CONSOLATION...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-10-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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CONSOLATION...
- Rodolphe me trompe, Alain ! Tu entends, IL… ME… TROMPE.. Fit Florence en se laissant tomber sur le siège à côté du mien, après avoir ouvert la portière à la volée. Fort embarrassé, je ne savais plus quoi dire. J’aurai souhaité qu’elle ne soit pas dans ma voiture.
- Tu en es sûre ?
- Non… mais je le suppose… - Tu ne l’as pas vue de tes propres yeux ?
- Non. Mais je le sens… - Oui, je vois c’est seulement une intuition ?
- Je ne sais pas pourquoi mais j’ai l’air de te faire chier là. Je me trompe ?
- Mais non ! Où va tu cherchais ça ?
- Je ne sais pas ! C’est l’impression que tu me donnes… - Tout au contraire. Je suis flatté que tu viennes m’en parler. Tu le sais depuis longtemps ?
- Un certain temps.
- Je vois… Elle a gardé un instant le silence avant d’ajouter : - OUI ! Bon… je reconnais, que je ne suis pas moi-même, toujours très sage. Mais il s’agit que de passades sans importance, de désirs qui s’évanouissent aussitôt satisfaits.
Je l’ai écouté attentivement tout en regardant machinalement les passants. Je savais par la bouche de mon collègue, (l‘époux de Florence), que leur couple battait de l’aile. Ils étaient mariés depuis onze ans. L’âge de leur fils. Il m’avait confessé qu’il commençait sérieusement à s’ennuyer avec sa femme. Là-même qui à son tour, ne se gêner pas de dénigrer dans le dos de son mari à chacune de nos rencontres. Se lamentant de sa froideur. Comme chaque fois, je me montrais compréhensif compatissant avec les deux parties. Tâchant de réconforter, la ou le pleurnichard.
- Ah ! Si seulement il pourrait être aussi gentil que toi ! L’entendais-je me dire, alors que j‘étais canaliser dans mes pensées. Je ne sais pourquoi, poursuivit-elle, mais j’ai comme un grand besoin aujourd’hui de soulager mon cœur… Je sais qu’avec toi je peux me confier, sans crainte… De m’ouvrir sans détours… Tu sais écouter les femmes en détresse comme je le suis ses derniers temps.
- Si j’ai un conseille à te donner, c’est celui de dialoguer avec lui.
- Oh ! Il ne m’écoutera pas… - Essaye.
- C’est cause perdue, mon cher Alain. D’ailleurs depuis des mois il me délaisse, sexuellement. Oui, si tu veux savoir. Mais pourquoi je te dis cela… fit-elle prenant un air énervé.
- Un besoin de vider ton sac, sans aucun doute. Répliquais-je, comme pour la soulager.
- Si tu savais le bien que cela me fait de le vider. Je te remercie de m’écouter. Rien que ta compagnie m’est infiniment agréable.
- Si cela peut t’apaiser, tant mieux….
Elle m’a fixé un instant, sans qu’un seul mot ne sorte de sa bouche. Comme si elle était en train de réfléchir à ce qu’elle s’apprêtait à me dire.
- Tu sais ce que j’aimerai à cet instant ?
- Non, mais je ne vais pas tarder à le savoir ?
- Je ne sais pas si je dois te le dire. Non… je ne devrais pas ! Que je suis bête… fit-elle en respirant profondément, comme si elle manquait d’air.
- Non ! J’insiste. Aller qu‘est-ce que tu avais à me dire ?
Elle souffla un grand coup comme pour se donner du courage, puis se lança : - C’est très difficile à dire… crois-moi ! Voilà, je vais me lancer ! Je ne serai pas contre d’avoir une relation avec toi.
Je m’attendais à tout, mais pas à ça. Elle m’avait pris au dépourvus.
- Je ne sais quoi te répondre. Tu m’en bouche un coin, là, ma chère Florence.
- Oui, je comprends bien… mais je voulais que tu le sache. Maintenant je ne te pousse pas à la consommation.
