Première expérience homosexuelle - 2
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Première expérience homosexuelle - 2
22H30, je suis dans le train.
Le compartiment couchettes n'est pas encore ouvert, et j'attends dans le couloir avec mon futur compagnon de voyage. Il a une réservation au même endroit que moi, et on attend que l'on nous ouvre. Il est jeune, trois ou quatre ans de plus que moi, sympha, et on discute, on se tutoie naturellement.
Le contrôleur arrive, regarde nos billets et son registre. On n'est apparemment que les deux dans ce box prévu pour quatre, et il nous propose de rabattre les deux couchettes supérieures pour être moins enfermé, et de nous laisser celles du bas.
On entre et on ferme à clé.
Je suis encore à chercher mon pyjama dans ma valise, que mon voisin est déjà torse nu. Il me dit qu'il a toujours trop chaud dans ces wagons, et qu'il dort nu; puis il rajoute qu'il aime lire avant de s'endormir, en espérant que ça ne me gêne pas. Je lui réponds de faire comme il veut, sans se soucier de moi.
Il m'a dit qu'il dormait nu, et c'est vraiment nu. Il ne lui restait plus que le slip, et il l'enlève sans aucun complexe, face à moi. Il cherche son bouquin dans sa valise, et le pose sur la banquette, bien en vue. Tu parles d'une lecture! C'est un magazine Gay, avec un beau mâle en couverture, à poil, et qui cache son sexe avec ses mains. Puis il prend tout son temps pour plier soigneusement ses affaires, et les ranger. Je suis en pyjama, me couche, lui souhaite une bonne nuit, éteint ma lumière et me tourne contre la cloison.
Je repense à ma merveilleuse fin d'après midi, puis à ce mec nu à moins d'un mètre de moi.
Sa lumière est toujours allumée, je me retourne vers lui, et le vois sa revue dans une main et sa queue dans l'autre. Il se masturbe et bande à mort. J'ai une bouffée de chaleur, j'allume ma lumière et me lève.
Je lui explique qu'il avait raison, qu'il fait vraiment chaud. Je me mets nu à mon tour, me recouche tourné vers lui, et je me branle moi aussi en le regardant. Il me dit que j'ai une belle queue, je le remercie, lui retourne le compliment, puis il me fait des propositions que j'accepte sans hésiter.
Il s'agenouille entre les deux banquettes, et se penche sur ma bite. Sa bouche va et vient sur mon manche qu'il gobe entier jusqu'à la racine. Je le préviens de mon plaisir qui monte, et il me fait jouir dans sa bouche pour tout avaler. Il s'allonge maintenant sur sa banquette, et je vais m'occuper de sa queue. Comme il me l'a dit on doit avaler pour ne laisser aucune trace de nos agissements. Je n'ai jamais bouffé de sperme, à part le mien bien sûr, et je suis excité à l'idée de sentir sa semence couler dans ma bouche. Je m'applique à bien le sucer, en gorge profonde comme il l'a fait pour moi, et je savoure ses giclées tant espérées. On se remercie et se félicite mutuellement, et on éteint les lumières pour dormir.
Je me réveille dans la nuit, sa lumière est allumée, et il se branle à nouveau. Je me lève aussitôt et viens le sucer. Il me laisse faire quelques instant puis me dit qu'il veut me baiser la gueule, et que je la lui baise ensuite. Il est debout entre les couchettes et je suis à genoux devant lui, assis sur mes talons. Il prend possession de ma bouche, me tient la tête entre ses mains, et va et vient de mes lèvres à ma gorge. Il est planté bien profond et me plaque contre son ventre. Je suffoque, il me laisse me détacher pour respirer et me reprend de plus belle. Il se sert de ma bouche comme d'un cul ou une chatte, me baise, me rebaise, jusqu'à jouir direct dans ma gorge.
Il me remercie pour ma soumission, et veut que je le domine à mon tour, pareil qu'il l'a fait. Je baise alors sa bouche jusqu'à décharger au plus profond.
