Comment se défendre quand on est accusé de viol. 5 - histoire érotique

Comment se défendre quand on est accusé de viol. 5



-Tu n’as toujours pas joui…

Il se contente de sourire, mystérieux et continue à la saillir. Ça fait maintenant plus de quatre heures que nous sommes chez lui, et hormis notre petite pose pour reprendre des forces, notre étalon est toujours vaillant avec ses trois pouliches.
La tension monte de plus en plus, les vibrations et les mouvements de Martine sont accordés au piston géant qui la perfore à tout va, déclenchant de nouveau son orgasme.
On dirait que Pascal veut en finir, il entame une cavalcade effrénée dont Martine se souviendra. Elle écarte encore plus les jambes et il lui pilonne le sexe. Elle sent avec plaisir cette grosse queue dans son con et je vois bien que le plaisir qu’elle y prend est indescriptible. Quand elle jouit à nouveau, l'orgasme semble ne plus s'arrêter.

Suite
Pascal ne tarde d'ailleurs plus, lui non plus, à jouir sous ce traitement, enfin, ils poussent ensemble un long râle de plaisir. Quand il se retire entièrement de cette chatte complètement détruite d’où s’écoule un flot de sperme mélangé à une cyprine abondante, je n'en reviens pas… Sa queue baisse à peine du nez, étranglée par l’anneau qui empêche le sang de fuir des corps caverneux. Il s’étend sur le lit, la verge à peine ramollie reposant sur son bas-ventre, en voyant ça, Francine me regarde et me propose en souriant :
-Prête pour recommencer ?

Elle se met à califourchon sur son torse, se penche et dirige sa langue sur le bout du sexe à peine flétri, donne de petits coups de langue tout autour de son gland, le prenant parfois dans sa bouche. Sa langue titille le frein et Pascal, complètement passif, lâche un petit gémissement. Elle entre le plus loin possible son sexe dans la bouche, facilitée par le fait qu’il ne bande plus complètement et entreprend de bouger lentement et doucement la tête autour de cet axe viril. Les lèvres décapuchonnent l’engin et elle joue de la langue tout autour comme la mouche du coche. Sa main droite tient la base du pénis pendant que l’autre caresse les testicules de Pascal. On voit qu’elle prend du plaisir à le sucer. Elle grignote la bête du bout des dents, déguste avec délice ce phallus.
Elle commence alors à faire pression, montant et redescendant la main qui tient la base de son pénis, sans cesser le va-et-vient et la succion de sa bouche. Son sexe regonfle sous l’effet de ces caresses, de plus en plus intenses. Il arrive doucement mais avec force de se soustraire à la fellation de Francine, la verge légèrement meurtrie mais au summum de son érection. En quelques minutes d’efforts de Francine, son monstre a repris de la vigueur et n’attend plus que la suite bien que Pascal reste complètement passif, comme si ça ne le concernait plus.

Francine alors prend place sur ses cuisses et remonte centimètre par centimètre, frottant sa fente sur le boutefeu et s’assied sur lui, puis se redresse et s’empale complètement sur la verge redevenue rigide… De tous ses muscles vaginaux et de toute sa science de femme aimant baiser, elle s’emploie à raviver la flamme du désir chez lui, elle colle son bassin à celui de Pascal en faisant tournoyer ses hanches. Elle s’appuie sur les paumes et les genoux, montant et descendant son corps pour que le soc la fouille de nouveau, le faisant jouir du spectacle de ses reins qui ondulent sous le plaisir et de ses seins qui battent en cadence la mesure.
Ses halètements s’amplifient, il la sent s’arc-bouter vers lui et un long cri échappe à la jeune femme tandis qu’elle se pénètre plus violement que jamais, mais à cet instant il murmure :
-La table de chevet, le tiroir, ouvrez-le…
Martine ouvre et tiroir et en sort deux godes, copies conformes de sa formidable verge.
-Je voulais vous les offrir mais je ne savais pas que vous seriez trois, faites-en ce que vous en bon usage.
-J’ai trouvé ! S’exclame Francine toujours empalée sur son épi, pourquoi attendre chacune son tour, on va le mettre à contribution pour un travail d’équipe et ces copies en silicone vont le permettre. Pascal, vous allez tenir des deux mains l’un des godes au niveau de votre poitrine et l’autre entre vos mâchoires. Vous voyez où je veux en venir les filles ?
-Tu crois que ? l’interroge Martine.
-Oui, confirme Francine, à cheval pour la chevauchée fantastique !

Drôle de situation mais pourquoi pas ? Martine et moi prenons donc place, elle au niveau de sa poitrine et moi au niveau de son visage et nous pourfendons chacune sur l'ersatz de sa queue. Et là on a la taille, l'épaisseur massive et la dureté du silicone. Nous chevauchons donc notre étalon les trois en même temps en changeant régulièrement de place pour passer de la copie conforme à l'exemplaire unique. Pascal n’a rien à faire et reste passif alors que sa colonne de cher est broyée tour à tour par des chattes affamées. Ses trois précédentes jouissances combinées à sa résistance exceptionnelle sans compter l'anneau qui enserre sûrement douloureusement la base de son sexe font que l'on peut s'amuser aussi longtemps qu'on le désire en bonnes cavalières sur son destrier. Mais bien sûr Francine a toujours de nouvelles idées et celle-là va être coton.
-Hé les filles ! Je commence à avoir la moule en compote et ça doit être la même chose pour vous, je vous propose donc de changer de trou est de nous faire enculer les trois en même temps sur cet homme aux multiples verges.

