Un trou n’est pas qu’un trou
Récit érotique écrit par Mowgli [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Un trou n’est pas qu’un trou
Comment ne pas vous remercier pour tous les mails que j’ai reçus depuis mon premier texte ? Je suis content de voir que vous êtes toujours fidèle au rendez-vous, en espérant en recevoir encore beaucoup d’autres. Il se trouve que je prends autant de plaisirs à vous lire, qu’à vous écrire, ce qui me permet d’en apprendre plus sur chacun d’entre vous. Pour ceux qui ne le savent pas, j’assure le service après lecture, en répondant aux questions et autres commentaires. Quoiqu’il en soit, revenons à la fin du dernier chapitre de cette histoire, qui m’a laissé nu après le strip-tease ordonné par Driss.
— Putain, comment tu gères ! Je n’avais jamais vu une pute se donner autant. Je dois me retenir pour ne pas devenir un loup se jetant sur sa proie. Tu as un corps et un cul de bonhomme, mais tu m’a fais chavirer. Dingue, ce contraste entre la virilité apparente de ton corps et la féminité de ta silhouette. Tu sais te servir de ton cul, mais mon instinct d’animal en rut me fait sentir quelque chose. Viens de plus prés que j’observe la réactivité de ton trou.
Avant de pouvoir ouvrir la bouche, Driss m’a déjà chopé par les hanches, pour me faire tomber sur ses genoux. Comme à chaque fois entre ses bras musclés, je me sens une frêle petite chose à la merci de son bourreau, d’autant plus à cet instant car c’est la première fois que je suis nu auprès d’un garçon. Eh oui … malgré mes 25 ans, je suis encore un puceau qui a beaucoup de choses à apprendre avant de devenir la putain du tierquar. A son contact, je sens que la peau de ma « petite racaille » est brûlante, que son cœur bat à mille coups par minute et qu’il respire comme un étalon en rût. Pourtant, je suis loin de paniquer car il me regarde avec un large sourire et des yeux pétillants, qui me le rendent encore plus craquant.
— Je ne peux pas croire que tu sois toujours vierge à la façon dont tu contrôle ton corps. D’ailleurs, pourquoi est-ce que tu rougis comme un gamin ?, me demande-t-il à la vue de ma peau qui a pris une teinte écarlate après la fin du show.
— Je ne sais pas … je suppose que je suis intimidé d’être dans le plus simple appareil auprès d’un mec comme toi. J’ai juste l’impression d’halluciner de ce que tu me racontes, de ta façon de réagir. J’imagine que ton discours et ton attitude doivent être rodés avec pour objectif d’être le premier à me passer sur le corps.
— Tu ne vas pas recommencer ton délire. Je ne vais faire le mytho, ça rend la chose super excitante de savoir que j’ai dans les bras un mec que je suis le premier à toucher comme ça. Après sans le savoir, la première fois que je t’ai capté a suffit pour que tu obsèdes mes pensées.
— Tu dois être déçu quand même. Je n’ai pas un corps d’Apollon, j’ai des poils un peu partout et surtout où il vaudrait mieux pas…
— Franchement, fermes ta petite gueule, me coupe-t-il. Ne me dis pas que tu es encore puceau parce que ton corps te fait honte …
— Pas totalement, la peur est une majeure partie du problème, mais le fait que je n’accepte pas mon corps en est l’autre versant.
— Ecoutes, ton corps me fait bander comme un âne alors à ce niveau là, tu n’as plus de questions à te poser. Je m’en fous des détails, surtout que tu dégages un truc de ouf … Tiens, retournes-toi comme je t’ai dis, je veux vérifier quelque chose.
Comme si j’étais une vulgaire poupée, le keum me retourne d’un mouvement. Je me retrouve la tête au sol, le corps entre ses jambes et les cuisses bien ouvertes, lui offrant une vue plongeante sur mon intimité. Je suis même obligé de m’agripper à ses pieds, pour garder un semblant d’équilibre. Si j’avais su que je pourrais me sentir encore plus nu que je ne l’étais, je ne l’aurais tout simplement pas cru. En même temps, cette situation inédite me fait osciller entre l’appréhension et une certaine excitation de ne pas savoir à quelle sauce je vais être dévoré. Il a beau prendre l’apparence d’un bourreau auquel je suis à la merci, cette sensation de me donner à 100% tend à me griser.
— Sa mère, tu as une raie aussi poilue qu’une chatte de meuf. Je ne pensais pas que ça puisse donner autant envie, alors que je te fantasmais avec un cul bien lisse. Après, je ne vais pas m’en plaindre, parce que devant le fait accompli ma teub persiste et signe.
