Claire: Elle n'aimait que les femmes, mais prend vite goût à nos bites. (1)
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-04-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Claire: Elle n'aimait que les femmes, mais prend vite goût à nos bites. (1)
Je raccompagne ma petite coiffeuse, et elle insiste pour que je monte chez elle.
Je lui explique que je suis hors service mais elle ne veut rien savoir. Cette putain de Karine l'a excitée, et elle veut elle aussi se faire baiser, par la chatte et non par le cul, sucer à fonds et avaler. Elle pense m'offrir un apéro, diner ensemble, me laisser le temps de me refaire une santé. Elle est trop mignonne et ce serait l'insulter que de refuser.
A notre première rencontre je lui ai parlé de coiffeuse à domicile, et elle revient sur ma demande pour me proposer ses services, me faire le maillot. Je me dénude et m'abandonne à ses doigts de fée. Elle est en petite culotte, me rase le pubis, les couilles, le cul, et je suis nu comme un ver, comme elle.
Elle a réchauffé une pizza surgelée que l'on partage en discutant de notre journée. Karine lui a donné des regrets et elle me demande quand est ce que l'on recommence, ayant cette fois l'intention de bouffer du sperme à volonté. J'apprends alors qu'elle ne travaille pas le lundi et lui propose de repartir dès le lendemain: Jacques et JC sont retraités donc libres, et je peux prendre la journée sans problème; il n'y aura ni Manu ni les filles mais elle s'en fout, trois mecs pour elle seule elle n'osait l'espérer. J'appelle en suivant mes deux acolytes, et ils sont ravis de cette idée. Ils seront au rendez vous à 13H chez JC.
On a terminé notre plat et elle me propose des fraises, sucre ou chantilly. J'aimerais un autre assaisonnement, celui de sa chatte, de sa mouille. Elle n'est pas choquée de ma réponse, en sourit même me racontant qu'une de ses maîtresses avait un peu les même goûts, mais avec des bananes, et qu'elles s'en sont fait une vraie cure.
Elle débarrasse, porte les fraises et la chantilly, s'allonge sur la table, enlève sa culotte, et se masturbe en s'offrant à ma vue. Elle se fait jouir rapidement:
- La crème de Monsieur est prête, vous préférez mouille nature ou mouille chantilly?
- Ce que tu veux, tu me fais craquer et ton choix sera le meilleur.
Elle s'empare de la bombe chantilly, introduit l'embout entre ses lèvres, et appuie longuement pour cracher un long filet de crème qui lui fait pousser des petits cris tellement c'est froid. Je prends une fraise, la trempe dans son bénitier, et la savoure avec délectation. Les autres suivent avec gourmandise, et la petite coquine déguste sa part. Elle se masturbe à nouveau et se fait rejouir à deux reprises pour allonger sa sauce. le dessert est fini et je prends un peu de rabe en lui fourrant une giclée de chantilly dans la chatte, et en allant la chercher de ma langue fouilleuse. Je la nettoie jusqu'à la dernière trace, et elle veut inverser les rôles.
Je suis à poil sur la table, elle me décalotte, recouvre mon gland de cette crème délicieusement froide, referme sa main dessus, et comme par magie mon champignon double de volume, alors que mon manche ne suis pas, et mon bourgeon semble démesuré par rapport à la tige. Elle me prend en bouche et me fait bander en quelques allées et venues de ses lèvres gourmandes sur ma hampe. Je vois à son regard envieux qu'elle apprécie l'évolution de mon sexe. Elle me badigeonne à nouveau avec sa bombe, gland, membre, couilles, cul, elle m'en fout partout et me lèche, me suce, pour tout récupérer.
Je trique comme un âne, et elle m'emmène à sa chambre pour baiser.
