Comment je suis devenu un cuckold heureux, ma femme et moi accrocs aux blacks (Chapitre 4)
Récit érotique écrit par Ddjoky3 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Comment je suis devenu un cuckold heureux, ma femme et moi accrocs aux blacks (Chapitre 4)
(Suite)
Plus tard dans la soirée, j'accompagne ma femme Clarisse dans une cité HLM avoisinante …
La nuit est épaisse quand nous quittons l’appartement, l’air collant de la cité HLM enveloppe nos corps encore tremblants des dernières heures.
Clarisse marche devant, les cuisses serrées, sentant le sperme d’Omar et Mehdi couler lentement le long de ses jambes, ses lèvres toujours gonflées par les bites qu’elle a avalées.
Elle jette des regards en coin vers moi, dont le sourire trahit une excitation malsaine.
Je lui murmure à l'oreille « Tu veux vraiment ça, ma salope ? » en lui tendant sa veste pour cacher les traces de la débauche récente. Elle hoche la tête, les joues brûlantes, le cœur battant à l’idée de ce qui l’attend.
La cage d’escalier pue la sueur, la bière renversée, le joint et quelque chose de plus animal—l’odeur du sexe qui traîne depuis des jours, comme si les murs eux-mêmes retiennent les gémissements des nuits précédentes.
Le néon au-dessus de nous clignote par saccades, projetant des ombres mouvantes sur les tags obscènes griffonnés sur le béton.
« Ils sont déjà là », dis-je en désignant l’étage supérieur.
Clarisse sent un frisson lui parcourir l’échine.
Elle connait cette excitation, ce mélange de peur et de désir qui lui serre la gorge chaque fois qu’elle se retrouve désormais face à eux.
Karim émerge le premier de l’ombre, sa carrure massive obstruant presque le passage. Son torse luisant de transpiration reflète la lumière blafarde, et son jean, ouvert à moitié, laisse deviner l’épaisseur de sa bite déjà dure.
« Alors, la blanche et son cocu, vous êtes revenus pour une vraie leçon de baise ? » Sa voix est rauque, chargée de promesses sales.
Clarisse ne répond pas. Elle s’agenouille directement devant lui, les mains posées sur ses cuisses, la bouche entrouverte. « Putain… » grogne-t-il en saisissant une poignée de ses cheveux blonds, tirant juste assez pour qu’elle lève les yeux vers lui. « T’es vraiment une chienne en chaleur. »
Elle ne proteste pas. Au contraire, sa langue sort pour lécher ses lèvres, anticipant déjà le goût salé de sa peau. Karim n’attend pas.
D’un geste brutal, il lui enfonce sa bite dans la bouche, si profondément qu’elle sent son gland cogner contre le fond de sa gorge. « Avale, salope », ordonne-t-il en commençant à la baiser par la bouche avec des coups de bassin sourds.
Clarisse étouffe, les yeux larmoyants, la bave dévalant son menton tandis qu’elle s’efforce de respirer par le nez. « C’est ça… prends-moi jusqu’aux couilles », grogne-t-il en accélérant le rythme, ses doigts serrés dans ses cheveux comme des étaux.
Derrière elle, Mehdi s’est approché.
Elle l’entend son rire, bas et guttural, avant de sentir ses mains chaudes lui relever sa jupe. « Toujours aussi mouillée, hein ? » Il n’attend pas de réponse.
Deux de ses doigts s’enfoncent brutalement dans sa chatte, la faisant sursauter autour de Karim. « Putain, elle est trempée… » murmure Mehdi, sa voix vibrante de désir. « Elle kiffe trop ça. » Clarisse gémit autour de la bite de Karim, le son étouffé par sa gorge remplie, tandis que Mehdi ajoute un troisième doigt, l’étirant sans pitié. « Tu veux ma bite, c’est ça ? Tu veux que je te défonce pendant que Karim te baise la gueule ? »
Elle hoche la tête autant qu’elle le peut, les doigts de Mehdi lui arrachant des cris étouffés. « Bon sang… » Yacine apparait à son tour, son sourire carnassier éclairant son visage dans la pénombre. « Elle a l’air prête pour le menu complet, les gars. »
Il se positionne derrière elle, ses mains glissant sur ses fesses avant les écarter largement pour exposer son trou du cul serré. « Regardez-moi ça… » Il crache dessus, étalant sa salive avec son pouce avant d’y enfoncer la pointe. « Elle va hurler. »
Clarisse sent la panique et l’excitation lui tordre les entrailles. Elle sait ce qui vient. Elle veut ce qui vient. Mehdi retire ses doigts d’un coup sec, laissant sa chatte vide et palpitante, avant de remplacer sa main par sa bite. « Prends ça, salope. »
Il la pénètre d’un coup, sans préambule, son gland forçant son entrée dans un grognement sourd.
