L'épouse

- Par l'auteur HDS Phily -
Récit érotique écrit par Phily [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : L'épouse Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L'épouse
Christian, mon mari, a dû vous parler de notre accord. Fidélité durant l’année à l’exception d’une semaine où tout était permis. Je me suis éloigné du domicile conjugal d’une trentaine de kilomètres afin de ne rencontrer aucune connaissance. J’ai également pris une semaine de congés afin de profiter pleinement de mes nuits. J’ai lu le récit de mon mari qui a été bien sage. Heureusement que je lui ai envoyé une copine pour le divertir et surtout pour me déculpabiliser un peu. Cette copine fait porter des cornes à son mari et est très dévergondée. Mon mari a pu en faire l’expérience même si avec mon lui, je suis aussi délurée qu’elle.
Après m’être installée dans ma chambre d’hôtel, je me suis préparé pour la soirée qui j’espérais serait hot. J’ai choisi une robe cocktail droite, courte avec les épaules nues et qui se porte donc sans soutien-gorge. J’ai choisi un string brésilien en dentelle blanche. La température était clémente donc je ne mis ni de bas ni de collant, juste un châle sur les épaules.
Je me suis installée à une table du pub Au Bureau pour diner. Seule, je regardais autour de moi les cibles potentielles car j’avais l’intention de profiter de mon quartier libre. A l’aube de mes 40 ans, 38 pour être précise, je ne m’intéressais pas aux jeunots mais aux hommes murs. A quelques tables de moi, je repérais deux hommes qui devaient avoir environ 45 ans en espérant qu’ils ne soient seulement que des copains. Je fus rapidement rassurée car eux aussi m’avaient repéré. Ils m’ont laissé finir mon repas avant de venir me proposer un verre. Nous avons décidé d’aller au bar discuter avant peut-être d’aller danser sur la piste exigüe. Assise sur un tabouret de bar, j’exposais mes jambes dénudées. Je buvais autant ma pina colada que leurs paroles. Ils étaient commerciaux de passage. Nous avions tous les trois une alliance montrant que nous n’étions pas libres et je préférais cela. Ils étaient drôles et charmeurs sans geste déplacé. Lorsque la musique se fit entendre, j’ai ôté mes chaussures pour aller me dandiner sur la piste, accompagnée de mes deux chevaliers servants. Nous dansions coller serrer, un devant moi, l’autre derrière. Puis nous sommes retournés au bar pour un dernier verre. Lorsqu’ils m’ont proposé de finir la soirée dans leur hôtel, j’ai fait mine d’hésiter, de leur dire qu’ils allaient un peu vite en besogne. Je n’ai, semble-t-il, pas été convaincante car tandis que l’un récupérait mon châle et mon sac à main, l’autre me prit la main, m’entrainant hors du pub. Nous avons pris qu’une voiture, celle qu’ils avaient loués, direction leur hôtel.
- Tu sais ce qu’il va se passer en nous suivant.
- Je pense que nous allons baiser et c’est une première à trois, enfin pour moi.
- On sait très bien s’occuper d’une femme ensemble. On n’a jamais eu de reproche.
A un feu, le passager est passé à l’arrière, à mes côtés. La chose étant entendue, il voulait prendre de l’avance en s’excitant mutuellement. Il m’a embrassé, baiser auquel j’ai répondu. Nos langues emmêlées, sa main s’est aventurée sur ma poitrine à même la peau. Un sein sorti de ma robe, il l’embrassa, pinça mon téton tandis que sa main longeait mon corps. Il s’attarda sur ma cuisse, appréciant sa douceur avant d’aller plus haut vers mon entre cuisse. Je caressais sa chevelure tandis qu’il écartait ma culotte.
