Copains de plage
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Copains de plage
Nous sommes sur la plage avec des copains de rencontre. Nous ne les connaissons que depuis hier soir, quand un des deux t’a dragué. Tu n’as pas dit non, au contraire, tu es partie avec lui pour une promenade digestive, à savoir qu’il te la mise partout où c’est possible, d’après ce que tu m’a dis en rentrant : tu étais pleine de sperme à peu près partout, à tel point qu’il a fallu que tu te laves complètement pour tout éliminer. Tu avais tellement baisé que pout une fois tu m’as branlé, tu ne pouvais plus avoir même ma pine dans ton corps, même pas la bouche.
Depuis que nous prenons le soleil les deux copains te cherchent encore, d’abord celui qui t’a fait l’amour hier et le suivant qui te veut aussi. Pour cette fois tu restes tranquille. C’est moi que tu veux. Nous allons derrière la dune, je te tiens par la taille, toi tu en fais de même. Nous trouvons une ombre agréable sous un pin parasol. Je commence par t’embrasser sur la bouche et pourtant c’est toi qui rentre ta langue dans la mienne. Je n’ai pas à m’occuper de te défaire le soutiens gorge, ta grosse poitrine est déjà nue et bronzée. Je n’ai qu’à t’enlever le string qui te sert de maillot. Tu restes debout pendant que je m’accroupi pour passer ma langue juste en haut de ta chatte, là où se trouve ton bouton. Je ne me lasse pas de le lécher. Tu écartes largement les jambes, tu en veux plus. Je vais te le donner ton plus : je te fait coucher sur le sable, tes jambes que tu ouvres maintenant au maximum sont douces à ma langue, je lèche l’intérieur de tes cuisses pour arriver vers ta moule bien mouillée. Tu te doutes de ce que je te vais faire, te prendre le clito dans ma bouche, et pourtant j’ai plus d’un tour dans mon sac. Ma langue ne cherche même pas ton sexe, mais un peu plus bas ton anus.
C’est notre première fois ainsi, je pose le bout de ma langue pour lécher le pourtour de ton cul. Tu gémis devant ce nouveau plaisir, tu aimes quand je t’encule, mais ainsi c’est une divine surprise. Je te lèche tellement bien, que tu sens monter un orgasme. Il est différant, sans doute plus fort à cause de cette nouveauté. Je sais que si tu en jouis bien, tu me le demanderas souvent. Tu appuis tes mains sur ma tête comme pour me dire de ne pas quitter cet endroit. Je continue un moment avant de venir dans ton con toujours avec ma langue. Quand je suis dedans, tu passes tes jambes sur mes épaules : tu te laisses faire, comme toujours. Tu jouis encore. Je relève la tête pour te demander un 69, je bande trop et je veux que tu me fasses jouir dans ta bouche. Je me tourne sur le dos en passant ma tête vers ton bas ventre que j’embrasse et toi tu restes comme tu es : tu m’embrasses à peine le bout. Enfin tu viens sur moi, je sens tes seins sur mon ventre, j’en profite au maximum. C’est toi qui me prend dans la bouche, tu ne te sers même pas de tes mains, tes lèvres seules font descendre le prépuce, tu lèches mon gland, tu titilles juste le centre avant d’engloutir ma bite jusqu’au fond de ta gorge. Tu retiens une envie de vomir. Tu t’habitues enfin à la présence de la bite au fond. Et ta tête vas et viens sur ma pine.
Je t’ai pris le clitoris, je sais que tu adores quand je te lèche là. En plus pour que tu ressentes plus de plaisir je l’ai aspiré pour en lécher juste le bout dans ma bouche, avant de le rejeter et recommencer jusqu’au moment où te ne peux retenir une autre jouissance. Nous avons la chance de jouir ensemble. Nous nous accordons un instant de répit. Tu viens sur mon épaule pour que je te câline.