Ce n’est pas que je sois folichonne de la sodomie, surtout avec un tel manche de pioche, mais nous sommes parties dans un tel délire, une telle orgie que plus rien ne peut nous arrêter, aucune décence, aucun tabou, rien, absolument rien ne peut empêcher ce triple enculage. J'ai quand même de la chance car contrairement à mes collègues, j'ai à ma disposition le vrai défonce-cul de Pascal. Lui au moins malgré sa dureté va quand même s’adapter plus facilement à mon sphincter.
Nous commençons quand même avec prudence à nous graisser le fion puis à l'élargir un tant soit peu entre nous avec nos doigts. Le moment fatidique est arrivé et je vois de dos Francine qui s’empale sur le rostre de gélatine avec une aisance incroyable jusqu'à ce que ses fesses écrasent les mains et la poitrine de Pascal. J'entends Martine sans pouvoir la voir, ses gémissements sont à la hauteur de ce qu'elle doit subir car elle est toute menue.
« Comment une fille si fluette peut-elle absorbée un engin pareil sans périe écartelée ? »
Mais le vagin a des capacités de dilatation extraordinaire, la minuscule donzelle se révèle capable d’engloutir le véritable monument sans faillir.
Je ne peux plus retarder l'échéance, plie les genoux en tenant fermement d'une main la pine. Mon trou du cul résiste quelques secondes avant de céder et de laisser pénétrer le dard massif. Je reste quelques secondes ainsi le temps de me détendre, d’accepter cet intrus et d'une seule poussée entre la totalité de ce monstre dans mon cul. C'est horrible, horrible, mais bien vite le plaisir noie la douleur.
Nous restons immobiles toutes les trois pendant quelques instants le temps que nos conduits s'adaptent à son marteau-pilon factice ou bien en chair. Entraînées par Francine et comme d'habitude elle est la première à ruer sur l'axe qui la transperce et nous l’imitons. Je vois dans la grande glace trois filles déchaînées qui malmènent un pauvre homme et c’est à peine si on voit son corps caché par les nôtres. Mais un tour de manège a toujours une fin et faute d'attraper le pompon, c'est Martine qui remporte la partie.
-Ahh ! Ohh ! Il vient de me remplir le cul d’une nouvelle dose de sperme !

Elle se relève et de grandes traînées blanchâtres s’échappent de son anus grand ouvert et gouttent sur le corps de Pascal. Nous nous précipitons pour ne rien perdre de cette manne, léchant son corps et quand nous relevons la tête, nous constatons qu’il s’est assoupi, complètement épuisé par ces heures de baise où il n’a pratiquement jamais débandé. Nous nous étendons contre lui et assistons à une très lente décongestion de son pénis. Mais comme d’habitude, Francine ne veut pas en rester là et saisit la verge en semi-érection à cause de l’anneau, bientôt imitée par Martine. Je ne sais pas de quoi sont fait les rêves de Pascal mais en moins de cinq minutes, la grosse limace s’est de nouveau transformée en queue d’âne. Ces deux folles lui font subir tous les outrages possibles maintenant, branle à plusieurs mains, pétrissage de ses couilles, succion de deux bouches tout le long de la hampe magnifique. Rien y fait, Pascal dort dans un trip fait de déesses qui n’ont qu’un seul dieu, Priape…

à suivre…

Ps : Certaines personnes se servent de mes textes pour fantasmer comme bon leur semble. Elles n'iront donc pas chercher plus loin. Souvent on me reproche dans mes histoires que le héros soit souvent un homme bien membré. Pour ma défense, je les incite à lire ce qui suit.

Pour les petits curieux et curieuses, je vais vous donner le moyen de pouvoir visionner ces deux vidéos et vous pourrez vous faire votre opinion par vous-même. Alors ! Suis-je un homme comme on en rencontre tant ou alors comme a dit la femme d’un couple qui m'a contacté : « Ce n'est pas un homme, c'est un cheval ! »
Je vais joindre aussi une troisième vidéo qui vous indique comment prendre les mensurations d’un homme et sur laquelle je me suis appuyé pour ma démonstration puisque c'est moi qui l’ai postée sur le net.
Pour la première vidéo, il suffit de taper sur votre clavier « MLKJHG 39, hors-normes » et de regarder la cinquième contribution.
Pour la deuxième vidéo, tapez sur votre clavier : « belles éjaculations au ralenti » Du même auteur et dites-moi ce que vous en pensez.
La troisième vidéo que je vous préconise s'intitule : « comment mesurer sa bite » par MLKJHG 39.

Je sais bien que tous les hommes accusés de viol ne peuvent pas comme moi prouver aussi facilement leurs dires. Mais la description la plus détaillée possible de votre anatomie apporte de l'eau à votre moulin et peut prouver qu'il n'y a pas eu de rapport. Bien entendu, dans un cas de rapport consenti ou non consenti, ça ne marchera pas.

Un citoyen qui a lavé son honneur….

Bien entendu, cette histoire n’est qu’un fantasme de plus d’une imagination débordante pour votre plus grand plaisir. Vos commentaires seront les bienvenus.