Encore un compliment qui me fait monter le rouge aux joues de mes fesses. Je pensais être un vrai mur sur lequel il est impossible d’y lire mes émotions mais, grâce à ses bras de Ken le survivant, ce rebeu arrive à le défoncer d’un coup d’épaule. Histoire d’en finir une bonne fois pour toute avec les horreurs de ma nature, je décide de révéler à Driss (et par la même occasion à vous) un dernier problème physique. J’ai au niveau du pénis un phimosis, qui m’empêche d’avoir une érection normale. En clair, la peau de mon prépuce m’empêche de dévoiler mon gland, ce qui ne me permet pas de pénétrer et me restreint au rôle de passif. Pensant dégoûter ma racaille, je viens sans le savoir d’aguicher son ardeur, lorsqu’il me répond :
— Mec, tu es sérieux ? Tu veux quoi ? Que je te viole ? Tu me mets un barreau monstre, j’ai ton cul sous les yeux qui me fait monter la pression et en plus tu me dis que la nature t’oblige à être un putain de passif. Tu es un déglingos dans ta tête ou tu cherches à me chauffer comme un petit allumeur. Je crois que tu ne saisis pas combien je suis obligé de me retenir pour ne pas te jeter par terre et soulager mes couilles dans ton corps de pucelle.
— Parce que tu crois que je me laisserai faire ? Tu es peut-être construit comme une machine de guerre, mais ça ne m’empêchera pas de me jeter sur toi toutes griffes dehors.
— La veille attaque de femelle, dit-il en rigolant. Tu sais très bien que je t’écrase. Il suffit que je te maintienne tes petits poings, que je te colle au sol le cul en l’air, pour que je te marque au jus de rebeu.
— Fais pas genre, j’ai compris que tu kiffais qu’on te tienne tête.
— Non gars, je n’aime pas qu’on me tienne tête, seulement que TU me tiennes tête. Et puis, merde ! Tu me gaves, je vais te prouver que je peux te contrôler comme je veux, petit con.
Toujours les jambes par-dessus la tête, je ne peux m’empêcher de rire au éclat avec une impertinence qui, je le sais, le rendra fou de rage et de désir. Outre le fait que j’en suis incapable, je remarque que jouer le rôle du passif soumis à son maître ne ferait que rentrer dans son jeu, ce qui l’exciterait moins sur le long terme. En jouant la carte de l’ascenseur émotionnel, je me pose comme un défi à relever, celui de dompter mon côté sauvage. Je fais appel à sa personnalité de guerrier, qui veut marquer son territoire. Comme une entrée en guerre, il s’agit pour chacun de se lancer à la conquête de l’autre. Il a beau jouer le rôle de l’actif dominant, je sens que je dois lui résister pour l’attacher à mon être.
Enervé l’autre est l’une de mes spécialités et je sens que Driss est loin de me laisser l’emporter au paradis. Pourtant, il réussi à contenir sa colère, ce qui me surprend et promet pour la suite des événements. Alors que je suis encore secoué de rire, un coup de chaleur me submerge au niveau de mes fesses, manquant de me faire perdre l’équilibre. Il me faut un certain temps, pour comprendre que le garçon vient de faire tomber ses deux mains sur mon derrière, le faisant claquer avec force. Le salop en profite pour me choper le cul avec poigne, le pétrissant comme une pâte à pain, c’est-à-dire avec fermeté et précision. Sans même m’en rendre compte, je pousse de petits gémissements, qui le font ricaner.
— Tu es vraiment une salope, mon gars. Tu ouvres ta grande gueule mais, lorsqu’on passe aux choses sérieuses, il t’en faut peu pour te faire couiner. Je me doutais que tu étais chaud du cul, mais j’avoue qu’il m’étonne grave par sa sensibilité.
Sans hésiter une seconde, il décide de me mettre au supplice en écartant mes deux fesses, pour dévoiler au grand jour mon trou de puceau.
— Eh mec, je n’ai jamais vu un trou aussi petit. Il doit être bien serré, à tel point que je ne sais pas ce qui me retient d’y mettre ma queue. Attend, mais qu’est-ce que tu me fais ? J’hallucine complet… Tu joues avec ton trou comme une vraie pute, il a l’air de s’ouvrir et de se refermer tout seul tel la bouche d’un poisson hors de l’eau. Il est affamé, mon gars, c’est moi qui te le dis. Une vraie invitation à se faire baiser sans ménagement.
Vous connaissez désormais le pouvoir d’attraction de la musique sur mon corps, qui réagit comme un serpent au son de son charmeur. Même dans une position instable, il ne peut s’empêcher de battre le rythme de la musique, qui continue à jouer sa litanie, comme si le monde continuait de tourner normalement alors que le mien est en pleine révolution. Mes hanches sont toujours les premières à se manifester mais, prisonnières des mains puissantes de Driss, seul mon anus est capable de se mouvoir en toute liberté, ce qui explique son agitation. Pourtant, la violence des paroles de ma caillera ne m’inquiète aucunement, parce que je comprends que ce ne sont que des mots. Sa domination naturelle se brise sur l’écueil de mon indifférence, ce qui lui ôte l’envie de surenchérir par le geste. Ses propos scabreux ne sont qu’un moyen de le maintenir dans le domaine de la provocation, sans dégoûter mon plaisir bien au contraire.
