Comment transformé son neveu impuissant en bête de sexe. 31 - histoire érotique

Sophie, Arthur et Pierre. 3


Dans cette histoire, vous retrouvez Arthur, un puceau hyper membré, « comment transformer son neveu impuissant et harcelé en bête de sexe, épisodes 22 à 28 », ainsi que Damien et Sophie qui avait fait la connaissance de Pierre, les différentes aventures de Sophie, « Sophie, Damien et l’auteur ».


Je ne pense pas à l'âge de Pierre qui pourrait être le père d’Arthur pour ne penser qu'à ces magnifiques membres. Il faut absolument que je me fasse sodomiser par cet étalon, Arthur pouvant quant à lui remplir mon second orifice.

Suite : Pierre s’étend sur le divan, les jambes bien écartées et les pieds reposant au sol. Je me mets entre ses cuisses lui tournant le dos et recule le plus loin possible, saisis sa trique dont je me sers comme d’un pinceau entre ma chatte et mon anneau fripé et je me lance. Je plie les genoux pour faire coïncider sa cheville et ma mortaise bien graissée auparavant. Malgré tout, mon anus doit se détendre au maximum pour permettre au gland de franchir mon sphincter. Une fois son sexe bien entré en moi, il reste un moment sans bouger, je sens mon cul se refermer sur son sexe puis il se retire un peu, il fait de très lents va et vient et accélère au fur et à mesure, je gémis de plus en plus fort, il me prend bien par les hanches et ses va et vient deviennent plus rapides et violents dans mon cul, mes jambes tremblent et j’ai du mal à rester debout mais il me tient bien, je suis à lui et il ne compte pas me laisser partir.
Une fois la voie grande ouverte, je pose mes mains sur ses pectoraux et mes pieds sur ses cuisses pour œuvrer de haut en bas, absorbant la totalité de son chibre dans mon cul. Cette position laisse le chemin libre à Arthur qui s’avance sabre au clair. Je ne bouge plus lui permettant de viser sa cible. Putain !!! Je sens bien son gland qui écarte mes lèvres vaginales et glisse dans mon condit salement comprimé par l’autre colocataire dans la chambre d’à côté. Je suis loin d’être une dévergondée ayant connu souvent d’être prise devant et derrière, et jamais avec de tels étalons… Pierre ne bouge plus lui aussi pendant qu’Arthur force pour que son manche se fasse une place dans mon vagin aussi étroit que celui d’une pucelle. J’ai la bouche grande ouverte comme un poisson cherchant à respirer à la surface.
Heureusement quand même j’arrive à supporter les deux mandrins qui frottent l’un sur l’autre uniquement séparés par une fine paroi de chair, c’est à celui veut dominer l’autre.
Damien s’est accroupi derrière Arthur et filme en gros plan les couilles qui s’entrechoquent, les braquemards qui se frottent l’un sur l’autre. Pierre ne peut pas trop bouger sa verge que sur un ou deux centimètres ce qui n’est pas le cas d’Arthur qui me lime comme pour aléser ma chatte pour pouvoir mieux se mouvoir en moi.

Il me défonce la foufoune de plus en plus fort, de plus en plus vite, surexcité. Dans un grand "aaaaah" je demande grâce et jouis comme une folle. Damien vient à côté de moi, monte sur le divan et me présente sa verge pour que je l’enfonce dans ma bouche, ne tardant pas à jouir lui aussi. Je suis surprise par la rapidité de son orgasme et avale les giclées brûlantes qui inondent ma bouche. Damien grogne, retire sa verge de ma bouche et vient m’embrasser pour partager avec moi ce breuvage si particulier.
Je suis toujours prise en double par mes deux étalons au sexe énorme. Je fais l’effet d’une tranche de jambon prise en sandwich. J’en frissonne de gourmandise.

