Chronique de notre vie 6/10

- Par l'auteur HDS Cher Tamis -
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Récit libertin : Chronique de notre vie 6/10 Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2025 dans la catégorie Plus on est
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Chronique de notre vie 6/10
6. Le sex shop.


Nous étions ce soir-là du côté de Pigalle, Place Blanche, ayant l’intention de nous rendre à un spectacle (tout à fait convenable).


Hélas, nos renseignements nous apparurent inexacts et la pièce que nous voulions voir ou l’artiste, je n’en ai plus souvenance, était inconnue au bataillon, bref, c’était fermé, portes closes.

Que faire donc sinon revenir lentement sur nos pas vers la place Clichy, peut-être pour dîner chez Charlot ?

C’est en formant ce projet d’un dîner de fruits de mer (dans des conditions plus convenables que celles narrées dans l’épisode 4) que nous déambulions nuitamment, longeant les néons colorés des «boutiques de sexe» fort nombreuses dans ce quartier.
C’est alors que Caline me dit :

— On entre ?
— Où ?
— Dans un sex shop…
— Tu veux ?
— Pourquoi pas ?
— Cela ne m’étonne pas d’une coquine comme toi…
— Tu peux parler…
— Lequel alors ?
— N’importe…

Nous poursuivîmes notre promenade en avisant d’un autre regard les enseignes lumineuses et la liste des félicités que l’on nous assurait de trouver à l’intérieur…
Un peu au hasard, nous finîmes par franchir la porte de l’un de ces établissements pour entrer dans la boutique y satisfaire notre libidineuse curiosité.

Celle-ci se constituait d’une grande pièce et vers le fond d’une autre plus petite où se trouvaient notamment les cassettes de films x.
L’excitation de Caline monta d’un cran alors que nous passions devant les nombreux ustensiles phalliques, de diverses natures et surtout de diverses tailles.

— On ne peut quand même pas s’enfiler un truc comme ça, tu te rends compte disait Caline en se mordant les lèvres, s’imaginant totalement écartelée…
— Viens, on va voir les films…

Le vendeur s’approcha de nous.

— Vous désirez quelque chose ?
— Euh non, merci, on... Regarde…répondis-je.

Nous mations les revues porno disposées sur le présentoir situé au centre de la pièce, parcourant les photos et les acteurs figées sur papier glacé dans des poses suggestives, les dames ayant une nette tendance à se faire doublement honorer…

— Quelle chance… Me dit Caline en me montrant une photo où une blonde souriait à l’objectif avec deux queues entre les cuisses et une autre dans la bouche…
— Vicieuse…
— Ça te fait bander ?

Je préférais ne rien répondre et portais mon attention sur une revue où figuraient majoritairement les gros seins, alors que Caline feuilletait aussi des publications plus spécialisées en diverses perversions.
Nous faisions le tour lentement de toutes ses réjouissances et il me semblait que pour Caline c’était la première fois qu’elle se risquait dans une telle antre de la lubricité, d’où son excitation de débutante…

— Moi, je mouille… Me révélait-elle soudain.

Arrivés dans la petite pièce du fond, Caline se rapprocha de moi et posa directement sa main sur ma braguette.

— Menteur.
— Quoi ?
— Tu bandes..
— Je ne t’avais répondu…
— Hypocrite...
— Moi ? Ou toi ?

Sa main serrait mon sexe au travers du tissu. Nous pensions ne pas être visibles de la réception de telle sorte que Caline en profita pour défaire ma braguette et sortir mon engin pour le masturber. Elle poursuivit quelques instants son ouvrage, avec la dextérité qui la caractérise lorsque nous vîmes apparaître le vendeur, qui nous surprit dans cette charmante posture.
Caline lâcha mon engin mais elle ne put naturellement, extrême rigidité oblige, le ranger dans mon pantalon.

— Je vous en prie, continuez ! Nous dit le vendeur... Cela ne me dérange pas, au contraire.

C’est à ce moment que j’aperçus la caméra qui surveillait ce coin de la boutique. Caline ne le se fit pas dire deux fois et reprit en main l’objet du délit pour continuer sa branlette, sous les yeux du vendeur, au demeurant bien fait de sa personne.
Je voyais Caline qui le regardait tout en me masturbant savamment. Le vendeur de son côté matait à la fois la main qui allait et venait sur mon sexe et Caline elle-même

Un dernier regard vers moi de la part du vendeur et ce qu’il prit pour un signe approbateur, le conduisit à défaire sa braguette de laquelle il extirpa son sexe raide, et commença à se masturber, opérations qui n’échappèrent pas à Caline, laquelle poursuivait son propre ouvrage avec d’autant plus de vigueur.
Elle fixait maintenant le sexe de l’employé avec lequel je fus bêtement satisfait de soutenir la comparaison, en termes de dimensionnement (éternel complexe des hommes). Puis, après un coup d’œil à mon attention, Caline fit le petit pas nécessaire pour poser sa main sur celle du vendeur qui, du coup, celui-ci cessa son mouvement et retira lentement sa main, permettant ainsi à ma coquine de se retrouver avec une queue dans chaque main.
Manifestement, elle appréciait la situation et mettait tout son savoir faire (réel) à cette double composition.

Bientôt, elle s’accroupit devant nos deux crayons érigés, nous laissant généreusement voir ses dim up et sa fine culotte tendue sur sa motte.
Nous aussi, manipulés doctement par une branleuse aussi douée, nous savourions ce moment.

Je me demandai si Caline allait franchir l’étape suivante, à savoir sucer, mais elle n’en fit rien et continua à nous masturber. Vint donc le moment où, au comble de l’excitation, l’employé se crispa et Caline ainsi avertie de l’imminence de l’explosion accéléra tout en dirigeant les jets de plaisir vers les cassettes porno.
Pour ma part, la vue de mon coreligionnaire, en branlette, exprimer son plaisir, déclencha rapidement le mien, alors que Caline poursuivait son savant maniement des armes.
Lorsqu’elle me sentit proche de l’explosion, elle approcha cette fois sa bouche pour ne rien perdre de la liqueur habituelle dont elle raffolait.

Sitôt fait, elle me prit la main pour que nous puissions sortir.

— Je suis trempée, dépêches-toi, on se doit de rentrer.
— Pourquoi faire ? Lui demandais-je ingénument…
— Me sauter, me fourrer, me baiser..
— Ohh.

C’est effectivement ce que nous fîmes, nous passant de dîner ce soir-là.

À suivre très prochainement...

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Texte coquin : Chronique de notre vie 6/10
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