« PUTAIN ! » hurle-t-elle autour de la bite de Karim, sa voix brisée par l’intrusion brutale. Mehdi ne lui laisse aucun répit. Il commence à la pilonner avec des coups de reins si violents que ses hanches claquent contre ses fesses à chaque coup de rein, le bruit humide de sa chatte avalant sa queue résonne dans la cage d’escalier.
« À toi, Yacine. » Karim retire sa bite de sa bouche avec un pop obscène, laissant Clarisse haleter, la bave et les larmes coulant sur son visage. « Ouais frérot et comment… »
Yacine s’aligne derrière elle, sa bite massive déjà luisante de précum. « Respire bien, blanche-neige. Ça va faire mal. » Il n’attend pas. D’un mouvement sec, il enfonce son gland dans son anus, la forçant à s’ouvrir autour de lui. « AAAAAH— ! »
Le cri de Clarisse se répercute contre les murs, déchirant, presque inhumain. « Putain, elle est serrée… » grogne Yacine, les dents serrées tandis qu’il pousse plus loin, centimètre par centimètre, jusqu’à ce que ses couilles bien pleines et gonflées cognent contre ses fesses.
« Maintenant, tu vas voir ce que c’est, une vraie baise. »
Mehdi et Yacine se synchronisent presque instinctivement, leurs rythmes se calant l’un sur l’autre. Chaque fois que Mehdi enfonce sa bite dans sa chatte, Yacine se retire légèrement de son cul, puis vice versa, créant une sensation de va-et-vient incessant qui faisait trembler Clarisse comme une feuille. « Oh mon Dieu… oh mon DIEU— ! »
Ses cris sont désormais inarticulés, brisés par les coups de bite qui la traversent de part en part.
« Elle va jouir comme une pute ta salope », ricane Karim me fixant et se repositionnant devant son visage. « Ouvre. »
Elle obéit, la bouche grande ouverte, et il y enfonce à nouveau sa queue, cette fois-ci jusqu’à la garde, l’obligeant à avaler ses couilles contre son menton.
« Vous la sentez, les gars ? » Mehdi halète, ses doigts enfoncés dans les hanches de Clarisse, la marquant de ses empreintes. « Elle est en train de gicler… putain, elle va nous noyer. » Effectivement, un flot chaud jaillit de sa chatte, aspergeant les cuisses de Mehdi et dégouline sur le sol. « C’est ça, salope… jouis pour nous, jouis de nos bites de renois devant ton mec. »
Yacine accélère, ses coups de rein devenant plus courts, plus saccadés, tandis que Clarisse hurle, son corps secoué par des orgasmes en chaîne. « Je vais… je vais— ! » Karim grogne, ses doigts serrés dans ses cheveux, « Avale tout, putain ! » avant d’éjaculer violemment dans sa gorge. Elle sent son sperme chaud dévaler son œsophage, épais, presque étouffant, tandis que Mehdi hurle à son tour, « PUTAIN ! » en remplissant sa chatte de jets brûlants.
« À moi. » Yacine se retire presque complètement avant de s’enfoncer une dernière fois, ses doigts creusant dans ses hanches tandis qu’il explose dans son cul, « Prends ça, salope… je vais te remplir le fond de ton cul de sperme. » Clarisse s’effondre vers l’avant, maintenue seulement par les mains de Mehdi et Yacine, son corps tremblant, ses trous débordant de leur semence.
Je balbutie « c'est bien les gars, une petite pause maintenant ? », en m’approchant, un sourire satisfait aux lèvres. Je me penche vers elle, lui relève le menton d’un doigt pour croiser son regard vitreux. « Alors, t'es vraiment un bonne chiennasse en rut en fait ma petite pute… t'en demande encore ? »
Clarisse, à bout de souffle, les lèvres enflées et le visage couvert de sperme, hoche faiblement la tête. « Oui… » murmure-t-elle, la voix rauque. « Toujours. » Autour de nous, la cité de béton semble retenir son souffle, comme si les murs eux-mêmes attendent la prochaine vague de débauche. Et Clarisse sait qu’elle ne va pas la décevoir.