Il est 3h05, et on se dit que l'on peut se faire une troisième séance avant l'arrivée. Du coup il avance la sonnerie de son réveil, pour s'accorder une heure de plaisir partagé. 6h00, le réveil sonne, et il me rejoint pour se mettre sur moi en 69. Nos bites sont molles, mais pas pour longtemps. Je le suce et lui bouffe les couilles comme je peux, mais ce n'est la position idéale. Lui par contre est bien installé et il me suce voracement et me branle en me suppliant de jouir. Il parvient à ce qu'il veut et engloutit mon offrande. C'est maintenant moi qui suis sur lui, et il va avoir droit au même traitement viril pour décharger à son tour.
Il est 6h20, et ça ne vaut pas le coup que l'on se rendorme. On est jeune tous les deux, l'âge où on peut encore éjaculer dix fois par jour; on fait le pari de jouir une dernière fois, et il me dévoile son plan.
On est debout entre les couchettes, face à face, et on se branle, chacun pour soi. On s'astique le manche vigoureusement, presque douloureusement, avec la ferme intention de parvenir au but fixé. On se dit que c'est trop bon de se branler à deux, de se sucer, de boire notre sperme. On se branle longuement et il sent que ça vient. Je m'agenouille, il approche sa bite au ras de mon visage pour ne pas me manquer, et il m'encrème la gueule de plusieurs giclées. Il étale sa sauce avec son gland, pour ne pas que ça tombe, puis il me le donne à nettoyer.
Je me relève et il se baisse pour se faire napper la gueule lui aussi. Je lui fait un masque de foutre, et il me suce. On est maintenant debout et on se lèche la poire, on se roule des pelles assoiffées, pour bien se nettoyer.
Il est l'heure de se préparer, et on se remercie, se félicite encore une fois. J'ai terminé mon voyage, mais lui a une correspondance; on ne se reverra plus.
Je passe par mon appartement, puis je prends ma voiture pour passer le week-end chez mes parents. Je ne cesse de penser à ces deux aventures que j'ai eues coup sur coup, et ai du mal à réaliser. Je voudrais me branler sans cesse, mais pas possible; vivement lundi.
Je suis enfin seul chez moi, et vais pouvoir m'aimer. J'adore jouer avec ma queue, me masturber, me sucer le gland, jouir dans ma bouche, mais aujourd'hui et pour la première fois je vais jouer avec mon cul. Le mec de Paris m'a promis sa grosse queue entre les fesses, et j'aimerais tant lui donner ce plaisir; il faut donc que je prépare mon petit trou innocent.
Je suis à la salle de bain, à poil devant la glace. Je me tors le cou pour mâter mon cul, et je le trouve ravissant. Je caresse mes fesses, puis sillonne ma raie. Je me tâte la rondelle, puis je suce mon majeur avant de l'enfoncer dans mon trou. J'éprouve une délicieuse sensation, inconnue à ce jour. Mon doigt va et vient sans aucune résistance, et je tente un deuxième avec succès. Je me doigte puis pense à me mettre autre chose, de plus long et plus gros. Je réfléchis à ce qui pourrait me faire du bien, et j'ouvre ma caisse à outil: j'y ai toute une série de tournevis, du plus petit au plus gros. Ce dernier à un manche de plus de dix centimètres, il est carré, aux angles arrondis, et fait plus de trois centimètres de large. J'ai vu le dernier tango à Paris, et je me dis qu'avec du beurre ça devrait passer. Je repars à la salle de bain et je fais une orgie de manches dans le cul. Très vite je ne joue plus qu'avec le gros, dont le manche disparait entièrement entre mes fesses. Je me gode un bon moment avec, puis me branle pour terminer.
C'était bien bon cette sodomie improvisée, mais il me faut beaucoup plus gros. Mon copain de Paris a un engin énorme, et je veux être sûr de pouvoir lui offrir mon fion. Il y a un marché près de chez moi, et j'y vais le lendemain matin avant le boulot. Il y a des fruits et légumes bien calibrés, et je n'ai que l'embarras du choix: bananes, carottes, poireaux, courgettes, concombres ou aubergines, tout me tente. Finalement je me décide pour quatre courgettes de tailles différentes. J'ai l'horaire variable et je quitte de bonne heure, trop pressé de tester mes joujoux.
