Chronique de notre vie 10/10
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Chronique de notre vie 10/10
10. Le restaurant japonais et sa suite.
Nous avions décidé ce soir-la de dîner japonais et nous nous étions rendus à une célèbre adresse parisienne à la vue splendide, en haut d’un hôtel non moins renommé, pour goûter à cette cuisine extraordinaire. Nous avions choisi la tradition et c’est assis face au cuisinier japonais qui maniait avec dextérité ses poissons que nous nous installâmes.
Alors que nous commandions notre menu en commençant par des sushi traditionnels, un jeune couple, la trentaine récente environ, vint s’installer près de nous.
Ce couple venait manifestement de la province, et on voyait bien qu’ils tentaient l’expérience pour la première fois, et comme nous avions un peu d’avance sur eux, ils observaient avec attention notre progression dans la dégustation japonaise alors que Caline me faisait la réflexion :
— Huuum goûte, mon bébé, ce n’est nippon ni mauvais !!...
Bien qu’archi connue, cette saillie (pas encore me direz-vous !!) nous valut un sourire de ces nouveaux venus. Nous nous présentâmes bientôt. Ils s’appelaient Jean-Pierre et Sylvie. Fort diserte, Caline, toujours très sociable, faisait l’essentiel de la conversation.
Sylvie, aux cheveux châtain mi longs tombant sur ses épaules, les yeux marron et le regard mutin, était vêtue d’un chemisier de soie grège, qu’elle portait sous un petit gilet. Pour le reste, elle avait choisi une jupe gris souris assez courte dévoilant de superbes jambes gainées de résille (bas ou collants ? mystère), bref une tenue que je qualifiai de sexy.
Son compagnon Jean-Pierre, un brun de taille moyenne et fort souriant, était de son côté habillé d’un costume décontracté sur une chemise ouverte.
Au fil des propos échangés avec ce couple sympathique, qui alternaient entre cuisine exotique et merveilles parisiennes, par petites touches, Caline, leur faisait comprendre la nature de nos relations et, coïncidence, nous en vînmes à apprendre qu’eux aussi étaient en échappement libre dans une escapade amoureuse.
Forts de cette complicité découverte, nous en fîmes le principal sujet de notre conversation, curieusement animée par les deux dames, qui manifestement étaient sur une même longueur d’ondes.
C’est ainsi que nous apprîmes que Sylvie avait trouvé en son Jean-Pierre un tendre complice qui lui procurait des plaisirs dits «charnels» que sa vie ordinaire lui refusait et qu’elle adorait cela.
L’œil allumé de Caline soutirant ces confidences intimes me plaisait particulièrement et je commençai à comprendre son jeu subtil, surtout qu’un mouvement en avant et un coup d’œil de côté me firent découvrir sur la cuisse de Sylvie la lisière de ce qui se révélait être des bas.
Cette constatation activa ma motivation pour prolonger notre entretien, et cela d’autant que Caline ne se priva pas pour souligner :
— Dis donc bébé, que je te surprenne à mater les cuisses de Madame, contentes-toi des miennes.
Nos récentes connaissances prirent parfaitement cette observation et me gratifièrent d’un sourire que je me pris à estimer complice…
— Tu sais, moi aussi je porte des bas, rajouta Caline… Et d’un mouvement remonta d’un geste la jupe ample qu’elle portait ce soir-là.
— C’est tellement plus raffiné dit Jean-Pierre, posant la main sur la cuisse de son amie, relevant encore un peu la jupe…
Bref, nous avancions doucement mais sûrement, dans un discours mondain mais délicieusement libertin, jusqu'au moment où l’un de nous quatre avait eu l’excellente idée de proposer de faire plus ample connaissance.
Je crus sentir chez Caline une certaine disposition à un tel programme de telle sorte qu’après quelques grillades de poisson japonais, je fus moi qui lançai :
— Et si nous prenions un verre dans notre chambre d’hôtel ? M’entendis-je proposer, voyant le sourcil de Caline se lever légèrement…
— Excellente idée, répondit-elle…Vous êtes partant naturellement ?
— C’est que euh… Débuta Jean-Pierre….
— Nous n’avons aucune… Expérience dans les règles de ce jeu, renchérit Sylvie…
— Nous non plus… Menta Caline.
C’est ainsi que nous primes position dans un seul taxi, Caline avec nos nouveaux amis derrière, pour arriver à notre hôtel, où nous avions la chance ce jour là, précisément, avoir eu l'envie de réserver une chambre avec un (très) grand lit.
