Corps à corps dans la lutte

- Par l'auteur HDS Mowgli -
Récit érotique écrit par Mowgli [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 9 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.6
  • • L'ensemble des récits érotiques de Mowgli ont reçu un total de 91 127 visites.
Récit libertin : Corps à corps dans la lutte Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-08-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 7 094 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Corps à corps dans la lutte
A chacune de nos retrouvailles, je tiens à vous remercier pour les nombreux mails que j’ai reçus et je ne dérogerai pas à la règle cette fois encore. Vous ne pouvez pas savoir le plaisir qui m’envahit lorsque je lis l’un d’entre vous, d’où mon empressement à répondre. Je suis certain que l’excitation est la même que celle que vous pouvez ressentir à la lecture de mes textes. D’ailleurs si je ne me trompe, nous nous sommes quittés sur une conversation pas piquée des hannetons.
— T’inquiètes mec, tant que j’ai envie de me plier, je ne vois pas de raison pour me rebeller. En fait, je veux te proposer un petit jeu, histoire de pimenter la chose. Je crois me souvenir que lors des travaux pratiques le prof fait toujours la démonstration à ses élèves. Qu’est-ce que tu dirais d’un défi ?
— Parles mec, parce que tu m’intéresse sérieusement.
— Le premier qui fait venir l’autre est déclaré vainqueur, avec en récompense son souhait exaucé sur le champ, qu’il est interdit de divulguer avant la fin du défi.
— Je n’ai rien à redire, hormis que le jeu commence.

Contrairement à mon attente, mon gladiateur ne se jette pas sur mon frêle corps, pour n’en faire qu’une bouchée. Avec beaucoup de délicatesse, il se penche vers mon visage, pour y déposer de doux baisers sur chacune de ses parties, avant de s’attarder plus longuement sur mes lèvres. Ses mains agiles se baladent sur mon corps, tâtant sur son passages les différents morceaux de chairs qui s’y présentent, quitte à jouer de caresses plus poussées sur certaines. Le salop a vite compris que j’aimais les montées en pression lentes et savoureuses dans un crescendo continue. Si je veux gagner, je n’ai pas intérêt à rester dans cette situation, car je sens que déjà mon corps me trahit en s’abandonnant à l’adresse de mon petit rebeu.
Avec la prestesse d’un félin, je me détache de ses bras, ce qui me permet de briser son charme pendant que je m’habille de mon boxer pour cacher mon excitation. Moment précis que j’ai choisi parce qu’une nouvelle musique vient de démarrer, ce qui va me permettre de retourner la situation à mon avantage. Il s’agit de « Mr. Boombastic » de Shaggy (je suis éclectique comme garçon), rien de mieux qu’un semblant de dancehall pour faire triquer un mec d’autant plus que mon corps connait chacune des variations de la chanson. Je n’ai rien à faire, hormis laisser mon anatomie se déhancher avec volupté contre la sienne. Afin d’attirer ma proie entre mes cuisses, je tends les bras vers lui avec la volonté de le faire se lever, accompagnant le geste d’une œillade bleue glacée dont j’ai le secret pour réveiller son ardeur.

Monsieur ne se fait pas prier et s’avance avec la lenteur d’un prédateur qui hésite sur le moment à déchirer sa victime d’un coup de mâchoires. Sans crainte ni peur, je plonge dans ses bras, pour faire communiquer nos corps d’un collé serré audacieux. Quel n’est pas mon étonnement, lorsque je remarque que Driss répond avec précision à mes mouvements, comme s’il était lié à moi par quelques liens invisibles. Jouant avec mes nerfs, Driss se met à me titiller par la profondeur de son coup de reins, ce qui me permet d’appuyer d’autant plus ma jambe sur sa queue. De la sentir contre ma peau me permet de jauger la taille de son morceau, qui me semble être un mastodonte comparé à la mienne. A force d’y penser, je commence sérieusement à mouiller que ce soit de la queue ou du cul.
— Comme tu peux le voir, tu n’es pas seul tout à t’y connaître en dance, puisque je fais du break depuis que j’ai cinq ans avec quelques potes de la téci. Je ne fsais pas jouer ma pute comme toi, mais je peux te faire monter dans n’importe quelle position.

