Chronique de notre vie 9/10
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
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Chronique de notre vie 9/10
9. Le changement de sexe.
Nous étions tous deux face au grand miroir de l’armoire vitrée et nous nous regardions l’un et l’autre.
Quel choc et quelle délicieuse excitation de nous contempler ainsi, Caline vêtue d’une de mes chemises nouée sur son ventre mais avec la cravate au nœud bien en place, les cheveux tirés en arrière et revêtue de ce godemichet ceinture, de couleur noire, dont nous avions fait l’emplette.
En ce qui me concerne, j’étais nu, à l’exception d’un soutien-gorge de dentelle bleu nuit rembourré de mouchoirs en papier, de la culotte assortie, d’un porte jarretelles noir et de bas noirs, le tout appartenant à Caline.
Nous avions décidé de commencer notre nuit en inversant les rôles. Caline était moi et moi, j’étais elle.
Notre trouble réciproque était palpable, et nous avions plaisir à transgresser l’évidente réalité pour tenir un rôle de composition, que seule notre totale intimité nous permettait d’explorer.
— Viens me sucer ma chérie me dit-elle, tendant son ventre en avant et agitant le sexe de latex noir.
À quatre pattes sur le lit, et après que je me sois débarrassé de ce soutien-gorge quelque peu gênant, mais conservant les bas, je vins vers... Elle poser ma bouche sur cette queue factice et je me mit à la lécher puis à la sucer, regardant Caline dans les yeux.
— Oui, comme çà petite salope, elle est bonne ma grosse bite hein ? Tu aimes çà ma cochonne ? Vas-y suces la bien…
Elle joua ainsi quelque temps au macho bien tempéré, multipliant les attitudes et les propos ad’hoc…
— Et mon cul, tu ne le lèches pas aussi, petite vicieuse ? Dit-elle en se retournant pour présenter ses fesses de la raie desquelles elle écarta la lanière du gode.
Et de m’exécuter docilement, obéissant aux injonctions de ce mâle un rien dominateur que jouait Caline. Je me rendis compte que le jeu lui plaisait à l’intensité de son excitation concrétisée par une mouille que rarement je vis plus abondante.
Vint ensuite son tour de s’occuper de mon intimité dirais-je et, dans la logique de notre scénario, je me rendis compte qu’elle en voulait aujourd’hui plus à mon cul qu’au reste.
Sa langue en ces parties intimes étaient habituellement un délice ; ce jour là, ces pratiques le furent encore davantage.
Le moment arriva où mon « homme » manifesta le désir de s’introduire de manière plus concrète et je me rendis compte que la préméditation était incontestable puisque Caline s’était munie d’un produit qu’il est convenu de dénommer "gel lubrifiant".
Après que sa langue eut préparé le terrain, je sentis bientôt la fraîcheur de ce gel sur une rosette résignée à l’ultime sacrifice.
C’est, fort lentement, que Caline démarra l’intromission de ce sexe factice dans moi, mais fermement puisque quelques minutes plus tard, elle pratiquait une honnête sodomie innovante à tout point de vue.
Je dois dire que je supportai assez bien ce traitement, alors que Caline m’encourageait à me masturber en même temps, ce que je fis avec finalement beaucoup de plaisir.
Nous continuâmes notre soirée de manière plus traditionnelle, reprenant nos rapports naturels, mais cette expérience fut néanmoins, rétrospectivement, fort intéressante et mentalement réussie.
À la prochaine chronique...
Nous étions tous deux face au grand miroir de l’armoire vitrée et nous nous regardions l’un et l’autre.
Quel choc et quelle délicieuse excitation de nous contempler ainsi, Caline vêtue d’une de mes chemises nouée sur son ventre mais avec la cravate au nœud bien en place, les cheveux tirés en arrière et revêtue de ce godemichet ceinture, de couleur noire, dont nous avions fait l’emplette.
En ce qui me concerne, j’étais nu, à l’exception d’un soutien-gorge de dentelle bleu nuit rembourré de mouchoirs en papier, de la culotte assortie, d’un porte jarretelles noir et de bas noirs, le tout appartenant à Caline.
Nous avions décidé de commencer notre nuit en inversant les rôles. Caline était moi et moi, j’étais elle.
Notre trouble réciproque était palpable, et nous avions plaisir à transgresser l’évidente réalité pour tenir un rôle de composition, que seule notre totale intimité nous permettait d’explorer.
— Viens me sucer ma chérie me dit-elle, tendant son ventre en avant et agitant le sexe de latex noir.
À quatre pattes sur le lit, et après que je me sois débarrassé de ce soutien-gorge quelque peu gênant, mais conservant les bas, je vins vers... Elle poser ma bouche sur cette queue factice et je me mit à la lécher puis à la sucer, regardant Caline dans les yeux.
— Oui, comme çà petite salope, elle est bonne ma grosse bite hein ? Tu aimes çà ma cochonne ? Vas-y suces la bien…
Elle joua ainsi quelque temps au macho bien tempéré, multipliant les attitudes et les propos ad’hoc…
— Et mon cul, tu ne le lèches pas aussi, petite vicieuse ? Dit-elle en se retournant pour présenter ses fesses de la raie desquelles elle écarta la lanière du gode.
Et de m’exécuter docilement, obéissant aux injonctions de ce mâle un rien dominateur que jouait Caline. Je me rendis compte que le jeu lui plaisait à l’intensité de son excitation concrétisée par une mouille que rarement je vis plus abondante.
Vint ensuite son tour de s’occuper de mon intimité dirais-je et, dans la logique de notre scénario, je me rendis compte qu’elle en voulait aujourd’hui plus à mon cul qu’au reste.
Sa langue en ces parties intimes étaient habituellement un délice ; ce jour là, ces pratiques le furent encore davantage.
Le moment arriva où mon « homme » manifesta le désir de s’introduire de manière plus concrète et je me rendis compte que la préméditation était incontestable puisque Caline s’était munie d’un produit qu’il est convenu de dénommer "gel lubrifiant".
Après que sa langue eut préparé le terrain, je sentis bientôt la fraîcheur de ce gel sur une rosette résignée à l’ultime sacrifice.
C’est, fort lentement, que Caline démarra l’intromission de ce sexe factice dans moi, mais fermement puisque quelques minutes plus tard, elle pratiquait une honnête sodomie innovante à tout point de vue.
Je dois dire que je supportai assez bien ce traitement, alors que Caline m’encourageait à me masturber en même temps, ce que je fis avec finalement beaucoup de plaisir.
Nous continuâmes notre soirée de manière plus traditionnelle, reprenant nos rapports naturels, mais cette expérience fut néanmoins, rétrospectivement, fort intéressante et mentalement réussie.
À la prochaine chronique...
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