Claire 1, ma virginité
Récit érotique écrit par Phily [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-06-2021 dans la catégorie Pour la première fois
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Claire 1, ma virginité
Aujourd’hui j’ai 38 ans et dans ce premier épisode, je vais vous raconter comment j’ai perdu ma virginité à 18 ans.
J’avais 15 ans. Un après-midi, je suis allé chez une amie dans une cité pour fêter son anniversaire. Pas d’alcool, pas de musique, juste une petite fête entre copains, copines. Je suis partie seule et me suis retrouvée face à 3 mecs, à peine plus âgé que moi qui trainaient dans la cage d’escalier. Ils ont commencé à m’importuner, à laisser trainer les mains un peu partout sur mon corps. J’étais paniqué, j’avais très peur de me faire violer surtout lorsque l’un d’eux à tirer sur ma culotte. Heureusement, deux femmes sont sorties d’un appartement et les ont fait fuir. J’étais en pleure et j’ai couru jusqu’à chez moi.
Il m’a fallu du temps pour oublier ce traumatisme et c’est ce qui explique que, contrairement à mes copines, j’ai attendu mes 18 ans avant de coucher avec un garçon. Aucun lien avec la majorité mais juste le temps qu’il m’a fallu pour faire confiance à un garçon. D’ailleurs mon petit ami de l’époque a eu beaucoup de patience.
Je suis sortie avec Martin à 17 ans, lui en avait 19. Lors d’une sortie au cinéma, on s’est pris la main et on s’est embrassé. Au début, on se voyait lorsqu’on sortait entre copains puis au bout d’un mois, il venait tous les mercredis après-midi chez moi enfin, chez mes parents, dans ma chambre. C’était le seul moment où on pouvait se retrouver seul, tous les deux.
Ça a commencé sagement. On s’embrassait allongé sur le lit. Je lui ai laissé assez rapidement me caresser les seins à travers mes habits. De temps en temps, il passait une jambe sur les miennes et je sentais une sorte de bâton dur se frotter sur ma cuisse. J’ai fini par laisser ses mains se faufiler sous mes hauts puis sous mon soutien-gorge. Quelques temps après, je retirais moi-même mon haut. Là, les caresses étaient accompagnées de bisous sur mes tétons.
Ça évoluait dans nos attouchements, si bien qu’un jour il guida ma main sur son sexe au-dessus du pantalon et je l’ai laissé me guider. Puis, à sa demande, j’ai défait sa ceinture, sa braguette et sortit son sexe. Je le caressais et j’aimais le sentir grossir, durcir dans ma main. Puis, vint le moment où j’ai commencé à le sucer et à aimer ça. Je m’appliquais et à ses dires, j’étais plutôt douée. Il n’y avait plus un mercredi qui ne finissait pas par une pipe mais je le laissais toujours sur ses envies car je ne le laissais toujours pas éjaculer. Il partait à chaque fois frustré.
Un mercredi alors que je le suçais, ses mains se sont faufilées sous ma jupe et il m’a retiré la culotte. Je me suis écartée de lui et je me suis dit qu’il allait vouloir qu’on passe à l’action. Alors j’ai redoublé d’efforts et pour calmer ses envies, je l’ai fait jouir dans ma bouche. Cette fois-ci il ne rentra pas frustré. Les mercredis suivants, j’ai recommencé à avaler sa semence. Ce n’était ni bon ni mauvais mais son seul plaisir me suffisait pour aimer faire ça.
Quelques jours après mon anniversaire, je l’ai reçu nu sous une robe de chambre. J’étais prête. On s’est caressé, embrassé. Pendant que je le suçais, il me titillait mon clitoris de sa langue et ses doigts. Puis, il m’a couché et est venu sur moi. Il a dirigé son sexe à l’entrée du mien. Il le frottait, faisait mine de me pénétrer et se retirait. J’étais de plus en plus excitée et lorsqu’il déchira mon hymen en me pénétrant, j’ai senti une vive douleur mais immédiatement remplacée par une vague de chaleur et des sensations plus qu’agréables dans mon ventre. Je venais de jouir pour ma première fois. J’ai à nouveau ressenti cette sensation lorsqu’’il s’est vidé en moi.
J’avais aimé ma première fois et je réclamais qu’il me prenne. Si bien qu’on faisait l’amour dès que possible.