La voiture stoppa, nous étions arrivés. Dans la chambre, je les ai poussés sur le lit et face à eux, j’ai lentement retiré ma robe. Je les ai laissé apprécier mon corps muni juste de mon string avant de le retirer. Ils se sont précipités à se mettre nu. Leur sexe au garde à vous me donnaient une envie folle de les sucer. Ce que je fis à tour de rôle. Puis ce fut à eux de s’occuper de mon minou, épilé pour la circonstance. Je jouis une première fois sous la langue et les doigts de celui qui était entre mes jambes tandis que je suçais son compère. Muni d’un préservatif, il se coucha sur moi et dirigea son sexe en moi. Je mouillais tellement que la pénétration fut facile. Tandis qu’il allait bon train en moi, l’autre s’occupait de mes seins, m’embrassait. J’étais baisée depuis une dizaine de minutes lorsqu’ils échangèrent leur place. C’était jouissif de sentir une nouvelle queue en moi. Puis, je fus prise en levrette, tenue par les hanches. L’autre titilla mon anus et comme je réagissais avec des « oh oui, vas-y, c’est bon », il dilata mon petit trou avec un puis deux doigts. Lorsque je sentis le premier se retirer de mon sexe, je savais qu’il allait me sodomiser. Je l’accueillis sans masquer mon plaisir. Je pratique la sodomie avec mon mari et j’adore ça. Il s’introduit entre mes fesses lentement progressivement, il mit son sexe entièrement dans mon anus. Il fit de lent aller-retour avant que je lui demande d’y aller franco. Lorsqu’ils ont voulu échanger de place, je leur ai demandé de me prendre ensemble. C’était un fantasme que j’allais réaliser. Aimant tout autant la pénétration vaginale que la pénétration anale, je rêvais de combiner les deux et ce fut l’apothéose avec une jouissance bruyante et fantastique. Il est possible qu’ils aient eu des plaintes le lendemain. J’ai dormi chez eux, enfin dormir est un bien grand mot. Disons que j’ai passé la nuit avec eux. Pour leur réveil, ils ont eu le droit à une fellation complète. Avant de reprendre la route, ils m’ont déposé à ma voiture et je suis rentré à mon hôtel, dormir. Nous n’avons même pas échangé nos numéros. C’est à peine si je me rappelle leurs prénoms.
Je me suis réveillée vers 13h et j’ai pris une bonne douche pour récupérer de cette belle nuit. Je suis allée trainer en ville. Je m’étais vêtu d’un mini short, d’un débardeur et de petites baskets. Je me suis arrêtée une première fois acheter un sandwich dans une boulangerie avant de faire du lèche vitrine. Entre les banques, les assurances et une rôtisserie, il n’y avait qu’une boutique de fringue, une de chaussures et un bazar. La balade allait être rapide. Au détour d’une rue, j’ai découvert un bar. Je m’installais à une table à l’intérieur. En scrutant la salle, je vis un couple que j’imaginais adultère et un homme qui me matait avec insistance. J’étais encore sous l’effet ressentis la nuit dernière et je n’avais ni envie de discuter ni d’autre chose d’ailleurs. Je me suis éclipsée pour rejoindre mon hôtel. La journée et la soirée fut calme toisant toutes les approches masculines.
Le lendemain après-midi, je retournais dans le bar. Cette fois, ils avaient installé la terrasse sur le trottoir. Je m’y suis attablée et ai commandé une salade composée et un verre de vin. J’étais en train de manger lorsque l’homme de la veille et sorti du bar et s’installa à ma table sans demander. Il n’y alla pas par quatre chemins.
- Tu me plais, j’ai envie de te baiser. Alors tu vas descendre aux toilettes et tu m’attends.
- Vous êtes gonflé, il n’y a pas écrit salope sur mon front il me semble.
- Ne fais pas ta mijaurée. Ça ne va pas refroidir allez, j’attends.
Son audace me décontenança et, contre toute attente, j’obéis. Dans la cabine handicapée, je l’ai attendu. Il m’a vite rejoint et a planté son sexe devant ma bouche. Je me suis mise à le branler et à le sucer. En me tenant la tête, il me forçait à rentrer profondément son sexe dans ma gorge si bien que je l’ai pris en entier. Puis, il m’a levé, m’a retourné et appuyée contre le mur, il a soulevé ma jupe et descendit ma culotte. Je l’ai entendu, déchirer l’emballage d’une capote et la mettre. Il me pénétra d’un coup sec. Sa brutalité m’excitait et je n’ai pas tardé à ressentir du plaisir. Après mon orgasme, il était prêt à me rejoindre. C’est alors qu’il m’a de nouveau assise sur la cuvette, retira son préservatif et se branla devant ma bouche ouverte. Au moment d’éjaculer, il se rapprocha de ma bouche et me regarda, avec un large sourire, avaler sa semence. Nous sommes remontés et s’est de nouveau assis à ma table.
- Comme toutes les bourgeoises, tu es une belle salope et bien foutu en plus.
- Je ne sais pas ce qu’il m’a pris.
- Tu sentais le sexe, tu avais envie et j’ai sauté sur l’occasion. D’ailleurs, si tu es dispo, je me ferais bien un autre round.
- Non merci, c’était assez dégradant de se faire baiser dans les toilettes.