Nous ne sommes pas tranquilles une minute, nos nouveaux copains arrivent. Leurs nudités ainsi que leurs bites bien droites nous font comprendre qu’ils te veulent. Ils ne s’en cachent même pas ! Ils ne te proposent rien d’autre que te la mettre les deux ensemble, ils demandent une double pénétration. Ca te tentes d’essayer une fois rien que pour savoir quel genre d’orgasme ça peut t’apporter. Décidément depuis hier tu es drôlement dévergondée. Tu aurais pu me demander de participer ! Tu me dis tout à l’heure. Qui sait comment je serai tout à l’heure……….
Le moins doté par la nature se couche sur le dos, il te prend par un bras pour que tu viennes toi même te la mettre dans le con. Tu ne demandes pas mieux : tu t’installes sur lui, tu prends sa pine pour la fourrer dans ton con. Comme tu es encore mouillée de notre baise, tu te laisses glisser jusqu’à ce que tu l’ais toute en toi. A ce moment celui qui t’a si bien baisée la veille me demande de te mouiller ton cul : il ose demander à ton époux de l’aider à t’enculer. Je mets pas mal de salive sur mes doigts et j’enduit l’entrée de ton cul. Finalement je le fais en bandant, te voir déjà avec une queue dans ta moule m’excite terriblement. Je vais même plus loin je lui prend la bite pour la guider vers ton cul. Il te la met déjà, tu commences par avoir mal, très mal même et pourtant tu sens le plaisir rentrer en toi : d’avoir ces deux queues en toi en même temps.
Je suis à genoux juste à tes cotés. Je bande assez pour avoir envie de me branler et quand je commence à le faire, tu m’arrêtes... Tu me veux dans ta bouche. Ta langue recommence son travail, ta tête aussi. Je ne sais même pas si tu te rends compte de ce que tu fais avec trois queues en toi. Ce que je sais par contre c’est que tu prends un très grand plaisir en dégustant cet instant qui pour toi est merveilleux. Je ne t’en veux même pas de baiser avec d’autres devant moi. C’est sacrément excitant. Je bande tellement qu’il me semble que ma bite grossit dans ta bouche, je ne peux plus me retenir, je jouis dans ta bouche et tu avales tout le sperme. Tu me gardes dans la bouche tout le temps que mettent les deux autres à jouir. Quand ils se relèvent on peux voir leurs bites l’une pleine de ta cyprine et l’autre avec des tâches douteuses mais pleine les deux de sperme. La folie t’emmène à leur laver les bites avec ta langue.
Depuis que nous prenons le soleil les deux copains te cherchent encore, d’abord celui qui t’a fait l’amour hier et le suivant qui te veut aussi. Pour cette fois tu restes tranquille. C’est moi que tu veux. Nous allons derrière la dune, je te tiens par la taille, toi tu en fais de même. Nous trouvons une ombre agréable sous un pin parasol. Je commence par t’embrasser sur la bouche et pourtant c’est toi qui rentre ta langue dans la mienne. Je n’ai pas à m’occuper de te défaire le soutiens gorge, ta grosse poitrine est déjà nue et bronzée. Je n’ai qu’à t’enlever le string qui te sert de maillot. Tu restes debout pendant que je m’accroupi pour passer ma langue juste en haut de ta chatte, là où se trouve ton bouton. Je ne me lasse pas de le lécher. Tu écartes largement les jambes, tu en veux plus. Je vais te le donner ton plus : je te fait coucher sur le sable, tes jambes que tu ouvres maintenant au maximum sont douces à ma langue, je lèche l’intérieur de tes cuisses pour arriver vers ta moule bien mouillée. Tu te doutes de ce que je te vais faire, te prendre le clito dans ma bouche, et pourtant j’ai plus d’un tour dans mon sac. Ma langue ne cherche même pas ton sexe, mais un peu plus bas ton anus.