Nous savions que nous appretions à engager, nos nouveaux amis, dans une expérience tout à fait spéciale. Je me demandais si nous n’allions pas commettre une bêtise.
L’excitation du restaurant était quelque tombée, mais surprise, Caline et Sylvie semblaient les plus motivées.
Après que j’eus fait le service au mini bar, servi les boissons avec glace dans le souci de briser celle de l'air qui entourait ce rassemblement, ce fut Caline qui démarra les "hostilités".
— Alors, si je comprends bien Messieurs, vous souhaitiez vérifier si Sylvie et moi portions bien des bas ?
— Euh oui, entre autres, dis-je…
— Hum je ne vois pas d’objection à cela, confirma Jean-Pierre en regardant sa copine, amante, maîtresse que sais-je…
— Le mieux est que nous enlevions notre jupe... Qu’en penses-tu Sylvie, se lança Caline à la fois dans la prise en main de la situation et dans le tutoiement.
Sur ce, elle se leva et tendis la main à Sylvie qui se mit également debout alors que Jean-Pierre et moi étions assis sur le lit, attendant sagement le début du spectacle…
Un dernier zeste d’hésitation et les deux femmes, ensemble dégrafèrent leur jupe qui l’une et l’autre tombèrent sur les escarpins.
Nous découvrîmes alors que Sylvie portait de superbes bas résille retenus par un micro porte jarretelles violet alors que les bas gris de Caline étaient auto fixants.
Ce qui faisait la différence, c’est que Sylvie portait une culotte de dentelle noire très ajourée, qui certes ne cachait que peu de chose, mais que ma coquine de Caline, avait encore omis, ce qui lui arrivait de plus en plus souvent, de mettre une quelconque culotte.
Surprise de nos amis, et surtout de Jean-Pierre dont le regard s’était allumé devant l’exhibition de ces deux femmes…
— Je crois que nous faisons notre petit effet sur ces messieurs, dit Caline mutine…
— Je pense oui, rajouta Sylvie en lorgnant aussi vers les fesses de Caline qu’elle découvrait dans leur rondeur naturelle, sans écran aucun.
— Allons vérifier ça... Décida Caline qui s’approcha de moi pour poser sa main sur ma braguette tandis qu’après une seconde d’hésitation Sylvie fit de même auprès de son ami.
C’est ainsi qu’après quelques minutes, nous nous retrouvions, Jean-Pierre et moi à nous regarder, sur ce lit, nous faire sucer par notre coquine respective.
Ce fut cette fois Sylvie qui après quelques minutes proposa à Caline de changer juste pour goûter et sans rien nous demander, nous nous retrouvâmes avec une nouvelle bouche autour de notre queue érigée, les deux femmes se regardant en souriant dans leur fellation complice.
— Alors mon chéri, m’apostropha Caline, retirant ses lèvres du sexe de Jean-Pierre... Sylvie suce mieux que moi ?
— Non bien sûr ! Répondis-je, mais euh je dois dire qu’elle a des talents certains…
Quelque temps plus tard, ce fut aussi Sylvie qui décida de la suite des évènements.
— Bon Messieurs, à votre tour de nous montrer vos talents de bouche…
Sur ce, elle retira sa culotte pour se trouver à égalité avec ma coquine.
— Euh, dit celle-ci, on commence comment, chacun avec sa chacune ?
— Ohh la bouche de Jean-Pierre, je la connais, j’aimerai autant commencer tout de suite par celle de ton mari ! Proposa Sylvie, maintenant qu'elle a bien compris les règles du jeu de Caline.
— Tu as raison confirma Caline et sans autre forme de procès, elle vint poser son entrejambe à portée de bouche de Jean-Pierre, lequel allongé allait, à moins d’un mètre de moi, lécher ma chérie.
Je n’eus guère le temps de réfléchir, car Sylvie fit de même, et m’offris son joli abricot tout excité sur lequel je collai mes lèvres.
Nous poursuivîmes notre cunnilingus jusqu’au plaisir, de nos partenaires, lequel se manifesta quasiment en même temps, l’orgasme de l’une entraînant celui de l’autre (ou inversement !)
Etant démunis de préservatifs, nous nous poussâmes pas notre première séance échangiste à des pénétrations «transversales», mais l’excitation était immense de voir tout près de nous, un autre couple «baiser» car nous en étions là.
Ce fut finalement une délicieuse soirée et une première expérience fort réussie.
Nous eûmes plus tard, avec Catherine, le plaisir de voir ces nouveaux amis, répondant à une invitation spéciale, l’occasion, pou eux, de découvrir une partouze. Mais c’est une autre histoire.
