Comme maman avant moi.
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Comme maman avant moi.
Je sortais du parking après ma journée de boulot quand une jeune fille s’approcha alors que j’attendais que le feu passe au vert. Une de ces filles longues et minces, sur un corps souple comme une liane, qui me donner l’impression de marcher sur un nuage. Des lèvres pulpeuses, avec de grands yeux en amandes, de couleurs clairs, assez maquillée, avec des cheveux mi-longs, très beaux, très soyeux aussi dont une grosse frange lui tombait sur les yeux.
Comme elle toqua à mon carreau, je m’obligeais à baisser la vitre. Et tout de suite elle se pencha vers moi. J’admirai son décolleté qui découvrait largement sa poitrine. Avec un grand sourire elle me lança : - Vous prenez pas au hasard la direction de M…?
- Bien sûr que oui. Je passe même à côté pour rentrer chez moi.
- Et cela vous dérangerez de m’y déposer.
- Ce serait un plaisir de vous rendre ce service.
Elle me remercia avant de contourner le véhicule pour prendre place sur le siège passager.
- Cela vous ennui que j’ouvre un peu plus ma doudoune. Me lança-t-elle après quelques kilomètres.
- Faite donc. Répondis-je.
Un œil sur la route, je regardais tout de même discrètement ma passagère faire descendre le zip de sa fermeture éclair jusqu’au bas de sa doudoune. Ce fut seulement à cet instant que je remarquais qu’elle portait une minijupe en jean. Elle profita de mon émois pour ouvrir largement ses jambes, ce qui eut pour effet de faire remonter l’ourlet de tissu très haut sur ses cuisses. Je restais sans voix.
Me contentant d’humer son odeur. Un parfum d’une sensualité étonnante. D’une voix douce et légèrement traînante, elle lâcha qu’elle se nommer Viviane. Pour ne pas rester en reste je me présentais à mon tour. Sans raison, Elle me donna une bise sur la joue. J’étais étonné par la tournure que prenaient les choses.
Au bout de quelques kilomètres elle laissa tomber.
- Je vous connais ?
- À oui et d’où ?
- Vous connaissez Fabienne ?
- Je devrais ?
- Oui ! C’est ma mère.
- À oui !
- Vous avez même coucher avec elle.
Quand je vous disais que ça prenait une drôle de tournure.
- Et je peux savoir de qui tu tiens cela.
- Je t’ai vue.
- Tu m’as vue ? Passant moi aussi au tutoiement.
- J’étais en train de dormir quand je fus réveillé par de drôle de bruit. Le m’étais redressé sur mon lit pensant avoir rêver quand les bruits persistaient. Croyant ma mère souffrante, je suis sorti du lit, puis de ma chambre et je me suis dirigé jusqu’à la porte de celle de ma mère. Les bruit venaient de là. J’ai ouvert la porte et je vous ai vue.
- Et bien ! C’est pas bien d’espionner sa mère.
- Et tu sais quoi ?
- Non mais je pense que je ne vais pas tarder à le savoir.
- Eh bien je me demandais pourquoi ma mère gémissait tellement avec toi et pas avec mon père.
- Et je pense que tu veux le savoir.
- Bien sûr. Je suis du genre aventurière, si tu vois ce que je veux dire. Un peu comme ma mère.
Je décidais donc de m'arrêter dans le premier chemin de campagne. Une fois garés, je fis part à Viviane de mon souhait d’aller s’asseoir sur la banquette arrière. Plus spacieux, donc plus de confort. Sitôt installé, que déjà, elle me sauta dessus et m'embrassa à pleine bouche.
Je saisissais à pleines mains ses fesses que je sentais aussi fermes que je l'avais imaginé. Après quelques minutes de baisers langoureux, je saisissais son petit T-shirt que j’ôtais avec délicatesse pour m’apercevoir qu’elle était du genre à porter de la lingerie sexy. Cela eut pour effet, d’un peu plus m’exciter.