J’essaie de promener une main sur les épées plantées dans mes douces trouées. Quelques coups, comme des banderilles avant la mise à mort du taureau, me font me pâmer encore et encore. Puis arrive la communion extrême. Arthur jouit le premier, le jet inonde mon vagin, je le repousse et l'engin crache le deuxième jet de sperme qui s'écrase sur mon ventre et la base de mes seins. Il essaie de se déplacer pour que je le prenne en bouche mais je n'ai pas le temps de l'engloutir et ne reçois qu’une petite partie des deux derniers jets au fond de ma gorge. J’avale tout en enfouissant dans ma chatte mes doigts pour sentir le troisième engin toujours en fonction dans mon fondement.
Pierre me soulève par le dessous de mes cuisses, il ne va quand même pas me baiser debout ?! Effectivement il se redresse et je me hisse un peu pour ne pas chuter mais ayant mis mes mains autour de ses bras. Les siennes toujours sous mes fesses, son sexe s’introduit jusqu’à la garde de ses couilles dans mon fondement. Il me tronche ainsi mais sa queue s’expulse de mon trou et Damien lui prend sa pine, serre sa verge de sa main droite et commence à le branler. Chaque mouvement décalotte le gland turgescent.
Moi je suis tellement ouverte qu'un cheval pourrait me baiser sans que je ne sente rien. Damien met enfin le défonce-cul de Pierre dans mon vagin et l’aide en me tenant sous les cuisses pour suivre le mouvement, me maintenant solidement et moi toujours emmanchée sur ce rostre infatigable. Pierre tient mes fesses à pleine main, me soulève et me descend à son rythme, je me laisse faire, je ne suis qu’un jouet entre leurs mains.
Je sens le ramonage du gland dans mon corps. Mon mari me prend les seins en même temps et en pince les bouts. Je n’ai pas une très forte poitrine, en revanche une taille de tétons assez imposante et compte tenu de l'excitation ressentie, ils ont atteint la taille de mon petit doigt et me font presque mal de bander autant.
De multiples orgasmes me traversent, je vois des étoiles et partout mon corps se met à trembler suivant la volonté de mes deux amants qui me ballottent dans tous les sens. Damien de nouveau est le premier et se met à éjaculer de petites giclées qui graissent comme s’il en avait besoin le piston de forge de Pierre et maintenant aide mon amant en faisant coulisser mon cul ou mon vagin sur ce membre décidément infatigable en s’étonnant : - Dis donc, tu n’es pas un éjaculateur précoce toi, t’es sacrément long à jouir ! - Ça vient, lui répond Pierre, je le sens !

Il se retire enfin et me dépose au sol, je me retourne vivement et m’accroupis devant lui aussitôt suivi par mon mari. Je prends la verge presque entièrement dans ma bouche, un vrai exploit… mais mon mari me force à la partager. Je le regarde s’enfiler cette véritable matraque entre les lèvres. Je reprends enfin le témoin juste au moment crucial. Pierre se vide enfin dans ma bouche, la production est encore si abondante qu’il s’en échappe tout de même et ce malgré ma volonté de ne rien en perdre, ne serait-ce qu’une goutte. L’excédent déborde de ma bouche, s’écoule le long de mon menton et perle sur ma poitrine, dégoulinant dans la vallée située entre mes seins aux tétons durcis.
Damien saisit alors la queue de Pierre pour la nettoyer puis vient m'embrasser à pleine bouche et commence à lécher le sperme qui me macule le menton et la poitrine.

Je suis toujours à genoux, essayant de reprendre mes esprits. Mais avant que je ne m'en rende compte, Arthur qui a entre-temps repris du gourdin me relève. Il est derrière moi en train de me caresser les fesses, son sexe faisant pression sur mon anus toujours béant et entre lentement en moi, je suis encore si sensible de ce côté-là que j’ai l'impression d'être déchirée en deux à chaque avancée de son sexe en moi, un mélange de cris de douleur et de plaisir s’échappe de mes lèvres. Damien et Pierre sont avachis sur le divan et se masturbent en regardant mon jeune amant m'enculer à son tour. C’est un moment magique, je prends un pied d'enfer, ne voulant plus qu'il s'arrête. J'ai mal au cul mais c'est trop bon. Soudain Arthur s'enfonce bien en moi pour se vider dans mon cul et me lâche les hanches.

Je m'écroule de fatigue sur le divan entre Damien et Pierre, je sens le sperme dégouliner de mon cul, je ne peux plus bouger tellement je suis fatiguée. Damien est out lui aussi, la nouille pendante mais ce n’est pas le cas de Pierre qui veut encore profiter de moi avant de regagner son Jura natal. Il me prend la main pour la poser sur sa verge qui reprend petit à petit sa taille maximum.
-Sophie, tu vas encore salement dérouiller. Maintenant que je me suis légèrement dégorgé les couilles, on va passer au plat de résistance, puis tu auras droit à la totale, fromage et dessert, chez nous il y a la cancoillotte bien coulante et le fromage blanc. Et je suis sûr qu’Arthur a lui aussi encore un petit creux……………

Des promesses, que des promesses… Mais avec ces deux loustics, je crains bien qu’ils les tiennent.
Mais comme a dit mon mari Damien : Je ne vais pas me plaindre pour lui donner raison. Quand on est salope, on assume jusqu’au bout.