- Florence ! Tu es plein de surprise, à ce que je vois. Tu ne penses pas que le fait que ton couple tangue un peu, cela te fait dire n’importe quoi ?
- Non ! Non ! Pas du tout. Cela fait déjà pas mal de temps que je t’ai dans mon viseur. Mais putain ! Que m’arrive-t-il. Je suis vraiment en train de perdre les pédales… je m’excuse, Alain.
- T’inquiète, la soulageais-je, comme tu sais cela restera entre nous. N’en parlant plus.
- Oui… c‘est ça, n‘en parlant plus.
Cela ne dura que quelques secondes avant qu‘elle s’enflamme à nouveau.
- Excuse-moi de te le dire, mais si tu savais dans quel état d’excitation je me trouve à cet instant. À en avoir la culotte toute mouillée. Cela faisait longtemps que cela ne m’était pas arrivé. Je meurs d‘envie de faire des folies de mon corps, si tu veux le savoir. Je dirai même que je grille en cet instant pour toi.
Voilà ! C’était dit. Une confession comme une autre, me direz-vous. Je suis resté un instant songeur. Un scénario m’a traversé même l’esprit, où je commandais à Florence de retirer sa culotte et de me la donner. Mais pas le temps de m’attarder sur le sujet que déjà ma chère passagère me ramena à la réalité. Elle était toute rouge d’excitation. Tous les traits de son visage s’étaient contractés. Un tic nerveux agitait sa lèvre inférieure. Je me mis tout de suite, mentalement en guette d’un endroit où nous pourrions être tranquilles pour consumer notre effervescence réciproque.
Une fois le lieu défini en tête, je n‘ai pas tardé à mettre le contact pour aller le rejoindre. Du coin de l’œil, je me suis rendu compte que Florence a niché sa main entre ses cuisses. Vue comme ça bouger sous sa jupette, il était facile d’imaginer ce qu’elle était en train de faire. À mon tour j’ai glissé ma menotte droite sous sa jupe, pour me joindre à la sienne. Pour cela j’ai écarté l’élastique de sa culotte. Au toucher, j’ai jaugé qu’ elle était en dentelle. Pour me faciliter l‘accès, elle s’est soulevée légèrement et fit glisser sa culotte le long de ses bottes jusqu’au plancher. Puis elle s‘est avancé sur son siège, écartant les cuisses pour mieux s’offrir à ma main fouineuse. Sa respiration s’est accélérée au fur et à mesure que je la fouillais de mes doigts. Elle les a enduit de sa mouille.
Florence a poussé de petits cris de plaisir, agitant sa chatte contre mes doigts. Très vite son corps s’est tendu et son plaisir a éclaté. Elle a hululé, comme l’aurait fait un oiseau nocturne.
Encore quelques tours de roues, et nous sommes arrivé à l’endroit désiré. Je fis quelques manœuvres pour mieux me camoufler derrière un bosquet, sous le regard de la coquine. Les joues aussi rouges que la culotte qu’elle s’était ôtée quelques instants plus tôt. Alors que je me préoccupais à me débarrasser de pantalon et slip, elle a pris place sur la banquette arrière. Dans la position la plus femelle qui soit. Je me suis empressé de la rejoindre. À moitié agenouillé derrière elle, mes pieds en chaussettes hors de la voiture. Ma tête rentrée dans mes épaules pour ne pas me cogner dans l’encadrement de la portière ouverte. J’ai contemplé un instant le spectacle qui m’était offert. Surtout le cul nu de Florence que je voyais pour la première fois, nu. Je l‘ai jugé magnifiquement. Plein, large, blanc. Elle a creusé ses reins comme pour le faire encore mieux saillir. C’était un spectacle assez fascinant. Surtout le sillon profond qui partageait les fesses, avec les ourlets rose tendre du sexe déjà ouvert, sans doute à cause de la position.
