Seule contre tous

- Par l'auteur HDS Sarah0103 -
Récit érotique écrit par Sarah0103 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Seule contre tous Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2022 dans la catégorie Plus on est
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Seule contre tous
Les expériences vécues ces derniers mois avaient été aussi intenses qu’épanouissantes. Ma libido était à son apogée et notre couple revivait. La séduction, la connivence et l’érotisme faisaient maintenant partie de notre quotidien. Alexis et moi faisions l’amour avec envie, avec passion. On jouait à se surprendre, on pimentait nos relations de nos expériences passées ou de fantasmes encore à réaliser. Notre univers intime était magique. Le sexe m’avait révélée telle que je suis et plus jamais je ne refreinerais mes désirs, mes envies. Je me sentais bien, épanouie comme jamais.
Alexis et moi n’avions presqu’aucun tabou, il adorait me voir jouir avec d’autres, seul comptait mon plaisir…et le sien. J’avais mis longtemps à le croire, mais il n’était jamais aussi excité que lorsque d’autres me caressaient et me faisaient l’amour sous ses yeux. Vice, perversité, dépravation ? Peu importe, ce libertinage nous enflammait l’un et l’autre jour après jour.
Discutant un soir de nos envies pour les prochains week- end, il me demanda si certaines aventures m’avaient procuré davantage de plaisirs que d’autres.
À chaque fois j’avais joui sans retenue, mais il est vrai que certains orgasmes m’avaient littéralement anéantie. Dévastateurs, ils me procuraient de véritables transes et me laissaient dans un état second pendant de longues minutes. Ce scénario s’était répété quelques fois au cours des derniers mois…
- Qu’as-tu préféré ?
- Je ne sais pas trop, il y a plein de choses qui m’ont rendu folle.
- Comme quoi ?
- Quand plusieurs hommes me pénètrent par exemple…
- Tu parles des doubles pénétrations ?
- Oui, ça m’excite tellement que je suis incapable de me contrôler, mais j’aime aussi caresser leurs sexes tendus, les prendre en bouche, les sentir éjaculer en moi,…
- D’autres choses ?
- Me faire payer, jouer à la pute soumise est aussi très grisant.
- Tu aimerais réessayer ?
La discussion continua une bonne partie de la soirée et de fil en aiguille, je me rendis compte que ce dont j’avais maintenant envie était un vrai… Gangbang ! Certes, ce ne serait pas la première fois que plusieurs hommes en même temps profiteraient de mon corps, mais l’idée d’être seule, offerte à plein de mecs que je rendrais fou d’excitation me fascinait comme jamais. Ils payaient pour disposer de moi à leur guise ; je serais leur pute, leur chose, leur esclave sexuelle… Je voyais déjà leurs sexes tendus me pénétrer la chatte et le cul pendant que j’en lécherais un troisième…
- Rien que d’en parler, je suis trempée.
- Tu me laisses tout organiser ?
- Bien sûr, mais je veux que tu sois présent. Cela m’excitera que tu me regardes me faire défoncer par des hommes en rut…
- Et moi alors !
Comme à son habitude, Alexis pris rapidement les choses en mains et s’occupa de tout. Il ne lui fallut que 10 jours pour tout organiser.
- Voilà mon cœur, c’est ce samedi que tu seras la Reine d’un Gangbang organisé uniquement pour toi.
- Déjà, tu n’as pas trainé !
Il m’apprit qu’il avait posté une annonce sur le site libertin habituel disant :
Ma femme est une petite pute qui aimerais se faire baiser devant moi par plusieurs hommes sportifs, endurant et très bien membrés. Pas de tabou.
Champagne à volonté.
Participation de 300€/personne demandée.
Pour le samedi 15/10 entre 22h00 et minuit.
Les réponses avaient été nombreuses et une fois le tri opéré, Il n’avait gardé que quelques candidats correspondant à mes souhaits. Je n’en su pas davantage …
Le jour J arriva très vite … Je ne tenais plus en place !
Alexis s’était absenté toute l’après-midi afin de tout organiser et ne réapparu que vers 17h30 à la maison.
- Va te faire belle mon amour, je t’emmène au restaurant.
- Dois-je prendre une tenue spéciale pour après ?
- Non, je m’en suis occupé, tout est déjà sur place.
J’avais évidemment un peu le trac, mais tout en me préparant, celui-ci fit rapidement place à une certaine euphorie. Des picotements envahirent mon pubis et mon sexe s’humidifia en quelques secondes.