Avec sa musculature de spartiate, je ne m’attendais pas à ce qu’il puisse bouger avec l’aisance d’un ver de terre. Pris à mon propre piège, je me décide à changer mon fusil d’épaule pour remporter ce combat. Comme j’ai déjà réussi à le faire jouir par le seul mouvement de mes hanches, je donne de l’ampleur à mes mouvements pour me libérer de son emprise, afin de me retourner avec diligence. Sans lui laisser le temps de respirer, je fais correspondre la position de mes fesses à celle de la bosse qui déforme son boxer. Il ne me reste plus qu’à donner à mes mouvements la fureur de vaincre qui m’habite, en coulissant avec lascivité mon cul contre sa bite. Devenant un véritable allumeur, je me cambre sur son torse, pour laisser ma tête se pencher sur ses pectoraux et lui permettre de voir mes lèvres s’entrouvrir en de sensuels gémissements.
— Tu crois que je vais me laisser avoir une deuxième fois par tes façons de lopsa. Ecartes-toi de ma queue, avant que je décide de te déchirer l’anus, en te prenant à sec comme tu le mérites. Je t’ai dis de pas franchir la frontière sous peine d’une sérieuse punition : interdit d’utiliser autre chose que le devant de son corps pour faire juter l’autre…
— Hey, c’est dégueulasse, tu ne l’avais pas mentionné avant alors ça ne peut pas compter.
— Mec, il n’y a pas de justice, sauf la mienne. Alors ferme ta gueule et active toi avant que je ne perde patience.

Contraint par la force de ses menaces, je me vois obliger de prendre en compte cette nouvelle règle, qui me fait penser que Driss a peur de perdre en m’imposant cette limite aléatoire. Au lieu de me laisser changer d’orientation, le mec me choppe par les hanches, fais descendre ses mains le long de mes fesses et déchire mon boxer d’un seul élan. Je me retrouve cul nul à la merci de ce mec, qui sait comment dominer son monde.
— Et je ne crois pas t’avoir dis de te rhabiller, me dit-il avant de me donner une claque sur le cul.
Malgré la situation, mon esprit indiscipliné refuse de flancher, quitte à devoir faire preuve d’une résistance farouche. Afin de déstabiliser mon assaillant, je me pends à son cou, ce qui me permet d’enrouler mes jambes autour de ses hanches. Tel un singe sur sa branche, je me balance d’avant en arrière, avec pour seul point de mire sa queue prête à exploser dans son sous-vêtement. Voulant m’assurer une meilleure stabilité, il pose ses mains sur mes deux fesses, ce qui me permet de me donner une assise. La position est dangereuse aussi bien pour lui que pour moi, car il m’écarte le cul de telle manière que mon trou s’ouvre au monde. J’en profite pour m’agripper aux deux anses de son débardeur avec poigne comme deux lianes grâce auxquelles je puisse basculer.
Les yeux dans les yeux, nous nous jaugeons du regard pour savoir lequel va dégainer en premier dans un véritable duel de western. Alors que je pensais mon équilibre certain, Driss retirer une demi-seconde ses mains, pour me rattraper ensuite, ce qui me fais vaciller sur ma hauteur. Voulant me rétablir par réflexe, je plaque mes mains contre ses pectoraux. Ce simple geste est comme un coup de foudre qui m’électrise le corps, à tel point je suis impressionné par ses muscles de héros grec. Cette fermeté virile fait la part belle à un certain moelleux, qui me donne chaud au corps. Pendant que je m’approche du gouffre de l’agonie, je remarque sous mes doigts que ses tétons sont particulièrement durs. Je saisis alors que ce mur de chaires est excité tout autant que je le suis, ce qui me motive à reprendre du poil de la bête.

— Je crois qu’il est temps que je découvre ta chambre, décide mon lascar. Je pourrais te porter comme ça toute la journée, mais j’ai trop envie de voir comment tu te débrouilles allonger. Je suis certain qui tu n’es pas du genre étoile de mer … sinon tu vas prendre chère.
Mon bras se lève avec nonchalance vers la porte de ma chambre, avant de retomber de manière massive comme s’il était engourdi. D’ailleurs, j’ai la sensation que l’ensemble de mon corps est ensommeillé, ainsi que mon esprit. Pour être plus proche de la vérité, je dirais que j’avais l’air complètement défoncé par je ne sais quel substance. En même temps, un bien-être m’envahit l’âme, qui semble se perdre dans une béatitude pleine de sensualité. Un véritable abandon prend possession de moi, laissant à Driss le soin de me manipuler comme il l’entend. Sans prendre garde, une image assaille mon esprit : la chenille d’Alice fumant son houka.
Accro ! Sans m’en rendre compte, j’utilise le corps de ce mec musculeux de la même manière qu’un drogué se shoote. Toutes les parcelles de mon être sont concentrées sur un seul point avec la détermination d’un camé. Que ce soit mes yeux, mon nez, mes mains, ma bouche ou mes oreilles, chacun de mes sens est en éveil pour se repaître de chaque émanation de ce monstre. Malgré cette extase, je sais que je dois reprendre le dessus pour remporter la mise sur mon homme. Je suis du genre mauvais joueur, que je gagne ou que je perde, mes réactions sont toujours pleines de violence. Je veux lui prouver que sa domination n’est rien à mes yeux et que celui qui contrôle la situation n’est autre que moi.

