Emilie, le client

- Par l'auteur HDS Phily -
Récit érotique écrit par Phily [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Emilie, le client Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-02-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(8.5 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

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Emilie, le client
Je suis négociatrice dans une société d’import-export. Je m’occupe de négocier les prix avec les fournisseurs, les frais de douane ou encore les règles de TVA dans les pays des clients.
Quand mon patron m’a demandé de l’accompagnait à un diner d’affaires avec un client Ukrainien, je redoutais de comprendre le rôle qu’il voudrait que je tienne. D’ailleurs, mon mari était tout aussi méfiant que moi. Il faut dire que mon cher époux n’a pas vraiment confiance en lui, ou peut-être en moi ou les deux. Il dit me dit souvent que je suis trop belle pour lui et qu’il est jaloux des hommes avec lesquels je travaille et qu’il est frustré que je passe plus de temps avec eux qu’avec lui. Il est vrai que je n’ai pas vraiment d’horaire, que je travaille beaucoup et suis souvent absente de la maison entre 8h et 20h.
Je jour-là, je suis rentré plus tôt pour me préparer. J’ai opté pour ma robe bustier dévoilant un joli décolleté, un dos nu et la jupe est évasée avec les volants asymétriques et des paillettes sur le côté. Je pourrais la porter sans soutien-gorge mais comme je trouve ma poitrine un peu petite, je préfère en mettre un sans bretelle et adhésif que j’assorti d’une jolie culotte en dentelle.
En partant vers 18h30, je n’ai pas croisé mon mari. J’avais rendez-vous avec mon boss à la société car il était convenu que nous prendrions qu’une voiture. Grande classe, il avait loué une voiture avec chauffeur. Il est de mise dans ces soirées de boire un peu plus que de coutume et de risquer son permis au retour.il me complimente sur ma tenue, ma beauté… D’habitude je le rembarre mais là, je suis si sexy que je ne peux pas m’en offusquer et je lui souris. Assis à côté de moi à l’arrière de la voiture, je le voyais mater mon décolleté et mes jambes. Sans m’émoustiller, j’admets apprécier ses regards furtifs. Il m’expliqua qu’outre les détails professionnels que j’apporterais, il souhaiter que j’utilise mon charme pour faire couronner de succès l’affaire avec cet important Ukrainien. Heureusement qu’il n’a parlé de mes charmes qui pour moi n’a pas la même signification. En revanche, lorsqu’il a posé sa main sur ma cuisse, que j’ai repoussé violemment, je n’avais plus de doute sur le rôle qu’il voulait que je joue.
20h nous sommes à l’heure à notre rendez-vous avec le client qui, en me voyant, a les yeux du loup de Tex Avery. Ce qui chagrine, c’est que le diner se passe au restaurant de son hôtel. Nous sommes installés à l’écart dans un recoin du restaurant caché du reste de la salle par un rideau rouge. Autour d’une table ronde, assise entre eux deux, je déroule en anglais mon laïus que j’avais préparé. J’ai le sentiment qu’ils ne m’écoutent pas et apprécient plutôt mes atouts physiques. Une heure plus tard, après un apéro et deux, trois verres de vin, je me sens un peu légère. Je sens bien que le contrat est en bonne voie et que leurs sous-entendus cachent à peine leurs espoirs de concrétiser leurs occasions de me séduire. Après le dessert, une liqueur de poire m’ôte toute opposition et je laisse la main chaude de mon boss sur ma cuisse. Ils ont rapproché leurs chaises de moi. Tout en regardant ma réaction, la main caresse ma cuisse en retroussant la jupe de ma robe. Je ferme les yeux et je sens qu’on me redresse. Je suis les deux hommes qui me tiennent par les bras.
Je me retrouve dans la suite du client, bien qu’inhibé par l’alcool, je suis tout à fait consciente de ce qui se trame. A ce moment, je ne pense plus à rien et me focalise sur les plaisirs que je m’apprête à recevoir. Sans détour, je suis assise sur le lit King Size. L’Ukrainien m’embrasse et caresse ma poitrine à travers ma robe tandis que mon boss a repris son exploration entre mes cuisses. Je ne peux retenir quelques gémissements étouffés par le baiser. Mon patron se faufile sous ma culotte et ma poitrine a été mise à nue. Je ne reste pas inactive et libère leurs sexes bien tendus. Je ressens le besoin de les exciter encore plus. Je me lève, leur tourne le dos et descend lentement ma robe. Lorsqu’elle est à la taille, je fais face à eux en cachant ma poitrine avant de retirer lentement mes mains et découvrir mes seins. Je les fixe et retire ma robe. En culotte, je m’avance et m’accroupi. Ils retirent leurs mains de leur sexe pour laisser place à ma bouche. J’adore sucer et si j’étais sûre qu’ils soient capables de me satisfaire, j’irais au bout pour leur montrer que j’aime avaler. Finalement, ils prennent l’initiative de me coucher sur le lit. L’Ukrainien retire ma culotte, m’écarte les jambes et couché sur moi me pénètre. Il me baise bien et j’exprime sans retenue mon plaisir. Je jouis une première fois. Mon boss m’attire à lui et je m’empale sur son sexe. Je me couche sur lui pour l’embrasser et lui susurrer à l’oreille d’y aller plus fort. I me retourne et en levrette, me baise fort et profondément. Là, c’est l’extase dans mon ventre et une jouissance encore plus forte m’envahi. Ils alternent en moi en me donnant énormément de plaisir. Comme je refuse d’être sodomisée, bien que je le pratique avec mon mari, il tente de me pénétrer à deux dans mon sexe. Ce fut un véritable orgasme qui les ont fait jouir en moi au même moment.
Je prends une douche et comme ils m’ont rejoint en forme, nous avons encore baisé sous l’eau tiède coulant sur nos corps.
Dans la voiture, j’ai posé ma tête sur l’épaule de mon boss. Je ne sais pas ce qui m’a pris mais je me suis mise à caresser son sexe puis à le sortir d sa cachette. Je l’ai sucé durant tout le trajet sous le regard du chauffeur. C’est devant nos bureaux qu’il s’est rependu dans ma bouche.
Depuis, je baise de temps en temps avec mon patron. Il faut dire qu’il me fait atteindre à chaque fois le nirvana. C’est ainsi qu’un midi, dans un hôtel, je lui ai offert mes fesses. Alors qu’il me prenait en levrette, je me suis introduit un doigt dans mon p’tit trou. J’aurais aimé voir sa tête à ce moment-là. Comme il coulissait aisément, un deuxième doigt a rejoint le premier. Puis, j’ai saisi son sexe et l’ai enfoncé entre mes fesses. Il fut d’abord doux avant de s’apercevoir que j’étais habituée. Il m’a défoncé le cul (je n’aime pas ce terme mais ça reflète bien ce que j’ai ressenti).
Aujourd’hui, j’aimerais découvrir la double pénétration mais je me vois mal en parler à mon mari et pas d’avantage à mon boss. Ce dernier pourrait conclure un contrat en m’offrant ce phantasme et seul l’avenir me le dira. J’aime mon mari et un amant renforce les sentiments envers mon mari. Je sais, c’est contradictoire mais c’est ainsi.

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Texte coquin : Emilie, le client
Histoire sexe : Une rose rouge
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