Je voulais tout le temps mais lui se lassait. Il avait eu ce qu’il voulait, ma virginité, mais n’était pas suffisamment amoureux. D’ailleurs j’ai appris qu’il n’avait pas été si patient que ça car il couchait avec des filles faciles en attendant que j’accepte d’écarter mes cuisses. Ce que je fis une dernière fois avant qu’il ne me largue.
Je suis allé me faire consoler chez une de mes meilleures amies.
Nous sommes trois filles qui avons vécu depuis toute petite dans le même quartier pavillonnaire. Nous avons grandi ensemble et sommes inséparables.
Il y a Erika, d’origine suédoise et soyons honnête, de nous trois la plus belle. Contrairement à ce que l’on peut imaginer, Erika connais des difficultés avec les garçons. Ils hésitent à l’aborder et comme elle est timide, elle n’aura pas connu beaucoup de garçon jusqu’à sa séparation avec son copain après 7 ans ensemble.
Il y a Luna aussi brune qu’Erika est blonde. Elle a le sang chaud et n’a pas sa langue dans sa poche. Elle aborde les garçons sans complexe et ne compte plus les garçons et hommes passés dans son lit. Elle couche facilement et souvent dès le premier soir. Sa devise, « on ne vit qu’une fois, carpe diem ».
Et moi, Claire. J’ai connu quelques garçons et hommes aujourd’hui. J’aime être séduite et faire languir un garçon avant de lui céder. Et comme mes copines, j’aime le sexe.
Revenons au réconfort que j’ai cherché chez Luna. J’ai prévenu mes parents que je dormais chez Luna et sa mère nous a apporté de quoi manger dans sa chambre.
Au lit, je me suis blottie dans ses bras et me suis laissé aller à pleurer. Elle me consolait tendrement et chaleureusement. Elle m’a fait des bisous dans le cou puis, sur la joue et finalement sur mes lèvres. Elle s’y est attardée et ne voyant pas de rejet de ma part a cherché à ouvrir ma bouche et nos langues se sont mêlées. Je savais qu’un jour cela arriverait et j’étais même surprise que à ce fasse si tard. Cette nuit-là, nous avons fait l’amour entre filles. En ce qui me concerne c’était une découverte mais notre amitié était si forte qu’elle s’apparentait à de l’amour et l’amour amène au sexe. C’est très différent qu’avec un garçon. Les doigts sont plus fins, la langue plus habile. La femme sait ce qu’elle aime et le reproduit sur sa partenaire. Nous avons joui ensemble. Voilà comment j’ai découvert le sexe avec un garçon et une fille.
J’avais 15 ans. Un après-midi, je suis allé chez une amie dans une cité pour fêter son anniversaire. Pas d’alcool, pas de musique, juste une petite fête entre copains, copines. Je suis partie seule et me suis retrouvée face à 3 mecs, à peine plus âgé que moi qui trainaient dans la cage d’escalier. Ils ont commencé à m’importuner, à laisser trainer les mains un peu partout sur mon corps. J’étais paniqué, j’avais très peur de me faire violer surtout lorsque l’un d’eux à tirer sur ma culotte. Heureusement, deux femmes sont sorties d’un appartement et les ont fait fuir. J’étais en pleure et j’ai couru jusqu’à chez moi.
Il m’a fallu du temps pour oublier ce traumatisme et c’est ce qui explique que, contrairement à mes copines, j’ai attendu mes 18 ans avant de coucher avec un garçon. Aucun lien avec la majorité mais juste le temps qu’il m’a fallu pour faire confiance à un garçon. D’ailleurs mon petit ami de l’époque a eu beaucoup de patience.
Je suis sortie avec Martin à 17 ans, lui en avait 19. Lors d’une sortie au cinéma, on s’est pris la main et on s’est embrassé. Au début, on se voyait lorsqu’on sortait entre copains puis au bout d’un mois, il venait tous les mercredis après-midi chez moi enfin, chez mes parents, dans ma chambre. C’était le seul moment où on pouvait se retrouver seul, tous les deux.
Ça a commencé sagement. On s’embrassait allongé sur le lit. Je lui ai laissé assez rapidement me caresser les seins à travers mes habits. De temps en temps, il passait une jambe sur les miennes et je sentais une sorte de bâton dur se frotter sur ma cuisse. J’ai fini par laisser ses mains se faufiler sous mes hauts puis sous mon soutien-gorge. Quelques temps après, je retirais moi-même mon haut. Là, les caresses étaient accompagnées de bisous sur mes tétons.
