COLLECTION VENGEANCE. L’attaque la suite (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION VENGEANCE. L’attaque la suite (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-06-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. L’attaque la suite (1/1)
Quand je suis allée vers la place Pigalle rechercher une queue noire, ce que je fais depuis la naissance de mon fils mais surtout l’attaque qu’a subit John mon mari, noir américain, j’ai reconnu une voiture rouge à l’aile enfoncée.

John, lui je l’ai connu en me rendant à une exposition à New York d’un peintre de Houston au Texas.
Il était grand, beau, la trentaine et même légèrement plus alors que moi la petite française j'étais encore vierge à 22 ans.
J’étais là-bas pour mes études sur l’art, donc aller voir les expositions c’était tout à fait normal.
Perde mon pucelage dans sa chambre d’hôtel suivi d’une période où il est retourné dans son pays avant que je ne le retrouve dans l’avion me ramenant en France mes études américaines terminées, ça n’était pas prévu.

On dit toujours qu’il faut que le garçon vous demandant en mariage le fasse en trouvant une façon originale.
John l'a fait en s’agenouillant dans l’allée de l’avion avant de s’asseoir à mes côtés, il avait réservé la place voisine de la mienne sans me le demander.
À Paris, ce sont mers parents qu’il a séduits bien qu’au début, pour maman, voir sa fille vivre à Paris avec un homme de couleur a été légèrement difficile à avaler.

John est déjà venu à Paris et après m’avoir épousé, il m’a installé dans son atelier dans le Marais qu’il possède depuis ce premier voyage.
Le soir de notre anniversaire de mariage, nous avons dîner dans un bouchon près de la Seine.
Cherchant à rejoindre notre nid douillet par des petites rues, dans un premier temps, j’entendais une voiture nous suivre.
Me retournant j’ai eu le temps de voir trois gars au crâne rasé avec des marcels montrant leurs muscles, mais surtout une batte de base-ball que portait l’un d’eux et qui lui a servi à massacrer mon mari le laissant pour mort.
Un coup dans le dos quand il a voulu me protéger le contraint à rester dans une chaise roulante mais lui permettant de créer ses toiles qui se vendent extrêmement bien.
John que j’admirais à New York dans sa période dite bleue, peint en ce moment des toiles que les critiques appelleront noir.
Ce n’est pas que ce n’est pas harmonieux, les études que j’ai faites me donne un grand pouvoir d’harmonie dans mes jugement, mais ce noir qu’il étale sur des toiles gigantesques me donne le cafard.
Dans cette petite rue, John étant hors de combat, j’ai bien cru que ces trois garçons allaient me violer, il n’en fut rien.
C’est ce que j’ai dit aux policiers qui sont intervenus à l’appel d’une riveraine ayant entendu mes appels au secours.
Certainement pris par le temps, ils se sont contentés de me couvrir de leur sperme en se masturbant sur moi.
À l’hôpital ou nous avons été conduits, les médecins ont récupéré des particule de sperme même séché afin dans extraire l’ADN.
Les policiers ont reçu les résultats, quatre ADN, quatre profiles les interrogeant.
Dans mes déclarations je parlais de trois hommes qui nous avaient attaqués.
Ils m’ont convoqué et rouge de confusion j’ai été obligé de leur avouer qu’avant de quitter l’atelier de John, je lui avais fait une petite fellation me souvenant qu’un jet au moment ou il avait éjaculé était venue sur ma lèvre supérieure.
J’avais seulement passé ma langue pour récupérer le maximum de la semence de mon mari.
Ils ont récupéré des cellules dans sa bouche, analyse faite, même s’ils se sont bien marrés me laissant rouge de confusion, s’était bien lui le quatrième.
Dans un premier temps avouer que je pompais John, était humiliant, ils n’avaient pas besoin de connaître nos pratiques sexuelles.
Le deuxième point que j’ai appris c’est que les trois autres profilent n’étaient pas répertoriés dans la base des délinquants.

