Titre de l'histoire érotique : La fille de mes amis, toujours elle.
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-06-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : La fille de mes amis, toujours elle.
Dring! 20h30, Marion est fidèle au rendez vous. Je referme la porte, et l'accueille avec un baiser sur la bouche:
- Petite salope, j'ai eu peur que tu reviennes pas.
- Ne pas revenir! Je n'ai pas arrêter de penser à toi, à toi et à ta grosse queue.
- Ca me fait plaisir. Moi aussi j'ai pensé à toi et à tes orifices, tes trois orifices si tu vois ce que je veux dire.
- Je vois très bien, salaud. Je me suis branlée recto verso sous la douche, comme tu l'as souhaité.
- Humm, intéressant. Et alors, ça t'a plu?
- Oui, tu es un gros porc vicieux, mais tu me fais désirer des choses que je n'aurais jamais imaginée.
- Ca veut dire que tu veux bien que je t'encule?
- Je ne sais pas. Tu me donnes des envies, mais en même temps j'ai peur que ta grosse queue me déchire.
- Ne t'inquiètes pas, je suis très doux. J'en ai enculé des jeunes salopes, et je peux te dire qu'elles en ont redemandé. On va commencer en douceur, je vais te lécher le cul et le doigter, comme tu l'as fait. Un doigt, deux doigts, puis on verra jusqu'ou on va.
- Ok, mais tu arrêtes dès que je te le dis.
- Promis Marion, tu n'as rien à craindre, je t'aime trop pour te forcer malgré toi.
On s'est mis à poil tout en discutant, et je la fait s'allonger sur le canapé, les jambes relevées, coincées sous ses bras, et ses mains qui écartent ses fesses. Je m'agenouille au bout, et j'entame un analingus comme je les aime. On est dans une position où elle peut voir ma langue parcourir sa raie et s'attarder sur son œillet. Je dresse mon majeur, comme un doigt d'honneur, le met dans ma bouche pour le lubrifier, crache dans son sillon, et tente une première exploration. Mon doigt s'enfonce, et j'observe sa réaction, prêt à me retirer. Elle gémit, et me balance des "ouiiii", des "c'est bon", qui m'encourage à continuer. Je la lime par de tendres allers retours digitaux, puis me retire. Je la lèche à nouveau, tente une percée du bout de ma langue. Je me recule pour admirer sa rondelle, recrache dessus, suce mon doigt parfumé de son petit trou, et le lui remets:
- C'est bien ma chérie, tu es parfaite. Reste détendue, je vais te mettre un deuxième doigt, et ça va très bien se passer.
J'ai deux doigts enfouis, les tournent pour bien la dilater, les retire pour les sucer, cracher, et la refouiller. Elle gémit de plus en plus, je bande comme un âne, et lui propose ma bite:
- Je n'en peux plus petite pute, je veux ton cul. Tu veux bien que je te la mette?
- J'aimerais bien, mais elle est trop grosse ta queue de taureau.
- N'exagères pas, elle est belle mais pas énorme. Il faudrait que je t'habitue avec des godes; tu en as?
- Chez moi oui, mais pas ici avec mes parents. Et toi, tu en as?
- Non, comme toi, chez moi mais pas ici. Tu me donnes des regrets, mais je pense qu'il y a une solution.
Je lui parle du marché où je vais tous les matins, et où il y a de très beaux légumes qui devraient à l'affaire: carottes, navets blancs, poireaux ou autres courgettes. Et pour la rassurer sur l'hygiène j'achèterais des préservatifs pour emballer ces sextoys improvisés. Je la doigte toujours, fourre ma langue, elle gémit, soupire, et me répond par des phrases entrecoupées:
- Salaud.......... tu penses à tout............. tu me rends folle...................... tu me donnes envie.....
- J'espère bien que tu en as envie, petite salope. Je vais bien m'en occuper de ta petite rondelle.
- Oui, mais demain. Occupe toi de ma chatte maintenant. Elle a faim de ta bite, elle en bave d'avance.
On baise comme la veille, je la tringle dans plusieurs positions et on termine en 69 goulu. Elle rentre chez elle.
Elle me rejoint le lendemain soir. Elle me confie qu'elle s'est encore fouillée l'anus sous la douche, et m'avoue son impatience en même temps que sa crainte de se faire dépuceler. Je lui montre mes achats: quatre carottes de calibres différents ( deux plus minces que mon sexe, une au moins aussi belle, une plus large) et un navet blanc encore plus gros.
- Waouh! ces engins! Et tu penses me les mettre tous?
- On va essayer, on verra bien, mais un à la fois, rassure toi.
- Monsieur est trop gentil! Bon, on va commencer tant que je suis décidée; mais tu arrêtes dès que je te le dis.
- Promis ma petite salope, le plus tard possible j'espère.