Comme à mon habitude, voulant plaire à mon homme, je choisis une courte jupe fendue et un chemisier décolleté entièrement transparent que je couvris d’un blazer. Côté lingerie, bas noirs autoportants et rien d’autre. Ce n’est qu’après avoir enfilé des escarpins à hauts talons que je réapparus devant lui.
- Tu es superbes, comme d’habitude.
- Merci mon amour, je sais que tu aimes quand je m’habille comme ça.
Ouvrant mon blazer, je lui dévoilai mes seins nus ostensiblement offerts sous le mince voile de ma blouse déboutonnée.
- Tu as les plus beaux seins du monde…
- Je te plais ?
- Tu ferais bander un mort…
Il s’approcha de moi, me caressa les tétons et m’embrassa alors que d’une main habille, au travers de son pantalon, je palpais son sexe déjà en érection …
Le trajet en voiture vers le restaurant fut aussi rapide qu’agréable. Une fois assise à ses côtés, ma tenue laissa apparaitre la dentelle de mes bas qu’il se mit à caresser. Provocatrice, j’écartais les jambes pour que ma jupe remonte davantage et laisse apparaitre mon pubis nu. Excité, il enfonça profondément ses doigts au fond de ma vulve et me masturba tout le trajet tant et si bien que, prise à mon propre jeu, le sexe trempé, j’étais prête à exploser lorsque nous arrivâmes…
Il avait réservé une table au fond du restaurant et comme il n’était encore que 19h, nous étions presque seuls dans l’établissement. Il y faisait assez chaud et les caresses prodiguées dans la voiture n’arrangeaient rien, j’étais en nage.
- Elève ta veste…
- Tu es trop drôle, je suis presque nue dessous !
- Tu peux au moins la déboutonner, comme ça j’en profiterai un peu.
Il est vrai que là où nous étions assis, avec la salle dans mon dos, je ne risquais pas grand-chose. J’ouvris donc mon blazer et Alexis héla un serveur pour qu’il vienne prendre commande de notre apéritif.
- Je crois que le service sera très attentionné ce soir…
Je ne m’étais pas rendue compte qu’en bougeant, mes seins volumineux avaient à ce point écarté les pans de ma veste qu’elle ne cachait plus grand-chose de ma poitrine.
- Tu aurais quand même pu me le dire !
- Certainement pas…
En fait, Alexis le savait, cela ne me dérangeait pas du tout. J’avais un côté exhibitionniste et jouer de mon corps pour attirer des regards libidineux faisaient rapidement naître en moi des désirs obscènes.
Nos flûtes de Champagne arrivèrent très rapidement et notre petit voyeur (plutôt beau gosse !) prit un temps incroyable à prendre notre commande… Il faut dire que je ne l’aidais pas beaucoup à se concentrer ! Tournée vers lui afin d’écouter ses suggestions, je lui offrais mes seins entièrement dénudés alors que d’une main innocente, je me caressais l’intérieur des cuisses, lui dévoilant ainsi un début de chair au-dessus de la dentelle de mes bas. Ne me quittant plus des yeux, c’est à contrecœur qu’il repartit une fois le choix des plats effectués.
- Tu es vraiment une petite garce…
- Je sais, je crois qu’il a apprécié le spectacle.
- J’en suis sûr, mais tu vas devoir attendre encore un petit peu avant de t’envoyer en l’air. Je ne voudrais pas que tu gaspilles ton énergie.
- Je te rappelle que c’est toi qui m’as excité tout le trajet…
Alexis me connaissait bien et savais qu’une petite séance de sexe improvisée ne m’aurait pas déplu...
Les plats arrivèrent à leur tour et, faisant mine d’une maladresse, je fis tomber ma serviette par terre. Se précipitant, le serveur s’agenouilla afin de la ramasser. Assise, pivotant vers lui, j’écartai les cuisses et lui exhibai ma chatte nue, humide de désir. Comme hypnotisé, il mit quelques secondes à se relever et ne put s’empêcher de me frôler la jambe d’une main hésitante avant de prendre congé. Le reste du repas passa à une vitesse folle et nos discussions à propos de la soirée à venir ne calmèrent évidemment pas mes ardeurs, que du contraire !
L’heure tournant, Alexis demanda l’addition, se leva et se dirigea vers les toilettes. J’étais donc seule à table lorsque le serveur apporta la note…
- Madame est très belle et Monsieur a beaucoup de chance.
- Toi aussi je crois…
L’ayant allumé tout le repas, il méritait bien une petite récompense; moi aussi d’ailleurs ! Je pris donc sa main, la portai sur mon sein et le laissai me peloter quelques secondes.
