Comment je suis devenu un cuckold heureux, ma femme et moi accrocs aux blacks (Chapitre 3)

- Par l'auteur HDS Ddjoky3 -
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Récit libertin : Comment je suis devenu un cuckold heureux, ma femme et moi accrocs aux blacks (Chapitre 3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-12-2025 dans la catégorie Fétichisme
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Comment je suis devenu un cuckold heureux, ma femme et moi accrocs aux blacks (Chapitre 3)
La porte d’entrée claque encore contre le mur quand Mehdi, le torse luisant d’une fine couche de sueur, balance le carton de pizza sur la table basse du salon sans même un regard pour son contenu, ni pour moi-même d'ailleurs. Ses yeux, noirs et brillants d’une intention sans équivoque, sont rivés sur ma femme, adossée au canapé en cuir, les cuisses légèrement écartées sous sa robe moulante.
Elle a passé la soirée jusqu'ici à se faire défouraillée de plus en plus comme une bonne chiennasse par Omar et même à le provoquer, chaque mouvement étant calculé, les doigts effleurant ses lèvres gonflées, la langue humide glissant sur sa queue et se délectant de son nectar, ou parfois saisissant sa queue ou ses couilles quand il la pénétrait par derrière.
Elle sait ce qu’elle veut. Et eux aussi le savent bien. Juste le temps de se nettoyer les parties intimes à la va-vite, de réajuster sa robe qui comporte déjà des traces de sperme séché et Mehdi est déjà là comme si un jeune livreur de pizza black surexcité et débordant d'énergie et de jus ne suffisait pas !

Sans un mot, il avance vers elle, ses baskets crissant sur le parquet, ses mains larges se refermant sur ses hanches avant de la soulever comme si elle ne pesait rien. Ma femme glousse, un son étouffé qui se transforme en gémissement quand il la plaque contre le mur, la bouche du jeune livreur écrase la sienne avec une brutalité qui lui coupe le souffle.

Elle sent son jean rugueux contre ses cuisses nues, la chaleur de son entrejambe pressée contre son ventre. Ses doigts agrippent ses cheveux blonds, tirant juste assez pour lui faire incliner la tête en arrière, exposant sa gorge pâle aux lèvres de Mehdi qui y tracent un sillon brûlant.
— T'attend que ça, hein, salope ? grogne-t-il contre sa peau, sa voix rauque, épaisse de désir. Tu veux que je te défonce devant ton keum comme la petite pute à black que t'es ?

Clarisse halète, ses ongles s’enfoncent dans ses épaules musclées. Elle n’a pas besoin de répondre. Son corps parle pour elle, sa chatte déjà trempée à travers la dentelle de sa culotte, ses tétons durs comme des cailloux sous le tissu fin de sa robe.
Mehdi n’attend pas. D’un geste sec, il déchire le haut de sa robe, libérant ses gros seins fermes qui rebondissent légèrement avant qu’il n’en englobe un dans sa paume, le pétrissant avec une possessivité qui la fait gémir. Son autre main glisse sous sa jupe, arrachant la culotte d’un coup de poing, le tissu se déchire comme du papier sous sa force.
— Putain, t’es déjà toute mouillée, ricane-t-il en enfonçant deux doigts en elle sans préambule. T’as passé ta soirée à te faire bien défoncée par la bite de mon pote on dirait ?

Clarisse ne peut laisser échapper un cri, son dos se cambre quand ses doigts la labourent, brutaux, impitoyables. Elle sent son pouce appuyer contre son clito gonflé, le frottant en cercles serrés tandis que ses doigts s’enfoncent plus profond, la faisant ruisseler. Ses joues sont en feu, ses lèvres entrouvertes, un filet de bave glissant sur son menton tandis qu’elle halète, incapable de former des mots cohérents.
— Oui… oui, s’il te plaît, Mehdi… baise-moi…

Il ne se fait pas prier. D’un mouvement vif, il la retourne, la plaquant face contre le mur, ses seins écrasés contre la surface froide. Ses mains lui agrippent les hanches, ses doigts s’enfoncent dans sa chair tandis qu’il libère sa bite de son jean, le tissu glissant sur ses cuisses puissantes.
Clarisse entend le claquement de sa ceinture, le froissement du denim, puis le contact brûlant de son gland contre son entrée arrière. Elle retint son souffle, anticipant la douleur exquise.
— Tu vas hurler, ma belle, murmura-t-il, sa voix un grondement sourd près de son oreille. Mais t’as demandé ça. Alors prends-le.
Et il s’enfonce alors sans ménagement d'aucune sorte.
Un cri déchirant jaillit de la gorge de ma femme quand sa bite massive force son anneau serré, l’étirant sans pitié.
Elle se cambre, ses ongles griffant le mur, ses jambes tremblant sous l’assaut. Mehdi ne s’arrête pas. Il continue à pousser, centimètre après centimètre, jusqu’à ce que ses grosses couilles lourdes reposent contre son con trempé, sa bite entièrement engloutie dans son cul brûlant.