Elle m'aide à emballer ces beaux légumes dans des préservatifs, on se déshabille, et elle s'installe sur le canapé pour m'offrir son petit trou. Comme la veille, je commence avec mes doigts et ma langue. Je saisis la plus petite carotte, la suce pour mieux la lubrifier, et la glisse doucement entre ses fesses. Je fais des vas et viens qu'elle apprécie sans aucun doutes. J'alterne carotte doigts et langue, puis lui conseille de fermer les yeux pour ne pas me voir changer de gode, et ne pas s'effrayer à l'avance sans doute pour rien.
Je prends mon temps pour ne pas la brusquer, et elle gémis comme une salope qui a le cul en feu et qui se régale de mon traitement. Elle me semble suffisamment ouverte:
- C'est bien Marion, tu es parfaite. Je vais pouvoir te foutre ma queue, petite salope.
Elle ouvre les yeux pour voir avec quoi je la ramone si bien. Je lui montre les légumes non utilisés, et elle devine qu'elle a le troisième calibre, gros comme ma queue.
- Tu n'essaies pas les autres?
- Non, j'ai trop envie de te prendre, et tu es assez ouverte.
- Oui, tu as raison, j'ai envie de ta bite moi aussi.
Je me relève, elle garde sa position allongée sur le dos, et je dois fléchir les jambes pour l'enfiler dans une position pas très facile. Mais c'est sa première sodomie, et je veux qu'elle voit mon gland disparaître loin en elle.
- Alors ma petite chérie, elle ne te fait plus peur ma queue de taureau?
- C'est bon, tu sais t'y prendre vieux cochon. C'est bon ta grosse bite dans mon petit cul de salope.
- Il est beau ton cul, il est bon, et surtout il est délicieusement étroit. Si je m'écoutais je le défoncerais ton cul de pucelle.
- Ne te gênes pas. Grâce à toi je ne suis plus vierge du cul, et tu as mérité de me défoncer.
Je lui avoue que notre position n'est pas idéale, je me retire, et elle s'installe à quatre pattes sur le canapé, le cul au bord. Je suis derrière elle, la bite à la bonne hauteur pour la matraquer. Ma queue s'enfonce comme dans du beurre tellement son conduit fait de l'huile:
- Hummmm, putain de salope. C'est bon d'être la premier à visiter ton cul, mais si je ne te faisais pas confiance je penserais que tu en as connu des bites pour être aussi accueillante.
- Non, je te jure que tu es le premier.
- Ok salope, je te crois. Je vais bien t'embrocher pour que tu n'oublies pas ton dépucelage.
- T'inquiètes, c'est trop génial, je m'en souviendrais toute ma vie. Encule moi fort vieux vicieux, je suis ta petite salope, ta chienne, espèce de gros porc.
- Oui je suis ton gros porc et toi ma grosse truie. Je suis ton étalon et vais te saillir comme une pouliche en chaleur. Je suis ton chien et vais te monter comme une chienne lubrique.
Je m'active entre ses reins, puise dans mes dernières ressources et la préviens de ma sauce qui monte. Elle aimerait bien me sentir jouir en elle, mais craint de rentrer chez ses parents le cul rempli, et qu'ils ne s'en aperçoivent. Je lui propose une solution qu'elle accepte en me traitant de vicelard, de putassier, et bien d'autre.
Je me retire, lui enfonce la belle carotte, pour ne pas que son trou se referme, le temps de me couvrir d'une capote. Je la reprends, l'enfile de toutes mes forces, et décharge en elle dans mon préservatif.
Je me retire et lui donne ma bite caoutchoutée à nettoyer. Je vais chercher des ciseaux, pince le réservoir et l'entaille, et m'introduit à nouveau dans sa bouche.
- Hummm, mais c'est qu'elle ça cette salope! Tu m'as dis que tu aimais téter mon lait, alors régale toi, avale mon biberon. Et quand tu auras tout bu tu enlèveras ma capote en la retournant, puis tu la nettoieras de ta bouche de gourmande, et puis tu me nettoieras la queue.
Elle exécute tout à la perfection, et je lui bouffe la chatte, engloutis sa mouille, pour la remercier, mais aussi pour mon plaisir.
Comme à l'habitude on a baiser devant la télé pour qu'elle suive l'émission en pointillé, on s'arrête à la fin, et elle pourra répondre aux éventuelles questions de ses parents sur sa soirée "télévisée".
Elle est enchantée de son dépucelage anal, me remercie chaleureusement avec de tendres baisers, et souhaite revenir le lendemain et goûter aux deux plus gros légumes.
Je ne pouvais rien espérer de mieux.
A suivre...............................
- Petite salope, j'ai eu peur que tu reviennes pas.
- Ne pas revenir! Je n'ai pas arrêter de penser à toi, à toi et à ta grosse queue.
