Coaching et développement
Récit érotique écrit par Sarah0103 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Coaching et développement
Suite aux nouvelles fonctions que j'occupais au sein de ma société, celle-ci m'inscrit à plusieurs cours et formations. C'était un long programme qui se déroulait sur plusieurs mois à raison de 3 jours par mois. L'ensemble de ces modules étaient axés sur mon développement personnel en tant que leader et sur le coaching des équipes qui étaient sous ma responsabilité directe. Ces formations se faisaient systématiquement à Paris et regroupaient des collègues venus du monde entier.
Je me rendis donc à Paris pour la deuxième fois de l'année. Les cours se donnaient dans un hôtel 5* du quartier de La Défense. Endroit très animé la journée...et entièrement vide le soir. Les sessions de travail étaient longues et fatigante, mais très intéressante aussi. J'y retrouvais les mêmes collègues que lors de la première édition. Même si quelques liens s'étaient noués avec certains, j'avoue que je ne les trouvais pas très drôle... En même temps, nous n'étions évidemment pas là aux frais de la Princesse pour nous amuser !
Connaissant bien Paris depuis longtemps, j'avais déjà proposé quelques fois d'aller jusqu'au centre-ville afin de boire un verre plutôt que rester désespérément seul dans sa chambre, mais ma proposition était resté lettre morte.
Je me retrouvai donc dès le premier soir devant mon ordinateur à essayer de répondre à l'ensemble des emails reçus pendant la journée. J'en eu vite assez et téléphonai à Alexis. Il se réjouissait déjà de mon retour, je lui manquais. J'avais vraiment de la chance de partager ma vie avec lui. Nous discutâmes de nos journées respectives et comme je lui disais que les soirées étaient fort longues sans lui, il me poussa à descendre prendre un verre au bar de l'hôtel.
Je me décidai donc à aller faire un petit tour au bar afin d'y chercher un peu d'animation. A ma plus grande surprise, celui-ci était bondé de gens qui comme moi étaient vraisemblablement là pour des raisons professionnelles. Plusieurs groupes parlant des langues différentes étaient présents. Je m'assis dans un confortable fauteuil et commandai un verre de Chardonnay. C'était vraiment étrange de se retrouver seule au bar, loin d’Alexis et en présence de cette foule hétéroclite composée principalement d'hommes.
Très vite, je me rendis compte qu'un groupe de compatriotes était présent. Notre accent légendaire ne ment jamais. Je compris qu'ils participaient à un séminaire de vente pour une multinationale spécialisée en logiciels informatiques. Tous en cols et cravates, cela devait être des cadres commerciaux de la société. On les reconnait entre mille.... Ils étaient à quelques mètres seulement du fauteuil ou je sirotais mon verre de vin. Très vite, certains d'entre eux me regardèrent avec insistance et se décidèrent à m'offrir un verre.
- Do you want to join us to take a drink?
- Ne vous fatiguez pas en anglais, je suis francophone comme vous et je viens de Bruxelles.
- Parfait, quelle chance d'avoir une aussi jolie compatriote près de nous.
Je vous le disais, les commerciaux sont souvent des dragueurs invétérés. Néanmoins, c'était agréable de trouver des gens sympas. De plus, ils étaient assez drôles et la soirée commençait à être moins morne que prévu. Ils me demandèrent ce que je faisais seule dans cet hôtel et la conversation démarra rapidement entre nous.
Ils avaient tous la quarantaine et semblaient avoir déjà réussis leur vie professionnelle. Quelques verres de vins blancs plus tard, la conversation dérapa rapidement sur les hommes, les femmes, leurs différences, leurs attentes, …. On se croyait dans une parodies des "Homme viennent de Mars et les femmes de Vénus" ...ou est-ce le contraire, je ne savais plus.