Ça évoluait dans nos attouchements, si bien qu’un jour il guida ma main sur son sexe au-dessus du pantalon et je l’ai laissé me guider. Puis, à sa demande, j’ai défait sa ceinture, sa braguette et sortit son sexe. Je le caressais et j’aimais le sentir grossir, durcir dans ma main. Puis, vint le moment où j’ai commencé à le sucer et à aimer ça. Je m’appliquais et à ses dires, j’étais plutôt douée. Il n’y avait plus un mercredi qui ne finissait pas par une pipe mais je le laissais toujours sur ses envies car je ne le laissais toujours pas éjaculer. Il partait à chaque fois frustré.
Un mercredi alors que je le suçais, ses mains se sont faufilées sous ma jupe et il m’a retiré la culotte. Je me suis écartée de lui et je me suis dit qu’il allait vouloir qu’on passe à l’action. Alors j’ai redoublé d’efforts et pour calmer ses envies, je l’ai fait jouir dans ma bouche. Cette fois-ci il ne rentra pas frustré. Les mercredis suivants, j’ai recommencé à avaler sa semence. Ce n’était ni bon ni mauvais mais son seul plaisir me suffisait pour aimer faire ça.
Quelques jours après mon anniversaire, je l’ai reçu nu sous une robe de chambre. J’étais prête. On s’est caressé, embrassé. Pendant que je le suçais, il me titillait mon clitoris de sa langue et ses doigts. Puis, il m’a couché et est venu sur moi. Il a dirigé son sexe à l’entrée du mien. Il le frottait, faisait mine de me pénétrer et se retirait. J’étais de plus en plus excitée et lorsqu’il déchira mon hymen en me pénétrant, j’ai senti une vive douleur mais immédiatement remplacée par une vague de chaleur et des sensations plus qu’agréables dans mon ventre. Je venais de jouir pour ma première fois. J’ai à nouveau ressenti cette sensation lorsqu’’il s’est vidé en moi.
J’avais aimé ma première fois et je réclamais qu’il me prenne. Si bien qu’on faisait l’amour dès que possible.
Je voulais tout le temps mais lui se lassait. Il avait eu ce qu’il voulait, ma virginité, mais n’était pas suffisamment amoureux. D’ailleurs j’ai appris qu’il n’avait pas été si patient que ça car il couchait avec des filles faciles en attendant que j’accepte d’écarter mes cuisses. Ce que je fis une dernière fois avant qu’il ne me largue.
Je suis allé me faire consoler chez une de mes meilleures amies.
Nous sommes trois filles qui avons vécu depuis toute petite dans le même quartier pavillonnaire. Nous avons grandi ensemble et sommes inséparables.
Il y a Erika, d’origine suédoise et soyons honnête, de nous trois la plus belle. Contrairement à ce que l’on peut imaginer, Erika connais des difficultés avec les garçons. Ils hésitent à l’aborder et comme elle est timide, elle n’aura pas connu beaucoup de garçon jusqu’à sa séparation avec son copain après 7 ans ensemble.
Il y a Luna aussi brune qu’Erika est blonde. Elle a le sang chaud et n’a pas sa langue dans sa poche. Elle aborde les garçons sans complexe et ne compte plus les garçons et hommes passés dans son lit. Elle couche facilement et souvent dès le premier soir. Sa devise, « on ne vit qu’une fois, carpe diem ».
Et moi, Claire. J’ai connu quelques garçons et hommes aujourd’hui. J’aime être séduite et faire languir un garçon avant de lui céder. Et comme mes copines, j’aime le sexe.
Revenons au réconfort que j’ai cherché chez Luna. J’ai prévenu mes parents que je dormais chez Luna et sa mère nous a apporté de quoi manger dans sa chambre.
Au lit, je me suis blottie dans ses bras et me suis laissé aller à pleurer. Elle me consolait tendrement et chaleureusement. Elle m’a fait des bisous dans le cou puis, sur la joue et finalement sur mes lèvres. Elle s’y est attardée et ne voyant pas de rejet de ma part a cherché à ouvrir ma bouche et nos langues se sont mêlées. Je savais qu’un jour cela arriverait et j’étais même surprise que à ce fasse si tard. Cette nuit-là, nous avons fait l’amour entre filles. En ce qui me concerne c’était une découverte mais notre amitié était si forte qu’elle s’apparentait à de l’amour et l’amour amène au sexe. C’est très différent qu’avec un garçon. Les doigts sont plus fins, la langue plus habile. La femme sait ce qu’elle aime et le reproduit sur sa partenaire. Nous avons joui ensemble. Voilà comment j’ai découvert le sexe avec un garçon et une fille.
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