Je m'allonge sur le dos, elle rampe entre mes jambes depuis le fonds du lit, et me câline de ses mains et de sa bouche:
- Elle est belle votre queue, j'en ai envie. Je vais venir sur vous pour baiser, mais il ne faudra pas jouir, il faut vous réserver pour que goûte à mon premier sperme.
Après ma journée de débauche elle n'a rien à craindre, je vais avoir du mal à décharger encore et je la rassure, elle peut me baiser sans retenue. Elle me chevauche et je sens son écrin descendre lentement sur mon pieu, jusque sur mon ventre. Elle est étroite, soyeuse, brûlante, inondée, et je savoure cet instant magique où elle ne bouge plus, et où j'ai l'impression que sa chatte me taille une pipe. Elle se met en mouvement, lentement puis de plus en plus vite avec des petits cris, des gémissements, des mots où il n'est question que de ma queue et de sa chatte, et de leur fusion inespérée.
Elle est épuisée, se retire avec un bruit de ventouse qui se détache, s'allonge les cuisses ouvertes, et me demande de la baiser encore. Je plonge dans sa chatte adoucissante pour soulager ma crampe. Je l'aime en douceur mais ce n'est pas assez. Elle veut que je la lime, que je la tringle, que je la défonce pour assouvir les besoins de sa petite huître. Je la monte de toutes mes forces et me retire épuisé à mon tour. Je suis sur le dos, ma bite raide et gonflée au maximum semble la supplier d'en finir. Son visage se penche sur mon sexe érigé pour elle, et elle me gobe jusqu'à la racine. Elle me suce avec ardeur, espérant mon offrande. Je m'abandonne à ses divines caresses buccales, je me laisse aller, et malgré ma bite fatiguée, à force de persévérance, elle finit par me faire jouir en elle. Ses gémissements augmentent en volume pour me prouver son plaisir à se faire remplir. Elle continue à me turlutter, et ma queue qui n'en peut plus se dégonfle lamentablement. Elle remonte sur moi, me souffle à l'oreille que c'était merveilleux, que je suis un bon amant. Puis elle éteint la lumière, et vient se blottir contre moi.
On reparle de la journée passée, imagine la journée à venir, et je lui parle de mon goût pour les hommes. Je lui avoue que pour moi, homme ou femme, une bouche reste une bouche, un cul reste un cul, un vide couilles reste un vide couilles. Je lui avoue aussi que si je ne me fais pas sodomiser, j'aime sucer, que j'avale depuis peu, et lui confirme que le sperme de JC est aussi délicieux qu'il est abondant. Elle n'est pas surprise de ma confession, s'en est doutée quand on les a laissées la veille pour rester entre mecs, est bi et comprend que je le soi. Elle me tourne le dos, je me colle à elle en chien de fusil, et on s'endort pour un repos mérité.
Au matin je suis réveillé avant elle, la clarté du jour pénètre la chambre, et je la regarde dormir toute nue, je bande. J'attends qu'elle se réveille pour prévenir mon chef de mon absence, puis lorsque j'appelle Karine pour qu'elle ne compte pas sur moi, cette petite salope me suce à fonds la caisse, faisant tout son possible pour que ma collègue n'ignore rien de notre relation. Karine me dit que je vais lui payer cet affront, et raccroche. Je retourne Claire, lui baise la bouche, et décharge dans sa gorge pour la punir. Elle se confond en excuses, me dit qu'elle n'a pu résister à la vue de mon sceptre, et on se roule une pelle pour se réconcilier (je ne crains pas la colère de Karine, elle aime trop ma queue).
On se fait un petit câlin et on se lève pour se doucher, petit-déjeuner, et partir pour notre rendez-vous. On s'arrête dans une cafétéria juste avant chez JC, et à 13h , heure habituelle, on sonne à sa porte.
Il nous ouvre, à poil, la queue à l'équerre. Il me fait bander et je devine Claire mouiller sa petite culotte. On le suit dans sa chambre où Jacques nous attend, nu sur le lit, avec une trique d'enfer dont la vue inonde la chatte de me petite copine. Je devine des heures de plaisir sans limite, mais c'est une autre histoire.