Je suis à nouveau à poil à la salle d'eau, avec mes godes dont le plus petit fait la taille du gros tournevis, et le plus long doit faire celle de Louis (mon mec de Paris) puisque je n'arrive pas à en faire le tour avec mes doigts. J'ai pris du beurre et je commence. Je me suis enfilé les deux premières pendant près d'une heure, mais la troisième à du mal à passer. Je fais une petite pause, prend l'apéro, dine, puis recommence mes tentatives. Cette fois-ci la troisième passe, et je sens un mélange de douleur et de plaisir. Je la retire, rajoute du beurre, et la remet. Je me lime, j'ai toujours un peu mal, mais ça s'atténue pour ne laisser place qu'au plaisir. Comme la veille, je stoppe, me branle, jouis et vais me coucher.
Je me promets de me fourrer la quatrième le lendemain. Vingt-quatre heures plus tard j'ai tenu ma promesse . Je suis parvenu à me l'enfoncer, ça m'a fait poussé un cri, coupé le souffle, mais c'est maintenant très agréable. Je la fais aller et venir d'une main, et je me masturbe de l'autre.
Je recommence tous les soirs jusqu'au milieu de la semaine suivante, puis je téléphone à Louis.
Je lui annonce la bonne nouvelle, que mon cul est près à l'accueillir, espérant qu'il est toujours d'accord pour m'emmener chez lui et m'enculer. Il sait que je suis à poil avec une énorme courgette dans le fion (une nouvelle, les autres commençaient à ramollir). Ca l'excite, et on fait l'amour au téléphone, on se branle, on jouit, à des centaines de kilomètres l'un de l'autre. On discute encore un peu, et je lui fait une proposition qu'il accepte avec enthousiasme. Je reviens à Paris pour deux semaines, et je ne vais pas rentrer chez moi le weekend, mais le passer chez lui.
Le compartiment couchettes n'est pas encore ouvert, et j'attends dans le couloir avec mon futur compagnon de voyage. Il a une réservation au même endroit que moi, et on attend que l'on nous ouvre. Il est jeune, trois ou quatre ans de plus que moi, sympha, et on discute, on se tutoie naturellement.
Le contrôleur arrive, regarde nos billets et son registre. On n'est apparemment que les deux dans ce box prévu pour quatre, et il nous propose de rabattre les deux couchettes supérieures pour être moins enfermé, et de nous laisser celles du bas.
On entre et on ferme à clé.
Je suis encore à chercher mon pyjama dans ma valise, que mon voisin est déjà torse nu. Il me dit qu'il a toujours trop chaud dans ces wagons, et qu'il dort nu; puis il rajoute qu'il aime lire avant de s'endormir, en espérant que ça ne me gêne pas. Je lui réponds de faire comme il veut, sans se soucier de moi.
Il m'a dit qu'il dormait nu, et c'est vraiment nu. Il ne lui restait plus que le slip, et il l'enlève sans aucun complexe, face à moi. Il cherche son bouquin dans sa valise, et le pose sur la banquette, bien en vue. Tu parles d'une lecture! C'est un magazine Gay, avec un beau mâle en couverture, à poil, et qui cache son sexe avec ses mains. Puis il prend tout son temps pour plier soigneusement ses affaires, et les ranger. Je suis en pyjama, me couche, lui souhaite une bonne nuit, éteint ma lumière et me tourne contre la cloison.
Je repense à ma merveilleuse fin d'après midi, puis à ce mec nu à moins d'un mètre de moi.
Sa lumière est toujours allumée, je me retourne vers lui, et le vois sa revue dans une main et sa queue dans l'autre. Il se masturbe et bande à mort. J'ai une bouffée de chaleur, j'allume ma lumière et me lève.
Je lui explique qu'il avait raison, qu'il fait vraiment chaud. Je me mets nu à mon tour, me recouche tourné vers lui, et je me branle moi aussi en le regardant. Il me dit que j'ai une belle queue, je le remercie, lui retourne le compliment, puis il me fait des propositions que j'accepte sans hésiter.