Je relevais sa jupette pour m’apercevoir que la culotte était assortie au soutien-gorge. Mais surtout qu’elle était mouillée, trahissant ainsi son excitation. Tout de suite je dégrafais son petit soutien-gorge et commençais à embrasser et sucer ses petits seins si fermes et généreux. Elle s’abandonna à moi, tendant sa main pour caresser la bosse que faisait mon érection sous la toile de mon pantalon.
D’un geste naturel, elle ouvrit ma braguette et elle enfoui ses doigts dans mon slip. Un instant très agréable qui me fis lâcher quelques gémissements. Encouragée par mes plaintes, elle s’empara fermement de mon sexe et exerça à son poigné un mouvement de branle.
- Putain ! Tu ne peux pas savoir comment cela me fait plaisir de tenir ta queue. Je ne te dis pas la tête de ma mère si elle voyait ça.
Je sentais mon gland mouillé, alors qu‘elle serra ma verge dans sa main, alors que son pouce caressait le bout du gland en étalant à chaque passage un peu de mouille autour du méat.
De plus en plus excité, je l’attrapais par la nuque pour l’attirer jusqu’à moi, collant mes lèvres aux siennes tandis qu’elle me branler énergiquement la queue. Il était temps pour moi de découvrir ce qui se cacher sous sa jupe, en y enfouissant une main fouineuse. Le contact de ses poils trempés sous son slip m’avait rapidement fait chavirer. Je pénétrais son sexe trempé de mon majeur, puis de l’index.
- Je dois le reconnaitre que tu es une sacré salope.
- Plus que ma mère ?
- Ça petite fille si tu le veux bien, je le garde pour moi. Répondais-je en la caressant.
Très vite la jouissance la noya, la faisant haletée, la bouche grande ouverte. Sans avoir besoin de lui dire, comme pour me remercier, elle me prit le sexe en bouche. Elle me la lécha tout en me regardant. Elle lâcha ma poupée de plaisir pour laisser s’échapper de sa bouche un filet de salive qui tomba sur ma queue gorgée de plaisir. Je ne pus résister de la forcer de me reprendre en bouche. Elle avait une technique très élaborée d’enroulement de ma verge autour de sa langue. Une langue très souple. Je joui assez vite dans la bouche de Viviane, alors qu’elle continua à me sucer longtemps après mon orgasme. Avec un regard vicieux, elle ouvrit largement la bouche pour me faire voir sa langue baignée dans mon foutre, qu’elle engloutit aussitôt, suite à cela elle lâcha : - J’adore ton foutre mon beau. Je comprend pourquoi ma mère...
- Je t’en prie, arrête avec ça ! La coupais-je.
Pour toute réponse elle m’embrassa. Sa bouche avait encore le goût de sperme.
Alors que j’étais en train de reprendre mes esprits, elle me soumis : - Et si tu me rendais l’appareil.
Je fis la sourde oreille.
- J’aimerai que tu t’occupes de ma foufoune. Assista-t-elle.
- Tu.. Tu veux quoi ?
- Et bien que tu cajoles ma chatte comme tu faisais à… enfin tu vois.
- Mais je l’es déjà cajoler. Tiens sens mes doigts, ils sentent encore son odeur.
- Mais mon beau c’était avec tes doigts, que là, je voudrais ta langue.
Je la fis patienter quelques minutes encore avant de m’installer devant sa chatte. Dont une puissante odeur de marée et d’épices s’échappées. Des gouttes claires s’accrochaient aux poils crépus qui dessinaient un feuillage ébouriffé. Je pu apercevoir aussi, ce que j’identifiais être une petite cordelette, de couleur rose sortant de son entaille.
La coquine portait Les boules de geisha. Je m’apprêtais à remonter en surface pour avoir une discussion avec elle, au sujet du joujou niché dans son con, mais la malicieuse en décida autrement, en écartant en grand le compas de ses jambes, exhibant ainsi son intimité à travers la lingerie translucide.
Je décidais de faire preuve d’audace, et je promenais mes mains sur ses jambes, mon cœur battait la chamade, ne pouvant me contenir, je poussais le vise à glisser mon pouce sur la fente et de pousser avec lui le fin textile. Je sentais son jus l’englué. Je m’approchais de sa fourche et tranquillement ma langue titilla sa fente à travers les mailles. Viviane attrapa le haut de mon crâne pour appuyer ma bouche contre son sexe, en roulant du bassin.