J’ai guidé ma verge d’une main. Elle a eut un gémissement quand j’ai plongé au fond de son sexe d’une seule poussée. Les muscles de son ventre se sont contractés, comme si elle cherchait à expulser son urine. J’ai fouillé sa chair tendre, qui laisser échapper des bruit de sucions. J’allais et venais à une cadence hâtive. Mes couilles, claquant contre son fessier. Florence se mit à murmurer. J’ai eu du mal à comprendre ce qu’elle disait. Dans un geste désordonné, ma queue est sortit de son fourreau. En plein euphorie, j‘ai pressé sur ses épaules pour qu’elle se courbe un peu plus en avant et prenne appui des deux coudes sur la banquette. Dans cette position, la tête basse, les jambes tendues. Elle m’a présenté son petit trou très poilu. J’ai posé le bout de mon sexe sur l’anus. Ses chairs ont lutté quelque instant contre la formidable puissance de ma verge. Mais elles ont abdiqué. Je l’ai tenu fermement par la taille et la fis rentré entièrement pour la ressortir d’un brusque retrait de reins, et recommencer aussitôt. De plus en plus rapidement.
- Putain j’ai envie de chier ! Me lança-t-elle.
Pour toute réponse, j’ai claqué mon ventre contre ses fesses, qui se tortillait en cadence.
- Ça me plaît, murmura-t-elle. Je ne sais pas si je peux jouir par là… Je suis sorti de nouveau de son cul pour mieux l‘investir l‘instant d‘après. Une vraie merveille. Elle a cambré ses reins pour mieux subir ma cadence. Très vite je suis arrivé au sommet de la courbe de ma jouissance. Le plaisir allait se déclencher d’un moment à l’autre, en moi. Je suis resté immobile, frémissant, soudés à elle, le souffle court, le cœur battant à se rompre.
- Je jouis ! Hurla-t-elle.
Il m’en a fallut pas plus pour me déverser en elle. J’ai attendu que ma verge débande un tant soit peu pour m’extirper du trou du cul. Aussitôt Florence s’est retournée pour s’installer sur la banquette. Sans doute pour récupérer, pensais-je. Mais ce n’était sans compter sur la faim sexuelle de la belle. Elle m’a désigné alors de son index sa toison luxuriante. Une épaisse touffe bouclée en relief, divisé d’une fente toute luisante. J’eux une lueur d’incompréhension. Son rire résonne encore à mes oreilles.
- Alors ! Qu’attends-tu !
J’ai obéi, et me suis agenouillé à ses pieds. Je me suis attardé sur la longue fente aux chairs rouges et gluantes. J’ai retardé le moment où je devrais me décider. Une odeur épicée envahit mes narines. Impatiente, elle a posé sa main mes cheveux et m’a attiré contre elle. Ma bouche est entrée tout de suite en contact avec les muqueuses luisantes. Un fort goût me vint à mes lèvres.
J’ai passé la pointe de ma langue dans les replis trempés de la vulve. C’était chaud. C’était bon, au point que je me suis mis à explorer le sexe ouvert. J’ai léchais les bords du vagin, remontant pour titiller le clitoris tendu. Un goût musqué a imprégné ma bouche, agissant sur moi comme un aphrodisiaque. Je me mis à sucer plus fort, plus profond. À m’en décrocher la mâchoire. Puis je suis remonté pour enrouler ma langue autour du clitoris. À chaque fois, le contact de ses poils sur mes lèvres ajoutait un surcroît de frisson. Florence se mit à me donner de grands coups de hanches.
- Vas-y ! Continus, tu fais si bien… Cria-t-elle tandis que son bassin chaloupait à un rythme de plus en plus convulsif.
J’avais mon nez, ma bouche, mon menton, enfouis dans la moiteur tropicale de son ventre, alors que cette dernière tressautée. Elle se mit alors à donner des ordres saccadés.
- Oui ! Oui, plus vire ! Vas-y plus loin ! Oui…oui, plus haut ! Plus fort… Oh oui… comme ça… c’est bon… hurla-t-elle.
Elle s’est cabrée, soulevée. Cognant si fort mon visage avec son bassin, qu’elle a faillit m’éjecter de son sexe. J’ai attendu qu’elle est eu un autre orgasme pour me poser à mon tour sur la banquette, près d‘elle. Le visage luisant de son humidité. La mâchoire douloureuse, avec un goût salé dans ma bouche.