Honnêtement, je m'amusais beaucoup en leur compagnie. Les sujets plus "sexuels" arrivèrent très vite sur le tapis et ils semblaient tous d'accord pour dire que la libido des femmes s'éteignait plus rapidement que la leur. Qu'en société, nous nous disions très ouverte sur le sujet, n'hésitions pas à nous présenter comme très coquines, mais qu'une fois en couple, tout était très différent, que nous apparaissions vite comme un peu "bobonne". Bref, ils trouvaient que nous n'étions guère honnêtes et manquions tant d’envies que de courage. J'appris aussi sans surprise qu'ils étaient tous amateurs de lingerie fine ou érotique, mais que leurs compagnes ou conquêtes ne semblaient pas en être adepte. Bref, tout y passa. De vrais misogynes plus très heureux en couple….Cela commençait à m’énerver d’être toutes mises dans le même sac !
- C'est incroyable ce que vous dites, c'est totalement faux.
- Ah bon ? On est pourtant tous d'accord sur ce point.
- Mais pourquoi faites-vous des généralités ? Nous sommes toutes différentes et c'est parfait comme ça.
- Tu crois vraiment que tu es différente?
- Oui, bien entendu.
- Tu es vraiment sympa, ne le prend pas mal, mais tu es comme toutes les autres, un rien allumeuse, aimant te faire draguer, parlant sans détour de tout, mettant soi-disant de la lingerie fine ...que tu ne portes évidemment jamais. Facile de jouer à la femme sexy et libérée.
- Mais qu'en savez-vous ?
- Parce que là sans doute, sous ta robe, tu portes des bas et un soutien-gorge sexy ?
- Ok, commandez une bouteille de Champagne et attendez-moi bande de machos !
Ils m'avaient passablement énervée avec leurs commentaires sexistes et j'avais envie de leur montrer que des femmes cohérentes entre leurs paroles et leurs actes, cela existe ! J'avais décidé de rapidement monter dans ma chambre et de m'y changer.
J'enlevai ma robe, mes collants, mon soutien-gorge et mon slip qui n'avaient en effet rien de très sexy. J'enfilai des Dim-Up, mis une jupe assez courte et un chemisier en soie blanche. Ils voulaient une allumeuse, ils allaient être servis.
Tout en m'habillant de la sorte, sans plus aucuns sous-vêtements sous ma tenue, je pensais à Alexis. En effet, ceci était-il le fruit du hasard? Je n'en croyais pas un mot et voulais en avoir le cœur net. Je pris mon téléphone.
- Coucou mon amour. C'est toi qui t'es occupé de ma soirée ?
- A ton avis ?
- Tu es vraiment incroyable, comment as-tu fais ça ?
- C'est pour cela que tu m'aimes …- Pas que pour ça, mais je n'en reviens pas. Tu me donnes ton ok ?
- Bien sûr, tu me raconteras tout en détail, j'adore ça. Profite bien de ta soirée. Je t'aime.
- Je t'aime aussi mon cœur.
Rassurée par Alexis et un peu sous l'effet du vin blanc, j'étais carrément désinhibée. Une fois dans l'ascenseur, je vérifiai que j'étais quand même présentable... Certes, quand je tendais mon chemisier, on pouvait deviner mes tétons, mais rien d'obscène.
Le bar s'était considérablement vidé de ses occupants et mes "machos" qui n'étaient plus que trois avaient investi une partie plus cosy de la pièce. Un rien à l'écart, ils étaient maintenant assis dans deux magnifiques canapés en cuir. Au milieu, sur une table basse, trônait un seau à Champagne et quatre verres qui n'attendaient qu'à être rempli.
- Tu en as mis du temps, où étais-tu ?
Sans répondre, je décidai de faire le service. Après avoir donné un flute à chacun, je saisis la bouteille et me penchai très fort en avant vers le canapé qui me faisait face ?