Concentré sur mes propres pensées, un violent spasme me prend le corps sans que je puisse en comprendre les raisons. Voulant retrouver une position stable, je tente de me relever, mais Driss manœuvre pour me garder en place. Je sens que mon cul est inondé d’une substance, qui commence à couler le long de ma raie pour se répandre sur mes couilles. Avant que je comprenne que ce salop vient de me cracher un mollard droit sur mon trou, un deuxième vient le rejoindre. Plus abondant en salive, le crachat expulsé s’éparpille en fines gouttelettes, qui viennent mouiller l’ensemble de mon arrière-train. Tétanisé par la surprise, je suis incapable de me révolter, d’autant plus que je n’en ai aucune envie, hormis celle d’en recevoir encore à tel point je suis électrisé par la délectation.
— Tu dois avoir le cul en feu, pour réagir de cette façon. Mon instinct ne me trompait pas quand je matais ton boule se tortiller dans tes jean. Je sens que tu es du genre insatiable, si tu es dompté par la bonne personne… Et gars, je crois que tu as trouvé ton maître en ma présence. Un trou qui crie bite comme le tien se rêve tous les jours, mais il est difficile à trouver, tu peux me croire. Je vais te dire, tu me fais tellement kiffer, que je n’ai pas besoin de me branler pour mouiller comme un crevard. Maintenant, il faut juste que je me calme pour ne pas te la foutre bien profond, parce que ton initiation ne fait que commencer.
Encore en pleine extase, je ne saisis pas l’intégralité de son discours. Seulement, je sens qu’il est content de moi, malgré les complexes que je pouvais avoir. Cependant, le peu que je comprends me fait lâcher du lest, pour mieux m’envoler direction le septième ciel. Et lorsque je crois avoir atteint une nouvelle limite, je suis surpris de voir que l’envol va plus loin encore. En effet, je me vois une nouvelle fois défaillir quand Driss se décide à poser son index pile sur mon trou. Même s’il s’amuse juste à barbouiller ma raie de sa salive, rien que le frôlement de son doigt à l’entrée de mon temple me donne envie de pousser un véritable cri coloré de lascivité. Pensant pouvoir le retenir entre les dents, j’entrouvre les lèvres pour le laisser s’évaporer, mais ma bouche me fait défaut comme un témoin des émotions qui m’habitent. Aux anges, mon Hercules se met à m’imiter, accompagné d’un rire plein de mépris, en me claquant une dernière fois le cul avant de me récupérer tout tremblant dans ses bras.
J’ai l’impression d’avoir combattu un démon, tellement je suis encore effrayé par les sensations que Driss vient de me faire vivre en à peine quelques minutes. D’avoir attendu 25 ans pour apprivoiser le loup m’a permis de décupler mon plaisir lors de ses nouvelles expériences, ce qui se confirmera avec mes relations futures. Pour beaucoup, il est peut-être difficile de se souvenir de leurs premières fois, mais je me souviens de chaque détail de la mienne même si celle-ci s’est passée en plusieurs épisodes. Je dois avouer que cette manière de me transformer de vierge à putain fut le meilleur moyen de me combler à plus d’un titre, d’autant plus qu’il est nécessaire de laisser du temps au cygne noir pour dévorer le cygne blanc.
— Qu’est ce que tu as à frémir comme ça ? Je t’ai fais du mal ?, me demande Driss inquiet.
— Non, pas du tout. Au contraire même. Je crois juste qu’il faut du temps à mon corps pour assimiler le plaisir que tu me donnes. Je te rappelle que tu veux me faire devenir une putain alors que je commence en bas de l’échelle avec ma putain de virginité.
— Tu sais, tu me plais beaucoup comme mec mais, de savoir que tu es encore vierge, te rend encore plus spécial à mes yeux. J’ai l’impression d’avoir une rareté entre les bras, tu ne peux pas savoir comment tu me rends ouf. J’ai un barreau de psychopathe, d’où ta leçon numéro 3 : quand on excite trop son mâle, il faut s’attendre à en recevoir la puissance.
