Marion à la plage - histoire érotique

On a fini de déjeuner, et il nous reste du temps avant de sortir, les rencontres ne commençant que vers 22 heures. On s'assied chacun dans un fauteuil, cul nul, pour se goder en s'imaginant de chauds partenaires, et en se préparant le fion à leur attention. Elle se pénètre comme les autres fois, et ouvre de grands yeux en me regardant faire de même:
- Tu es vraiment un pédé? Je n'aurais jamais cru.
- Oui, j'aime les hommes autant que les femmes, actifs ou passifs, mais je te l'ai déjà dis. Ca te plait de me voir faire?
- Oui, salaud, tu m'excites. Il me tarde d'être à la plage. Tu es sûr qu'il y aura quelqu'un?
- Pas de soucis, j'y ai toujours fait de bonnes baises, et je te promets du bon temps.
Elle n'y tient plus, et on se décide à y aller. On est sur la plage occupée par les nudiste en plein jour, elle est déserte et Marion semble déçue. Je la rassure en lui disant qu'il faut avancer un peu, franchir un petite barrière de rochers, et que le paradis se trouve derrière. On est sur le haut de cette frontière, et son regard s'illumine. La lune éclaire comme en plein jour et elle profite de la vue.
On distingue cinq hommes tous à poil. Le plus proche de nous est seul et se branle en regardant les autres qui s'aiment deux par deux. Un du premier couple suce son partenaire, et le deuxième couple se fait un 69. On avance et on s'installe pour former un triangle avec le solitaire et le premier couple, de façon à ne cacher la vue à personne.
On se déshabille, je m'allonge et elle vient entre mes jambes pour me pomper. Le solitaire nous mâte sans discrétion, et je branche Marion:
- Je crois que le mec seul s'intéresse à nous. Ca te plairait qu'il te baise?
- Oui bien sûr, on est venu pour çà, non! Mais j'aimerais aussi que tu le suces.
Il ne m'en faut pas plus pour faire des signes sans équivoque à notre futur compagnon de jeu. Il nous rejoint, m'offre sa queue que j'engloutis dans la seconde. Marion me pompe sans rien manquer du spectacle, lorsque qu'on entend le nouveau venu s'exclamer:
- Wahhh, une bite dans la bouche et une dans le cul! Qu'est-ce que j'aimerais!
Je suis son regard, et vois un troisième qui a rejoint le premier couple et qui s'active à enculer le suceur. Puis notre mec renchérit:
- J'ai envie de me faire mettre, elle est belle ta queue, tu veux me baiser?
- Si tu veux, mais d'abord tu baises ma petite copine, c'est pour elle qu'on est venu.
- Avec plaisir, mais ensuite tu t'occupes de moi.
- Promis. Tu as entendu Marion, prépare tes trous petite salope, tu vas avoir de la visite.
Je continue à sucer, Marion aussi tout en plongeant ses doigts dans sa chatte ruisselante d'avance pour ensuite se fouiller le cul sans ménagement. Elle abandonne ma queue et s'adresse à l'inconnu en l'implorant:
- Viens, je suis prête. Baise moi, j'ai envie. Mais fais gaffe, tu ne jouis pas dans ma chatte.
Elle est à quatre patte et il vient derrière elle pour la prendre en levrette. Je l'encourage:
- Vas-y, défonce là cette vicieuse, elle n'a jamais eu qu'une bite à la fois, et je veux qu'elle se souvienne de sa première double. Baise la, encule la, on va la faire jouir par tous ses trous de pute.
- Hummmm, elle est bonne ta copine, je ne me rappelais plus que c'était aussi bon une femelle. Elle va me faire jouir cette salope si je continue à la limer comme ça.
- Pas dans sa chatte, ne déconne pas.
- Ok, mais dans son cul, je peux?
- C'est elle qui voit. Demande lui.
Il lui pose la question, et elle a une réponse qui me fait le plus grand plaisir. Elle voudrait bien, mais après réflexion, elle n'a jamais reçu de sperme dans son fion et elle veut me réserver l'honneur d'être le premier à la farcir pour me remercier de lui avoir dépuceler le cul, et fait découvrir un nouveau bonheur.
Je dégage mon manche de sa bouche et me redresse pour lui rouler une pelle:
- Ma chérie, j'en rêve d'inonder tes reins de mon foutre. Si tu veux je te farcis de suite.
