Phantasmagoria
Récit érotique écrit par Mowgli [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-02-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Phantasmagoria
Salut les gars,
Certains d’entre vous me reconnaîtront peut-être car j’ai déjà commencé un récit sur ce site, mais celui-ci ne me satisfaisait plus. En fait, je n’ai pas envie d’écrire une fiction à la première personne, plutôt de vous proposer une confession « 100% real story ». Pour vous, je serais Mowgli, en tout cas c’est ainsi que je me nommerais. Pourquoi ? Parce que je lui ressemble et que j’avais le choix avec Jésus, mais j’aurais eu l’impression d’en faire trop. La deuxième chose à savoir est que je suis encore un petit puceau malgré mes 28 ans… La plupart des gens ont du mal à y croire, même s’ils ont affaire à la vérité dans sa plus simple nudité. Et c’est cette histoire de ma virginité que j’ai envie de vous conter.
Je vous laisse le temps de sortir vos bites des paquets un peu trop serrés dans l’étroitesse de vos entrejambes. Tenez-là bien en main, on ne sait jamais si elle décidera de vous écouter ou de jouir quand bon lui semblera.
Sachez que ma virginité est un choix, ce n’est ni une contrainte religieuse, ni une erreur de la nature. A vrai dire, j’ai déjà eu deux relations, où j’ai pu tester quelques pratiques, mais elles furent soit pas assez satisfaisantes, soit trop courtes pour que je puisse en découvrir plus. En clair, je suis puceau uniquement parce que mon cul ne s’est jamais fais pénétrer. En ce qui concerne ma queue, elle ne pourra jamais pénétrer parce que j’en suis incapable, suite à un phimosis que je n’ai pas envie d’opérer. Une partie de moi a envie de passer à l’acte avec quelqu’un qui acceptera mon corps tel que Dame Nature l’a crée ; et une autre partie plus perverse aime l’idée d’être un actif ignoré, coincé dans le corps d’un passif.
Au-delà de cette facétie de Dame Nature, je crois avoir eu de la chance quant à mon physique. Certes j’ai un corps de petit minet avec mon 1 mètre 80 et mes 60 kilos, mais j’ai une gueule qui vaut le détour. Les cheveux longs et noirs comme les ailes d’une corneille, un regard de Gorgone aux yeux bleus, une peau aussi blanche que la crème et une bouche cramoisie à damner un saint. Ceci dit, j’ai beau avoir un corps féminins et les traits du visage qui l’accompagne, je reste un mâle avec son lot de poils qui recouvrent d’une fourrure plus d’une partie de mon corps. Aucune envie de me raser, sinon à quoi me sert de me croire sauvage (Wild).
Comme chaque nuit où l’insomnie s’abat sur la proie de ma personne, je fantasme sur ce que pourrait être ma sexualité si je devais y succomber. J’ai beau avoir un corps pur, du moins redevenu après plus de cinq ans de solitude, j’ai l’esprit très porté sur la chose comme un adolescent en rut… ou comme n’importe quel gars en fait. Cette nuit même, je réfléchissais à la manière dont j’aurai pu perdre ma virginité dans mon adolescence. Face à ce fantasme, je fus dans l’incapacité de dormir tellement il m’obsédait, je bandais comme un âne au point de choper mon traversin entre les cuisses pour le violer. Encore maintenant, je suis obligé de me stopper dans l’écriture afin de me masturber frénétiquement et d’évacuer un trop plein d’excitation.
J’ai l’impression de le voir devant moi, ce mec avec qui j’aurais eu ma première expérience. Ce n’est pas le beau gosse du lycée, il est plutôt du type lambda, un adolescent commun dont le corps à peine dessiné présente encore les stigmates de la puberté. D’ailleurs il est n’importe quel adolescent puisque Robin, de son petit nom, pense au cul en mode continu. Chaud et bandant en permanence, quelque soit l’endroit même en pleine salle de classe. A chaque fois que mes yeux tombaient sur son paquet, j’avais l’impression qu’il était trop plein de sa turgescence. Et moi ? J’étais du style plutôt naïf dans ma jeunesse, alors ça m’aurait fait mourir de rire ou j’en serais peut-être impressionné, mais je ne me serais jamais approché de sa queue. Sauf que… En tant que vierge qui se respecte, j’ai beau avoir une grande part de naïveté que je traîne avec le temps, elle se mélange avec une putain de perversité.