A suivre..............................
Je lui explique que je suis hors service mais elle ne veut rien savoir. Cette putain de Karine l'a excitée, et elle veut elle aussi se faire baiser, par la chatte et non par le cul, sucer à fonds et avaler. Elle pense m'offrir un apéro, diner ensemble, me laisser le temps de me refaire une santé. Elle est trop mignonne et ce serait l'insulter que de refuser.
A notre première rencontre je lui ai parlé de coiffeuse à domicile, et elle revient sur ma demande pour me proposer ses services, me faire le maillot. Je me dénude et m'abandonne à ses doigts de fée. Elle est en petite culotte, me rase le pubis, les couilles, le cul, et je suis nu comme un ver, comme elle.
Elle a réchauffé une pizza surgelée que l'on partage en discutant de notre journée. Karine lui a donné des regrets et elle me demande quand est ce que l'on recommence, ayant cette fois l'intention de bouffer du sperme à volonté. J'apprends alors qu'elle ne travaille pas le lundi et lui propose de repartir dès le lendemain: Jacques et JC sont retraités donc libres, et je peux prendre la journée sans problème; il n'y aura ni Manu ni les filles mais elle s'en fout, trois mecs pour elle seule elle n'osait l'espérer. J'appelle en suivant mes deux acolytes, et ils sont ravis de cette idée. Ils seront au rendez vous à 13H chez JC.
On a terminé notre plat et elle me propose des fraises, sucre ou chantilly. J'aimerais un autre assaisonnement, celui de sa chatte, de sa mouille. Elle n'est pas choquée de ma réponse, en sourit même me racontant qu'une de ses maîtresses avait un peu les même goûts, mais avec des bananes, et qu'elles s'en sont fait une vraie cure.
Elle débarrasse, porte les fraises et la chantilly, s'allonge sur la table, enlève sa culotte, et se masturbe en s'offrant à ma vue. Elle se fait jouir rapidement:
- La crème de Monsieur est prête, vous préférez mouille nature ou mouille chantilly?
- Ce que tu veux, tu me fais craquer et ton choix sera le meilleur.
Elle s'empare de la bombe chantilly, introduit l'embout entre ses lèvres, et appuie longuement pour cracher un long filet de crème qui lui fait pousser des petits cris tellement c'est froid. Je prends une fraise, la trempe dans son bénitier, et la savoure avec délectation. Les autres suivent avec gourmandise, et la petite coquine déguste sa part. Elle se masturbe à nouveau et se fait rejouir à deux reprises pour allonger sa sauce. le dessert est fini et je prends un peu de rabe en lui fourrant une giclée de chantilly dans la chatte, et en allant la chercher de ma langue fouilleuse. Je la nettoie jusqu'à la dernière trace, et elle veut inverser les rôles.
Je suis à poil sur la table, elle me décalotte, recouvre mon gland de cette crème délicieusement froide, referme sa main dessus, et comme par magie mon champignon double de volume, alors que mon manche ne suis pas, et mon bourgeon semble démesuré par rapport à la tige. Elle me prend en bouche et me fait bander en quelques allées et venues de ses lèvres gourmandes sur ma hampe. Je vois à son regard envieux qu'elle apprécie l'évolution de mon sexe. Elle me badigeonne à nouveau avec sa bombe, gland, membre, couilles, cul, elle m'en fout partout et me lèche, me suce, pour tout récupérer.
Je trique comme un âne, et elle m'emmène à sa chambre pour baiser.
Je m'allonge sur le dos, elle rampe entre mes jambes depuis le fonds du lit, et me câline de ses mains et de sa bouche:
- Elle est belle votre queue, j'en ai envie. Je vais venir sur vous pour baiser, mais il ne faudra pas jouir, il faut vous réserver pour que goûte à mon premier sperme.