Fin
Nous avions décidé ce soir-la de dîner japonais et nous nous étions rendus à une célèbre adresse parisienne à la vue splendide, en haut d’un hôtel non moins renommé, pour goûter à cette cuisine extraordinaire. Nous avions choisi la tradition et c’est assis face au cuisinier japonais qui maniait avec dextérité ses poissons que nous nous installâmes.
Alors que nous commandions notre menu en commençant par des sushi traditionnels, un jeune couple, la trentaine récente environ, vint s’installer près de nous.
Ce couple venait manifestement de la province, et on voyait bien qu’ils tentaient l’expérience pour la première fois, et comme nous avions un peu d’avance sur eux, ils observaient avec attention notre progression dans la dégustation japonaise alors que Caline me faisait la réflexion :
— Huuum goûte, mon bébé, ce n’est nippon ni mauvais !!...
Bien qu’archi connue, cette saillie (pas encore me direz-vous !!) nous valut un sourire de ces nouveaux venus. Nous nous présentâmes bientôt. Ils s’appelaient Jean-Pierre et Sylvie. Fort diserte, Caline, toujours très sociable, faisait l’essentiel de la conversation.
Sylvie, aux cheveux châtain mi longs tombant sur ses épaules, les yeux marron et le regard mutin, était vêtue d’un chemisier de soie grège, qu’elle portait sous un petit gilet. Pour le reste, elle avait choisi une jupe gris souris assez courte dévoilant de superbes jambes gainées de résille (bas ou collants ? mystère), bref une tenue que je qualifiai de sexy.
Son compagnon Jean-Pierre, un brun de taille moyenne et fort souriant, était de son côté habillé d’un costume décontracté sur une chemise ouverte.
Au fil des propos échangés avec ce couple sympathique, qui alternaient entre cuisine exotique et merveilles parisiennes, par petites touches, Caline, leur faisait comprendre la nature de nos relations et, coïncidence, nous en vînmes à apprendre qu’eux aussi étaient en échappement libre dans une escapade amoureuse.
Forts de cette complicité découverte, nous en fîmes le principal sujet de notre conversation, curieusement animée par les deux dames, qui manifestement étaient sur une même longueur d’ondes.
C’est ainsi que nous apprîmes que Sylvie avait trouvé en son Jean-Pierre un tendre complice qui lui procurait des plaisirs dits «charnels» que sa vie ordinaire lui refusait et qu’elle adorait cela.
L’œil allumé de Caline soutirant ces confidences intimes me plaisait particulièrement et je commençai à comprendre son jeu subtil, surtout qu’un mouvement en avant et un coup d’œil de côté me firent découvrir sur la cuisse de Sylvie la lisière de ce qui se révélait être des bas.
Cette constatation activa ma motivation pour prolonger notre entretien, et cela d’autant que Caline ne se priva pas pour souligner :
— Dis donc bébé, que je te surprenne à mater les cuisses de Madame, contentes-toi des miennes.
Nos récentes connaissances prirent parfaitement cette observation et me gratifièrent d’un sourire que je me pris à estimer complice…
— Tu sais, moi aussi je porte des bas, rajouta Caline… Et d’un mouvement remonta d’un geste la jupe ample qu’elle portait ce soir-là.
— C’est tellement plus raffiné dit Jean-Pierre, posant la main sur la cuisse de son amie, relevant encore un peu la jupe…
Bref, nous avancions doucement mais sûrement, dans un discours mondain mais délicieusement libertin, jusqu'au moment où l’un de nous quatre avait eu l’excellente idée de proposer de faire plus ample connaissance.
Je crus sentir chez Caline une certaine disposition à un tel programme de telle sorte qu’après quelques grillades de poisson japonais, je fus moi qui lançai :
— Et si nous prenions un verre dans notre chambre d’hôtel ? M’entendis-je proposer, voyant le sourcil de Caline se lever légèrement…
— Excellente idée, répondit-elle…Vous êtes partant naturellement ?
— C’est que euh… Débuta Jean-Pierre….
— Nous n’avons aucune… Expérience dans les règles de ce jeu, renchérit Sylvie…
— Nous non plus… Menta Caline.
C’est ainsi que nous primes position dans un seul taxi, Caline avec nos nouveaux amis derrière, pour arriver à notre hôtel, où nous avions la chance ce jour là, précisément, avoir eu l'envie de réserver une chambre avec un (très) grand lit.
Nous savions que nous appretions à engager, nos nouveaux amis, dans une expérience tout à fait spéciale. Je me demandais si nous n’allions pas commettre une bêtise.
