu vas manquer ta nuit de noce.
Ludo est allongé sur le lit, recouvert juste d'un drap. Comme elle l'avais décidé, Véro se
pointe dans la chambre, juste vêtu d'un peignoir.
-J'espère que tu sais ce que tu fais, et ce que tu vas me faire faire, dit-il.
-Je sais simplement que je vais me faire baiser toute la nuit.
Elle enlève son peignoir et se glisse sous le drap. Elle embrasse Ludo, tout en glissant
un main entre ses cuisses.
-Ce que j'aime, avoue-t-elle, c'est ta grosse queue et tes couilles bien pleines, et qui
demande à être vidées.
Elle enjambe Ludo et s'empale sur sa queue, et se penche sur lui. Ils sont lèvres
contre lèvres.
-Je suis déjà prête mon chéri, gémit-elle. Oh mon dieu, comme tu me nique oua, que
c'est bon, oui oui, çà fait pas cinq minutes que tu me donne et j'ai déjà joui une fois.
Elle continue ses va et vient. Elle veut avoir Ludo aussi.
-Allez, mon amour, rempli moi la chatte, vas-y.
-Oh oui, chéri, çà y est, je viens, je me vide ha ha ha, tu la sent ma queue.
Le sperme gicle dans la chatte de Véro par long jets chauds interminables. Leur langue
sont enroulées une à l'autre. La jouissance est totale. Mais Véro en à pas assez. Elle se
tourne dos à lui, toujours empalée sur sa queue en érection.
-Caresse moi les seins et mon clitoris en même temps, s'il te plait.
Ludo s'exécute tout en faisant des va et vient dans la chatte de Véro. C'en est trop pour elle.
Son souffle est de plus en plus saccadé. Elle crie. Un orgasme terrible.
-Oui oui, tu es en train de me rendre pute, vas-y nique, je joui. Quel amant merveilleux tu es
Véro est toujours empalée sur Ludo. Elle se soulève et sort la queue de sa chatte. Elle
dirige le gland et le frotte contre son clitoris, juste sur le méat.
-On m'a jamais fait çà, soupire Ludo.
-Moi non plus je l'est jamais fait, c'est toi mon amour qui me donne des idées. Tu veux voir
ce que je te fait.
-Oh oui, s'il te plait,gémit-il.
Elle se met face à lui.
-Tu sens mon bouton contre ton gland, tu vas voir comme je vais le faire pleurer.
On dirai que Véro essaie de rentré son clitoris dans le méat de Ludo.
-Si on pouvait jouir ensemble, ce serai une nuit magnifique. Je joui oui oui oui salaud.
-Moi aussi je joui, hurle ludo. Comme tu sais te servir d'une queue, je crache.
-Oh c'est pas vrai, on joui en même temps, je t'aime, vas-y vide toi mon amour. Regarde
le jet qui sort de ma chatte, cri Véro..
Ludo éjacule sur le clito de Véro qui, elle aussi a couvert le gland de toute sa mouille.
Les deux corps, repus sont allongés un contre l'autre.
-Faut regagner ta chambre, dit Ludo, il est tard.
-Tu vas partir, répond Véro en larmes. Reste avec moi ou partons tout les deux.Tu veras
je te rendrai heureux.
-Tu sais bien que sait impossible chéri, mais je t'oublierai jamais,je t'aime. Embrasse moi
et rejoint Hervé.
Le baiser est torride, interminable. A contre coeur, et en larmes, Véro quitte la chambre.
Ils promettent de s'appeler.
Deux mois après, Ludo reçoit un texto de Véro.
-Mon amour, pendant la semaine qu'on à passé ensemble. J'avais arrêtée la pilule.
Hervé n'a jamais éjaculé en moi, et je me retrouve enceinte. Tu m'a fait deux beaux
cadeaux, mon amour. d'abord m'avoir fait l'amour comme tu me l'a fait, et en plus un
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
On a plus de respect pour une prostituée que pour cette sale garce j espère que son mari saura la vérité et qu il le fera savoir à tous un jour ou elle sera présente pour lui mettre la honte devant toute sa famille et ses amis et qu il la mettra à la rue comme cela elle pourra faire le tapin son avenir est tout tracé.