En réponse je n’arrive qu’à sourire … « Tu m’avais jamais fait ce sourire, j’ai envie de te l’avaler tellement il me fait plaisir. Laisse-moi te prendre la bouche. » Et sans crier gare, mon rebeu à la Vin Diesel m’enfonce sa langue comme il l’aurait certainement fais de sa queue entre mes lèvres. J’ai la bouche pleine de son appendice, qui me ramone le fond du palais. Inondé de salive, un filet de bave se détache de nos lèvres, lorsque le besoin de reprendre son souffle se fait sentir. Tombé sur le dessus de son débardeur, je ne peux résister à la tentation d’aller le chercher avec ma langue, ce qui fait frissonner ma racaille.
— Je vais te dire un truc, mes potes ne fantasmaient que sur une chose : te coincer dans le tierquar et te faire la fête par tous les trous. Je suis content d’être passé en premier, sinon les gars t’auraient esquinté. Je crois que tu ne t’en rends pas compte, mais tu fais vraiment petite chatte en chaleur quand tu passes dans le coin avec ta dégaine de Mowgli. T’inquiètes maintenant que tu m’appartiens, ils n’oseront pas te toucher sans passer par moi, ils flipperont trop de se faire marave la gueule. Après, je ne tiens pas à dealer ton cul, je ne prête pas ma pute.
— Ecoute maquereau, commences par finir ton travail et nous discuterons des détails plus tard. Tu veux me former ? Alors, fais-moi devenir une vraie salope assoiffée de bites, parce que je ne supporte plus d’être une pucelle effarouchée. Ce que je veux maintenant, c’est toi … peu m’importe le reste.
— Non, mais comment tu me parles ? Dingue comment ça m’excite. D’habitude, j’ai envie de donner des coups de poings, mais tu mérites des coups de butoir. Dis-moi la suite du programme …
— Si j’ai bien compris la leçon, j’ai le devoir de soulager mon mâle quand il est sous pression ; or je crois sentir une excroissance au niveau de ton boxer qui mériterait mon attention.
— Tu apprends vite petit bâtard, mais je t’interdis de dépasser les limites que j’ai fixées. A moi de décider quand on passe à un stade supérieur, tu te contente d’apprendre et de réciter. Tant que tu ne connais pas tes leçons par cœur, tu devras repasser les examens. Je suis un maître très sévère, alors fais-moi juter comme tu sais si bien le faire…
Comment ne pas confesser que je n’ai qu’une envie, celle de le faire venir ? A croire que son défi de me droguer à sa semence pour que j’en devienne accro fonctionne à merveille. Loin de me contraindre, sa demande me motive à le satisfaire, afin de recevoir en prime son précieux jus. Je suis étonné de voir que ni l’alcool, ni la cigarette ou autres substances n’ont eu raison de moi, pensant que je n’avais pas une nature de toxicomane. Là, face à ce monstre de muscles, mon corps se réveille à de nouveaux désirs, qui tendent à se transformer en obsession. Tel un camé, je ne pense qu’à une chose … à ce corps de rêve qui renferme des prodiges. Pourtant, je me refuse à lui montrer la dépendance qui se forme peu à peu en moi, mon asservissement ne se fera pas au détriment de sa conquête. S’il doit m’avoir en entier, rien ne dis que je doive me donner. La séduction est une guerre, dont l’enjeu est un empire à dominer.
— Je crois qu’il y a un truc que tu n’as pas capté. Je suis incapable de résister à la tentation de faire le contraire de ce qu’on me demande. J’ai toujours été un élève dissipé et à la limite de l’insolence, le genre hyperactif qui ne supporte pas l’autorité.
— Arrête ton petit numéro, parce que tu sais que je vais te faire plier.
— T’inquiètes mec, tant que j’ai envie de me plier, je ne vois pas de raison pour me rebeller. En fait, je veux te proposer un petit jeu, histoire de pimenter la chose. Je crois me souvenir que lors des travaux pratiques le prof fait toujours la démonstration à ses élèves. Qu’est-ce que tu dirais d’un défi ?
— Parles mec, parce que tu m’intéresse sérieusement.
— Le premier qui fait venir l’autre est déclaré vainqueur, avec en récompense son souhait exaucé sur le champ, qu’il est interdit de divulguer avant la fin du défi.
— Je n’ai rien à redire, hormis que le jeu commence.
Il est temps que mes doigts arrêtent de s’agiter sur le clavier, afin d’en garder un peu pour la prochaine fois. Maintenant que vous commencez à me connaître pour le mieux, vous savez que c’est la tête la première que je me suis lancé dans ce défi. En faisant appel à mon côté mauvais joueur, Driss vient de réveiller un démon dont le sens de la perversité ne fait que s’aiguiser à son contact. En attendant de connaître le résultat, vous savez ce qu’il vous reste à faire en me contactant... D’ailleurs, n’hésites pas à m’envoyer les règles de jeux ou défis qui vous ont excité, qui sait si je ne les testerais pas pour en écrire un épisode de cette histoire.