- Ca me fait plaisir. Moi aussi j'ai pensé à toi et à tes orifices, tes trois orifices si tu vois ce que je veux dire.
- Je vois très bien, salaud. Je me suis branlée recto verso sous la douche, comme tu l'as souhaité.
- Humm, intéressant. Et alors, ça t'a plu?
- Oui, tu es un gros porc vicieux, mais tu me fais désirer des choses que je n'aurais jamais imaginée.
- Ca veut dire que tu veux bien que je t'encule?
- Je ne sais pas. Tu me donnes des envies, mais en même temps j'ai peur que ta grosse queue me déchire.
- Ne t'inquiètes pas, je suis très doux. J'en ai enculé des jeunes salopes, et je peux te dire qu'elles en ont redemandé. On va commencer en douceur, je vais te lécher le cul et le doigter, comme tu l'as fait. Un doigt, deux doigts, puis on verra jusqu'ou on va.
- Ok, mais tu arrêtes dès que je te le dis.
- Promis Marion, tu n'as rien à craindre, je t'aime trop pour te forcer malgré toi.
On s'est mis à poil tout en discutant, et je la fait s'allonger sur le canapé, les jambes relevées, coincées sous ses bras, et ses mains qui écartent ses fesses. Je m'agenouille au bout, et j'entame un analingus comme je les aime. On est dans une position où elle peut voir ma langue parcourir sa raie et s'attarder sur son œillet. Je dresse mon majeur, comme un doigt d'honneur, le met dans ma bouche pour le lubrifier, crache dans son sillon, et tente une première exploration. Mon doigt s'enfonce, et j'observe sa réaction, prêt à me retirer. Elle gémit, et me balance des "ouiiii", des "c'est bon", qui m'encourage à continuer. Je la lime par de tendres allers retours digitaux, puis me retire. Je la lèche à nouveau, tente une percée du bout de ma langue. Je me recule pour admirer sa rondelle, recrache dessus, suce mon doigt parfumé de son petit trou, et le lui remets:
- C'est bien ma chérie, tu es parfaite. Reste détendue, je vais te mettre un deuxième doigt, et ça va très bien se passer.
J'ai deux doigts enfouis, les tournent pour bien la dilater, les retire pour les sucer, cracher, et la refouiller. Elle gémit de plus en plus, je bande comme un âne, et lui propose ma bite:
- Je n'en peux plus petite pute, je veux ton cul. Tu veux bien que je te la mette?
- J'aimerais bien, mais elle est trop grosse ta queue de taureau.
- N'exagères pas, elle est belle mais pas énorme. Il faudrait que je t'habitue avec des godes; tu en as?
- Chez moi oui, mais pas ici avec mes parents. Et toi, tu en as?
- Non, comme toi, chez moi mais pas ici. Tu me donnes des regrets, mais je pense qu'il y a une solution.
Je lui parle du marché où je vais tous les matins, et où il y a de très beaux légumes qui devraient à l'affaire: carottes, navets blancs, poireaux ou autres courgettes. Et pour la rassurer sur l'hygiène j'achèterais des préservatifs pour emballer ces sextoys improvisés. Je la doigte toujours, fourre ma langue, elle gémit, soupire, et me répond par des phrases entrecoupées:
- Salaud.......... tu penses à tout............. tu me rends folle...................... tu me donnes envie.....
- J'espère bien que tu en as envie, petite salope. Je vais bien m'en occuper de ta petite rondelle.
- Oui, mais demain. Occupe toi de ma chatte maintenant. Elle a faim de ta bite, elle en bave d'avance.
On baise comme la veille, je la tringle dans plusieurs positions et on termine en 69 goulu. Elle rentre chez elle.
Elle me rejoint le lendemain soir. Elle me confie qu'elle s'est encore fouillée l'anus sous la douche, et m'avoue son impatience en même temps que sa crainte de se faire dépuceler. Je lui montre mes achats: quatre carottes de calibres différents ( deux plus minces que mon sexe, une au moins aussi belle, une plus large) et un navet blanc encore plus gros.
- Waouh! ces engins! Et tu penses me les mettre tous?
- On va essayer, on verra bien, mais un à la fois, rassure toi.
- Monsieur est trop gentil! Bon, on va commencer tant que je suis décidée; mais tu arrêtes dès que je te le dis.
- Promis ma petite salope, le plus tard possible j'espère.
Elle m'aide à emballer ces beaux légumes dans des préservatifs, on se déshabille, et elle s'installe sur le canapé pour m'offrir son petit trou. Comme la veille, je commence avec mes doigts et ma langue. Je saisis la plus petite carotte, la suce pour mieux la lubrifier, et la glisse doucement entre ses fesses. Je fais des vas et viens qu'elle apprécie sans aucun doutes. J'alterne carotte doigts et langue, puis lui conseille de fermer les yeux pour ne pas me voir changer de gode, et ne pas s'effrayer à l'avance sans doute pour rien.