Deux des trois comparses s’y trouvaient. L'effet fut immédiat. Par mon chemisier dont j'avais savamment déboutonné le dessus, ils pouvaient voir ma poitrine imposante libérée de toute entrave. Mes seins entiers leurs étaient offerts et leurs yeux écarquillés ne les lâchaient plus une seconde. Penchée de la sorte, ma mini-jupe était bien entendue remontée et l'homme qui était dans mon dos, assis sur l'autre canapé, pouvait quant à lui découvrir la dentelle de mes bas ainsi qu'un début de chair, juste sous mes fesses. Je pris un temps infini à les servir l'un après l'autre pour qu'ils puissent tous les trois profiter du spectacle que je leur offrais. Ils en étaient muets. Seuls leurs yeux bougeaient encore. Ayant fini le service, je me redressai et allai m'assoir à mon tour. Telle Sharon Stone dans Basic Instinct, j'écartais légèrement les cuisses afin qu'ils puissent voir que je ne portais aucun sous-vêtement avant de recroiser les jambes bien haut.
Je pris ma flûte de Champagne.
- Je porte un toast à toutes les femmes "coincées" comme vous dites...Santé mes amis!
Il leur fallu plusieurs secondes pour réagir par un léger sourire avant de porter le verre à leurs lèvres. Je remarquais à leur visage qu'ils semblaient déjà très excités, moi aussi d'ailleurs. Mes tétons s'étaient déjà durcis et pointaient au travers de la soie.
- Vous ne dites plus rien ?
- Pour l'instant on préfère regarder - Alors, vous pensez toujours les mêmes idioties à propos des femmes?
- Plus à ton sujet en tous les cas. Tu es sexy de la mort et très bien foutue. Tes seins sont magnifiques et donnent très envie.
- Merci pour le compliment. Les femmes aussi ont des attirances et des pulsions. Mes seins sont à vous ce soir...le reste aussi. Prenons le Champagne et montons dans ma chambre.
Marc, Clément, Thierry et moi nous dirigèrent vers les ascenseurs. A peine entré dans la cabine, Clément qui était derrière moi passa une main dans mon chemisier afin de me palper un sein alors que de l'autre, il me caressait les fesses. J'adorais et ressentis très vite mon bas ventre se crisper de désir. Nous n'étions pas encore dans la chambre que je mouillais déjà abondamment.
Une fois à l'intérieur, Marc rempli une dernière fois nos verres et j'en profitai pour me débarrasser de mon chemisier et de ma jupe. Sans aucun complexe, je me trouvais nue devant ces trois hommes, perchée sur mes talons et gainée de bas noirs. Ils se déshabillèrent à leur tours et s'approchèrent de moi, tous en érection.
Ils me caressaient les seins, les fesses, m'embrassaient goulument. Je ne savais plus qui faisait quoi, je me laissais faire. Leurs doigts entraient et sortaient de ma chatte mouillée. Ivre de désir, je m'agenouillai afin de lécher leurs sexes tendus, à tour de rôle. Je n'avais jamais fait ça et j'y prenais beaucoup de plaisir. Je revoyais mentalement des scènes de films pornos à la différence que cette fois, c'était moi la vedette. L'un après l'autre, je les rendis fou de désir. Marc m'attira sur le lit et me coucha sur le dos avant de s'enfoncer violement au fond de moi.
Les deux autres regardaient et se masturbaient à quelques centimètres de ma bouche tout en me pinçant les tétons ou en m'embrassant. Je dégoulinais et poussais des gémissements de plus en plus forts à chaque pénétration. Sans jamais éjaculer, ils se relayèrent pendant près de 30 minutes dans ma chatte. Je repris mes esprits et couchai Clément sur le lit avant de l'enjamber en amazone. C'est ma position préférée, celle où je peux accélérer ou freiner ma jouissance en frottant mon pubis plus ou moins fort sur mon partenaire alors que celui-ci peut me caresser les seins, les titiller.
- Thierry, viens en moi. Je veux ton sexe dans le cul pendant que je chevauche Clément.