Elle accepte, mais notre invité ne l'entend pas ainsi. Je lui ai promis de l'enculer et il craint que je ne sois plus performant si je me vide les couilles dans ma copine chérie. Je le rassure, lui dit qu'on a tout le temps, et que je vais l'embrocher après une petite pause.
Il est rassuré et continue à sodomiser Marion tandis que je m'astique le manche pour faire monter la sauce. Je sens que ça vient et il se retire pour me laisser la place. Quelques allers retours dans son tube trop bien préparé, et je me laisse aller pour me déverser en elle:
- Ohhh, Marion, marion, merci mon amour, c'est bon de décharger entre tes reins. Ohhhh, petite salope, tu le sens mon sperme bien chaud qui t'envahit, je vais tout te donner, t'offrir tout le jus de mes grosses couilles du vieux porc que tu aimes. Prends, prends, prends salope, c'est tout pour toi.
J'éjacule de longues giclées qui la ravissent. Elle est heureuse de se sentir pleine de mon plaisir, et accepte que notre ami se libère à son tour pour doublement la combler.
Il a jouis dans son cul de toutes ses forces, comme je l'ai fait, et on s'allonge tous les deux le manche encore dressé. Elle s'installe pour nous nettoyer, nous sucer, nous maintenir en érection. On s'abandonne à sa bouche experte et gourmande, et notre partenaire nous interroge sur notre relation qui l'intrigue. Une jeune femme, très jolie, en compagnie d'un vieux, ça lui semble irréaliste. Elle lui avoue tout, et son désir de ma grosse queue de vieux porc vicieux. Puis à son tour il nous raconte son expérience de la plage:
On est huit sur la plage, six vacanciers, et deux résidents permanents, lui et le mec du trio et qui se fait mettre. Il nous parle de ce dernier, un vieux de 70 ans qui ne vit que pour la queue, celle des autres bien sûr. Et puis il nous parle des deux en 69: c'est deux jeunes de 18 et 19 ans, sportifs, balaises, super beaux et mignons, et très bien montés: des bites aussi grosses que la mienne, mais plus longues. Ils l'ont baisé une fois pendant deux heures non stop, et il en garde un souvenir à nous rendre jaloux. Puis il mâte ma queue:
- Elle est belle ta queue, j'en ai envie. Encule moi.
On se lève et je le prend debout, tandis que Marion s'accroupit pour continuer à le pomper.
- Hummmm, tu la sens bien ma queue?
- Ohhhhh oui, elle est bonne, elle est grosse, ça valait le coup d'attendre. Baise moi fort, je suis à toi.
Je m'active à bien le ramoner, Marion à bien le turluter, et il prend son pied:
- Oh, c'est bon, ta bite dans mon cul et ta copine qui me suce. Vous allez me faire jouir. Elle suce à fonds?
- Avec moi, oui. Mais pour toi, demande lui. Ce n'est pas un objet ma petite salope, tu peux lui parler, l'insulter, elle aime ça.
Il lui pose la question, et la réponse est sans surprise. Elle a soif de sperme et l'invite à tout lui donner sans retenue. Il s'abandonne en proférant des injures inaudibles au commun des mortels. Ca ne gêne pas ma petite chérie, et elle s'évertue à lui dégorger le poireau jusqu'à la dernière goutte. Il est satisfait, soulagé, et il se dégage de mon emprise pour s'agenouiller et me pomper. Marion le regarde, intéressée, et il s'applique encore plus:
- Ca te plait un mec qui suce? Je suis une salope qui aime la queue, comme toi. Elle est belle la bite de ton mec, je vais lui vider les couilles pour le remercier de m'avoir trop bien enculé.
Il me reprend goulument, salive au maximum, avec des bruits de bouche qui retentissent dans toute la plage. En général il me faut du temps entre deux éjaculations, mais dans ces circonstances je me surpasse. Je lui annonce ma sève qui monte, et il prend soin de me garder en bouche et de bouffer tout ce que je lui offre.
Il est ravi de notre rencontre et me propose de se revoir le lendemain. Je lui dis de ne pas trop y compter. Je suis ravi moi aussi de notre baise, mais je veux offrir ma petite pute à tout le monde, et surtout aux deux jeunes qui se font toujours un 69, en espérant qu'ils aiment les femmes.