Plus tard dans la soirée, j'accompagne ma femme Clarisse dans une cité HLM avoisinante …
La nuit est épaisse quand nous quittons l’appartement, l’air collant de la cité HLM enveloppe nos corps encore tremblants des dernières heures.
Clarisse marche devant, les cuisses serrées, sentant le sperme d’Omar et Mehdi couler lentement le long de ses jambes, ses lèvres toujours gonflées par les bites qu’elle a avalées.
Elle jette des regards en coin vers moi, dont le sourire trahit une excitation malsaine.
Je lui murmure à l'oreille « Tu veux vraiment ça, ma salope ? » en lui tendant sa veste pour cacher les traces de la débauche récente. Elle hoche la tête, les joues brûlantes, le cœur battant à l’idée de ce qui l’attend.
La cage d’escalier pue la sueur, la bière renversée, le joint et quelque chose de plus animal—l’odeur du sexe qui traîne depuis des jours, comme si les murs eux-mêmes retiennent les gémissements des nuits précédentes.
Le néon au-dessus de nous clignote par saccades, projetant des ombres mouvantes sur les tags obscènes griffonnés sur le béton.
« Ils sont déjà là », dis-je en désignant l’étage supérieur.
Clarisse sent un frisson lui parcourir l’échine.
Elle connait cette excitation, ce mélange de peur et de désir qui lui serre la gorge chaque fois qu’elle se retrouve désormais face à eux.
Karim émerge le premier de l’ombre, sa carrure massive obstruant presque le passage. Son torse luisant de transpiration reflète la lumière blafarde, et son jean, ouvert à moitié, laisse deviner l’épaisseur de sa bite déjà dure.
« Alors, la blanche et son cocu, vous êtes revenus pour une vraie leçon de baise ? » Sa voix est rauque, chargée de promesses sales.
Clarisse ne répond pas. Elle s’agenouille directement devant lui, les mains posées sur ses cuisses, la bouche entrouverte. « Putain… » grogne-t-il en saisissant une poignée de ses cheveux blonds, tirant juste assez pour qu’elle lève les yeux vers lui. « T’es vraiment une chienne en chaleur. »
Elle ne proteste pas. Au contraire, sa langue sort pour lécher ses lèvres, anticipant déjà le goût salé de sa peau. Karim n’attend pas.
D’un geste brutal, il lui enfonce sa bite dans la bouche, si profondément qu’elle sent son gland cogner contre le fond de sa gorge. « Avale, salope », ordonne-t-il en commençant à la baiser par la bouche avec des coups de bassin sourds.
Clarisse étouffe, les yeux larmoyants, la bave dévalant son menton tandis qu’elle s’efforce de respirer par le nez. « C’est ça… prends-moi jusqu’aux couilles », grogne-t-il en accélérant le rythme, ses doigts serrés dans ses cheveux comme des étaux.
Derrière elle, Mehdi s’est approché.
Elle l’entend son rire, bas et guttural, avant de sentir ses mains chaudes lui relever sa jupe. « Toujours aussi mouillée, hein ? » Il n’attend pas de réponse.
Deux de ses doigts s’enfoncent brutalement dans sa chatte, la faisant sursauter autour de Karim. « Putain, elle est trempée… » murmure Mehdi, sa voix vibrante de désir. « Elle kiffe trop ça. » Clarisse gémit autour de la bite de Karim, le son étouffé par sa gorge remplie, tandis que Mehdi ajoute un troisième doigt, l’étirant sans pitié. « Tu veux ma bite, c’est ça ? Tu veux que je te défonce pendant que Karim te baise la gueule ? »
Elle hoche la tête autant qu’elle le peut, les doigts de Mehdi lui arrachant des cris étouffés. « Bon sang… » Yacine apparait à son tour, son sourire carnassier éclairant son visage dans la pénombre. « Elle a l’air prête pour le menu complet, les gars. »
Il se positionne derrière elle, ses mains glissant sur ses fesses avant les écarter largement pour exposer son trou du cul serré. « Regardez-moi ça… » Il crache dessus, étalant sa salive avec son pouce avant d’y enfoncer la pointe. « Elle va hurler. »
Clarisse sent la panique et l’excitation lui tordre les entrailles. Elle sait ce qui vient. Elle veut ce qui vient. Mehdi retire ses doigts d’un coup sec, laissant sa chatte vide et palpitante, avant de remplacer sa main par sa bite. « Prends ça, salope. »
Il la pénètre d’un coup, sans préambule, son gland forçant son entrée dans un grognement sourd.