Ne se faisant pas prier, Thierry s'approcha et n'eut aucun mal à introduire son pénis entre mes fesses. C'est lui qui était le mieux membré et le sentir entrer en moi me fit crier de plaisir. Je sentais maintenant ce double va- et-vient. Cela m'avait toujours fait fantasmer lorsqu'avec Alexis nous regardions des films X, mais jamais je n'avais imaginé un jour connaître ça. C'était chose faite et j'avoue que cela me procurait un plaisir aussi intense qu'inconnu jusqu'ici. C'est vraiment une sensation très étrange, on ressent vraiment les deux pénis bien distinctement. Je demandai à Thierry de ne pas se retenir, je voulais qu'il jouisse, je voulais ressentir sa semence entre mes fesses dilatées par son membre. Il ne lui fallut pas très longtemps pour éjaculer dans un gémissement impressionnant. Il se retira au bout de quelques secondes, toujours en érection.
- A toi maintenant, prends-moi dans la même position.
Marc s'introduisit encore plus facilement. Le sperme de son collègue coulait partout, mais armé d'un préservatif, cela ne le dérangeait pas. Il se mit en mouvement et lui aussi m'arracha des cris. J'adorais la sodomie. Je sentais qu'il ne me faudrait plus beaucoup de temps pour atteindre l'orgasme. Je demandai à marc et Thierry de se laisser aller, de jouir en moi. Quelques secondes plus tard, nous jouissions presque ensemble. J'ai crié comme si j'étais possédé. Mon orgasme fut intense, long et profond. J'en avais la tête qui tournait et comme souvent lorsque le plaisir est exceptionnellement fort, j'inondai tout. Je sentis leurs sexes se retirer et je m'allongeai sur le lit. Nue, les jambes écartées devant ces trois hommes qui m'avaient emmenée au paradis, je profitais d'un moment de repos alors qu'ils continuaient à me caresser le corps de leurs mains, avec délicatesse.
Ils se rhabillèrent au bout de quelques minutes et vinrent m'embrasser pour me dire au revoir.
- Tu nous as fait connaître quelque chose d'exceptionnel, d'incroyable. Ton compagnon à de la chance, tu es la femme dont nous rêvons tous. Une vraie bombe. Avec toi le sexe c'est divin.
Thierry parlait pour eux trois. Ils s'éclipsèrent me laissant rêveuse. Toujours nue, je m'endormis épuisée par cette séance incroyablement sexuelle, pornographique.
Le lendemain, mon réveil radio eu du mal à m'extirper de mes rêveries. Je ne les revis pas, ils avaient quittés l'hôtel.
De retour à Bruxelles, j'eu un plaisir fou à revoir Alexis. Je ne peux pas dire pourquoi, mais cette expérience me donnait encore plus envie de lui. C'était ma moitié. Il me permettait de tout vivre, de tout connaître. Comme il me le demandait, je lui ai raconté ma soirée en détail...avec tous les détails. Je ne lui ai rien caché et lui avoua que j'avais joui comme une folle et que cette double pénétration était à mettre sur le podium de mes préférences.
- Mais comment as-tu fais pour organiser cela, c'est presque impossible ?
- Tu as raison, c'est en effet impossible.
- Tu veux dire que tu n'y es pour rien ?
- En effet, je n'ai rien organisé du tout.
- Mais alors, pourquoi m'as-tu dis ces choses au téléphone.
- Je ne t'ai rien dis, mais j'ai sentis que toi tu voulais passer à l'acte ce soi- là. Comme tu m'en as parlé, j'ai dit oui, c'est tout.
- Tu n'es pas fâché ou du moins jaloux ?
- Pas du tout, notre contrat est clair. Tant que c'est transparent, pas de problème. Je suis ravi que tu te sois laisser aller ou même mieux, que tu aies pris l'initiative. Je te trouve changée, en mieux. Je t'aime comme jamais et suis tellement heureux d'avoir une vraie femme à mes côtés et dans mon lit. Tu es plus belle et désirable que jamais. Tu es enfin toi!
Alexis me faisait redécouvrir la vie, la vraie. Celle qui est intense, qui procure plaisir et bien-être. Celle où on est libre et respectueux.