Je sentais très proche de l’orgasme. Hors de moi, incapable de me contrôler j’écartais sa culotte pour me jeter sur son sexe et me mis à lui bouffer la chatte tant j’étais excité. En tête à tête avec son minou, dont de la mouille s’échappait de sa cicatrice. Cette cochonne me griffa la tête. Après avoir bien joui, elle m’attira à elle et déposa un baiser sur mes lèvres.
Le souffle court elle me glissa : -Prends moi maintenant !
Dans l’état d’excitation où je me trouvais, je ne me fis pas prier et saisi un préservatif que j'enfilais avec empressement. J'avais vraiment envie de me fourrer entre ses cuisses. Au moment au j'allais la pénétrer elle me dit : -Attends !
Et elle se retira les boules, luisantes de mouille, puis elle me fit mettre sur le dos.
-Je préfère comme ça, j’adore contrôler le rythme. Lâcha-t-elle en me jetant un regard complice.
Puis elle commença un va et vient dont le rythme ne tarda pas à augmenter. Elle semblait prendre un plaisir dingue dans cette position! Pour ma part l'étroitesse de son petit vagin me fournissait un plaisir que je n'avais pas atteint depuis longtemps ! En quelques minutes un second orgasme plus intense que le premier vint pointer dans sa gorge puis au bout de ses lèvres.
Je lui demandais si elle en voulait encore. Le regard qu'elle me lança ne laissait guère de doute. Changeant de position, je vins me placer derrière elle et la pris en levrette. Tout en la limant je me focalisais sur son cul si ferme que je frappais en cadence régulière avec mes cuisses. Elle un orgasme supplémentaire.
Cette expérience fut pour moi inoubliable. Je n'avais jamais pris un pied pareil avec sa mère, mais ça je me suis bien caché de lui dire. Je la déposais plus tard chez elle ne sachant alors pas à ce moment, que je la reverrais-je le lendemain et le surlendemain, et cela pendant près d’un an. Il avait fallu qu’elle se mette sérieusement avec un type pour qu’enfin, elle ne vienne assouvir sa soif sexuelle avec moi.
Comme elle toqua à mon carreau, je m’obligeais à baisser la vitre. Et tout de suite elle se pencha vers moi. J’admirai son décolleté qui découvrait largement sa poitrine. Avec un grand sourire elle me lança : - Vous prenez pas au hasard la direction de M…?
- Bien sûr que oui. Je passe même à côté pour rentrer chez moi.
- Et cela vous dérangerez de m’y déposer.
- Ce serait un plaisir de vous rendre ce service.
Elle me remercia avant de contourner le véhicule pour prendre place sur le siège passager.
- Cela vous ennui que j’ouvre un peu plus ma doudoune. Me lança-t-elle après quelques kilomètres.
- Faite donc. Répondis-je.
Un œil sur la route, je regardais tout de même discrètement ma passagère faire descendre le zip de sa fermeture éclair jusqu’au bas de sa doudoune. Ce fut seulement à cet instant que je remarquais qu’elle portait une minijupe en jean. Elle profita de mon émois pour ouvrir largement ses jambes, ce qui eut pour effet de faire remonter l’ourlet de tissu très haut sur ses cuisses. Je restais sans voix.
Me contentant d’humer son odeur. Un parfum d’une sensualité étonnante. D’une voix douce et légèrement traînante, elle lâcha qu’elle se nommer Viviane. Pour ne pas rester en reste je me présentais à mon tour. Sans raison, Elle me donna une bise sur la joue. J’étais étonné par la tournure que prenaient les choses.
Au bout de quelques kilomètres elle laissa tomber.
- Je vous connais ?
- À oui et d’où ?
- Vous connaissez Fabienne ?
- Je devrais ?
- Oui ! C’est ma mère.
- À oui !
- Vous avez même coucher avec elle.
Quand je vous disais que ça prenait une drôle de tournure.