- Ah, mais cette fois, je t’emmène à l’hôtel et je te fais grimper aux rideaux toute l’après-midi.
- Oh, le prétentieux. Là, la situation était particulière mais couché sur un lit, il m’en faut plus.
- Essaie, tu ne le regretteras pas.
C’est ainsi que je me suis retrouvée dans une chambre d’hôtel avec un inconnu. C’est lui qui m’a déshabillée en admirant mon corps au fur et à mesure qu’il me dénudait, s’attardant sur les parties découvertes. Mes seins, mon ventre, mon sexe. Là, il était plus doux et son cunnilingus était une merveille. Effectivement, il me fit déjà jouir de sa langue. Nous nous sommes embrassés, lui massant mes seins et moi en branlant son sexe prêt à l’emploi. Il m’enseigna comment mettre un préservatif avec la bouche. Puis, dans la position du missionnaire, jambes bien écartées, il m’a pénétré progressivement avant d’entamer des va-et-vient lents et profond puis plus rapides. Il baisait vraiment bien et j’exprimais mon plaisir par des onomatopées et des encouragements. Puis, il m’a pris dans la position de la cuillère, position que j’affectionne d’ailleurs. Je faisais des mouvements pour qu’il aille plus profondément et à mon rythme. Puis, après un orgasme- Prends-moi le petit trou- Pardon ?
- Encule-moi- A vos ordres, madame.
Par là aussi, il faisait bien les choses. Il me pénétrait lentement puis ressortait complément avant de s’enfonçait d’un coup sec et ainsi de suite. Il m’a vraiment fait grimper aux rideaux, comme il me l’avait promis. Bien au fond dans mon petit cul, il se vida dans sa capote. Après un passage à la douche, nous nous sommes lovés en s’embrassant. Il n’y avait pas d’amour mais j’étais bien dans ses bras. Et de caresses en caresses, il a de nouveau été en forme. Je me suis couché sur le dos et l’ai attiré à sur moi. J’ai pris son sexe en main pour le diriger en moi. Après quelques va et vient, j’ai réagi qu’il ne s’était pas protégé. C’était de ma faute et il était trop tard. Il m’a plus fait l’amour que baiser. Il était endurant mais au bout d’un moment, j’ai senti qu’il allait venir. Alors je l’ai regardé dans les yeux- Viens en moi, je veux te sentir jouir.
Il n’y a pas à dire, ce mec est doué, performant et m’a effectivement fait grimper aux rideaux. Mon après-midi c’est terminé ainsi, comblée. Je pense que baiser sans protection, c’est le pire que je pouvais faire à mon mari et que ce serait la chose qu’il accepterai le moins bien.
De nouveau, le lendemain fut calme mais le sexe appel le sexe et j’avais de nouveau envie de profiter de ma liberté passagère. J’avais repéré l’homme qui tenait le bazar. J’y suis allé mais j’ai beau lui avoir fait du rentre dedans, rien à faire et je me suis pris un râteau. Vexée, je suis partie trainer dans la rue. Là, j’ai croisé mon étalon. Je lui ai expliqué ce qui venait de m’arriver.
- Je le connais, sa femme n’est même pas belle et passait à côté d’un canon comme toi. Quel imbécile.
- J’avais envie de nouveauté. Je ne pensais pas me faire rembarrer comme ça.
- Tu veux de la nouveauté, je vais t’en donner. Es-tu prête à faire ce que je te dis et à m’obéir sans discuter.
- Tu me fais peur.
- Ne t’inquiète pas, il n’y aura aucune violence et du sexe tu vas en avoir. Moi, je me réserve pour cette nuit.
- Tu veux que je sois ta pute ?
- Disons plutôt ma soumise- Je ne peux pas accepter ça mais je veux bien passer du temps avec toi. Je n’ai jamais autant joui avec un homme comme avec toi.
J’ai passé deux jours extraordinaires. Il n’était jamais rassasié et m’a mise sur les genoux. J’ai passé ma dernière nuit seule dans ma chambre d’hôtel avant de rentrer retrouver mon petit mari.
Si j’avais été en couple avec mon étalon, j’aurais pris mon pied souvent car c’est un baiseur hors pair. Par contre, je me serais perdue, je n’aurais pas été moi mais sa soumise. Il m’aurait offerte à d’autres et je sais que je lui aurais obéi. Mais je préfère ma petite vie rangée et cette expérience mais fait découvrir sur moi.
Je ne sais pas si nous rééditerons cette expérience et j’ai bien fait d’en profiter pleinement.

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