Je ne pourrais pas dire comment les choses sont censées déraper, mais j’imagine les clichés s’accumuler. D’abord, l’un se doit d’aller dormir chez l’autre, afin que l’action se déroule en plein milieu de la nuit. Si les hétéros imaginent les filles en petites tenues à se battre avec des polochons, je ne vois pas pourquoi je ne porterais pas ma tenue favorite : le tee-shirt/boxer, coordonnés s’il vous plait en bleu, rouge ou violet. Lui préfère le sobre du blanc ou du noir. Après tout, il se fait tard et ça fait longtemps qu’on s’est mis à l’aise, avachis sur le sol de la chambre.
Personne ne s’attend à ce qu’il va se passer, mais les jeux vidéo s’épuisent et la conversation se limite, il faut bien trouver quelque chose à faire pour passer le temps. En fait, je vois le sérieux partir en vrille lorsqu’un défi est lancé de purs mâles.
« Arrête mec, je suis certain que tu es incapable de me maîtriser. »
« Tu es sérieux. Putain, je vais te mettre à l’amande. »
Comme à mon habitude, je réagis au quart de tour, surtout que la légèreté de ma tenue m’assure la triomphe. A vrai dire, mon orgueil me voit toujours sortir vainqueur même contre ceux avec qui je n’ai aucune chance de rivaliser. Peu m’importe, car mon corps se noue dans tous les sens afin de tordre ma proie tel un serpent s’enroulant autour pour mieux l’étouffer.
Toutes griffe dehors, je me jette sur Robin. Effet de surprise garanti. Un guépard sur sa gazelle, sauf que l’animal est moins farouche que je ne l’espérais, se défendant avec assez de fougue pour taire mon arrogance. Heureusement que nos corpulences sont à arme égale car je réussis à bloquer ses jambes avec mes genoux et mes mains s’agrippent à ses poignets dans un étau. Il a beau se débattre, il est pris au piège de mes membres, même si j’ai beaucoup de mal à le garder en respect. Nous haletons tous les deux devant l’effort fourni, surtout que nous ne sommes pas des sportifs aguerris.
Je réussis entre deux souffles à dire : « Maintenant, dis-moi qui est le maître. »
« Pas question. Tu peux continuer à me retenir, je suis très bien dans cette position. »
Et en effet, je constate que le mec en profite pour frotter sa queue contre mon corps. Je ne sais pas depuis combien de temps dure son petit jeu, mais sa bite présente une grosseur assez importante pour qu’elle me fasse rougir de la tête au pied. Surtout qu’il ne se gêne pas pour y aller franchement, alors que j’essaye de trouver une position qui arrête son mouvement. Il est même assez débrouillard pour que mes fesses se positionnent avec précision sur son membre viril. Rien n’y fera jusqu’à ce que je succombe à mon tour.
De le sentir aussi vorace de sexe m’excite grave, au point que je le rattrape vite dans la turgescence avec ma queue. A moins que ce ne soit les nouvelles sensations, que me procure sa bite coller à mon trou, qui me mettent dans un état second. Pour mieux assurer ma prise sur son sexe, je décide de m’asseoir carrément sur son bas-ventre, afin de le faire coulisser contre la raie de mes fesses. Immédiatement le résultat escompté se fait jour par la violence avec laquelle il se sert de mon cul pour se masturber comme si j’étais une vulgaire poupée gonflable. Ses mains s’agrippent sur mes hanches pour mieux contrôler le rythme de mes mouvements, mais le sentant prêt à venir, je me rejette en arrière pour lui laisse goûter un moment de répit.
Ses yeux me crient de continuer, mais je préfère le frustrer en allant à la découverte de son corps. Je relève son tee-shirt pour découvrir un corps plus musclé qu’il n’y paraît, aux pectoraux bien plus saillant que les miens. Je ne peux résister à venir y coller ma bouche pour que ma langue y parcours la rondeur, avant d’aller mordre son téton tout dur d’excitation. Je plaque mon corps contre le sien et commence un va-et-vient qui ne le laisse pas de marbre à l’entendre gémir avec férocité. Mon ventre danse à un rythme frénétique pour que mon déhanché puisse épouser la forme de son sexe avec plus de force. Soumis au plaisir, la pupille de ses yeux se dilate au point que j’y lis le désir ardent qui l’habite. Sans m’en rendre compte, je me dévoue déjà à ses envies, même si j’en récupère autant de sensations.
En effet, Robin veut profiter un maximum de la situation, en partant à la conquête de mes fesses où il vient y déposer une main délicate, mais pleine de sens. Lui aussi y parcourt la rondeur de la courbe, pour s’attarder plus longuement sur la raie du boxer qui dissimule mon trou. Je trouve étrange qu’il ne tente pas de glisser sa main sous le tissu afin d’être en contact direct avec la chair. Au contraire, il continue de jouer comme si le sous-vêtement n’existait pas en me doigtant rigoureusement. Je me surprends à gémir comme une bête assoiffée et il ne tarde pas à comprendre le message en profitant de la situation. Perdu dans l’envoûtement de son regard, je ne m’attendais à ce qu’il me culbute sur le côté pour mieux me dominer de sa hauteur.
