Saint-Valentin(e) - histoire érotique

Nous étions début février et j'avais demandé à Alexis de ne pas rentrer trop tard du boulot. Je lui avais organisé un bon petit repas aux chandelles.
- Bonjour mon cœur, tu as passé une bonne journée ?
- Oui ...que me vaut cet accueil merveilleux ?
- Juste l'envie de te remercier pour tout ce que tu as fait et ces derniers temps.
- Trop gentil, mais je t'ai juste appris à découvrir tes envies, celles que tu as en toi depuis toujours...
Je l'avais accueilli vêtue d’un body noir entièrement transparent ouvert sur mon sexe et sur mes seins. Une paire de cuissardes à haut talons recouvrait mes jambes gainées de bas attachés au body par de fines jarretelles en dentelle ...Je me sentais un peu "pute", mais vraiment très désirable et l'érection presque immédiate de Alexis me le confirma rapidement. J'avais décidé de rester habillée de la sorte pendant tout le repas.
- Pour l'instant, tu peux juste regarder...on verra ensuite si je change d'avis.
Tout en mangeant, je jouais avec mes seins, me massais les tétons, caressais mes larges aréoles en le fixant droit dans les yeux. Je lui imposais un vrai supplice!
Jouant à la parfaite maîtresse de maison, je me levais pour le servir, passais près de lui, me penchais et le frôlais de ma lourde poitrine offerte.
Il tenta bien évidemment de me toucher, mais à chaque fois, je m'écartais lui rappelant que seuls ses yeux pouvaient en profiter pour l'instant.
A la fin du repas, après avoir tout débarrassé telle une serveuse très attentionnée, je lui demandai d'aller chercher une bouteille de Champagne à la cave. J'en profitai pour lancer à la télévision le film pornographique que j'avais préparé. Nous aimions l'un et l'autre ce genre de petite soirée devant un film qui nous donnait beaucoup d'idées à assouvir au plus vite. Alexis déboucha la bouteille et servit deux flûtes de cette divine boisson.
Je lui demandai de s'installer dans le canapé à mes côtés et lui passai des menottes afin d'être certaine qu'il ne puisse pas déroger à la règle que j'avais fixée. La vision de ce film nous excitait l'un et l'autre. Il bandait comme un fou et j'ouvris son pantalon afin d'en sortir son sexe. J'étais moi aussi déjà trempée et, assise près de lui dans le grand canapé en cuir, mes doigts entraient et sortaient de ma chatte avec grand bruit avant de les introduire un à un dans sa bouche. Je pris ensuite du Champagne et le fis dégouliner sur mes seins qu'il put laper comme un chat. Je le mis à genou sur notre épais tapis et entrepris alors la même chose sur ma chatte qu'il lécha abondement. Ce mélange de cyprine et de Champagne semblait à son goût. Le sexe dégoulinant, très excitée, je me retirai afin de ne pas jouir trop rapidement car un cunnilingus bien fait m'emmenait généralement très vite à la jouissance.
- Aimerais-tu que je me fasse prendre par un couple comme dans le film ?
- Tu aimerais essayer avec une femme aussi ?
- Oui, je crois. J’aimerais en fait être leur esclave sexuelle, leur petite pute...Tu aimerais ?
- Bien sûr, te voir soumise m’exciterait.
- Même si tu n’es que spectateur ?
- Ce sera un supplice de ne pas venir en profiter avec vous...mais oui, pourquoi pas.
Ce qui se passait à l'écran devant moi me donnait très envie de découvrir la soumission (soft), le sexe avec un autre couple et l'amour lesbien... Dégoulinante d'excitation, je sortis de la table basse ma boite à "jouets" et y pris un gode anal (j'avais tout prévu !). Afin de le lubrifier, je me l'entrai d’abord dans le vagin avant de me l'introduire délicatement dans l’anus sous le regard intéressé d’Alexis.