J’embrasse ceux qui souhaitent goûter à mes lèvres virtuelles.
— Putain, comment tu gères ! Je n’avais jamais vu une pute se donner autant. Je dois me retenir pour ne pas devenir un loup se jetant sur sa proie. Tu as un corps et un cul de bonhomme, mais tu m’a fais chavirer. Dingue, ce contraste entre la virilité apparente de ton corps et la féminité de ta silhouette. Tu sais te servir de ton cul, mais mon instinct d’animal en rut me fait sentir quelque chose. Viens de plus prés que j’observe la réactivité de ton trou.
Avant de pouvoir ouvrir la bouche, Driss m’a déjà chopé par les hanches, pour me faire tomber sur ses genoux. Comme à chaque fois entre ses bras musclés, je me sens une frêle petite chose à la merci de son bourreau, d’autant plus à cet instant car c’est la première fois que je suis nu auprès d’un garçon. Eh oui … malgré mes 25 ans, je suis encore un puceau qui a beaucoup de choses à apprendre avant de devenir la putain du tierquar. A son contact, je sens que la peau de ma « petite racaille » est brûlante, que son cœur bat à mille coups par minute et qu’il respire comme un étalon en rût. Pourtant, je suis loin de paniquer car il me regarde avec un large sourire et des yeux pétillants, qui me le rendent encore plus craquant.
— Je ne peux pas croire que tu sois toujours vierge à la façon dont tu contrôle ton corps. D’ailleurs, pourquoi est-ce que tu rougis comme un gamin ?, me demande-t-il à la vue de ma peau qui a pris une teinte écarlate après la fin du show.
— Je ne sais pas … je suppose que je suis intimidé d’être dans le plus simple appareil auprès d’un mec comme toi. J’ai juste l’impression d’halluciner de ce que tu me racontes, de ta façon de réagir. J’imagine que ton discours et ton attitude doivent être rodés avec pour objectif d’être le premier à me passer sur le corps.
— Tu ne vas pas recommencer ton délire. Je ne vais faire le mytho, ça rend la chose super excitante de savoir que j’ai dans les bras un mec que je suis le premier à toucher comme ça. Après sans le savoir, la première fois que je t’ai capté a suffit pour que tu obsèdes mes pensées.
— Tu dois être déçu quand même. Je n’ai pas un corps d’Apollon, j’ai des poils un peu partout et surtout où il vaudrait mieux pas…
— Franchement, fermes ta petite gueule, me coupe-t-il. Ne me dis pas que tu es encore puceau parce que ton corps te fait honte …
— Pas totalement, la peur est une majeure partie du problème, mais le fait que je n’accepte pas mon corps en est l’autre versant.
— Ecoutes, ton corps me fait bander comme un âne alors à ce niveau là, tu n’as plus de questions à te poser. Je m’en fous des détails, surtout que tu dégages un truc de ouf … Tiens, retournes-toi comme je t’ai dis, je veux vérifier quelque chose.
Comme si j’étais une vulgaire poupée, le keum me retourne d’un mouvement. Je me retrouve la tête au sol, le corps entre ses jambes et les cuisses bien ouvertes, lui offrant une vue plongeante sur mon intimité. Je suis même obligé de m’agripper à ses pieds, pour garder un semblant d’équilibre. Si j’avais su que je pourrais me sentir encore plus nu que je ne l’étais, je ne l’aurais tout simplement pas cru. En même temps, cette situation inédite me fait osciller entre l’appréhension et une certaine excitation de ne pas savoir à quelle sauce je vais être dévoré. Il a beau prendre l’apparence d’un bourreau auquel je suis à la merci, cette sensation de me donner à 100% tend à me griser.
— Sa mère, tu as une raie aussi poilue qu’une chatte de meuf. Je ne pensais pas que ça puisse donner autant envie, alors que je te fantasmais avec un cul bien lisse. Après, je ne vais pas m’en plaindre, parce que devant le fait accompli ma teub persiste et signe.
Encore un compliment qui me fait monter le rouge aux joues de mes fesses. Je pensais être un vrai mur sur lequel il est impossible d’y lire mes émotions mais, grâce à ses bras de Ken le survivant, ce rebeu arrive à le défoncer d’un coup d’épaule. Histoire d’en finir une bonne fois pour toute avec les horreurs de ma nature, je décide de révéler à Driss (et par la même occasion à vous) un dernier problème physique. J’ai au niveau du pénis un phimosis, qui m’empêche d’avoir une érection normale. En clair, la peau de mon prépuce m’empêche de dévoiler mon gland, ce qui ne me permet pas de pénétrer et me restreint au rôle de passif. Pensant dégoûter ma racaille, je viens sans le savoir d’aguicher son ardeur, lorsqu’il me répond :
— Mec, tu es sérieux ? Tu veux quoi ? Que je te viole ? Tu me mets un barreau monstre, j’ai ton cul sous les yeux qui me fait monter la pression et en plus tu me dis que la nature t’oblige à être un putain de passif. Tu es un déglingos dans ta tête ou tu cherches à me chauffer comme un petit allumeur. Je crois que tu ne saisis pas combien je suis obligé de me retenir pour ne pas te jeter par terre et soulager mes couilles dans ton corps de pucelle.