« PUTAIN ! » hurle-t-elle autour de la bite de Karim, sa voix brisée par l’intrusion brutale. Mehdi ne lui laisse aucun répit. Il commence à la pilonner avec des coups de reins si violents que ses hanches claquent contre ses fesses à chaque coup de rein, le bruit humide de sa chatte avalant sa queue résonne dans la cage d’escalier.
« À toi, Yacine. » Karim retire sa bite de sa bouche avec un pop obscène, laissant Clarisse haleter, la bave et les larmes coulant sur son visage. « Ouais frérot et comment… »
Yacine s’aligne derrière elle, sa bite massive déjà luisante de précum. « Respire bien, blanche-neige. Ça va faire mal. » Il n’attend pas. D’un mouvement sec, il enfonce son gland dans son anus, la forçant à s’ouvrir autour de lui. « AAAAAH— ! »
Le cri de Clarisse se répercute contre les murs, déchirant, presque inhumain. « Putain, elle est serrée… » grogne Yacine, les dents serrées tandis qu’il pousse plus loin, centimètre par centimètre, jusqu’à ce que ses couilles bien pleines et gonflées cognent contre ses fesses.
« Maintenant, tu vas voir ce que c’est, une vraie baise. »
Mehdi et Yacine se synchronisent presque instinctivement, leurs rythmes se calant l’un sur l’autre. Chaque fois que Mehdi enfonce sa bite dans sa chatte, Yacine se retire légèrement de son cul, puis vice versa, créant une sensation de va-et-vient incessant qui faisait trembler Clarisse comme une feuille. « Oh mon Dieu… oh mon DIEU— ! »
Ses cris sont désormais inarticulés, brisés par les coups de bite qui la traversent de part en part.
« Elle va jouir comme une pute ta salope », ricane Karim me fixant et se repositionnant devant son visage. « Ouvre. »
Elle obéit, la bouche grande ouverte, et il y enfonce à nouveau sa queue, cette fois-ci jusqu’à la garde, l’obligeant à avaler ses couilles contre son menton.
« Vous la sentez, les gars ? » Mehdi halète, ses doigts enfoncés dans les hanches de Clarisse, la marquant de ses empreintes. « Elle est en train de gicler… putain, elle va nous noyer. » Effectivement, un flot chaud jaillit de sa chatte, aspergeant les cuisses de Mehdi et dégouline sur le sol. « C’est ça, salope… jouis pour nous, jouis de nos bites de renois devant ton mec. »
Yacine accélère, ses coups de rein devenant plus courts, plus saccadés, tandis que Clarisse hurle, son corps secoué par des orgasmes en chaîne. « Je vais… je vais— ! » Karim grogne, ses doigts serrés dans ses cheveux, « Avale tout, putain ! » avant d’éjaculer violemment dans sa gorge. Elle sent son sperme chaud dévaler son œsophage, épais, presque étouffant, tandis que Mehdi hurle à son tour, « PUTAIN ! » en remplissant sa chatte de jets brûlants.
« À moi. » Yacine se retire presque complètement avant de s’enfoncer une dernière fois, ses doigts creusant dans ses hanches tandis qu’il explose dans son cul, « Prends ça, salope… je vais te remplir le fond de ton cul de sperme. » Clarisse s’effondre vers l’avant, maintenue seulement par les mains de Mehdi et Yacine, son corps tremblant, ses trous débordant de leur semence.
Je balbutie « c'est bien les gars, une petite pause maintenant ? », en m’approchant, un sourire satisfait aux lèvres. Je me penche vers elle, lui relève le menton d’un doigt pour croiser son regard vitreux. « Alors, t'es vraiment un bonne chiennasse en rut en fait ma petite pute… t'en demande encore ? »
Clarisse, à bout de souffle, les lèvres enflées et le visage couvert de sperme, hoche faiblement la tête. « Oui… » murmure-t-elle, la voix rauque. « Toujours. » Autour de nous, la cité de béton semble retenir son souffle, comme si les murs eux-mêmes attendent la prochaine vague de débauche. Et Clarisse sait qu’elle ne va pas la décevoir.
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