La nature a ses exigence et ses surprises, je perdais l’usage de la queue de mon homme mais je récupérais un joli bébé métissé.
La nature ne peut pas tout et John a dès le début rejeter notre fils comme s’il lui reprochait d’être devenu une moitié d’homme.
La nature a ses exigences et c’est dans les jours qui ont suivi que je suis sortie pour la première fois à la recherche d’une queue qui m’apporte ce que l’attaque contre John me privait.
Noirs, elles sont toutes noires jusqu’à ce soir ou près de Pigalle.
Arrêté à un feu rouge, je remarque une voiture rouge avec à son volant un crâne rasé ressemblant étrangement à la salope qui m’a privé de l’homme que j’ai connu qui me comblait.
J’ai un esprit vif, à ce jour la police n’a pas réussit à coffrer ces pourris et j’ai à porter de main l’un de ces pourris.
J’ouvre la portière et je m’assoie à ses côtés sur la banquette avant.

- Je ne suis pas un taxi mademoiselle.
- Je le sais, mais tu es l’un des garçons que je ne remercierais jamais assez de m’avoir débarrassé du mec à la queue noire avec qui j’étais quand avec ta batte tu l’ais démantelé.
Roule c’est vert.
- Je dois reconnaître que je me souviens de toi, avec le sperme en moins, mais pourquoi je t’ai rendu service.
- Roule, c’est de nouveau vert.
As-tu entendu parler de la queue des noirs ?
John le mec que tu as massacré en avait une énorme c’est pour ça que j’était avec lui.
Le lendemain je me suis fait une queue blanche comme la tienne.
Je me suis aperçu que lorsqu’un mec savait s’en servir, blanche ou noir, c’est du pareille au même.
Et toi comment tu t’en sers.
Roule c’est vert.

Le long du métro de Barbès ou nous nous trouvons, les feux rouge se succèdent.
Il se demande certainement ce que je lui veux à part le remercié de l’avoir soi-disant libéré des queue de blacks.
Je lui mets la main sur le sexe, ça semble le rassurer et je sens que je le fais bander.

- Et tes copains, tu les vois encore ?
- Je vais les rejoindre, j’étais venu dans la zone voire un copain.
- Vous habitez où ?
- Nous squattons une vieille maison à Créteil, nous vivons de l’air du temps.

C’est ainsi que quelques minutes plus tard, il fait entrer sa voiture dans la cour d’une bâtisse tombant en ruine.

- Voilà c’est chez nous provisoirement, les enfants d’une vieille qui habitait là se déchire pour l’héritage et ça nous permet de vivre sans trop de souci.
Salut les mecs, vous ne devinerez pas qui je vous amène.
- Une pute, Louis, tu nous amène une pute, ne me dit pas qu’avec l’argent récupéré près de notre fourgue tu te paye une salope.
- Alain, regarde bien et ferme ta grande gueule, mademoiselle tu l’as connu tu la même arrosé de ton sperme dans une petite rue du marais.
- La salope avec son noir, celui-là tu ne l’as pas loupé, il se traînait au sol en appelant sa maman.
- La salope s’appelle Isabelle, j’ai quitté mon black comme tu dit et depuis je suis revenu dans le droit chemin des queues blanches.
Vous vous rendez compte, quand j’ai vu Louis à Pigalle, j’ai revu vos queues qui me faisaient fantasmés, je rêve de les avoir dans ma bouche l’une près l’autre.
- Je te disais bien que c’était une salope, viens la Isabelle, je serais le premier.
- Je me souviens, c’est toi qui as dit que tu ne mettrais pas ta queue dans la bouche de celle qui se faisait un chocolat.
- Je disais ça car nous étions pressés, surtout quand je vois ton petit cul dans ton short moulant, l’autre fois on aurait dit une none.

Il est vrai que je suis devenue une autre alors que dans cette rue, j’étais habillé classique pour une jeune femme de bonne famille.

- Je vais vous mettre d’accord, sortez-moi vos bites, je vais vous sucer en même temps.

Sucer, je le fais fréquemment depuis que John est incapable de me satisfaire.
Pour la première fois, j’ai à quelques centimètres de ma bouche les trois verges que dans la lumière des phares j’avais vu se masturber sur moi.

- C’est moi qui la baise le premier.