- J’adore vos seins, ils m’excitent…
- J’ai aussi la chatte trempée si tu veux essayer !
Il ne se fit pas prier et délaissa ma poitrine pour introduire un puis deux doigts dans la moiteur de mon sexe. Excitée depuis des heures, j’étais haletante…et lui en érection.
- Arrête, tu vas me faire jouir…et mon mari va revenir.
Ça ne l’aurait évidemment pas choqué, mais comme il n’en savait rien, obéissant, il retira ses doigts et me laissa.
De retour, pas dupe pour un sou, Alexis vit immédiatement à mon visage que j’avais encore profité de la situation.
- Tu es insortable. Une vraie nymphomane !
- Je sais, mais j’étais trop excitée… Et puis j’ai été soft, je me suis retenue.
- J’espère car la soirée ne fait que commencer.
J’expliquai en quelques secondes ce qui s’était passé et Alexis riait à l’idée que même s’il le racontait autour de lui, personne ne le croirait jamais. Il alla payer l’addition et nous quittâmes le restaurant.
Le trajet en voiture ne dura que quelques minutes et je reconnu immédiatement l’endroit vers lequel nous nous dirigions.
- Serge t’a prêté son appartement ?
- Oui, il est à l’étranger, mais rassure-toi, il ne sait pas précisément pourquoi. Il doit penser que j’ai une maîtresse sans doute…
Serge était un ami d’enfance d’Alexis qui avait particulièrement bien réussi dans la vie. Son appartement était en fait un immense loft duplex situé dans la banlieue de Bruxelles. J’avais toujours trouvé ce lieu impressionnant car tout y était beau, grand et cher ! L’endroit idéal pour une soirée de débauche…
Mon homme avait comme à son habitude tout prévu et sorti des frigos de grandes vasques remplies de bouteilles de Champagne. Je bus deux flûtes bien remplies en quelques minutes pour me mettre à l’aise car s’il est vrai que, perverse, j’avais vraiment envie de cette soirée, c’était tout de même une expérience impressionnante que d’être le jouet de plusieurs hommes pendant deux heures… Qu’allait-il se passer, combien seraient-il, serais-je à la hauteur, … Je n’avais à cet instant aucunes réponses à mes questions, mais mon bas-ventre ne me trompait pas. La chatte en feu, j’étais prête à me donner.
- Regarde mon cœur, je t’ai aussi acheté quelques jouets…
Alexis se dirigea vers une table basse du salon et y ouvrit une grande boîte remplie de tout ce dont une « petite pute » d’un soir pouvait rêver ! Une série impressionnante de vibromasseurs et godemichets de toutes tailles côtoyaient des plugs anaux, des menottes, des liens, … qui rien qu’à leur vue, me firent me trémousser sur place ; je les imaginais déjà au fond de moi et espérais que la soirée démarrerait très vite ; mon sexe le réclamait !
- Il est temps que tu ailles te préparer mon cœur, tes invités seront là dans 15 minutes.
- Que dois-je mettre ?
- Va voir dans la chambre, ta tenue est sur le lit…
Ouverte sur une magnifique salle de bain, la chambre se trouvait à l’étage. Aussi grande que dénuée de meubles, seul un immense lit trônait au milieu de la pièce. Je saisis le sac qui m’était destiné et l’ouvris avec curiosité.
Tout en cuir effet « wet-look », d’immenses cuissardes noires et un corset seins-nus assortis constitueraient donc mon déguisement… Cinq minutes plus tard, je m’admirais dans le miroir tout en attachant les jarretelles du corset à ces hautes bottes qui me couvraient jusqu’en haut de cuisses. Très pute, exhibant ma chatte rasée, mes fesses et mes gros seins déjà gonflés de désir, je redescendis dans le salon.
- Waouh, j’aurais dû demander plus de 300€…
- Tu m’as gâtée, j’ai l’impression d’être une actrice de film porno.
- Tu voulais jouer à la pute, non ?
- Oui et je me trouve parfaite… (rire)
- Et il te manque encore un petit accessoire…
Il se dirigea vers la boîte à sextoys et en sorti un plug anal en métal dont l’extrémité était faite d’un bijou couleur émeraude…
- Mets-toi à quatre pattes mon cœur, j’ai envie de te voir avec ça dans le cul…
- Tu es un vrai pervers.
- Oui…et je sais aussi ce que tu aimes.