Pour tout cela, je l'aimais.
Je lui fis passer des semaines très intenses en relations sexuelles. Nous n'arrêtions plus et adorions cela. Le plaisir est salvateur dans un couple, nous le savions depuis longtemps et le vivions depuis pe
Je me rendis donc à Paris pour la deuxième fois de l'année. Les cours se donnaient dans un hôtel 5* du quartier de La Défense. Endroit très animé la journée...et entièrement vide le soir. Les sessions de travail étaient longues et fatigante, mais très intéressante aussi. J'y retrouvais les mêmes collègues que lors de la première édition. Même si quelques liens s'étaient noués avec certains, j'avoue que je ne les trouvais pas très drôle... En même temps, nous n'étions évidemment pas là aux frais de la Princesse pour nous amuser !
Connaissant bien Paris depuis longtemps, j'avais déjà proposé quelques fois d'aller jusqu'au centre-ville afin de boire un verre plutôt que rester désespérément seul dans sa chambre, mais ma proposition était resté lettre morte.
Je me retrouvai donc dès le premier soir devant mon ordinateur à essayer de répondre à l'ensemble des emails reçus pendant la journée. J'en eu vite assez et téléphonai à Alexis. Il se réjouissait déjà de mon retour, je lui manquais. J'avais vraiment de la chance de partager ma vie avec lui. Nous discutâmes de nos journées respectives et comme je lui disais que les soirées étaient fort longues sans lui, il me poussa à descendre prendre un verre au bar de l'hôtel.
Je me décidai donc à aller faire un petit tour au bar afin d'y chercher un peu d'animation. A ma plus grande surprise, celui-ci était bondé de gens qui comme moi étaient vraisemblablement là pour des raisons professionnelles. Plusieurs groupes parlant des langues différentes étaient présents. Je m'assis dans un confortable fauteuil et commandai un verre de Chardonnay. C'était vraiment étrange de se retrouver seule au bar, loin d’Alexis et en présence de cette foule hétéroclite composée principalement d'hommes.
Très vite, je me rendis compte qu'un groupe de compatriotes était présent. Notre accent légendaire ne ment jamais. Je compris qu'ils participaient à un séminaire de vente pour une multinationale spécialisée en logiciels informatiques. Tous en cols et cravates, cela devait être des cadres commerciaux de la société. On les reconnait entre mille.... Ils étaient à quelques mètres seulement du fauteuil ou je sirotais mon verre de vin. Très vite, certains d'entre eux me regardèrent avec insistance et se décidèrent à m'offrir un verre.
- Do you want to join us to take a drink?
- Ne vous fatiguez pas en anglais, je suis francophone comme vous et je viens de Bruxelles.
- Parfait, quelle chance d'avoir une aussi jolie compatriote près de nous.
Je vous le disais, les commerciaux sont souvent des dragueurs invétérés. Néanmoins, c'était agréable de trouver des gens sympas. De plus, ils étaient assez drôles et la soirée commençait à être moins morne que prévu. Ils me demandèrent ce que je faisais seule dans cet hôtel et la conversation démarra rapidement entre nous.
Ils avaient tous la quarantaine et semblaient avoir déjà réussis leur vie professionnelle. Quelques verres de vins blancs plus tard, la conversation dérapa rapidement sur les hommes, les femmes, leurs différences, leurs attentes, …. On se croyait dans une parodies des "Homme viennent de Mars et les femmes de Vénus" ...ou est-ce le contraire, je ne savais plus.
Honnêtement, je m'amusais beaucoup en leur compagnie. Les sujets plus "sexuels" arrivèrent très vite sur le tapis et ils semblaient tous d'accord pour dire que la libido des femmes s'éteignait plus rapidement que la leur. Qu'en société, nous nous disions très ouverte sur le sujet, n'hésitions pas à nous présenter comme très coquines, mais qu'une fois en couple, tout était très différent, que nous apparaissions vite comme un peu "bobonne". Bref, ils trouvaient que nous n'étions guère honnêtes et manquions tant d’envies que de courage. J'appris aussi sans surprise qu'ils étaient tous amateurs de lingerie fine ou érotique, mais que leurs compagnes ou conquêtes ne semblaient pas en être adepte. Bref, tout y passa. De vrais misogynes plus très heureux en couple….Cela commençait à m’énerver d’être toutes mises dans le même sac !