Comment résister à un mec qui arrive à vous prendre dans ses bras comme si vous étiez un sac de plume ? Je sais que ma charge de 62kg peut paraître ridicule, mais je ne cesse d’être impressionné par sa force. Sur le chemin qui nous mène à mon lit, Driss en a profité pour éteindre toutes les lumières, laissant régner les ténèbres dans mon appartement. Je suis privé du sens de la vue dans ce noir total, ce qui tend à rendre ma fièvre encore plus virulente. Avec d’infinies précautions, il me pose sur le lit, ce qui me permet de reprendre mon souffle. Impossible pour moi de ne pas laisser entendre mes halètements, jusqu’à ce qu’un poids me coupe la respiration.
Digne d’une prise de catch, imaginez-vous avec Dwayne Johnsonn (A.K.A The Rosk) étalé de tout son long sur vous. Je peux vous dire qu’il faut réussir à tenir le choc du corps à corps. Ainsi je me décide à enrouler mes jambes autour de ses cuisses puissantes afin d’avoir plus d’aisance dans le mouvement de mon bassin. Après tout, je considère que ce n’est pas parce que je me retrouve sous un mec, que je dois faire le mort. Au contraire, je suis plutôt du genre déchainé maintenant que j’y pense, une sorte de petit passif actif si vous voyez l’idée. Alors que je commençais à donner de moi, pour faire jouir Driss avant qu’il n’arrive à me faire succomber, je me rends compte que le monsieur est enfin nu. Et l’absence de lumière ne m’empêche en rien de m’enivrer de ce corps qui m’est offert.

Subjugué, j’ose à peine toucher avec mes deux mains ce corps qui me paraît divin, mais comment s’empêcher de résister à une caillera pareille ? Je commence à peine à caresser son dos, que je dois concentrer toute mon énergie à ne pas me répandre tellement je suis excité. Sa peau est si douce, elle me rappelle l’odeur de miel que j’avais sentis sur sa queue, mais ce sont surtout ses muscles que je sens rouler sous la peau qui me fascine. J’ai l’impression qu’un rouleau-compresseur me passe sur le bassin rien qu’à la puissance de ses mouvements. Mouvements qui me permettent de sentir sa queue glisser le long de la mienne. Si j’ai du mal à me souvenir de son apparence, je peux désormais sentir son modelé s’imprimer sur ma peau. Je me sens ridicule en comparaison avec la mienne, tellement elle me semble longue et large. A vrai dire ce qui me surprend le plus reste ses deux grosses couilles qui pendent le long de mon périnée, elles semblent juste énormes et réussissent à stimuler l’intérieur de mes cuisses.
Je m’écouterais, que je serais déjà en train de lui dévorer le corps. Afin de me ressaisir, je donne à mes déhanchements plus d’ampleur, ce qui tend à rendre Driss encore plus débrider. Profitant d’un moment d’égarement de sa part, j’arrive à le faire basculer, ce qui me donne l’occasion de dominer ce mâle qui se retrouve sous moi. Telle une sirène sur un rocher, mes deux mains viennent se plaquer sur le roc de son torse, ce qui me permet de prendre appui. Véritable libération, je sens que ma chair se laisse partir à la dérive de ce tsunami de plaisir qui m’envahit. En guise de provocation, mon corps se transforme en vague déferlante, dont la houle prend possession de ma tête pour se dérouler jusqu’à mes pieds.

Comme je m’y attendais, ce dieu mauresque me bouscule sauvagement sur le côté, avec le souhait de surfer sur le tube de mon corps. Chacun sait que lorsque la mer s’agite, la tempête n’est pas loin de se déclarer. Et mon esprit est trop loin pour que je puisse lui poser quelques résistances, ce qui attise les envies de domination de Driss. Malgré la minceur de mon corps, j’oppose une résistance farouche à ce mec qui me donne des coups de hanches à la vitesse d’un marteau-piqueur. Je n’imagine même pas les dégâts que sa bite aurait provoqués à mon petit trou de puceau s’il m’avait pénétré, tellement cette caille y allait comme un bourrin. Je vous rassure, il m’est impossible de dire que j’ai détesté, puisque chaque coup qu’il m’envoyait était autant qui m’enflammait.
Ayant toujours l’envie de prouver ma rébellion, je tente à maintes reprises de le faire vaciller pour reprendre la position du conquérant, mais les seules fois sont celle où ce Conan me le permet. Il s’agite comme un barbare, ou plutôt un rugbyman, transformant nos ébats en véritable mêlée où tous les coups sont permis. Je donne de moi, à tel point que je sens mes forces faiblir peu à peu, ne relâchant en rien mon étreinte pour ne montrer aucun signe de faiblesse. Mine de rien nos deux corps sont ruisselant de sueur, ce qui lubrifie nos peaux qui glissent l’une contre l’autre. De même, la position du lit a complètement changé. Bousculé par le déferlement de notre défi, il trône au milieu de la pièce en son travers, dépouillé de ses draps.