Je gémis bruyamment au moment où ce dernier fut entièrement en moi. Avoir un gode ou un sexe dans l'anus m'avait toujours beaucoup excité, j'adorais cette sensation de plénitude. Je me mis alors à quatre pattes afin qu’il puisse admirer ma croupe ornée de ce bijou et bien que je ne l’aie pas encore touché, je le sentais au bord de la jouissance.
Une fois libéré de ses entraves, il se rassit sur le canapé et, de face, assise sur lui, j'introduisis alors son sexe prêt à jouir au plus profond de ma chatte. Très vite, commença un mouvement de va-et-vient.
Tout en bougeant frénétiquement, je me caressais le clitoris alors que je ressentais distinctement le gode et le pénis de mon homme au fond de mon vagin. C'était divin. Alexis me malaxais les seins qui bougeaient dans tous les sens devant ses yeux émerveillés. Nous eûmes des orgasmes presqu’en même temps. Mes cris avaient été si puissants qu’ils résonnèrent longtemps dans ma tête.
La mi-Février approchait à grand pas et j'avais décidé de faire une surprise à Alexis en m'occupant personnellement de mon prochain fantasme à réaliser. Je lui demandai donc comment et sur quel site internet il avait été jusqu'ici pour trouver Steven qui s'était avéré être un parfait "toy-boy".... Alexis m'expliqua tout en détail et ce fût sans aucun mal que je trouvai rapidement quelques couples intéressés par mon scénario. Après quelques hésitations et un premier contact téléphonique, je me décidai pour Thierry et Caroline. Nous nous sommes rencontrés rapidement et le courant est immédiatement passé entre eux et moi. Ils étaient plus jeunes que nous et parfaitement à mon goût. Thierry était du genre beau gosse bien "baraqué" quant à Caroline, bien qu'assez mince, elle avait une belle grosse poitrine qui me plaisait...et qui ravirait certainement Alexis. Nous discutèrent en détail du modus operandi et nous donnèrent rendez-vous dans un restaurant...pour fêter ensemble la Saint-Valentin.
- Pour la fête des amoureux, nous allons au restaurant ce soir !
- Super, je suis ravi de passer une soirée en amoureux avec toi...
- ...mais nous ne serons pas seul, j’ai également invité un couple d’amis- Je les connais ?
- Pas encore, mais je suis certaine que tu les apprécieras.
J'avais choisi un excellent resto gastronomique, mais sans que ce dernier sois guindé. Mes nouveaux amis étaient déjà présents lorsque nous sommes arrivés.
- Alexis, je te présente Caroline et Thierry.
- Enchanté, je suis très heureux de vous rencontrer.
Dès l'apéritif, après les présentations d'usage, nous nous sentîmes vite tous les quatre très à l’aise. La nourriture était excellente et le vin produisait déjà ses effets. Thierry était assis à côté de moi et très vite, je sentis sa main sur mes cuisses. Alexis ne ratait évidemment rien de ces premières caresses discrètes. J'appréciais sentir cette paume chaude sur mes bas et imperceptiblement, je relevais légèrement ma jupe et écartais les cuisses afin de permettre à mon nouvel ami de me palper l'entre jambe jusqu'au sexe. La vie devenait simple quand on osait en profiter.
Alexis qui me connaissait par cœur vit mon regard changer et devait se douter que mon bas ventre qui n’était protégé par aucune culotte ou autre string devait déjà être dégoulinant. Cela faisait longtemps maintenant que je ne portais plus jamais de slip lorsque j'allais en soirée avec Alexis. Cela me procurait une incroyable sensation de "liberté" que de sentir son sexe sans aucune entrave.
De son côté, Caroline qui était une femme superbe laissait entrevoir au travers de son chemisier sagement déboutonné une magnifique poitrine retenue par le redresse-seins que je lui avais demandé de porter pour l'occasion. Ses tétons étaient visibles au moindre coup d’œil et cela excitait visiblement beaucoup Alexis qui avait du mal à en détacher son regard. Il adorait les gros seins. C'était la partie de l'anatomie féminine qui l'excitait le plus; il était servi!