- Et je peux savoir de qui tu tiens cela.
- Je t’ai vue.
- Tu m’as vue ? Passant moi aussi au tutoiement.
- J’étais en train de dormir quand je fus réveillé par de drôle de bruit. Le m’étais redressé sur mon lit pensant avoir rêver quand les bruits persistaient. Croyant ma mère souffrante, je suis sorti du lit, puis de ma chambre et je me suis dirigé jusqu’à la porte de celle de ma mère. Les bruit venaient de là. J’ai ouvert la porte et je vous ai vue.
- Et bien ! C’est pas bien d’espionner sa mère.
- Et tu sais quoi ?
- Non mais je pense que je ne vais pas tarder à le savoir.
- Eh bien je me demandais pourquoi ma mère gémissait tellement avec toi et pas avec mon père.
- Et je pense que tu veux le savoir.
- Bien sûr. Je suis du genre aventurière, si tu vois ce que je veux dire. Un peu comme ma mère.
Je décidais donc de m'arrêter dans le premier chemin de campagne. Une fois garés, je fis part à Viviane de mon souhait d’aller s’asseoir sur la banquette arrière. Plus spacieux, donc plus de confort. Sitôt installé, que déjà, elle me sauta dessus et m'embrassa à pleine bouche.
Je saisissais à pleines mains ses fesses que je sentais aussi fermes que je l'avais imaginé. Après quelques minutes de baisers langoureux, je saisissais son petit T-shirt que j’ôtais avec délicatesse pour m’apercevoir qu’elle était du genre à porter de la lingerie sexy. Cela eut pour effet, d’un peu plus m’exciter.
Je relevais sa jupette pour m’apercevoir que la culotte était assortie au soutien-gorge. Mais surtout qu’elle était mouillée, trahissant ainsi son excitation. Tout de suite je dégrafais son petit soutien-gorge et commençais à embrasser et sucer ses petits seins si fermes et généreux. Elle s’abandonna à moi, tendant sa main pour caresser la bosse que faisait mon érection sous la toile de mon pantalon.
D’un geste naturel, elle ouvrit ma braguette et elle enfoui ses doigts dans mon slip. Un instant très agréable qui me fis lâcher quelques gémissements. Encouragée par mes plaintes, elle s’empara fermement de mon sexe et exerça à son poigné un mouvement de branle.
- Putain ! Tu ne peux pas savoir comment cela me fait plaisir de tenir ta queue. Je ne te dis pas la tête de ma mère si elle voyait ça.
Je sentais mon gland mouillé, alors qu‘elle serra ma verge dans sa main, alors que son pouce caressait le bout du gland en étalant à chaque passage un peu de mouille autour du méat.
De plus en plus excité, je l’attrapais par la nuque pour l’attirer jusqu’à moi, collant mes lèvres aux siennes tandis qu’elle me branler énergiquement la queue. Il était temps pour moi de découvrir ce qui se cacher sous sa jupe, en y enfouissant une main fouineuse. Le contact de ses poils trempés sous son slip m’avait rapidement fait chavirer. Je pénétrais son sexe trempé de mon majeur, puis de l’index.
- Je dois le reconnaitre que tu es une sacré salope.
- Plus que ma mère ?
- Ça petite fille si tu le veux bien, je le garde pour moi. Répondais-je en la caressant.
Très vite la jouissance la noya, la faisant haletée, la bouche grande ouverte. Sans avoir besoin de lui dire, comme pour me remercier, elle me prit le sexe en bouche. Elle me la lécha tout en me regardant. Elle lâcha ma poupée de plaisir pour laisser s’échapper de sa bouche un filet de salive qui tomba sur ma queue gorgée de plaisir. Je ne pus résister de la forcer de me reprendre en bouche. Elle avait une technique très élaborée d’enroulement de ma verge autour de sa langue. Une langue très souple. Je joui assez vite dans la bouche de Viviane, alors qu’elle continua à me sucer longtemps après mon orgasme. Avec un regard vicieux, elle ouvrit largement la bouche pour me faire voir sa langue baignée dans mon foutre, qu’elle engloutit aussitôt, suite à cela elle lâcha : - J’adore ton foutre mon beau. Je comprend pourquoi ma mère...