Qui a dit ça, ou va me conduire ces trois mecs qui me donne envie de vomir même si mon corps aime se faire prendre chacun leur tour, à deux et même les trois dans mes intimités.
Dans ma quette de sexe quand je laisse John sachant qu’il ne bougerait pas, j’ai pratiqué la sodomie.
Le black ramassé dans un bar en avait une plus grosse que celle qui m’avait mis une bague au doigt.
Dans l’atelier nous faisons chambre à part, comme ce soir, mon alliance est posée sur ma table de nuit, je la retrouverais au matin quand je me coucherais dans l’attente de l’infirmière.
Depuis que je viens voir mes trois petites bites en général le samedi, j’ai appris à les connaître.
Ils m’ont avoué la semaine suivante qu’ils s’étaient planqués pendant trois jours pensant que j’allais leur amener la police.
Dans ma tête, j’ai déjà mon plan, je vais me venger, mais l’heure n’est pas encore venue.
Louis m’avait ramené à Paris 1er devant un passage dont je suis ressorti dans le 2ème pour prendre un Hubert que j’avais appelé.
Je voulais éviter que les garçons me suivent et découvrent que j’étais toujours avec mon mari même s’il était incapable de me satisfaire.
Le samedi, la voiture était là, ils ignoraient les deux entrées et pendant plusieurs semaines nous avons répété le manège.
Cons comme ils l’étaient de vrais taches, chaque fois je me faisais baiser et je prenais un peu plus de place.
J’ai même appris qu’ils vivaient de cambriolages et que lorsque j’avais vu Louis à son feu rouge il venait de chez leur fourgue qui avait récupéré les bijoux.
Quand j’étais là, j’étais leur femelle, mais aussi leur cuisinière, moi qui n’avais jamais cuisiné laissant cela à notre femme de service qui venait tous les jours à l’atelier.
Ça allait me servir me soir, manquant me faire prendre au dernier moment de mon action quand Boris l’un des trois est venue derrière moi pour me prendre appuyer sur le plan de travail.
Comme les deux autres, il s’est endormi avec la dose de somnifère que je leur avait mis dans leur boissons.
C’est sur les matelas ou ils dormaient que je les ai tirés.
Dans le garage, le bidon d’essence était là ou je l’ai déposé hier alors qu’ils étaient partis.
De la cave au grenier sans oublier leurs couches, je les ais arrosé avant de sortir en craquant une allumette.

Pourquoi c’est ce soir que de la chambre d’hôtel en fasse de la villa en feu, je les regarde passer de vie à trépas.
En plus de du bidon d’essence je suis venue récupérer les codes et la carte de cette chambre en libre service.
Jolie feu de joie au point qu’en les regardant cramer, je me masturbe.
Les pompiers sont venus mais quand tout s’est écroulé surtout le toit, je savais que j’avais vengé John.
Ça m’a été confirmé quand j’ai quitté la chambre redevenue la bourgeoise dont j’avais parlé à mes trois amants.
Trois civière était mis dans des ambulances, je pouvais monter dans mon taxi direction Roissy.

- Papa, maman, merci de m’avoir amené John et John junior.
On est bien d’accord, dans quelques semaines quand papa sera à la retraite vous nous rejoignez à Houston dans le ranch que possède mon mari et ou il a son atelier principal.

Voilà, pourquoi c’est ce soir que j’ai cramé ses salopard, John reprenant le dessus moralement a fini sa période noir, il attaque une période ou il veut peindre des animaux.
Or nous en avons dans notre ranch entretenu pas un couple dont je vais faire leur connaissance.
John junior, il commence à s’y intéresser.
Je viens de m’installé dans cette maison ancestrale ou je sens que je vais couler des jours heureuses.
Sur Internet, j’ai pu lire des articles sur le feu de joie que j’ai allumé.
La police s’oriente vers un règlement de compte avec un fourgue qu’ils auraient cambriolé la veille de mon incendie.
Il n’a pas d’alibi.

Bien, je vous quitte, John est couché, John junior chez les gardiens du ranch pour la nuit.
J’ai mon permis et une grosse voiture américaine, je roule vers le centre de Houston, ne suis-je pas au Sud des états Unis dans une ville ou les blacks sont légion.
Je sens la nécessité de revenir à mes amours du début de ma vie de femme.


Corrigé par Anne, merci.

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