Il entreprit très vite de vérifier si elle était aussi excitée que moi. Je vis sa main disparaitre sous la table et commencer elle aussi à caresser les cuisses de sa voisines. Caroline se laissa faire avec un plaisir non dissimulé. Après quelques minutes de caresses que je supposais très sages, elle commençait à montrer d'imperceptibles petits soubresauts et je me doutais que les doigts de mon homme étaient déjà en elle. J’adorais cette situation. Le repas se déroula dans cette ambiance érotique et détendue. Après avoir passé ce début de soirée à nous exciter mutuellement, nous décidâmes très vite après le dessert de lever le camp pour continuer la soirée chez nos nouveaux amis qui, en plus d’être très séduisants, étaient vraiment un couple sympa.
Une fois dans leur bel appartement duplex, Thierry déboucha une nouvelle bouteille de champagne alors que j'accompagnais Caroline dans leur chambre à coucher. J'en ressorti vêtue d'une combinaison en latex savamment ouverte sur mes seins, mes fesses et mon sexe ... Une laisse cloutée me servait de collier. Mon nouveau job d’esclave sexuelle allait pouvoir débuter. Caroline était quant à elle habillée d'une micro jupe en cuir noir, de bas à jarretelles et d'une petite veste type perfecto entièrement ouverte qui ne cachait rien de son imposante poitrine. La jupe remontait au gré de ses pas et laissait découvrir ses fesses et son pubis entièrement rasé. Perchée sur de très hauts talons elle tenait un fouet. Il se dégageait d'elle une sexualité incroyable. Tirant sur la laisse, elle décida de me promener dans leur grand living avant de m'arrêter près d’Alexis. Elle m'ordonna de le déshabiller entièrement. Il joua le jeu et se laissa faire tout en ne perdant rien de la situation. Ce n'était pas tous les jours que deux femmes presque nues s'exhibaient sous ses yeux. Une fois nu, il dû s'assoir dans un des grands fauteuils qui décorait leur salon.
- Attaches-le maintenant, je ne voudrais pas qu'il nous dérange !
Elle me tendit des liens et je m'exécutai. Il était déjà en pleine érection. Caroline ne me laissa pas le toucher davantage et m'attira sèchement vers elle. Debout, le sexe et les seins offerts, je sentis le manche de son fouet passer entre mes fesses et sur mon sexe.
- Humm, je vois que tu es déjà trempée, tu es une vraie petite salope.
C'était vrai, mon bas ventre frétillait. Elle était derrière moi et me caressait les seins. C'était la première fois qu'une femme me touchait et j'y prenais beaucoup de plaisir. Collée contre elle grâce à la laisse qu'elle tenait fermement, je me laissais faire avec délectation. C'était incroyablement érotique que de sentir sa poitrine chaude contre mon dos et mes seins entre ses mains. Thierry était toujours habillé et profitait de la scène; Alexis aussi. Le spectacle que nous leurs donnions semblait beaucoup leur plaire. Soudainement, Caroline me retourna et commença à m'embrasser très voluptueusement alors que d'une main experte, elle me pénétra de ses doigts habiles.
Ma respiration était haletante tant le moment était enivrant. Elle m'entraina vers le canapé et s'y assis avant de me mettre à genou entre ses jambes.
- Lèche-moi la chatte petite garce.
Je commençai donc à la titiller de ma langue, doucement d'abord, plus intensément ensuite. Mon Dieu que c'est bon de lécher un sexe féminin. Elle mouillait abondement et le gout agréable de sa semence me plaisait. Après plusieurs minutes, elle me coucha dans le canapé et vint s'assoir sur ma bouche. Tout en regardant tantôt Alexis, tantôt Thierry, elle se malaxait les seins avec douceur alors qu'elle dégoulinait sous mes coups de langue. Elle prit alors mes mains et les posa sur ses seins. Sa poitrine était presqu'aussi grosse que la mienne et je compris alors le plaisir que les hommes prenaient à la malaxer en tous sens. Puis, à son tour, elle se coucha et me demanda de se mettre en 69 au-dessus d'elle. Le spectacle était total pour nos deux compagnons. Caroline me faisait découvrir l'amour lesbien, c'était incroyablement intense. Elle sentit rapidement que j'allais jouir et me repoussa.