- C'est incroyable ce que vous dites, c'est totalement faux.
- Ah bon ? On est pourtant tous d'accord sur ce point.
- Mais pourquoi faites-vous des généralités ? Nous sommes toutes différentes et c'est parfait comme ça.
- Tu crois vraiment que tu es différente?
- Oui, bien entendu.
- Tu es vraiment sympa, ne le prend pas mal, mais tu es comme toutes les autres, un rien allumeuse, aimant te faire draguer, parlant sans détour de tout, mettant soi-disant de la lingerie fine ...que tu ne portes évidemment jamais. Facile de jouer à la femme sexy et libérée.
- Mais qu'en savez-vous ?
- Parce que là sans doute, sous ta robe, tu portes des bas et un soutien-gorge sexy ?
- Ok, commandez une bouteille de Champagne et attendez-moi bande de machos !
Ils m'avaient passablement énervée avec leurs commentaires sexistes et j'avais envie de leur montrer que des femmes cohérentes entre leurs paroles et leurs actes, cela existe ! J'avais décidé de rapidement monter dans ma chambre et de m'y changer.
J'enlevai ma robe, mes collants, mon soutien-gorge et mon slip qui n'avaient en effet rien de très sexy. J'enfilai des Dim-Up, mis une jupe assez courte et un chemisier en soie blanche. Ils voulaient une allumeuse, ils allaient être servis.
Tout en m'habillant de la sorte, sans plus aucuns sous-vêtements sous ma tenue, je pensais à Alexis. En effet, ceci était-il le fruit du hasard? Je n'en croyais pas un mot et voulais en avoir le cœur net. Je pris mon téléphone.
- Coucou mon amour. C'est toi qui t'es occupé de ma soirée ?
- A ton avis ?
- Tu es vraiment incroyable, comment as-tu fais ça ?
- C'est pour cela que tu m'aimes …- Pas que pour ça, mais je n'en reviens pas. Tu me donnes ton ok ?
- Bien sûr, tu me raconteras tout en détail, j'adore ça. Profite bien de ta soirée. Je t'aime.
- Je t'aime aussi mon cœur.
Rassurée par Alexis et un peu sous l'effet du vin blanc, j'étais carrément désinhibée. Une fois dans l'ascenseur, je vérifiai que j'étais quand même présentable... Certes, quand je tendais mon chemisier, on pouvait deviner mes tétons, mais rien d'obscène.
Le bar s'était considérablement vidé de ses occupants et mes "machos" qui n'étaient plus que trois avaient investi une partie plus cosy de la pièce. Un rien à l'écart, ils étaient maintenant assis dans deux magnifiques canapés en cuir. Au milieu, sur une table basse, trônait un seau à Champagne et quatre verres qui n'attendaient qu'à être rempli.
- Tu en as mis du temps, où étais-tu ?
Sans répondre, je décidai de faire le service. Après avoir donné un flute à chacun, je saisis la bouteille et me penchai très fort en avant vers le canapé qui me faisait face ?
Deux des trois comparses s’y trouvaient. L'effet fut immédiat. Par mon chemisier dont j'avais savamment déboutonné le dessus, ils pouvaient voir ma poitrine imposante libérée de toute entrave. Mes seins entiers leurs étaient offerts et leurs yeux écarquillés ne les lâchaient plus une seconde. Penchée de la sorte, ma mini-jupe était bien entendue remontée et l'homme qui était dans mon dos, assis sur l'autre canapé, pouvait quant à lui découvrir la dentelle de mes bas ainsi qu'un début de chair, juste sous mes fesses. Je pris un temps infini à les servir l'un après l'autre pour qu'ils puissent tous les trois profiter du spectacle que je leur offrais. Ils en étaient muets. Seuls leurs yeux bougeaient encore. Ayant fini le service, je me redressai et allai m'assoir à mon tour. Telle Sharon Stone dans Basic Instinct, j'écartais légèrement les cuisses afin qu'ils puissent voir que je ne portais aucun sous-vêtement avant de recroiser les jambes bien haut.
