Comment je suis devenu un cuckold heureux, ma femme et moi accrocs aux blacks (Chapitre 2)
Récit érotique écrit par Ddjoky3 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Comment je suis devenu un cuckold heureux, ma femme et moi accrocs aux blacks (Chapitre 2)
Nous avons pour habitude avec ma copine de commander des pizzas chez l'Italien d'à côté le vendredi soir.
Comme nous habitons au dernier étage d'un immeuble ancien, je descends généralement récupérer les pizzas en bas à l'entrée.
Mais ce soir-là, j'ai une autre idée ...
On commande deux pizzas. Une trentaine de minutes après, le livreur m'appelle sur mon mobile. Je le reconnais, c'est un jeune africain bien racaille de la cité de la Place des Fêtes, à côté.
Je prétexte que j'ai quelque chose à régler et lui demande exceptionnellement de monter chez nous.
J'ouvre la porte de l'appartement et appelle ma copine. Elle est en train de réviser pour ses examens, dans la chambre qui sert aussi de bureau.
Elle arrive toute fraîche dans sa nuisette courte et légèrement transparente. On devine facilement sa belle poitrine lourde et ses fesses larges et rebondies.
Elle a détaché ses cheveux blonds qui lui tombent presque aux hanches.
Je comprends qu'elle ne porte pas de culotte comme souvent en mode détente le week-end quand on n'est pas de sortie. Je la prends dans mes bras, l'embrasse et la soulève légèrement pour la faire pivoter dos à la porte d'entrée.
J'entends le livreur qui se pointe à la porte et y passe la tête. Une bonne tête de lascar, ce jeune black.
Je lui fais un signe du menton et un clin d'œil, l'invitant à se rapprocher de nous, soulevant un peu la nuisette au-dessus des cuisses charnues de ma copine. Je perçois qu'il a du mal à en croire ses yeux, mais il se reprend et vient vers nous d'un pas assuré pour se coller dans le dos de ma femme, frottant son pubis sur ses fesses. Elle tourne la tête en arrière dans sa direction, étonnée, puis me regarde, interrogative.
— Ne t'inquiète pas, ça va bien se passer, détends-toi, laisse-toi faire, lui dis-je.
Excité comme jamais, le livreur, dont je saurai après qu'il se prénomme Omar, défait sa ceinture à la hâte et laisse tomber son pantalon, puis son boxer-short, à ses pieds.
Il saisit les hanches de ma femme, lui pousse le dos avec autorité pour qu'elle se penche en avant, ce qui a pour effet de me repousser en arrière.
Je garde pourtant mes mains dans celles de ma femme pour soutenir son équilibre.
Et là sans ménagement, il l'enfile sans préavis bien au fond, apparemment, ce qui arrache un cri à ma copine qui écarquille les yeux et se mordille les lèvres.
Dès le départ, il la tringle rapidement à grands coups de boutoir tout en la traitant de pute à black et autres joyeusetés.
Je maintiens ma femme avec mes mains, car elle a de plus en plus de mal à garder son équilibre face aux assauts puissants de l'étalon qui la projette en avant, tant ses cuisses viennent taper violemment contre les siennes.
Ça dure une bonne dizaine de minutes, puis le livreur lui tire les cheveux en arrière pour la relever et la délivrer un court instant. Elle se retourne et lui saisit la queue en lui lançant :
— Elle est vraiment trop bonne ta bite, tu m'as bien baisée, tu sais.
Il lui met le majeur dans le trou du cul et la conduit comme un vulgaire pack de bières vers le grand fauteuil du salon. Il s'assoit et lui ordonne quasiment de s'empaler sur sa queue. Ma femme passe sa main dans sa chatte après avoir lubrifié ses doigts dans sa bouche. Elle l'enjambe et descend sur sa bite.
Mais lui n'entend pas que cela se fasse si tendrement ; il s'avachit et se bascule en arrière pour relever le cul de ma femme et lui faire adopter une position plus horizontale bien étant à califourchon sur lui, empalée par sa bite que je vois mieux désormais et qui est réellement imposante, surtout luisante de la mouille abondante de ma femme.
Dans cette position, il imprime un rythme de baise frénétique de plus en plus rapide, ne lui laissant aucun répit. Elle est maintenant en transe, gémissant, criant presque, en demandant encore plus, tout en louant sa queue qui la pistonne si bien.
Au bout de cinq minutes de rythme affolant, il la rejette en arrière et lui ordonne :
— Viens goûter ta mouille sur ma queue avant le troisième round !
Il se saisit de son mobile posé sur la table basse et passe un appel pendant que ma femme le suce goulûment.
— Mehdi, c'est Omar, rejoins-moi, je suis en train de défoncer une grosse chienne trop bonne devant son mec à Télégraphe. Je t'envoie l'adresse sur WhatsApp.
Comme nous habitons au dernier étage d'un immeuble ancien, je descends généralement récupérer les pizzas en bas à l'entrée.