- Par terre petite pute, tu ne vas pas jouir si vite, c'est à moi d'en décider !
Couchée, offerte les jambes écartées, elle m'enjamba et passa sa jambe gauche sous ma jambe droite (et vice-versa) afin que nos vagins trempés se touchent. Nous avons alors commencé à nous frotter de la sorte de longues minutes sous les yeux de nos compagnons qui ne perdaient pas une miette du spectacle. C'était délicieux et mon excitation était telle que je ne pus me retenir plus longtemps. Mon orgasme fut si intense que ma jouissance se traduisit par une violente éjaculation. Caroline sentit de véritables jets de semence se répandre sur sa vulve toujours collée à la mienne. Envahie par de nombreux tremblements, cela la fit jouir immédiatement. Nous étions comme en transe et nos orgasmes respectifs durèrent et se répétèrent de la sorte pendant de longues et délicieuses minutes. Caroline fut la première à reprendre ses esprits.
- Tu m'as bien fait jouir et tu mérites une récompense...Met-toi à quatre pattes.
Elle récupéra le fouet et m'en introduisit le fin manche dans l'anus avant de m'obliger à marcher de la sorte vers Thierry. -- Suce-le petite pute!
Je déboutonnai son pantalon, et dégageai son sexe dur et imposant avant de commencer à lui laper le bout du gland. Il grognait de plaisir et décida de s'enfoncer dans ma bouche. Son pénis toujours entre mes lèvres, je vis que Caroline avait enfilé un gode ceinture. Elle allait me violer! Elle retira le fouet qui était toujours planté en moi et s'introduit rapidement dans mon anus dilaté. J'étais leur chose, leur jouet. Je ne me sentais plus, j'étais ailleurs tant la sensation était forte.
Alexis était là, assis, calme, entièrement nu et en érection totale. Il me regardait intensément et avait l'air d'apprécier la scène que je lui offrais. C'était vraiment cela son plus gros fantasme, me voir faire l'amour avec d'autres devant lui. Il me l’avait toujours dit et c'était vrai.
Sortant son membre imposant de ma bouche afin de ne pas éjaculer trop rapidement, Thierry retourna s’asseoir dans le canapé et demanda à Caroline d'arrêter sa sodomie afin que je puisse le rejoindre. Je m'assis sur lui de face et lui demandai s'il préférait ma chatte ou mon cul. Je n’eus pas le temps d'entendre sa réponse que je sentais déjà son pénis s'enfoncer entre mes reins.
Caroline se dirigea vers Alexis et le détacha. Ils vinrent nous rejoindre et elle l'enfourcha comme je l'avais fait avec Thierry. Nous étions à quelques centimètres l'une de l'autre en train de nous faire sodomiser...Nos hommes semblaient aussi complices que nous. Ils nous caressaient l'un et l'autre les seins, les faisaient bouger, les pinçaient légèrement alors que Caroline et moi nous embrassions parfois entre deux pénétrations profondes au fond de nos fesses. Nous avions à nouveau très envie de jouir. Elle et moi avons donc commencé à bouger davantage, d'avant en arrière, afin de stimuler notre clitoris sur nos partenaires. Nos visages étaient déformés par le désir. Il ne nous fallut que quelques minutes pour atteindre tous les quatre une nouvelle jouissance aussi profonde que bruyante.... Nous sommes restés quelques instants sans bouger afin de profiter de cet instant magique. Après quelques minutes de récupération, en me retirant, je sentis le sperme de Thierry dégouliner lentement le long de mes cuisses. Il s'était vraiment lâché. Moi aussi visiblement...