Je pris ma flûte de Champagne.
- Je porte un toast à toutes les femmes "coincées" comme vous dites...Santé mes amis!
Il leur fallu plusieurs secondes pour réagir par un léger sourire avant de porter le verre à leurs lèvres. Je remarquais à leur visage qu'ils semblaient déjà très excités, moi aussi d'ailleurs. Mes tétons s'étaient déjà durcis et pointaient au travers de la soie.
- Vous ne dites plus rien ?
- Pour l'instant on préfère regarder - Alors, vous pensez toujours les mêmes idioties à propos des femmes?
- Plus à ton sujet en tous les cas. Tu es sexy de la mort et très bien foutue. Tes seins sont magnifiques et donnent très envie.
- Merci pour le compliment. Les femmes aussi ont des attirances et des pulsions. Mes seins sont à vous ce soir...le reste aussi. Prenons le Champagne et montons dans ma chambre.
Marc, Clément, Thierry et moi nous dirigèrent vers les ascenseurs. A peine entré dans la cabine, Clément qui était derrière moi passa une main dans mon chemisier afin de me palper un sein alors que de l'autre, il me caressait les fesses. J'adorais et ressentis très vite mon bas ventre se crisper de désir. Nous n'étions pas encore dans la chambre que je mouillais déjà abondamment.
Une fois à l'intérieur, Marc rempli une dernière fois nos verres et j'en profitai pour me débarrasser de mon chemisier et de ma jupe. Sans aucun complexe, je me trouvais nue devant ces trois hommes, perchée sur mes talons et gainée de bas noirs. Ils se déshabillèrent à leur tours et s'approchèrent de moi, tous en érection.
Ils me caressaient les seins, les fesses, m'embrassaient goulument. Je ne savais plus qui faisait quoi, je me laissais faire. Leurs doigts entraient et sortaient de ma chatte mouillée. Ivre de désir, je m'agenouillai afin de lécher leurs sexes tendus, à tour de rôle. Je n'avais jamais fait ça et j'y prenais beaucoup de plaisir. Je revoyais mentalement des scènes de films pornos à la différence que cette fois, c'était moi la vedette. L'un après l'autre, je les rendis fou de désir. Marc m'attira sur le lit et me coucha sur le dos avant de s'enfoncer violement au fond de moi.
Les deux autres regardaient et se masturbaient à quelques centimètres de ma bouche tout en me pinçant les tétons ou en m'embrassant. Je dégoulinais et poussais des gémissements de plus en plus forts à chaque pénétration. Sans jamais éjaculer, ils se relayèrent pendant près de 30 minutes dans ma chatte. Je repris mes esprits et couchai Clément sur le lit avant de l'enjamber en amazone. C'est ma position préférée, celle où je peux accélérer ou freiner ma jouissance en frottant mon pubis plus ou moins fort sur mon partenaire alors que celui-ci peut me caresser les seins, les titiller.
- Thierry, viens en moi. Je veux ton sexe dans le cul pendant que je chevauche Clément.
Ne se faisant pas prier, Thierry s'approcha et n'eut aucun mal à introduire son pénis entre mes fesses. C'est lui qui était le mieux membré et le sentir entrer en moi me fit crier de plaisir. Je sentais maintenant ce double va- et-vient. Cela m'avait toujours fait fantasmer lorsqu'avec Alexis nous regardions des films X, mais jamais je n'avais imaginé un jour connaître ça. C'était chose faite et j'avoue que cela me procurait un plaisir aussi intense qu'inconnu jusqu'ici. C'est vraiment une sensation très étrange, on ressent vraiment les deux pénis bien distinctement. Je demandai à Thierry de ne pas se retenir, je voulais qu'il jouisse, je voulais ressentir sa semence entre mes fesses dilatées par son membre. Il ne lui fallut pas très longtemps pour éjaculer dans un gémissement impressionnant. Il se retira au bout de quelques secondes, toujours en érection.