— Parce que tu crois que je me laisserai faire ? Tu es peut-être construit comme une machine de guerre, mais ça ne m’empêchera pas de me jeter sur toi toutes griffes dehors.
— La veille attaque de femelle, dit-il en rigolant. Tu sais très bien que je t’écrase. Il suffit que je te maintienne tes petits poings, que je te colle au sol le cul en l’air, pour que je te marque au jus de rebeu.
— Fais pas genre, j’ai compris que tu kiffais qu’on te tienne tête.
— Non gars, je n’aime pas qu’on me tienne tête, seulement que TU me tiennes tête. Et puis, merde ! Tu me gaves, je vais te prouver que je peux te contrôler comme je veux, petit con.
Toujours les jambes par-dessus la tête, je ne peux m’empêcher de rire au éclat avec une impertinence qui, je le sais, le rendra fou de rage et de désir. Outre le fait que j’en suis incapable, je remarque que jouer le rôle du passif soumis à son maître ne ferait que rentrer dans son jeu, ce qui l’exciterait moins sur le long terme. En jouant la carte de l’ascenseur émotionnel, je me pose comme un défi à relever, celui de dompter mon côté sauvage. Je fais appel à sa personnalité de guerrier, qui veut marquer son territoire. Comme une entrée en guerre, il s’agit pour chacun de se lancer à la conquête de l’autre. Il a beau jouer le rôle de l’actif dominant, je sens que je dois lui résister pour l’attacher à mon être.
Enervé l’autre est l’une de mes spécialités et je sens que Driss est loin de me laisser l’emporter au paradis. Pourtant, il réussi à contenir sa colère, ce qui me surprend et promet pour la suite des événements. Alors que je suis encore secoué de rire, un coup de chaleur me submerge au niveau de mes fesses, manquant de me faire perdre l’équilibre. Il me faut un certain temps, pour comprendre que le garçon vient de faire tomber ses deux mains sur mon derrière, le faisant claquer avec force. Le salop en profite pour me choper le cul avec poigne, le pétrissant comme une pâte à pain, c’est-à-dire avec fermeté et précision. Sans même m’en rendre compte, je pousse de petits gémissements, qui le font ricaner.
— Tu es vraiment une salope, mon gars. Tu ouvres ta grande gueule mais, lorsqu’on passe aux choses sérieuses, il t’en faut peu pour te faire couiner. Je me doutais que tu étais chaud du cul, mais j’avoue qu’il m’étonne grave par sa sensibilité.
Sans hésiter une seconde, il décide de me mettre au supplice en écartant mes deux fesses, pour dévoiler au grand jour mon trou de puceau.
— Eh mec, je n’ai jamais vu un trou aussi petit. Il doit être bien serré, à tel point que je ne sais pas ce qui me retient d’y mettre ma queue. Attend, mais qu’est-ce que tu me fais ? J’hallucine complet… Tu joues avec ton trou comme une vraie pute, il a l’air de s’ouvrir et de se refermer tout seul tel la bouche d’un poisson hors de l’eau. Il est affamé, mon gars, c’est moi qui te le dis. Une vraie invitation à se faire baiser sans ménagement.
Vous connaissez désormais le pouvoir d’attraction de la musique sur mon corps, qui réagit comme un serpent au son de son charmeur. Même dans une position instable, il ne peut s’empêcher de battre le rythme de la musique, qui continue à jouer sa litanie, comme si le monde continuait de tourner normalement alors que le mien est en pleine révolution. Mes hanches sont toujours les premières à se manifester mais, prisonnières des mains puissantes de Driss, seul mon anus est capable de se mouvoir en toute liberté, ce qui explique son agitation. Pourtant, la violence des paroles de ma caillera ne m’inquiète aucunement, parce que je comprends que ce ne sont que des mots. Sa domination naturelle se brise sur l’écueil de mon indifférence, ce qui lui ôte l’envie de surenchérir par le geste. Ses propos scabreux ne sont qu’un moyen de le maintenir dans le domaine de la provocation, sans dégoûter mon plaisir bien au contraire.