Caroline et Alexis étaient dans le même état. Alexis avait toujours les seins de sa partenaire au creux de ses mains lorsqu'elle se retira à son tour, l'anus dégoulinant. Elle l'embrassa et lui dit combien elle avait apprécié. Après s'être brièvement rafraîchi, nous nous rhabillâmes et les remercièrent pour cette excellente soirée. Tout avait été parfait et nous avons donc décidé de nous échanger nos coordonnées....il y aurait évidemment une deuxième fois.
J'avais une nouvelle fois éprouvé un orgasme fulgurant et découvrais ce que l'amour lesbien pouvait procurer comme sensations. Lui dévorer la chatte dans ce climat de soumission consentie avait été divin. J'aimais me faire traiter de pute et de salope tout en obéissant aux ordres de ma maîtresse. De plus, je m'apercevais que moi aussi j'aimais voir Alexis faire l'amour à mes côtés, à une autre que moi. Plus "gourmande" que jamais, j'étais prête pour de très nombreuses autres aventures avec l'homme de ma vie. Nous avions encore tant de choses à découvrir.

ΔDe longues semaines s’étaient écoulées depuis notre Saint-Valentin. La vie avait repris son cours… Nous étions fin avril, mais il faisait encore glacial. On se serait cru en hiver. L’un et l’autre avions été une nouvelle fois débordés par le travail et nos expériences sexuelles passées commençaient à nous manquer.
Alexis m’avait cependant fait découvrir il y a quelques semaines les joies du massage tantrique. Bien qu’on se fasse masser entièrement nue toutes les parties de son corps (même intimes) par un inconnu, je ne pouvais pas qualifier cette expérience de « sexuelle », mais bien de « sensuelle ». Aussi intense qu’agréable, c’est beaucoup plus proche de la relaxation totale et du bien-être que d’une partie de jambes en l’air. C’est une vraie façon de se ressourcer et j’y recourrai encore certainement pour évacuer mon stress lorsqu’il sera trop intense. Il parait que certaines femmes arrivent parfois à l’orgasme lors de ces séances …A réessayer donc !
Nous avions aussi profité de quelques soirées dans des Thermes naturistes non loin de Bruxelles. Un grande première pour moi que d’oser me mettre nue « en public ». Cela parait évidemment ridicule par rapport aux pratiques expérimentées ces derniers mois, mais c’est à mes yeux très différent. L’aspect « asexué » et « publique» de la chose rend bizarrement la nudité plus difficile à assumer.
Cependant, une fois nue, quelle délicate sensation que nager sans maillot, que de sentir les bulles d’un jacuzzi sur sa poitrine, entre ses jambes, sur son sexe. J’adore. Je découvrais une nouvelle fois d’exquises et douces sensations dont je m’étais jusqu’alors privée.
Cependant, je rêvais de réaliser un nouveau fantasme…Alexis aussi. Après avoir démontré mes talents d’organisatrice pour cette Saint-Valentin quelque peu revisitée, je demandai à Alexis de s’en occuper. Il en fut évidemment ravi.
- Tu as un désir particulier ou me laisses-tu libre de choisir ce que je veux ?
- Cela fait longtemps que mes trois premiers choix sont exaucés… à toi de décider ! Tu peux aussi en mêler plusieurs, tu sais ce que j’aime…et j’avoue ne plus avoir beaucoup de tabous. Si je devais remplir la liste aujourd’hui, je cocherais presque toutes les cases en « je suis prête et veux essayer »…- Parfait, je vais te concocter une soirée sur mesure.
- A ta guise mon cœur. J’ai envie de sexe, envie de jouir et de t’exciter comme jamais. Pense à toi aussi…Rien que l’idée d’une nouvelle « surprise » suffit pour m’exciter. Je fis passionnément l’amour à l’homme de ma vie. Je suis devenue très cochonne…Il adore.