Cocu, mais content...

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Cocu, mais content... Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(8.5 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Cocu, mais content...
Comme c’était prévu depuis quelques jours pour fêter notre anniversaire de mariage, j’ai décidé d’emmener ma femme au restaurant. Pour la circonstance elle s’était habillée très sexy. Robe courte bas noirs. Talons aux pieds. À notre sortie du restaurant, pour finir la soirée ma femme m’a proposé d’aller nous rendre au cinéma. Mais comme j’avais prévus autre chose pour j’ai décliné l’offre. Lui proposant qu’il soit mieux que nous entrions.
Elle a comprit tout de suite son centre d’intérêt et a accepté l‘invite. Surtout que ces derniers temps nos rapports sexuels se sont fait rare. J’étais dans un tel état d’excitation que j’ai rallié des deux points dans un temps record. Me créant mentalement le déroulement de la soirée.
Une fois à la maison, je lui ai proposé une coupe de champagne que j’avais un peu plus tôt dans l’après midi mis au réfrigérateur pour que la bouteille soit bien frappée Comme j’ai fait prévoir de faire garder les gamins par leur grand-mère. Au lieu de faire venir une baby-sitter jusqu‘à chez nous. Je désirais plus que jamais me retrouver en tête à tête avec mon épouse.
À mon retour avec la bouteille et verres en mains, elle se tenait sur le canapé, assise dans une position provocante. Un pied sur un coussin l’autre au sol. Elle avait parfaitement compris le message.
Après seulement trois coupes, elle s’est complètement lâcher. Au point de se débarrasser de sa robe sans que je le lui dise. Comme quoi l’alcool ne fait pas que du mal. Elle m’est apparue en body noire transparente. Elle avait toute l’air d’une pute revêtue de la sorte. Mais je me suis bien gardé de lui dire. Cela l’aurait offusqué. Elle une pute ? Non ! Une salope ? Oui… Et moi j’aime les salopes… J’étais tout de même admiratif. Surtout que ce n’était pas son genre de s’habiller de la sorte. Elle s’était surpassée pour l‘occasion. Et c’était tant mieux pour ce que je m’attendais à lui faire subir. L’étoffe de sa tenue était si fine qu’elle ne dissimulait ni sa toison, ni ses tétons. Elle était indécente, j’étais scotché.
Je suis resté un moment enthousiaste devant ce qu‘elle m‘offrait. Puis toujours sans que je lui impose, elle a dénudé les deux seins. Qu’elle a recueillis, aguicheuse dans ses mains. Et puis tout en ondulant elle s’est caressée le ventre, les cuisses. Elle s’est tournée, me donnant son dos et elle s’est baissée jusqu’à toucher le sol m’offrant une vue plongeante sur son fessier ainsi que sur la moule de sa chatte. Elle en a profité pour faire sauter les pressions du body se trouvant dans son entrejambe. Puis elle s’est redressée. D’un geste leste elle s’est déchaussée. Faisant valdinguer ses escarpins dans chaque coin de la pièce. Puis en m’affrontant du regard, aguicheuse, elle a posé un pied sur le divan pour faire glisser le bas du body le long de sa jambe. Dans sa position très suggestive, pas un détail de son intimité ne m’échappait.
Puis ce fut au tour de son autre jambe. Ceci fait elle a frotté son body contre la fente luisante. Essuyant les sécrétions. Elle en fit de même avec la raie de son cul. Après cette opération fait, elle me l’a jeté à ma figure.
J’ai pris le temps d’humer, avant de lui proposer d’aller dans la chambre.
- Pourquoi ? Nous ne sommes pas bien ici ? Me fit-elle.
- Je préfère le confort du lit. Répondis-je en me déboutonnant la chemise.
- Si cela est ton souhait, alors j’accepte. Répliqua-t-elle, en s’apprêtant de gravir les marches, je l’ai rattrapé par le bras.
- Que t’arrive-t-il ? Tu ne veux plus monter ?
- Plus que jamais. Mais j’ai comme une envie de te bander les yeux.
- Ah oui ? Fit-elle, avec un sourire en coin. Tu t’apprêtes à me faire des choses que je ne dois pas voir ?
- Oui c’est ça, répondis-je en lui bandant les yeux avec le foulard qui traînait comme par hasard sur le dossier d’une chaise. Comme quoi le hasard fait parfois bien les choses… Je l’ai aidé à gravir les marches. J’ai senti les battements de mon cœur jusque sur ma queue. Une fois dans la chambre j‘ai pincé très fort ses tétons. Elle était dans un tel état d’excitation que je me suis m’autorisé à tout faire avec elle. Même à lui susurrer des mots très, très crus à l’oreille. Elle s’est laissé faire faire comme une poupée de chiffon. Complètement vulnérable. Puis le silence s’est installé dans la pièce. Seulement interrompu que par nos respirations.
D’elle-même, elle s’est allongée sur le lit. De l’orifice de son vagin s’est écoulé un flot épais de jus qui s’est répandu jusqu’à son entre fesse et a goutté sur le couvre lit. Tout en haut, plus foncé, presque violacé, le clitoris a pointé hors de son capuchon de peau brune.
Ne tenant plus, je me suis jeté sur elle. Mes doigts ont trouvé un sexe ouvert. Se poissant d’un liquide gluant. Elle était tellement excitée qu’il m’a fallut que quelques caresses pour qu’elle soit en proie d’un violent orgasme. J’ai continué de la masturber, jusqu’elle soit rattraper peu de temps après par une seconde jouissance. Qui la fit se relâchée totalement, et sa vessie se vider. Souillant le couvre lit de son urine.