— Putain de merde… gémit-il, les dents serrées, ses mains agrippant ses hanches comme des étaux. T’es tellement serrée…
Ma femme ne peut pas répondre. Elle est submergée, la douleur et le plaisir se mélangeant en une vague qui lui fait voir des étoiles. Sa chatte coule, son jus dégouline le long de ses cuisses, trahissant à quel point elle adore ça.
Mehdi commence à bouger, ses hanches claquent contre ses fesses à chaque coup de rein, sa bite la labourant sans relâche, chaque poussée plus profonde, plus brutale que la précédente.
— Oh mon Dieu… oh mon Dieu, je vais—
Elle n’a pas le temps de finir. Un orgasme la frappe comme un coup de massue, son corps se contracte violemment autour de la bite de Mehdi, ses cris résonnant dans la pièce. Il grogne, ses doigts s’enfonçant davantage dans sa chair, la maintenant en place tandis qu’il accélère le rythme, ses couilles frappant son clito à chaque mouvement, prolongeant son plaisir jusqu’à ce qu’elle en ait les larmes aux yeux.

— T’as pas fini, salope, halete-t-il, sentant son cul se resserrer autour de lui. T’as même pas commencé.
Il s'adresse à son pote Omar tout en continuant à la défoncer :
— Omar… ouais, tu t'es remis du premier round frérot ?… Écoute, t'avais raison de m'appeler sur ce plan, elle kiffe grave se faire enculer comme une pute, et elle a l’air d’en vouloir toujours plus, en plus son mec reste cool c'est pas une dinguerie ?.
T’es chaud ?… Parfait. Viens on la prend à deux, frérot. Elle est en train de gicler partout.

Clarisse entend à peine la conversation. Elle est perdue dans un brouillard de plaisir, son corps secoué par des vagues d’orgasmes successifs, sa chatte et son cul brûlant sous les assauts de Mehdi.
Mais quand elle entend les pas de Omar sur le parquet, se rapprochant d'elle avec envie et détermination, son jean déjà ouvert, sa bite épaisse et veineuse saillant à travers le tissu de son boxer ; il est encore plus imposant que Mehdi—plus large d’épaules, ses bras couverts de tatouages, son regard est sombre et affamé. Il s’arrête net en les voyant, un sourire carnassier étirant ses lèvres.

— Putain, Mehdi… tu l'as enchaînée cette chienne de pute de babtou.
— Elle peut pas attendre, répond Mehdi en riant, ses hanches frappant toujours les fesses de

Clarisse avec des claquements humides. Elle veut qu’on la remplisse partout. Alors magne-toi.
Omar n'a pas besoin qu’on le lui dise deux fois. En deux enjambées, il est devant Clarisse, ses doigts se referme sur sa mâchoire pour lui faire tourner la tête vers lui.
Elle gémit quand il l’embrasse, sa langue s’enfonçant dans sa bouche avec une possessivité brutale, ses doigts agrippant ses cheveux blonds pour la maintenir en place. Elle sent ses autres mains tirer sur le reste de sa robe, le tissu se déchirant sous sa force, la laissant nue à l’exception de ses bas résille, ses seins lourds ballottant tandis que Mehdi continue à la sodomiser sans relâche.

— Regarde-moi cette pute, grogne Omar, sa paume enveloppant un sein avant de pincer son téton dur entre ses doigts. T’es une vraie salope, hein ? T’aimes ça, te faire baiser comme une moins que rien ?
Clarisse hoquette, son corps secoué par un nouveau spasme quand Mehdi enfonce sa bite jusqu’à la garde, ses couilles frappant son con avec un clap humide.
— Oui… oui, je suis une salope… baisez-moi, s’il vous plaît…

Omar éclate de rire, un rire sombre et malade. Il relâche ses seins pour s’agenouiller devant elle, ses mains glissant le long de son ventre avant de s’enfoncer entre ses cuisses. Clarisse gémit quand il écarte ses lèvres gonflées, exposant sa chatte dégoulinante, son clito palpitant, rouge et enflé.