Je prends mon temps pour ne pas la brusquer, et elle gémis comme une salope qui a le cul en feu et qui se régale de mon traitement. Elle me semble suffisamment ouverte:
- C'est bien Marion, tu es parfaite. Je vais pouvoir te foutre ma queue, petite salope.
Elle ouvre les yeux pour voir avec quoi je la ramone si bien. Je lui montre les légumes non utilisés, et elle devine qu'elle a le troisième calibre, gros comme ma queue.
- Tu n'essaies pas les autres?
- Non, j'ai trop envie de te prendre, et tu es assez ouverte.
- Oui, tu as raison, j'ai envie de ta bite moi aussi.
Je me relève, elle garde sa position allongée sur le dos, et je dois fléchir les jambes pour l'enfiler dans une position pas très facile. Mais c'est sa première sodomie, et je veux qu'elle voit mon gland disparaître loin en elle.
- Alors ma petite chérie, elle ne te fait plus peur ma queue de taureau?
- C'est bon, tu sais t'y prendre vieux cochon. C'est bon ta grosse bite dans mon petit cul de salope.
- Il est beau ton cul, il est bon, et surtout il est délicieusement étroit. Si je m'écoutais je le défoncerais ton cul de pucelle.
- Ne te gênes pas. Grâce à toi je ne suis plus vierge du cul, et tu as mérité de me défoncer.
Je lui avoue que notre position n'est pas idéale, je me retire, et elle s'installe à quatre pattes sur le canapé, le cul au bord. Je suis derrière elle, la bite à la bonne hauteur pour la matraquer. Ma queue s'enfonce comme dans du beurre tellement son conduit fait de l'huile:
- Hummmm, putain de salope. C'est bon d'être la premier à visiter ton cul, mais si je ne te faisais pas confiance je penserais que tu en as connu des bites pour être aussi accueillante.
- Non, je te jure que tu es le premier.
- Ok salope, je te crois. Je vais bien t'embrocher pour que tu n'oublies pas ton dépucelage.
- T'inquiètes, c'est trop génial, je m'en souviendrais toute ma vie. Encule moi fort vieux vicieux, je suis ta petite salope, ta chienne, espèce de gros porc.
- Oui je suis ton gros porc et toi ma grosse truie. Je suis ton étalon et vais te saillir comme une pouliche en chaleur. Je suis ton chien et vais te monter comme une chienne lubrique.
Je m'active entre ses reins, puise dans mes dernières ressources et la préviens de ma sauce qui monte. Elle aimerait bien me sentir jouir en elle, mais craint de rentrer chez ses parents le cul rempli, et qu'ils ne s'en aperçoivent. Je lui propose une solution qu'elle accepte en me traitant de vicelard, de putassier, et bien d'autre.
Je me retire, lui enfonce la belle carotte, pour ne pas que son trou se referme, le temps de me couvrir d'une capote. Je la reprends, l'enfile de toutes mes forces, et décharge en elle dans mon préservatif.
Je me retire et lui donne ma bite caoutchoutée à nettoyer. Je vais chercher des ciseaux, pince le réservoir et l'entaille, et m'introduit à nouveau dans sa bouche.
- Hummm, mais c'est qu'elle ça cette salope! Tu m'as dis que tu aimais téter mon lait, alors régale toi, avale mon biberon. Et quand tu auras tout bu tu enlèveras ma capote en la retournant, puis tu la nettoieras de ta bouche de gourmande, et puis tu me nettoieras la queue.
Elle exécute tout à la perfection, et je lui bouffe la chatte, engloutis sa mouille, pour la remercier, mais aussi pour mon plaisir.
Comme à l'habitude on a baiser devant la télé pour qu'elle suive l'émission en pointillé, on s'arrête à la fin, et elle pourra répondre aux éventuelles questions de ses parents sur sa soirée "télévisée".
Elle est enchantée de son dépucelage anal, me remercie chaleureusement avec de tendres baisers, et souhaite revenir le lendemain et goûter aux deux plus gros légumes.
Je ne pouvais rien espérer de mieux.
A suivre...............................
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j ai 51 ans et la lecture de cette histoire me fait toujour bander, petite gourmande, a quand la suite avec plus de mot cru
Une histoire qui donne envie de se faire prendre comme une bonne salope par tout les trous ... j'adore la baise avec des mots crus cela me fait mouiller encore plus !! il est bon de se sentir salope et de se faire défoncer partout.... une salope qui aime se faire déboiter...
Très excitant, j'en mouille encore…j'adore l'idée d'exciter un homme plus âgé…de plus s'il me traite de salope, là je craque...
je suis une jeune salope et j'adore les vieux vicieux ...salope je suis