Il s'agenouille entre les deux banquettes, et se penche sur ma bite. Sa bouche va et vient sur mon manche qu'il gobe entier jusqu'à la racine. Je le préviens de mon plaisir qui monte, et il me fait jouir dans sa bouche pour tout avaler. Il s'allonge maintenant sur sa banquette, et je vais m'occuper de sa queue. Comme il me l'a dit on doit avaler pour ne laisser aucune trace de nos agissements. Je n'ai jamais bouffé de sperme, à part le mien bien sûr, et je suis excité à l'idée de sentir sa semence couler dans ma bouche. Je m'applique à bien le sucer, en gorge profonde comme il l'a fait pour moi, et je savoure ses giclées tant espérées. On se remercie et se félicite mutuellement, et on éteint les lumières pour dormir.
Je me réveille dans la nuit, sa lumière est allumée, et il se branle à nouveau. Je me lève aussitôt et viens le sucer. Il me laisse faire quelques instant puis me dit qu'il veut me baiser la gueule, et que je la lui baise ensuite. Il est debout entre les couchettes et je suis à genoux devant lui, assis sur mes talons. Il prend possession de ma bouche, me tient la tête entre ses mains, et va et vient de mes lèvres à ma gorge. Il est planté bien profond et me plaque contre son ventre. Je suffoque, il me laisse me détacher pour respirer et me reprend de plus belle. Il se sert de ma bouche comme d'un cul ou une chatte, me baise, me rebaise, jusqu'à jouir direct dans ma gorge.
Il me remercie pour ma soumission, et veut que je le domine à mon tour, pareil qu'il l'a fait. Je baise alors sa bouche jusqu'à décharger au plus profond.
Il est 3h05, et on se dit que l'on peut se faire une troisième séance avant l'arrivée. Du coup il avance la sonnerie de son réveil, pour s'accorder une heure de plaisir partagé. 6h00, le réveil sonne, et il me rejoint pour se mettre sur moi en 69. Nos bites sont molles, mais pas pour longtemps. Je le suce et lui bouffe les couilles comme je peux, mais ce n'est la position idéale. Lui par contre est bien installé et il me suce voracement et me branle en me suppliant de jouir. Il parvient à ce qu'il veut et engloutit mon offrande. C'est maintenant moi qui suis sur lui, et il va avoir droit au même traitement viril pour décharger à son tour.
Il est 6h20, et ça ne vaut pas le coup que l'on se rendorme. On est jeune tous les deux, l'âge où on peut encore éjaculer dix fois par jour; on fait le pari de jouir une dernière fois, et il me dévoile son plan.
On est debout entre les couchettes, face à face, et on se branle, chacun pour soi. On s'astique le manche vigoureusement, presque douloureusement, avec la ferme intention de parvenir au but fixé. On se dit que c'est trop bon de se branler à deux, de se sucer, de boire notre sperme. On se branle longuement et il sent que ça vient. Je m'agenouille, il approche sa bite au ras de mon visage pour ne pas me manquer, et il m'encrème la gueule de plusieurs giclées. Il étale sa sauce avec son gland, pour ne pas que ça tombe, puis il me le donne à nettoyer.
Je me relève et il se baisse pour se faire napper la gueule lui aussi. Je lui fait un masque de foutre, et il me suce. On est maintenant debout et on se lèche la poire, on se roule des pelles assoiffées, pour bien se nettoyer.
Il est l'heure de se préparer, et on se remercie, se félicite encore une fois. J'ai terminé mon voyage, mais lui a une correspondance; on ne se reverra plus.
Je passe par mon appartement, puis je prends ma voiture pour passer le week-end chez mes parents. Je ne cesse de penser à ces deux aventures que j'ai eues coup sur coup, et ai du mal à réaliser. Je voudrais me branler sans cesse, mais pas possible; vivement lundi.