Voilà le résultat de notre petite récréation…
- Tu en es sûre ?
- Non… mais je le suppose… - Tu ne l’as pas vue de tes propres yeux ?
- Non. Mais je le sens… - Oui, je vois c’est seulement une intuition ?
- Je ne sais pas pourquoi mais j’ai l’air de te faire chier là. Je me trompe ?
- Mais non ! Où va tu cherchais ça ?
- Je ne sais pas ! C’est l’impression que tu me donnes… - Tout au contraire. Je suis flatté que tu viennes m’en parler. Tu le sais depuis longtemps ?
- Un certain temps.
- Je vois… Elle a gardé un instant le silence avant d’ajouter : - OUI ! Bon… je reconnais, que je ne suis pas moi-même, toujours très sage. Mais il s’agit que de passades sans importance, de désirs qui s’évanouissent aussitôt satisfaits.
Je l’ai écouté attentivement tout en regardant machinalement les passants. Je savais par la bouche de mon collègue, (l‘époux de Florence), que leur couple battait de l’aile. Ils étaient mariés depuis onze ans. L’âge de leur fils. Il m’avait confessé qu’il commençait sérieusement à s’ennuyer avec sa femme. Là-même qui à son tour, ne se gêner pas de dénigrer dans le dos de son mari à chacune de nos rencontres. Se lamentant de sa froideur. Comme chaque fois, je me montrais compréhensif compatissant avec les deux parties. Tâchant de réconforter, la ou le pleurnichard.
- Ah ! Si seulement il pourrait être aussi gentil que toi ! L’entendais-je me dire, alors que j‘étais canaliser dans mes pensées. Je ne sais pourquoi, poursuivit-elle, mais j’ai comme un grand besoin aujourd’hui de soulager mon cœur… Je sais qu’avec toi je peux me confier, sans crainte… De m’ouvrir sans détours… Tu sais écouter les femmes en détresse comme je le suis ses derniers temps.
- Si j’ai un conseille à te donner, c’est celui de dialoguer avec lui.
- Oh ! Il ne m’écoutera pas… - Essaye.
- C’est cause perdue, mon cher Alain. D’ailleurs depuis des mois il me délaisse, sexuellement. Oui, si tu veux savoir. Mais pourquoi je te dis cela… fit-elle prenant un air énervé.
- Un besoin de vider ton sac, sans aucun doute. Répliquais-je, comme pour la soulager.
- Si tu savais le bien que cela me fait de le vider. Je te remercie de m’écouter. Rien que ta compagnie m’est infiniment agréable.
- Si cela peut t’apaiser, tant mieux….
Elle m’a fixé un instant, sans qu’un seul mot ne sorte de sa bouche. Comme si elle était en train de réfléchir à ce qu’elle s’apprêtait à me dire.
- Tu sais ce que j’aimerai à cet instant ?
- Non, mais je ne vais pas tarder à le savoir ?
- Je ne sais pas si je dois te le dire. Non… je ne devrais pas ! Que je suis bête… fit-elle en respirant profondément, comme si elle manquait d’air.
- Non ! J’insiste. Aller qu‘est-ce que tu avais à me dire ?
Elle souffla un grand coup comme pour se donner du courage, puis se lança : - C’est très difficile à dire… crois-moi ! Voilà, je vais me lancer ! Je ne serai pas contre d’avoir une relation avec toi.
Je m’attendais à tout, mais pas à ça. Elle m’avait pris au dépourvus.
- Je ne sais quoi te répondre. Tu m’en bouche un coin, là, ma chère Florence.
- Oui, je comprends bien… mais je voulais que tu le sache. Maintenant je ne te pousse pas à la consommation.
- Florence ! Tu es plein de surprise, à ce que je vois. Tu ne penses pas que le fait que ton couple tangue un peu, cela te fait dire n’importe quoi ?