Très excitée, la chatte déjà mouillée, j’obéi et me mis en levrette sur l’épaisse moquette qui recouvrait tout le salon. Accroupi derrière moi, il m’enfonça ce joujou dans le sexe afin de l’enduire de cyprine alors que sa langue experte s’insinuait dans mon anus afin de le lubrifier. Dix seconde plus tard, il me violait les reins et m’arrachait un râle de plaisir.
- C’est trop bon, j’adore avoir quelque chose dans le cul, ça me rend dingue.
- Alors je suis certain que ta soirée sera bonne…
Toujours à quatre pattes, le plug enfoncé en moi, je me mis alors à marcher telle une chienne en lui exposant mon petit trou joliment décoré… Chaque pas me prodiguait une sensation exquise et je mourrais déjà d’envie de jouir. Me relevant, il entra encore plus profondément et me fit à nouveau gémir ; il fallait que je me calme !
- Et si tu m’expliquais comment ça va se passer ?
Il n’y avait en fait pas vraiment de scénario prévu, la seule chose qu’Alexis me demandait était de les accueillir et, en parfaite maîtresse de maison, de leur servir à boire. Après, ils feraient chacun à leur guise… Lui me filmerait.
- N’oublie pas que tu es leur pute ce soir.
- Je sais, c’est ce dont j’ai envie… je ne tiens plus en place.
- Tu ne veux toujours pas que je participe ?
- Non, ce sera ton supplice. Tu me regarderas me faire pénétrer par tous les trous…. Ça m’excitera !
- Ça va me rendre dingue, mais j’aime te voir te faire baiser.
Quelques instants plus tard, la sonnette de l’appartement retentissait. Curieuse et pressée que la soirée commence, je me précipitai vers la porte et l’ouvris. Perchée sur mes immenses cuissardes, mon corps entièrement offert, je découvris cinq hommes tous vêtus de costumes noirs.
- Entrez messieurs, je vous attendais avec beaucoup d’impatience…
M’examinant avec envie, ils entrèrent l’un après l’autre, se présentèrent par leurs prénoms et m’embrassèrent comme si on se connaissait depuis toujours. L’ambiance était évidemment un peu étrange, mais le sexe bouillonnant depuis de nombreuses heures, je ressentais du plaisir à m’exhiber devant eux. C’est donc le bas-ventre en ébullition que je commençai à leur servir du Champagne. Acceptant leur flûte d’une main, de l’autre ils m’effleuraient un sein, une fesse ou la chatte. Leur rendant leurs caresses, je palpais leurs pénis déjà tendus au travers de leurs pantalons…
Quelques verres plus tard, je ne maîtrisais déjà plus rien. Me serrant contre eux, ils jouaient avec mon bijou anal, m’embrassaient à pleine bouche, me pelotaient outrageusement les seins ou enfonçaient leurs doigts loin dans ma chatte sans que je ne sache plus dire qui faisait quoi. C’était grisant, je me sentais euphorique.
Ils se déshabillèrent très vite et je me rendis compte qu’une fois de plus, Alexis avait pensé à moi, à mon seul plaisir. Musclés, ils ressemblaient aux Dieux du Stade et étaient particulièrement gâtés par la nature.
Je me mis à genoux et, passant ma langue sur mes lèvres ouvertes, leur fis comprendre que j’avais envie de les sucer. Ils me rejoignirent…
Entourée de ces énormes pénis qui ne bandaient que pour moi, je me mis à les lécher à tour de rôle. D’une langue experte, je léchais leurs glands ou leurs testicules, lapais leurs verges de la base à l’extrémité et, une fois inondé de salive, les faisais entrer au fond de ma bouche…
De plus en plus excité par mes caresses buccales, ils reprirent très vite le contrôle de la situation. L’un après l’autre, me tenant fermement par les cheveux, ils forçaient l’entrée de ma bouche et y enfouissaient leurs membres et se relayaient ensuite dans chacune de mes mains afin que je les masturbe.
Docile et entièrement asservie, m’occuper de trois gros sexes simultanément me rendait dingue. Toujours à genoux, mouillant comme jamais, je sentais ma cyprine se répandre entre mes cuisses entre-ouvertes… Nous étions tous les six en rut !
Après plusieurs minutes de fellations, ils m’entrainèrent vers l’immense canapé de cuir…
Le premier installé me pris par la taille et m’empala de force sur lui. Cette pénétration brutale me fit hurler de bonheur tant sa verge imposante entrait profondément en moi. Assise de dos, le vagin comblé et entièrement dilaté, mon étalon du moment me faisait brutalement bouger d’avant en arrière alors que les quatre autres profitaient de mes gros seins qui balançaient en tous sens. Pour mon plus grand bonheur, j’étais tout à la fois caressée, pelotée et pénétrée. Plus excitée que jamais, j’étais déjà au bord de l’explosion lorsqu’ils s’interrompirent.