C’est notre première fois ainsi, je pose le bout de ma langue pour lécher le pourtour de ton cul. Tu gémis devant ce nouveau plaisir, tu aimes quand je t’encule, mais ainsi c’est une divine surprise. Je te lèche tellement bien, que tu sens monter un orgasme. Il est différant, sans doute plus fort à cause de cette nouveauté. Je sais que si tu en jouis bien, tu me le demanderas souvent. Tu appuis tes mains sur ma tête comme pour me dire de ne pas quitter cet endroit. Je continue un moment avant de venir dans ton con toujours avec ma langue. Quand je suis dedans, tu passes tes jambes sur mes épaules : tu te laisses faire, comme toujours. Tu jouis encore. Je relève la tête pour te demander un 69, je bande trop et je veux que tu me fasses jouir dans ta bouche. Je me tourne sur le dos en passant ma tête vers ton bas ventre que j’embrasse et toi tu restes comme tu es : tu m’embrasses à peine le bout. Enfin tu viens sur moi, je sens tes seins sur mon ventre, j’en profite au maximum. C’est toi qui me prend dans la bouche, tu ne te sers même pas de tes mains, tes lèvres seules font descendre le prépuce, tu lèches mon gland, tu titilles juste le centre avant d’engloutir ma bite jusqu’au fond de ta gorge. Tu retiens une envie de vomir. Tu t’habitues enfin à la présence de la bite au fond. Et ta tête vas et viens sur ma pine.
Je t’ai pris le clitoris, je sais que tu adores quand je te lèche là. En plus pour que tu ressentes plus de plaisir je l’ai aspiré pour en lécher juste le bout dans ma bouche, avant de le rejeter et recommencer jusqu’au moment où te ne peux retenir une autre jouissance. Nous avons la chance de jouir ensemble. Nous nous accordons un instant de répit. Tu viens sur mon épaule pour que je te câline.
Nous ne sommes pas tranquilles une minute, nos nouveaux copains arrivent. Leurs nudités ainsi que leurs bites bien droites nous font comprendre qu’ils te veulent. Ils ne s’en cachent même pas ! Ils ne te proposent rien d’autre que te la mettre les deux ensemble, ils demandent une double pénétration. Ca te tentes d’essayer une fois rien que pour savoir quel genre d’orgasme ça peut t’apporter. Décidément depuis hier tu es drôlement dévergondée. Tu aurais pu me demander de participer ! Tu me dis tout à l’heure. Qui sait comment je serai tout à l’heure……….
Le moins doté par la nature se couche sur le dos, il te prend par un bras pour que tu viennes toi même te la mettre dans le con. Tu ne demandes pas mieux : tu t’installes sur lui, tu prends sa pine pour la fourrer dans ton con. Comme tu es encore mouillée de notre baise, tu te laisses glisser jusqu’à ce que tu l’ais toute en toi. A ce moment celui qui t’a si bien baisée la veille me demande de te mouiller ton cul : il ose demander à ton époux de l’aider à t’enculer. Je mets pas mal de salive sur mes doigts et j’enduit l’entrée de ton cul. Finalement je le fais en bandant, te voir déjà avec une queue dans ta moule m’excite terriblement. Je vais même plus loin je lui prend la bite pour la guider vers ton cul. Il te la met déjà, tu commences par avoir mal, très mal même et pourtant tu sens le plaisir rentrer en toi : d’avoir ces deux queues en toi en même temps.
Je suis à genoux juste à tes cotés. Je bande assez pour avoir envie de me branler et quand je commence à le faire, tu m’arrêtes... Tu me veux dans ta bouche. Ta langue recommence son travail, ta tête aussi. Je ne sais même pas si tu te rends compte de ce que tu fais avec trois queues en toi. Ce que je sais par contre c’est que tu prends un très grand plaisir en dégustant cet instant qui pour toi est merveilleux. Je ne t’en veux même pas de baiser avec d’autres devant moi. C’est sacrément excitant. Je bande tellement qu’il me semble que ma bite grossit dans ta bouche, je ne peux plus me retenir, je jouis dans ta bouche et tu avales tout le sperme. Tu me gardes dans la bouche tout le temps que mettent les deux autres à jouir. Quand ils se relèvent on peux voir leurs bites l’une pleine de ta cyprine et l’autre avec des tâches douteuses mais pleine les deux de sperme. La folie t’emmène à leur laver les bites avec ta langue.
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