- Je t’en prie, arrête avec ça ! La coupais-je.
Pour toute réponse elle m’embrassa. Sa bouche avait encore le goût de sperme.
Alors que j’étais en train de reprendre mes esprits, elle me soumis : - Et si tu me rendais l’appareil.
Je fis la sourde oreille.
- J’aimerai que tu t’occupes de ma foufoune. Assista-t-elle.
- Tu.. Tu veux quoi ?
- Et bien que tu cajoles ma chatte comme tu faisais à… enfin tu vois.
- Mais je l’es déjà cajoler. Tiens sens mes doigts, ils sentent encore son odeur.
- Mais mon beau c’était avec tes doigts, que là, je voudrais ta langue.
Je la fis patienter quelques minutes encore avant de m’installer devant sa chatte. Dont une puissante odeur de marée et d’épices s’échappées. Des gouttes claires s’accrochaient aux poils crépus qui dessinaient un feuillage ébouriffé. Je pu apercevoir aussi, ce que j’identifiais être une petite cordelette, de couleur rose sortant de son entaille.
La coquine portait Les boules de geisha. Je m’apprêtais à remonter en surface pour avoir une discussion avec elle, au sujet du joujou niché dans son con, mais la malicieuse en décida autrement, en écartant en grand le compas de ses jambes, exhibant ainsi son intimité à travers la lingerie translucide.
Je décidais de faire preuve d’audace, et je promenais mes mains sur ses jambes, mon cœur battait la chamade, ne pouvant me contenir, je poussais le vise à glisser mon pouce sur la fente et de pousser avec lui le fin textile. Je sentais son jus l’englué. Je m’approchais de sa fourche et tranquillement ma langue titilla sa fente à travers les mailles. Viviane attrapa le haut de mon crâne pour appuyer ma bouche contre son sexe, en roulant du bassin.
Je sentais très proche de l’orgasme. Hors de moi, incapable de me contrôler j’écartais sa culotte pour me jeter sur son sexe et me mis à lui bouffer la chatte tant j’étais excité. En tête à tête avec son minou, dont de la mouille s’échappait de sa cicatrice. Cette cochonne me griffa la tête. Après avoir bien joui, elle m’attira à elle et déposa un baiser sur mes lèvres.
Le souffle court elle me glissa : -Prends moi maintenant !
Dans l’état d’excitation où je me trouvais, je ne me fis pas prier et saisi un préservatif que j'enfilais avec empressement. J'avais vraiment envie de me fourrer entre ses cuisses. Au moment au j'allais la pénétrer elle me dit : -Attends !
Et elle se retira les boules, luisantes de mouille, puis elle me fit mettre sur le dos.
-Je préfère comme ça, j’adore contrôler le rythme. Lâcha-t-elle en me jetant un regard complice.
Puis elle commença un va et vient dont le rythme ne tarda pas à augmenter. Elle semblait prendre un plaisir dingue dans cette position! Pour ma part l'étroitesse de son petit vagin me fournissait un plaisir que je n'avais pas atteint depuis longtemps ! En quelques minutes un second orgasme plus intense que le premier vint pointer dans sa gorge puis au bout de ses lèvres.
Je lui demandais si elle en voulait encore. Le regard qu'elle me lança ne laissait guère de doute. Changeant de position, je vins me placer derrière elle et la pris en levrette. Tout en la limant je me focalisais sur son cul si ferme que je frappais en cadence régulière avec mes cuisses. Elle un orgasme supplémentaire.
Cette expérience fut pour moi inoubliable. Je n'avais jamais pris un pied pareil avec sa mère, mais ça je me suis bien caché de lui dire. Je la déposais plus tard chez elle ne sachant alors pas à ce moment, que je la reverrais-je le lendemain et le surlendemain, et cela pendant près d’un an. Il avait fallu qu’elle se mette sérieusement avec un type pour qu’enfin, elle ne vienne assouvir sa soif sexuelle avec moi.
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