A deux doigts d’imploser, il ne me reste le temps que d’une parade pour que Driss vienne avant moi. Je ne sais par quel miracle, je réussis à le jeter de l’autre côté du lit, me permettant de lui sauter dessus et de l’enfourcher de mes deux cuisses. Sans le faire exprès, ce n’est plus le devant de mon corps qui agit, mais mon cul qui se donne sur sa queue. Voyant les yeux de Driss me lancer des éclairs malgré l’obscurité, je sens une main m’étreindre la gorge. Mon rebeu m’attire à lui d’un mouvement plein de fougue, pour me donner un goulu baiser sur les lèvres. J’en profite pour lui assener un coup de rein dont j’ai le secret, qui lui masse la queue en la serrant au plus prêt. N’y tenant plus, il s’agrippe à ma touffe de cheveux et se rejette en arrière en poussant un râle viril. Près de ma hanche, je sens que son bassin se contracte à multiples reprises, relâchant la pression en long jets qui s’écoulent sur nos chairs.
Alors que je pensais ma victoire assurée, je me contracte instantanément comme un serpent entre les mains d’un chasseur. Et j’expulse en même temps ce qui me semble des litres de spermes… Comment est-ce arrivé ? Par la ruse et la duperie de Driss. Fort de mon inattention, il s’est contenté d’écarter de deux doigts mes fesses, afin de laisser à l’ai libre ma fente pendant que le troisième s’est juste posé sur ma rondelle.
— Tu es une sacrée trainée, j’en reviens pas que tu as osé dépasser les limites fixées par mes règles. Je crois que tu n’as pas compris que je suis ton boss.
— J’ai très bien compris mec, mais je n’ai vraiment pas fais exprès. C’était comme naturel, lui répondis-je un peu contrit.
— Putain, tu es déjà affamé du cul après une seule nuit… Tu me rends ouf mec, tu m’excite comme un taré. Rassure toi, je savais que tu ne résisterais pas si je te plongeais un doigt dans le cul, alors considère que c’est ta punition car j’en ai profité pour tricher comme toi. Ce qui me tue, c’est que je n’ai pas eu le temps de te l’enfoncer, que tu étais déjà parti. Je ne me suis pas trompé sur la sensibilité de ton trou. Attends, qu’est-ce que tu fais mec ?

Pendant qu’il parlait, j’avais décidé d’aller récupérer avec ma langue le résultat de nos ébats, en léchant sur son corps le mélange de nos deux semences. Après tout, je tenais à montrer ma bonne volonté en accomplissant la leçon numéro 1.
— C’est mort, même si je remarque que tu apprends vite. Ce qui a le droit de remplir ta bouche, c’est uniquement le jus pur d’un mâle. Comme tu es venu sur moi en même temps, le mien est dilué au tien et je t’interdis d’y toucher, ce qui t’apprendra à te répandre n’importe où.
N’imaginez même pas la frustration que j’ai pu ressentir, parce que vous n’y parviendrez pas. Mes yeux avaient beau hurlés leur haine et leur frustration, rien n’aurait pu le faire flancher. En même temps, je savais déjà que peu de temps me séparerait de la prochaine rasade de sperme que j’aurais le droit d’avaler. Un peu comme vous, qui savez qu’il vous reste peu de temps à attendre jusqu’à mon prochain récit. J’espère que je n’ai plus à vous dicter ce qu’il vous reste à faire, mais pour les nouveaux venus qu’ils n’hésitent pas à m’envoyer un mail (wildmowgli@outlook.com), en sachant que j’assure le mieux possible le service après lecture.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Cétè trop sexy.

Histoire Erotique
Très bandant!!!!
Vivement la suite...



Texte coquin : Corps à corps dans la lutte
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Mowgli

En famille d'accueil - 2 - Récit érotique publié le 25-03-2014
Le livre de la jungle urbaine - Récit érotique publié le 13-03-2014
En famille d’accueil - 1 - Récit érotique publié le 16-02-2014
Phantasmagoria - Récit érotique publié le 10-02-2014
Corps à corps dans la lutte - Récit érotique publié le 25-08-2013
Un trou n’est pas qu’un trou - Récit érotique publié le 05-07-2013
Splendeurs et misères d’un strip-tease - Récit érotique publié le 16-06-2013
Un mâle ça jute énormément - Récit érotique publié le 31-05-2013
Deux coups de reins et un lascar vient ! - Récit érotique publié le 22-05-2013