Concentré sur mes propres pensées, un violent spasme me prend le corps sans que je puisse en comprendre les raisons. Voulant retrouver une position stable, je tente de me relever, mais Driss manœuvre pour me garder en place. Je sens que mon cul est inondé d’une substance, qui commence à couler le long de ma raie pour se répandre sur mes couilles. Avant que je comprenne que ce salop vient de me cracher un mollard droit sur mon trou, un deuxième vient le rejoindre. Plus abondant en salive, le crachat expulsé s’éparpille en fines gouttelettes, qui viennent mouiller l’ensemble de mon arrière-train. Tétanisé par la surprise, je suis incapable de me révolter, d’autant plus que je n’en ai aucune envie, hormis celle d’en recevoir encore à tel point je suis électrisé par la délectation.
— Tu dois avoir le cul en feu, pour réagir de cette façon. Mon instinct ne me trompait pas quand je matais ton boule se tortiller dans tes jean. Je sens que tu es du genre insatiable, si tu es dompté par la bonne personne… Et gars, je crois que tu as trouvé ton maître en ma présence. Un trou qui crie bite comme le tien se rêve tous les jours, mais il est difficile à trouver, tu peux me croire. Je vais te dire, tu me fais tellement kiffer, que je n’ai pas besoin de me branler pour mouiller comme un crevard. Maintenant, il faut juste que je me calme pour ne pas te la foutre bien profond, parce que ton initiation ne fait que commencer.
Encore en pleine extase, je ne saisis pas l’intégralité de son discours. Seulement, je sens qu’il est content de moi, malgré les complexes que je pouvais avoir. Cependant, le peu que je comprends me fait lâcher du lest, pour mieux m’envoler direction le septième ciel. Et lorsque je crois avoir atteint une nouvelle limite, je suis surpris de voir que l’envol va plus loin encore. En effet, je me vois une nouvelle fois défaillir quand Driss se décide à poser son index pile sur mon trou. Même s’il s’amuse juste à barbouiller ma raie de sa salive, rien que le frôlement de son doigt à l’entrée de mon temple me donne envie de pousser un véritable cri coloré de lascivité. Pensant pouvoir le retenir entre les dents, j’entrouvre les lèvres pour le laisser s’évaporer, mais ma bouche me fait défaut comme un témoin des émotions qui m’habitent. Aux anges, mon Hercules se met à m’imiter, accompagné d’un rire plein de mépris, en me claquant une dernière fois le cul avant de me récupérer tout tremblant dans ses bras.
J’ai l’impression d’avoir combattu un démon, tellement je suis encore effrayé par les sensations que Driss vient de me faire vivre en à peine quelques minutes. D’avoir attendu 25 ans pour apprivoiser le loup m’a permis de décupler mon plaisir lors de ses nouvelles expériences, ce qui se confirmera avec mes relations futures. Pour beaucoup, il est peut-être difficile de se souvenir de leurs premières fois, mais je me souviens de chaque détail de la mienne même si celle-ci s’est passée en plusieurs épisodes. Je dois avouer que cette manière de me transformer de vierge à putain fut le meilleur moyen de me combler à plus d’un titre, d’autant plus qu’il est nécessaire de laisser du temps au cygne noir pour dévorer le cygne blanc.
— Qu’est ce que tu as à frémir comme ça ? Je t’ai fais du mal ?, me demande Driss inquiet.
— Non, pas du tout. Au contraire même. Je crois juste qu’il faut du temps à mon corps pour assimiler le plaisir que tu me donnes. Je te rappelle que tu veux me faire devenir une putain alors que je commence en bas de l’échelle avec ma putain de virginité.
— Tu sais, tu me plais beaucoup comme mec mais, de savoir que tu es encore vierge, te rend encore plus spécial à mes yeux. J’ai l’impression d’avoir une rareté entre les bras, tu ne peux pas savoir comment tu me rends ouf. J’ai un barreau de psychopathe, d’où ta leçon numéro 3 : quand on excite trop son mâle, il faut s’attendre à en recevoir la puissance.
En réponse je n’arrive qu’à sourire … « Tu m’avais jamais fait ce sourire, j’ai envie de te l’avaler tellement il me fait plaisir. Laisse-moi te prendre la bouche. » Et sans crier gare, mon rebeu à la Vin Diesel m’enfonce sa langue comme il l’aurait certainement fais de sa queue entre mes lèvres. J’ai la bouche pleine de son appendice, qui me ramone le fond du palais. Inondé de salive, un filet de bave se détache de nos lèvres, lorsque le besoin de reprendre son souffle se fait sentir. Tombé sur le dessus de son débardeur, je ne peux résister à la tentation d’aller le chercher avec ma langue, ce qui fait frissonner ma racaille.