Après ma journée de débauche elle n'a rien à craindre, je vais avoir du mal à décharger encore et je la rassure, elle peut me baiser sans retenue. Elle me chevauche et je sens son écrin descendre lentement sur mon pieu, jusque sur mon ventre. Elle est étroite, soyeuse, brûlante, inondée, et je savoure cet instant magique où elle ne bouge plus, et où j'ai l'impression que sa chatte me taille une pipe. Elle se met en mouvement, lentement puis de plus en plus vite avec des petits cris, des gémissements, des mots où il n'est question que de ma queue et de sa chatte, et de leur fusion inespérée.
Elle est épuisée, se retire avec un bruit de ventouse qui se détache, s'allonge les cuisses ouvertes, et me demande de la baiser encore. Je plonge dans sa chatte adoucissante pour soulager ma crampe. Je l'aime en douceur mais ce n'est pas assez. Elle veut que je la lime, que je la tringle, que je la défonce pour assouvir les besoins de sa petite huître. Je la monte de toutes mes forces et me retire épuisé à mon tour. Je suis sur le dos, ma bite raide et gonflée au maximum semble la supplier d'en finir. Son visage se penche sur mon sexe érigé pour elle, et elle me gobe jusqu'à la racine. Elle me suce avec ardeur, espérant mon offrande. Je m'abandonne à ses divines caresses buccales, je me laisse aller, et malgré ma bite fatiguée, à force de persévérance, elle finit par me faire jouir en elle. Ses gémissements augmentent en volume pour me prouver son plaisir à se faire remplir. Elle continue à me turlutter, et ma queue qui n'en peut plus se dégonfle lamentablement. Elle remonte sur moi, me souffle à l'oreille que c'était merveilleux, que je suis un bon amant. Puis elle éteint la lumière, et vient se blottir contre moi.
On reparle de la journée passée, imagine la journée à venir, et je lui parle de mon goût pour les hommes. Je lui avoue que pour moi, homme ou femme, une bouche reste une bouche, un cul reste un cul, un vide couilles reste un vide couilles. Je lui avoue aussi que si je ne me fais pas sodomiser, j'aime sucer, que j'avale depuis peu, et lui confirme que le sperme de JC est aussi délicieux qu'il est abondant. Elle n'est pas surprise de ma confession, s'en est doutée quand on les a laissées la veille pour rester entre mecs, est bi et comprend que je le soi. Elle me tourne le dos, je me colle à elle en chien de fusil, et on s'endort pour un repos mérité.
Au matin je suis réveillé avant elle, la clarté du jour pénètre la chambre, et je la regarde dormir toute nue, je bande. J'attends qu'elle se réveille pour prévenir mon chef de mon absence, puis lorsque j'appelle Karine pour qu'elle ne compte pas sur moi, cette petite salope me suce à fonds la caisse, faisant tout son possible pour que ma collègue n'ignore rien de notre relation. Karine me dit que je vais lui payer cet affront, et raccroche. Je retourne Claire, lui baise la bouche, et décharge dans sa gorge pour la punir. Elle se confond en excuses, me dit qu'elle n'a pu résister à la vue de mon sceptre, et on se roule une pelle pour se réconcilier (je ne crains pas la colère de Karine, elle aime trop ma queue).
On se fait un petit câlin et on se lève pour se doucher, petit-déjeuner, et partir pour notre rendez-vous. On s'arrête dans une cafétéria juste avant chez JC, et à 13h , heure habituelle, on sonne à sa porte.
Il nous ouvre, à poil, la queue à l'équerre. Il me fait bander et je devine Claire mouiller sa petite culotte. On le suit dans sa chambre où Jacques nous attend, nu sur le lit, avec une trique d'enfer dont la vue inonde la chatte de me petite copine. Je devine des heures de plaisir sans limite, mais c'est une autre histoire.
A suivre..............................
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