L’excitation du restaurant était quelque tombée, mais surprise, Caline et Sylvie semblaient les plus motivées.
Après que j’eus fait le service au mini bar, servi les boissons avec glace dans le souci de briser celle de l'air qui entourait ce rassemblement, ce fut Caline qui démarra les "hostilités".
— Alors, si je comprends bien Messieurs, vous souhaitiez vérifier si Sylvie et moi portions bien des bas ?
— Euh oui, entre autres, dis-je…
— Hum je ne vois pas d’objection à cela, confirma Jean-Pierre en regardant sa copine, amante, maîtresse que sais-je…
— Le mieux est que nous enlevions notre jupe... Qu’en penses-tu Sylvie, se lança Caline à la fois dans la prise en main de la situation et dans le tutoiement.
Sur ce, elle se leva et tendis la main à Sylvie qui se mit également debout alors que Jean-Pierre et moi étions assis sur le lit, attendant sagement le début du spectacle…
Un dernier zeste d’hésitation et les deux femmes, ensemble dégrafèrent leur jupe qui l’une et l’autre tombèrent sur les escarpins.
Nous découvrîmes alors que Sylvie portait de superbes bas résille retenus par un micro porte jarretelles violet alors que les bas gris de Caline étaient auto fixants.
Ce qui faisait la différence, c’est que Sylvie portait une culotte de dentelle noire très ajourée, qui certes ne cachait que peu de chose, mais que ma coquine de Caline, avait encore omis, ce qui lui arrivait de plus en plus souvent, de mettre une quelconque culotte.
Surprise de nos amis, et surtout de Jean-Pierre dont le regard s’était allumé devant l’exhibition de ces deux femmes…
— Je crois que nous faisons notre petit effet sur ces messieurs, dit Caline mutine…
— Je pense oui, rajouta Sylvie en lorgnant aussi vers les fesses de Caline qu’elle découvrait dans leur rondeur naturelle, sans écran aucun.
— Allons vérifier ça... Décida Caline qui s’approcha de moi pour poser sa main sur ma braguette tandis qu’après une seconde d’hésitation Sylvie fit de même auprès de son ami.
C’est ainsi qu’après quelques minutes, nous nous retrouvions, Jean-Pierre et moi à nous regarder, sur ce lit, nous faire sucer par notre coquine respective.
Ce fut cette fois Sylvie qui après quelques minutes proposa à Caline de changer juste pour goûter et sans rien nous demander, nous nous retrouvâmes avec une nouvelle bouche autour de notre queue érigée, les deux femmes se regardant en souriant dans leur fellation complice.
— Alors mon chéri, m’apostropha Caline, retirant ses lèvres du sexe de Jean-Pierre... Sylvie suce mieux que moi ?
— Non bien sûr ! Répondis-je, mais euh je dois dire qu’elle a des talents certains…
Quelque temps plus tard, ce fut aussi Sylvie qui décida de la suite des évènements.
— Bon Messieurs, à votre tour de nous montrer vos talents de bouche…
Sur ce, elle retira sa culotte pour se trouver à égalité avec ma coquine.
— Euh, dit celle-ci, on commence comment, chacun avec sa chacune ?
— Ohh la bouche de Jean-Pierre, je la connais, j’aimerai autant commencer tout de suite par celle de ton mari ! Proposa Sylvie, maintenant qu'elle a bien compris les règles du jeu de Caline.
— Tu as raison confirma Caline et sans autre forme de procès, elle vint poser son entrejambe à portée de bouche de Jean-Pierre, lequel allongé allait, à moins d’un mètre de moi, lécher ma chérie.
Je n’eus guère le temps de réfléchir, car Sylvie fit de même, et m’offris son joli abricot tout excité sur lequel je collai mes lèvres.
Nous poursuivîmes notre cunnilingus jusqu’au plaisir, de nos partenaires, lequel se manifesta quasiment en même temps, l’orgasme de l’une entraînant celui de l’autre (ou inversement !)
Etant démunis de préservatifs, nous nous poussâmes pas notre première séance échangiste à des pénétrations «transversales», mais l’excitation était immense de voir tout près de nous, un autre couple «baiser» car nous en étions là.
Ce fut finalement une délicieuse soirée et une première expérience fort réussie.
Nous eûmes plus tard, avec Catherine, le plaisir de voir ces nouveaux amis, répondant à une invitation spéciale, l’occasion, pou eux, de découvrir une partouze. Mais c’est une autre histoire.
Fin
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