Notre partenaire comprend très bien et s'en va. On s'approche des deux beaux minets qui continuent à se pomper sans se troubler de notre présence. Je leur propose une partie à quatre pour un de ces soirs, et ils se relèvent pour dialoguer, nous laissant admiratifs devant leurs sceptres fièrement dressés. On pose les conditions et on tombe d'accord. Ils n'ont jamais baisé avec une femme mais ne demande qu'à essayer. Ils ne se font pas mettre, ne sucent qu'entre eux, mais sont près à enfiler tous les trous et à se faire pomper par n'importe qui. Avec Marion on ne demande qu'à profiter de leurs bites, encore plus belles que celles qu'on avait imaginé, et pour lesquelles on les félicite.
Ils sont beaux, super beaux, et ils le savent. Ils aiment se montrer, s'exhiber, et nous proposent
de les regarder continuer leur soirée, nous prévenant du programme pour ne pas nous choquer sans avertissement: moins de 18 ans, circulez.
Marion est hésitante à rester, mais ne peux se décider à s'en aller, trop curieuse de la suite. Je me colle à elle par derrière, la serre dans mes bras, la caresse, et commente avec des mots très crus le spectacle qu'ils nous offrent en toute impudeur:
Ils se remettent en 69, se bouffe la queue toute entière, en gorge profonde, puis échangent des mots pour s'arranger à décharger en même temps. Ils jouissent l'un dans l'autre, pour la troisième fois de la soirée, mais sans avaler pour nous montrer à quel point ils sont salauds. Ils se relèvent, montrent leurs bouches remplies du sperme de l'autre, puis se roulent une longue pelle vorace. Leurs lèvres se dessoudent, ils se montrent leurs bouches encore pleines de leur mélange, avalent tout et s'embrassent encore.
L'un deux descend doucement le long de l'autre, lèche ses seins, son ventre, son sexe, puis s'écarte, bouche ouverte. Aussitôt le deuxième se met à pisser direct au fonds de sa gorge.
Marion semble écœurée, mais ne peut détacher son regard, trop excitée par cette orgie qu'elle n'avait jamais soupçonnée. Je bande contre elle, et je fouille sa chatte qui dégouline; SALOPE.
Le mec à genoux avalent tout ce qu'il peut, et sa bouche recrache le trop plein sur son corps de rêve. Il remonte le jet de son copain jusqu'à la source, puis se relève. Ils se bouffent la poire et c'est au tour de l'autre de s'agenouiller pour boire l'urine lui aussi. Ils ont dû boire des quantités d'eau ces fumiers, et ils ne cessent d'alterner, se pisser l'un dans l'autre, et même pisser dans leur propre bouche.
Marion est folle de les voir, folle de mes caresses, de mes obscénités, et me dit son envie de pisser elle aussi. Je l'invite à se laisser aller, et elle pisse debout, sur mes doigts que je suce pour savourer sa liqueur. Elle est bonne sa pisse, j'ai soif. Je viens devant elle, me baisse et plaque ma bouche sur sa chatte après lui avoir ordonné de pisser encore, et de m'insulter.
Elle urine en abondance et je recule légèrement, bouche ouverte, pour admirer son jet doré et vrillé. Je bois tout, comme un gros porc que je suis, et elle s'excite à m'abreuver et à me traiter de tous les noms: salaud, porc, chien, fumier, ordure, fiotte, enculé, et des meilleures.
Elle a fini son pipi joli, et je me relève pour lui rouler une pelle. Elle se recule, apeurée, puis après avoir gouté à sa boisson, m'offre à nouveau sa bouche.
Les deux jeunes, qui ont fait des réserves, pissent encore. J'ai envie de pisser moi aussi. Marion ne veut pas m'offrir sa bouche, mais accepte que je pisse sur ses seins. Elle se met à hauteur, et j'asperge ses nichons, ses mamelles, ses boites à lolo:
- Oui, salope, caresse toi. Tu l'aimes ma pisse chaude sur tes gros nichons de vache laitière. Caresse toi cochonne, imprègne toi de mon urine.
Elle se masse avec délectation, et se réjouit de cette nouvelle découverte.
- Salope, pute, tu l'aimes ma pisse, et tu va aimer celle des deux jeunes.
Les jeunes en question ont compris le message et vont l'arroser en évitant son visage et sa bouche. Je les regarde avec plaisir lui pisser dessus:
- Hummm, ouiiiii, arrosez la cette salope, c'est une pute qui aime tous les jus, regardez comme elle se caresse avec votre pisse cette chienne lubrique...............................
Ils finissent de se vidanger sur elle, et on se rhabille. On repart ensemble se promettant de se revoir le lendemain, et on part chacun de son côté au bout de la plage.

A suivre.........................................................