- Non ! Non ! Pas du tout. Cela fait déjà pas mal de temps que je t’ai dans mon viseur. Mais putain ! Que m’arrive-t-il. Je suis vraiment en train de perdre les pédales… je m’excuse, Alain.
- T’inquiète, la soulageais-je, comme tu sais cela restera entre nous. N’en parlant plus.
- Oui… c‘est ça, n‘en parlant plus.
Cela ne dura que quelques secondes avant qu‘elle s’enflamme à nouveau.
- Excuse-moi de te le dire, mais si tu savais dans quel état d’excitation je me trouve à cet instant. À en avoir la culotte toute mouillée. Cela faisait longtemps que cela ne m’était pas arrivé. Je meurs d‘envie de faire des folies de mon corps, si tu veux le savoir. Je dirai même que je grille en cet instant pour toi.
Voilà ! C’était dit. Une confession comme une autre, me direz-vous. Je suis resté un instant songeur. Un scénario m’a traversé même l’esprit, où je commandais à Florence de retirer sa culotte et de me la donner. Mais pas le temps de m’attarder sur le sujet que déjà ma chère passagère me ramena à la réalité. Elle était toute rouge d’excitation. Tous les traits de son visage s’étaient contractés. Un tic nerveux agitait sa lèvre inférieure. Je me mis tout de suite, mentalement en guette d’un endroit où nous pourrions être tranquilles pour consumer notre effervescence réciproque.
Une fois le lieu défini en tête, je n‘ai pas tardé à mettre le contact pour aller le rejoindre. Du coin de l’œil, je me suis rendu compte que Florence a niché sa main entre ses cuisses. Vue comme ça bouger sous sa jupette, il était facile d’imaginer ce qu’elle était en train de faire. À mon tour j’ai glissé ma menotte droite sous sa jupe, pour me joindre à la sienne. Pour cela j’ai écarté l’élastique de sa culotte. Au toucher, j’ai jaugé qu’ elle était en dentelle. Pour me faciliter l‘accès, elle s’est soulevée légèrement et fit glisser sa culotte le long de ses bottes jusqu’au plancher. Puis elle s‘est avancé sur son siège, écartant les cuisses pour mieux s’offrir à ma main fouineuse. Sa respiration s’est accélérée au fur et à mesure que je la fouillais de mes doigts. Elle les a enduit de sa mouille.
Florence a poussé de petits cris de plaisir, agitant sa chatte contre mes doigts. Très vite son corps s’est tendu et son plaisir a éclaté. Elle a hululé, comme l’aurait fait un oiseau nocturne.
Encore quelques tours de roues, et nous sommes arrivé à l’endroit désiré. Je fis quelques manœuvres pour mieux me camoufler derrière un bosquet, sous le regard de la coquine. Les joues aussi rouges que la culotte qu’elle s’était ôtée quelques instants plus tôt. Alors que je me préoccupais à me débarrasser de pantalon et slip, elle a pris place sur la banquette arrière. Dans la position la plus femelle qui soit. Je me suis empressé de la rejoindre. À moitié agenouillé derrière elle, mes pieds en chaussettes hors de la voiture. Ma tête rentrée dans mes épaules pour ne pas me cogner dans l’encadrement de la portière ouverte. J’ai contemplé un instant le spectacle qui m’était offert. Surtout le cul nu de Florence que je voyais pour la première fois, nu. Je l‘ai jugé magnifiquement. Plein, large, blanc. Elle a creusé ses reins comme pour le faire encore mieux saillir. C’était un spectacle assez fascinant. Surtout le sillon profond qui partageait les fesses, avec les ourlets rose tendre du sexe déjà ouvert, sans doute à cause de la position.