- A toi maintenant, prends-moi dans la même position.
Marc s'introduisit encore plus facilement. Le sperme de son collègue coulait partout, mais armé d'un préservatif, cela ne le dérangeait pas. Il se mit en mouvement et lui aussi m'arracha des cris. J'adorais la sodomie. Je sentais qu'il ne me faudrait plus beaucoup de temps pour atteindre l'orgasme. Je demandai à marc et Thierry de se laisser aller, de jouir en moi. Quelques secondes plus tard, nous jouissions presque ensemble. J'ai crié comme si j'étais possédé. Mon orgasme fut intense, long et profond. J'en avais la tête qui tournait et comme souvent lorsque le plaisir est exceptionnellement fort, j'inondai tout. Je sentis leurs sexes se retirer et je m'allongeai sur le lit. Nue, les jambes écartées devant ces trois hommes qui m'avaient emmenée au paradis, je profitais d'un moment de repos alors qu'ils continuaient à me caresser le corps de leurs mains, avec délicatesse.
Ils se rhabillèrent au bout de quelques minutes et vinrent m'embrasser pour me dire au revoir.
- Tu nous as fait connaître quelque chose d'exceptionnel, d'incroyable. Ton compagnon à de la chance, tu es la femme dont nous rêvons tous. Une vraie bombe. Avec toi le sexe c'est divin.
Thierry parlait pour eux trois. Ils s'éclipsèrent me laissant rêveuse. Toujours nue, je m'endormis épuisée par cette séance incroyablement sexuelle, pornographique.
Le lendemain, mon réveil radio eu du mal à m'extirper de mes rêveries. Je ne les revis pas, ils avaient quittés l'hôtel.
De retour à Bruxelles, j'eu un plaisir fou à revoir Alexis. Je ne peux pas dire pourquoi, mais cette expérience me donnait encore plus envie de lui. C'était ma moitié. Il me permettait de tout vivre, de tout connaître. Comme il me le demandait, je lui ai raconté ma soirée en détail...avec tous les détails. Je ne lui ai rien caché et lui avoua que j'avais joui comme une folle et que cette double pénétration était à mettre sur le podium de mes préférences.
- Mais comment as-tu fais pour organiser cela, c'est presque impossible ?
- Tu as raison, c'est en effet impossible.
- Tu veux dire que tu n'y es pour rien ?
- En effet, je n'ai rien organisé du tout.
- Mais alors, pourquoi m'as-tu dis ces choses au téléphone.
- Je ne t'ai rien dis, mais j'ai sentis que toi tu voulais passer à l'acte ce soi- là. Comme tu m'en as parlé, j'ai dit oui, c'est tout.
- Tu n'es pas fâché ou du moins jaloux ?
- Pas du tout, notre contrat est clair. Tant que c'est transparent, pas de problème. Je suis ravi que tu te sois laisser aller ou même mieux, que tu aies pris l'initiative. Je te trouve changée, en mieux. Je t'aime comme jamais et suis tellement heureux d'avoir une vraie femme à mes côtés et dans mon lit. Tu es plus belle et désirable que jamais. Tu es enfin toi!
Alexis me faisait redécouvrir la vie, la vraie. Celle qui est intense, qui procure plaisir et bien-être. Celle où on est libre et respectueux.
Pour tout cela, je l'aimais.
Je lui fis passer des semaines très intenses en relations sexuelles. Nous n'arrêtions plus et adorions cela. Le plaisir est salvateur dans un couple, nous le savions depuis longtemps et le vivions depuis pe
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