— Je vais te dire un truc, mes potes ne fantasmaient que sur une chose : te coincer dans le tierquar et te faire la fête par tous les trous. Je suis content d’être passé en premier, sinon les gars t’auraient esquinté. Je crois que tu ne t’en rends pas compte, mais tu fais vraiment petite chatte en chaleur quand tu passes dans le coin avec ta dégaine de Mowgli. T’inquiètes maintenant que tu m’appartiens, ils n’oseront pas te toucher sans passer par moi, ils flipperont trop de se faire marave la gueule. Après, je ne tiens pas à dealer ton cul, je ne prête pas ma pute.
— Ecoute maquereau, commences par finir ton travail et nous discuterons des détails plus tard. Tu veux me former ? Alors, fais-moi devenir une vraie salope assoiffée de bites, parce que je ne supporte plus d’être une pucelle effarouchée. Ce que je veux maintenant, c’est toi … peu m’importe le reste.
— Non, mais comment tu me parles ? Dingue comment ça m’excite. D’habitude, j’ai envie de donner des coups de poings, mais tu mérites des coups de butoir. Dis-moi la suite du programme …
— Si j’ai bien compris la leçon, j’ai le devoir de soulager mon mâle quand il est sous pression ; or je crois sentir une excroissance au niveau de ton boxer qui mériterait mon attention.
— Tu apprends vite petit bâtard, mais je t’interdis de dépasser les limites que j’ai fixées. A moi de décider quand on passe à un stade supérieur, tu te contente d’apprendre et de réciter. Tant que tu ne connais pas tes leçons par cœur, tu devras repasser les examens. Je suis un maître très sévère, alors fais-moi juter comme tu sais si bien le faire…
Comment ne pas confesser que je n’ai qu’une envie, celle de le faire venir ? A croire que son défi de me droguer à sa semence pour que j’en devienne accro fonctionne à merveille. Loin de me contraindre, sa demande me motive à le satisfaire, afin de recevoir en prime son précieux jus. Je suis étonné de voir que ni l’alcool, ni la cigarette ou autres substances n’ont eu raison de moi, pensant que je n’avais pas une nature de toxicomane. Là, face à ce monstre de muscles, mon corps se réveille à de nouveaux désirs, qui tendent à se transformer en obsession. Tel un camé, je ne pense qu’à une chose … à ce corps de rêve qui renferme des prodiges. Pourtant, je me refuse à lui montrer la dépendance qui se forme peu à peu en moi, mon asservissement ne se fera pas au détriment de sa conquête. S’il doit m’avoir en entier, rien ne dis que je doive me donner. La séduction est une guerre, dont l’enjeu est un empire à dominer.
— Je crois qu’il y a un truc que tu n’as pas capté. Je suis incapable de résister à la tentation de faire le contraire de ce qu’on me demande. J’ai toujours été un élève dissipé et à la limite de l’insolence, le genre hyperactif qui ne supporte pas l’autorité.
— Arrête ton petit numéro, parce que tu sais que je vais te faire plier.
— T’inquiètes mec, tant que j’ai envie de me plier, je ne vois pas de raison pour me rebeller. En fait, je veux te proposer un petit jeu, histoire de pimenter la chose. Je crois me souvenir que lors des travaux pratiques le prof fait toujours la démonstration à ses élèves. Qu’est-ce que tu dirais d’un défi ?
— Parles mec, parce que tu m’intéresse sérieusement.
— Le premier qui fait venir l’autre est déclaré vainqueur, avec en récompense son souhait exaucé sur le champ, qu’il est interdit de divulguer avant la fin du défi.
— Je n’ai rien à redire, hormis que le jeu commence.
Il est temps que mes doigts arrêtent de s’agiter sur le clavier, afin d’en garder un peu pour la prochaine fois. Maintenant que vous commencez à me connaître pour le mieux, vous savez que c’est la tête la première que je me suis lancé dans ce défi. En faisant appel à mon côté mauvais joueur, Driss vient de réveiller un démon dont le sens de la perversité ne fait que s’aiguiser à son contact. En attendant de connaître le résultat, vous savez ce qu’il vous reste à faire en me contactant... D’ailleurs, n’hésites pas à m’envoyer les règles de jeux ou défis qui vous ont excité, qui sait si je ne les testerais pas pour en écrire un épisode de cette histoire.
J’embrasse ceux qui souhaitent goûter à mes lèvres virtuelles.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
En ce jour spécial (c'est mon anniversaire) , la chaleur de ta flamme me réchauffe de plus en plus !
Le rythme de ton récit est parfait !
A continuer à te lire ...
Le rythme de ton récit est parfait !
A continuer à te lire ...
On attend la suite avec impatience...
Et la bite bien dure...
Et la bite bien dure...
Très belle suite, j'aime beaucoup :)
Vivement la suite, qu'on sache qui va gagner et quelle sera la récompense :)
Vivement la suite, qu'on sache qui va gagner et quelle sera la récompense :)
Comme d'habitudetrès bon récit ... J'attend la suite avec impatience!!!