Je me suis allongé sur le lit, la faisant de positionner au-dessus de moi, dans une position de 69. En tendant le bras, je me suis saisis du gode qui par hasard se trouver sous mon oreiller, et sans aucune retenue je l’ai introduit entre ses lèvres intimes. Elle fut à peine surprise. À part peut-être par le contact froid de l’objet. Mais très vite elle s‘y fit, le réchauffant même, ne tardant pas de gémir sous son bien fait.
Chaque fois que j’ai ressortis le gode, je me suis arrangé pour qu’il vienne caresser délicatement son bouton tardé. Elle n’a pas pu se retenir d’extériorisé son plaisir, comme une chienne en rut.
- Oh c’est bon ! Encore… oui… encore… Elle s’est aussitôt mise à me pomper la verge tout en agrémentant cette caresse d’un mouvement de vrille du poignet. J’en ai profité pour préparer son trou du cul. En introduisant deux doigts enduits de sa mouille pour lubrifier le conduit. Elle a gémi de plus belle.
- Vas-y défonce-moi ! Laboure-moi la chatte et le cul… Je l’ai branlée longtemps, alternant les coups violents et les pauses. Elle m’a supplié d’aller plus vite, plus fort. Parfois elle m’insultait.
- Baise-moi salaud, encule-moi salaud ! Qu’est-ce que tu attends ?
Son anus était plus que souple. Au point d’y enfoncer sans mal deux autres doigts, en les plaçant en gone. Ma femme a remué son popotin, excitée.
- Comme tu es cochon ! Tu me tripotes le cul comme le ferait un vieux vicieux.
Après chaque phrase lâchée elle me reprenait en bouche pour mon plus grand plaisir. J’ai prolongé la branlette vaginale et anale. Un constat est venu à moi. Elle mouillait pas mal aussi de ce côté-là.
C’est l’instant que j’ai choisis pour faire signe à Bruno de sortir de sa cachette et venir nous rejoindre. Pour ne pas éveiller l’éveil de ma femme, ce dernier à prit toutes les précautions souhaité pour grimper sur le lit et par la même occasion approché au plus près sa verge bandée du trou balle de ma femme. J’en ai profité pour retirer le gode de sa chatte, et mes doigts du cul. Ce dernier est resté ouvert comme s‘il réclamait quelque chose d‘autre à avaler. T‘inquiète ! Fis-je comme pour moi-même, patience cela va suivre. Et d‘un coup sec j‘ai emmanché le gode dans le fion. Allant et venant dans un rythme immodéré. C’est qu’elle aimait ça la salope. Et en redemander. J’ai retiré la verge factrice et Bruno a tout de suite prit le relais. Comme s’était convenu. S’enfonçant d’un seul coup de reins. Et reprenant à son compte, le rythme que j’avais exercé sur le gode. La chair des fesses se plissait à chacun des aller et venues. Ma femme s’est cambrée le plus possible pour faciliter encore plus la pénétration.
- Encore plus fort mon chéri… qu’il est bon ton gode… La preuve qu’elle n’avait vue que du feu au changement de partenaire. Je pense le l’alcool en était pour quelque chose.
Juste au-dessous, sous mes yeux les lèvres de son vagin s’épanouissaient. Laissant voir l’intérieur rouge et humide de la vulve. Cela prouvait dans quel état d’excitation où elle se trouvait. Elle n’était que jouissance, faisant virevolter sa langue autour de ma queue à un rythme effréné, suçant léchant aspirant sans répit.
Là-haut, au dessus du cul de ma femme, le bougre mettait du cœur à l’ouvrage. Accélérant ses coups de reins. J’ai regardé son sexe sortir et entré avec un œil d’un spectateur privilégié. Les coups étaient si puissants qu’elle a dû lâcher mon sexe pour ne pas s‘écraser sur le lit. La voir aussi déchaînée me rendait fou d’excitation. Au point de coller ma bouche contre son vagin.
Elle n’était plus que jouissance. Tout en la suçant, je voyais les couilles de mon pote s’écraser contre les fesses de ma femme. Qui sous son emprise de la jouissance lâchait des mots qu’une mère de famille devait s’abstenir de dire. Tant le plaisir qu’elle a ressentit à cet instant était fabuleux.
Pour ne pas se faire prendre, Bruno s’est retiré avant de jouir à l’intérieur. J’ai abandonné le sexe de ma femme pour prendre la bite de mon copain en bouche. Enivré, j’ai pompé aussi bien que je le pouvais. L’orgasme qui l’a ravagé avait été à ses dires l’un des plus forts de sa vie. Un véritable feu d’artifice, avait-il ajouté.
Ma femme a eut du mal à se retirer de la position qu’elle tenait. Tant ses muscles étaient endoloris.
- Une coupe de champagne ? Lui proposais-je.
- Pourquoi pas.
Je me suis rendu jusqu’à la cuisine. Sur la table américaine se tenait le trousseau de clé qui avait servis à Bruno à pouvoir entrée le lieu. J’ai verrouillé la porte et puis je suis allé rejoindre ma femme dans la chambre avec dans chaque mains une coupe de champagne.
Ce petit manège a eu pour but de m’intéresser de nouveau à ma femme. Comme quoi il y a du bon à être COCU…

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