Je suis enfin seul chez moi, et vais pouvoir m'aimer. J'adore jouer avec ma queue, me masturber, me sucer le gland, jouir dans ma bouche, mais aujourd'hui et pour la première fois je vais jouer avec mon cul. Le mec de Paris m'a promis sa grosse queue entre les fesses, et j'aimerais tant lui donner ce plaisir; il faut donc que je prépare mon petit trou innocent.
Je suis à la salle de bain, à poil devant la glace. Je me tors le cou pour mâter mon cul, et je le trouve ravissant. Je caresse mes fesses, puis sillonne ma raie. Je me tâte la rondelle, puis je suce mon majeur avant de l'enfoncer dans mon trou. J'éprouve une délicieuse sensation, inconnue à ce jour. Mon doigt va et vient sans aucune résistance, et je tente un deuxième avec succès. Je me doigte puis pense à me mettre autre chose, de plus long et plus gros. Je réfléchis à ce qui pourrait me faire du bien, et j'ouvre ma caisse à outil: j'y ai toute une série de tournevis, du plus petit au plus gros. Ce dernier à un manche de plus de dix centimètres, il est carré, aux angles arrondis, et fait plus de trois centimètres de large. J'ai vu le dernier tango à Paris, et je me dis qu'avec du beurre ça devrait passer. Je repars à la salle de bain et je fais une orgie de manches dans le cul. Très vite je ne joue plus qu'avec le gros, dont le manche disparait entièrement entre mes fesses. Je me gode un bon moment avec, puis me branle pour terminer.
C'était bien bon cette sodomie improvisée, mais il me faut beaucoup plus gros. Mon copain de Paris a un engin énorme, et je veux être sûr de pouvoir lui offrir mon fion. Il y a un marché près de chez moi, et j'y vais le lendemain matin avant le boulot. Il y a des fruits et légumes bien calibrés, et je n'ai que l'embarras du choix: bananes, carottes, poireaux, courgettes, concombres ou aubergines, tout me tente. Finalement je me décide pour quatre courgettes de tailles différentes. J'ai l'horaire variable et je quitte de bonne heure, trop pressé de tester mes joujoux.
Je suis à nouveau à poil à la salle d'eau, avec mes godes dont le plus petit fait la taille du gros tournevis, et le plus long doit faire celle de Louis (mon mec de Paris) puisque je n'arrive pas à en faire le tour avec mes doigts. J'ai pris du beurre et je commence. Je me suis enfilé les deux premières pendant près d'une heure, mais la troisième à du mal à passer. Je fais une petite pause, prend l'apéro, dine, puis recommence mes tentatives. Cette fois-ci la troisième passe, et je sens un mélange de douleur et de plaisir. Je la retire, rajoute du beurre, et la remet. Je me lime, j'ai toujours un peu mal, mais ça s'atténue pour ne laisser place qu'au plaisir. Comme la veille, je stoppe, me branle, jouis et vais me coucher.
Je me promets de me fourrer la quatrième le lendemain. Vingt-quatre heures plus tard j'ai tenu ma promesse . Je suis parvenu à me l'enfoncer, ça m'a fait poussé un cri, coupé le souffle, mais c'est maintenant très agréable. Je la fais aller et venir d'une main, et je me masturbe de l'autre.
Je recommence tous les soirs jusqu'au milieu de la semaine suivante, puis je téléphone à Louis.
Je lui annonce la bonne nouvelle, que mon cul est près à l'accueillir, espérant qu'il est toujours d'accord pour m'emmener chez lui et m'enculer. Il sait que je suis à poil avec une énorme courgette dans le fion (une nouvelle, les autres commençaient à ramollir). Ca l'excite, et on fait l'amour au téléphone, on se branle, on jouit, à des centaines de kilomètres l'un de l'autre. On discute encore un peu, et je lui fait une proposition qu'il accepte avec enthousiasme. Je reviens à Paris pour deux semaines, et je ne vais pas rentrer chez moi le weekend, mais le passer chez lui.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Degueulasse
quelle bonne histoire, moi aussi j'ai commencé avec divers objets et une bouteille d'eau d'un litre et demi et plus tard j'ai fini avec une autre bouteille de deux litres je me régale à chaque fois