La suite fut d’une rare intensité. Ils avancèrent mon bassin jusqu’au bord du canapé et, me laissant à moitié couchée, les jambes largement écartées, commencèrent à me défoncer comme une pute. Dégoulinante, je n’étais plus qu’un trou dans lequel, malgré leur taille, cinq gros phallus s’engouffraient à tour de rôle …comme dans du beurre.
A chaque pénétration, je sentais leur sexe frotter intérieurement contre le plug anal toujours planté au creux de mes fesses ; ça me fit décoller en quelques minutes. Haletante et gémissante, je sentis l’orgasme arriver de très loin. En état de transe, les yeux révulsés par le plaisir, je tremblais, criais et rependais ma semence partout sur celui qui, malgré mon état, continuait à labourer ma chatte.
- Laissez-moi quelques instants, je n’en peux plus !
- Tu rêves ma belle, on n’a pas fini avec toi…
J’aurais voulu qu’ils s’arrêtent afin de me laisser récupérer, mais ils n’en firent rien !
Voyant que j’essayais quand même de me dégager quelque peu, ils me retournèrent de force. Les genoux par terre, ils me maintenaient le torse sur l’assise du canapé, le cul entièrement offert à leur bon vouloir…
Ecartant mes jambes, un premier homme se plaça derrière moi et retira mon plug avec précaution avant de cracher à plusieurs reprises sur mon anus encore dilaté. Il y posa ensuite son gland et en força sans peine l’entrée jusqu’à s’y être totalement introduit. Je criais de plaisir et de douleur mêlée… C’était la première fois qu’un membre aussi large et aussi long s’enfouissait au creux de mes reins et il ne fallut que quelques pénétrations très profondes pour que, malgré mon récent orgasme, renaissent en moi l’excitation et l’envie de jouir. Comme ailleurs, étourdie par le désir, je me laissais faire et profitais de cette barre d’acier qui m’arrachait de nouveaux gémissements de plus en plus obscènes à chaque mouvement.
- Vas-y, lâche-toi dans mon cul, j’ai envie de sentir ton sperme gicler !
Me tenant fermement par les hanches, il accéléra le mouvement et cet intense va et vient de plus en plus bestial l’emporta rapidement. Grognant de plaisir, le sexe gonflé, je le sentis se lâcher...Dans un dernier sursaut, il s’enfonça aussi loin que possible et, tremblant, comme fou, déversa des flots de semences qui m’inondèrent l’anus ; c’était bon...
Quelques secondes plus tard, il était déjà remplacé par un autre qui me retourna sur le dos, souleva mes jambes et les poussa vers mes épaules afin de dégager mon anus dans lequel il entra sans ménagement...ni difficulté !
- Tu aimes te faire défoncer le cul, tu es une vraie salope !
- Oui, j’adore et je veux que ton sperme dégouline de mon anus.
J’adorais me faire sodomiser comme une chienne, cela me rendait dingue. Surexcitée, salace et obscène, je l’encourageais à me pénétrer aussi loin que possible. Il grognait de contentement chaque fois que sa queue bien serrée s’engouffrait au fond de mes fesses et il ne put se retenir très longtemps.
- A qui le tour ? Vous n’avez plus qu’une demi-heure pour me baiser !
Déchaînée, je les narguais et désirais qu’ils jouent avec moi, avec leur chose, avec leur pute ... Je rêvais d’une double pénétration !
- N’est-il pas temps que vous vous y mettiez à deux ?
- T’es vraiment une garce, jamais rassasiée !
Ne se faisant pas prier, l’un d’eux s’assit, m’attira sur lui à califourchon et engouffra d’une traite son membre tendu dans ma chatte. Déjà gémissante, je me caressais les seins et les lui faisais lécher à sa grande satisfaction. Je voulais le rendre dingue ...nous rendre dingue !
Je ne rêvais déjà plus que d’orgasme lorsque je sentis une main appuyer sur mon dos afin que je m’incline vers l’avant. Obéissante, je m’abaissai jusqu'à effleurer de ma poitrine le torse de mon amant ...et offrir mon anus à un nouvel assaut. Le cul encore plein de sperme, la pénétration fut aussi douce qu’agréable et m’arracha de petits cris de plaisir ; je profitais de cette exquise sensation et finis par arroser mes prétendant lors d’une interminable jouissance…

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