— Putain, t’es trempée, murmure-t-il, sa voix vibrante de désir. T’as déjà giclé partout, hein ?
Il ne lui laisse pas le temps de répondre. Sa langue s’abat sur son clito, large et chaude, le léchant avec une pression qui la fait hurler. Ma femme se cambre, ses mains agrippent les cheveux crépus d’Omar tandis que Mehdi continue à la marteler par-derrière, ses coups de boutoir devenant plus erratiques, plus violents.
— Oh putain… putain, putain, putain—

Ses mots se transforment en un cri inarticulé quand Omar enfonce deux doigts en elle, les recourbant pour frotter contre ce point sensible en elle, tout en suçant son clito comme un homme affamé. Elle sent son orgasme monter à nouveau, plus intense cette fois, ses muscles se contractant autour des doigts d’Omar et de la bite de Mehdi, son corps entier tremblant sous l’assaut.
— Je vais… je vais—
Et elle gicle.

Un jet chaud jaillit de sa chatte, aspergeant le visage d’Omar qui grogne de plaisir, sa langue continuant à la lécher avidement, recueillant chaque goutte de son jus tandis qu’elle hurle, son corps secoué par des spasmes violents. Mehdi jure, ses doigts s’enfoncent dans ses hanches tandis qu’il accélère, ses couilles se contractant.
— Putain, je vais jouir…

Clarisse sent sa bite gonfler en elle, puis le premier jet de sperme chaud inonder son cul, remplissant ses entrailles tandis qu’il grogne, ses hanches tremblant contre ses fesses.
Elle hurle à nouveau, son propre orgasme prolongé par la sensation de sa semence qui la marque, la remplis.
Mais ils n’ont pas fini.

Omar se relève d’un bond, essuyant son visage ruisselant de son avant-bras avant de libérer sa bite de son boxer. Elle est massive—plus longue que celle de Mehdi, plus épaisse, les veines saillantes pulsant sous sa peau sombre.
Clarisse le fixe, ses lèvres entrouvertes, un filet de bave glissant sur son menton.
— Tu veux ça aussi, hein ? murmura Omar, sa voix rauque, ses doigts enroulant ses cheveux blonds pour lui tirer la tête en arrière. Tu veux que je te baise la gueule comme la petite pute que t’es ?
Elle hoche la tête, incapable de parler, son corps encore tremblant des vagues de plaisir qui la traversent.
Mehdi se retire enfin, sa bite luisante de sperme et de jus, laissant son cul béant, rouge et souillé. Elle sent un filet de sperme couler le long de sa cuisse, chaud et collant, mais elle n’a pas le temps d’y prêter attention. Omar lui enfonce sa bite dans la bouche.

Clarisse étouffe, ses yeux s’écarquillent quand le gland épais frappe le fond de sa gorge, la faisant tousser violemment. Mais il ne recule pas. Au contraire, il pousse plus fort, ses hanches commencent un mouvement de va-et-vient brutal, sa bite glisse entre ses lèvres gonflées, sa salive dégouline sur son menton.

— C’est ça, avale-moi, grogne-t-il, ses doigts serrant ses cheveux comme des rênes. Prends-moi jusqu’au fond, pute.

Derrière elle, Mehdi rit, sa main se pose sur son dos pour la pousser davantage vers Omar, l’encourageant à prendre chaque centimètre.
Clarisse bâillonne autour de la bite, ses yeux larmoyants, mais elle ne résiste pas. Au contraire, elle creuse ses joues, sa langue enveloppant le gland tandis qu’Omar commence à lui baiser la bouche avec des coups de reins violents, sa bite frappant sa luette à chaque poussée.

— Putain, regarde-moi cette salope, halète Mehdi, sa main glissant entre ses jambes pour frotter son clito tandis qu’elle s’étouffe sur la bite d’Omar. Elle kiffe ça, hein ? Se faire traiter comme une pute à blacks ?

Clarisse ne peut pas répondre. Elle est trop occupée à essayer de respirer entre chaque coup de boutoir, sa gorge brûlant, ses larmes coulant sur ses joues. Mais son corps dit tout. Sa chatte ruisselle à nouveau, son clito palpite sous les doigts de Mehdi, un nouvel orgasme monte en elle, plus intense que les précédents.

Et quelque part, dans un coin de la pièce, elle entend le déclic d’un téléphone.
Je suis en train de partager la scène sur une plateforme de porno amateur bien connue.
Je filme tout depuis le début.

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