J’ai guidé ma verge d’une main. Elle a eut un gémissement quand j’ai plongé au fond de son sexe d’une seule poussée. Les muscles de son ventre se sont contractés, comme si elle cherchait à expulser son urine. J’ai fouillé sa chair tendre, qui laisser échapper des bruit de sucions. J’allais et venais à une cadence hâtive. Mes couilles, claquant contre son fessier. Florence se mit à murmurer. J’ai eu du mal à comprendre ce qu’elle disait. Dans un geste désordonné, ma queue est sortit de son fourreau. En plein euphorie, j‘ai pressé sur ses épaules pour qu’elle se courbe un peu plus en avant et prenne appui des deux coudes sur la banquette. Dans cette position, la tête basse, les jambes tendues. Elle m’a présenté son petit trou très poilu. J’ai posé le bout de mon sexe sur l’anus. Ses chairs ont lutté quelque instant contre la formidable puissance de ma verge. Mais elles ont abdiqué. Je l’ai tenu fermement par la taille et la fis rentré entièrement pour la ressortir d’un brusque retrait de reins, et recommencer aussitôt. De plus en plus rapidement.
- Putain j’ai envie de chier ! Me lança-t-elle.
Pour toute réponse, j’ai claqué mon ventre contre ses fesses, qui se tortillait en cadence.
- Ça me plaît, murmura-t-elle. Je ne sais pas si je peux jouir par là… Je suis sorti de nouveau de son cul pour mieux l‘investir l‘instant d‘après. Une vraie merveille. Elle a cambré ses reins pour mieux subir ma cadence. Très vite je suis arrivé au sommet de la courbe de ma jouissance. Le plaisir allait se déclencher d’un moment à l’autre, en moi. Je suis resté immobile, frémissant, soudés à elle, le souffle court, le cœur battant à se rompre.
- Je jouis ! Hurla-t-elle.
Il m’en a fallut pas plus pour me déverser en elle. J’ai attendu que ma verge débande un tant soit peu pour m’extirper du trou du cul. Aussitôt Florence s’est retournée pour s’installer sur la banquette. Sans doute pour récupérer, pensais-je. Mais ce n’était sans compter sur la faim sexuelle de la belle. Elle m’a désigné alors de son index sa toison luxuriante. Une épaisse touffe bouclée en relief, divisé d’une fente toute luisante. J’eux une lueur d’incompréhension. Son rire résonne encore à mes oreilles.
- Alors ! Qu’attends-tu !
J’ai obéi, et me suis agenouillé à ses pieds. Je me suis attardé sur la longue fente aux chairs rouges et gluantes. J’ai retardé le moment où je devrais me décider. Une odeur épicée envahit mes narines. Impatiente, elle a posé sa main mes cheveux et m’a attiré contre elle. Ma bouche est entrée tout de suite en contact avec les muqueuses luisantes. Un fort goût me vint à mes lèvres.
J’ai passé la pointe de ma langue dans les replis trempés de la vulve. C’était chaud. C’était bon, au point que je me suis mis à explorer le sexe ouvert. J’ai léchais les bords du vagin, remontant pour titiller le clitoris tendu. Un goût musqué a imprégné ma bouche, agissant sur moi comme un aphrodisiaque. Je me mis à sucer plus fort, plus profond. À m’en décrocher la mâchoire. Puis je suis remonté pour enrouler ma langue autour du clitoris. À chaque fois, le contact de ses poils sur mes lèvres ajoutait un surcroît de frisson. Florence se mit à me donner de grands coups de hanches.
- Vas-y ! Continus, tu fais si bien… Cria-t-elle tandis que son bassin chaloupait à un rythme de plus en plus convulsif.
J’avais mon nez, ma bouche, mon menton, enfouis dans la moiteur tropicale de son ventre, alors que cette dernière tressautée. Elle se mit alors à donner des ordres saccadés.
- Oui ! Oui, plus vire ! Vas-y plus loin ! Oui…oui, plus haut ! Plus fort… Oh oui… comme ça… c’est bon… hurla-t-elle.
Elle s’est cabrée, soulevée. Cognant si fort mon visage avec son bassin, qu’elle a faillit m’éjecter de son sexe. J’ai attendu qu’elle est eu un autre orgasme pour me poser à mon tour sur la banquette, près d‘elle. Le visage luisant de son humidité. La mâchoire douloureuse, avec un goût salé dans ma bouche.
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