Mais ce soir-là, j'ai une autre idée ...
On commande deux pizzas. Une trentaine de minutes après, le livreur m'appelle sur mon mobile. Je le reconnais, c'est un jeune africain bien racaille de la cité de la Place des Fêtes, à côté.
Je prétexte que j'ai quelque chose à régler et lui demande exceptionnellement de monter chez nous.
J'ouvre la porte de l'appartement et appelle ma copine. Elle est en train de réviser pour ses examens, dans la chambre qui sert aussi de bureau.
Elle arrive toute fraîche dans sa nuisette courte et légèrement transparente. On devine facilement sa belle poitrine lourde et ses fesses larges et rebondies.
Elle a détaché ses cheveux blonds qui lui tombent presque aux hanches.
Je comprends qu'elle ne porte pas de culotte comme souvent en mode détente le week-end quand on n'est pas de sortie. Je la prends dans mes bras, l'embrasse et la soulève légèrement pour la faire pivoter dos à la porte d'entrée.
J'entends le livreur qui se pointe à la porte et y passe la tête. Une bonne tête de lascar, ce jeune black.
Je lui fais un signe du menton et un clin d'œil, l'invitant à se rapprocher de nous, soulevant un peu la nuisette au-dessus des cuisses charnues de ma copine. Je perçois qu'il a du mal à en croire ses yeux, mais il se reprend et vient vers nous d'un pas assuré pour se coller dans le dos de ma femme, frottant son pubis sur ses fesses. Elle tourne la tête en arrière dans sa direction, étonnée, puis me regarde, interrogative.
— Ne t'inquiète pas, ça va bien se passer, détends-toi, laisse-toi faire, lui dis-je.
Excité comme jamais, le livreur, dont je saurai après qu'il se prénomme Omar, défait sa ceinture à la hâte et laisse tomber son pantalon, puis son boxer-short, à ses pieds.
Il saisit les hanches de ma femme, lui pousse le dos avec autorité pour qu'elle se penche en avant, ce qui a pour effet de me repousser en arrière.
Je garde pourtant mes mains dans celles de ma femme pour soutenir son équilibre.
Et là sans ménagement, il l'enfile sans préavis bien au fond, apparemment, ce qui arrache un cri à ma copine qui écarquille les yeux et se mordille les lèvres.
Dès le départ, il la tringle rapidement à grands coups de boutoir tout en la traitant de pute à black et autres joyeusetés.
Je maintiens ma femme avec mes mains, car elle a de plus en plus de mal à garder son équilibre face aux assauts puissants de l'étalon qui la projette en avant, tant ses cuisses viennent taper violemment contre les siennes.
Ça dure une bonne dizaine de minutes, puis le livreur lui tire les cheveux en arrière pour la relever et la délivrer un court instant. Elle se retourne et lui saisit la queue en lui lançant :
— Elle est vraiment trop bonne ta bite, tu m'as bien baisée, tu sais.
Il lui met le majeur dans le trou du cul et la conduit comme un vulgaire pack de bières vers le grand fauteuil du salon. Il s'assoit et lui ordonne quasiment de s'empaler sur sa queue. Ma femme passe sa main dans sa chatte après avoir lubrifié ses doigts dans sa bouche. Elle l'enjambe et descend sur sa bite.
Mais lui n'entend pas que cela se fasse si tendrement ; il s'avachit et se bascule en arrière pour relever le cul de ma femme et lui faire adopter une position plus horizontale bien étant à califourchon sur lui, empalée par sa bite que je vois mieux désormais et qui est réellement imposante, surtout luisante de la mouille abondante de ma femme.
Dans cette position, il imprime un rythme de baise frénétique de plus en plus rapide, ne lui laissant aucun répit. Elle est maintenant en transe, gémissant, criant presque, en demandant encore plus, tout en louant sa queue qui la pistonne si bien.
Au bout de cinq minutes de rythme affolant, il la rejette en arrière et lui ordonne :
— Viens goûter ta mouille sur ma queue avant le troisième round !
Il se saisit de son mobile posé sur la table basse et passe un appel pendant que ma femme le suce goulûment.
— Mehdi, c'est Omar, rejoins-moi, je suis en train de défoncer une grosse chienne trop bonne devant son mec à Télégraphe. Je t'envoie l'adresse sur WhatsApp.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Du même avis que la lectrice si ce n’est plus : le mec est assez con pour laisser intervenir chez lui une bande de CASOS qui vont lui retourner l’appart , le massacrer lui et sa copine sans oublier l’absence de capotes !!!
Encore un récit où le mec a perdu ses couilles en route à l’image de notre pseudo président.
Encore un récit où le mec a perdu ses couilles en route à l’image de notre pseudo président.
Moi j'ai fait ça avec une copine et un jeune livreur marocain et il nous a super bien baisés !
Violente et nulle.