Avec une adresse brutale, mon pote me choppe par le cul et me renverse la tête contre le sol. Je me retrouve à quatre pattes, on ne peut plus ouvert à la merci de sa bite. Encore une fois, il prend son temps pour conquérir ce territoire vierge avec sa langue, fourrageant son visage dans le creux de mes fesses. Curieusement, il laisse toujours mon boxer en place, le mouillant avec abondance de sa salive. Ce ne sont plus des gémissements qui sortent de ma bouche, ce sont des cris, à tel point que Robin est obligé de me fourrer une de ses chaussettes dans la bouche pour me faire taire. Je n’ai jamais rien ressenti de pareil, j’ai l’impression que mon bas-ventre va exploser sous ses caresses ; je me vois obliger de lui demander d’arrêter, car j’ai la sensation que je vais jouir sans même me toucher la queue.
Je m’allonge sur le dos dans l’attente que la pression retombe. Haletant comme des coureurs après un marathon, nous reprenons notre souffle en vue de la ligne finale. D’une douceur inattendue, Robin s’amuse à masser mon corps, n’en laissant aucune partie susceptible d’être jalouse des autres. Ses mains se rapprochent de mon visage, allant de ma joue jusqu’à mes cheveux en bataille. Je ne me fais pas prier pour le laisser se poser sur mon corps, quitte à lui laisser le temps de trouver sa place idéale. Sans qu’il n’émette la moindre résistance, j’attrape sa bouche de mes lèvres gourmandes, se laissant fondre comme s’il n’attendait que ce moment depuis le début. Nos corps s’emballent pleine d’une intense électricité, à l’image de nos langues qui se tordent avec violence pour exprimer cette sensualité contenue.
Si vous pensez qu’il est impossible de faire venir un mec rien qu’en se frottant à son pénis dans la volupté, vous avez beaucoup plus de choses à apprendre que moi sur le sexe. Sachez que les deux seuls mecs avec qui j’ai eu un semblant d’expérience ont joui dans leurs boxer plus d’une fois. Croyez au pouvoir de mon déhanché puissant et ravageur ! Or, comment Robin pourrait y résister ? J’ai beau être en dessous, il m’est impossible de m’imaginer en étoile de mer. Je suis peut-être rien qu’un petit passif, mais certainement pas inactif. J’agrippe de mes mains avides ce corps abandonné pour mieux le sentir contre le mien, ce qui nous fond dans une seule vague dont je contrôle le rythme avec précision. Peu à peu, l’ampleur se fait plus grande, la vitesse plus rapide et la force plus agressive dans un crescendo harmonique. Afin de le rendre plus accro à la jouissance, j’approche ma bouche de son oreille pour lui faire entendre mon souffle animal. Comme ensorcelé, Robin se lance dans une frénésie pleine de fougue, sa queue battant contre la mienne cherchant à y défoncer le mur de mon corps pour y creuser un trou où se loger. Prêt à craquer, je soulève mes hanches dans un dernier effort, qui ne lui laisse pas le temps de réfléchir… il est déjà en train de venir. Jouissant à grandes eaux, nos corps sont pris de spasmes incontrôlables alors que nos boxers trempent dans le mélange de nos spermes. Ayant déchargé ses batteries, Robin s’écroule sur moi, soulagé de la frustration adolescente. Je ne peux revenir sur la scène passée, que je m’endors sous le poids d’une fatigue accablante. Plus rien n’importe, hormis le sommeil dans les bras l’un de l’autre.
Je ne peux pas vous dire le nombre de fois où j’ai été obligé de m’arrêter d’écrire parce que j’avais besoin de me branler. Rêvant aux litres de sperme éruptives durant vos lectures, je fus traversé par une idée au génie pervers, ce d’inclure le lecteur comme acteur de l’histoire. Certes vous pouvez commenter l’épisode en m’envoyant un mail (wildmowgli@outlook.com), mais vous pouvez en choisir la suite. Que ce soit à travers une photo, une vidéo ou quelques mots, imposez-moi vos fantasmes, vos délires, vos trips ou vos envies. Incrustez vous dans mes fantasmes, donnez moi de la substance pour écrire une histoire qui vous appartient. Et sachez que j’ai Robin et plein d’autres qui tournent dans la tête, vous n’avez qu’à en sélectionner un… ou plusieurs. A vous de voir !
Sachez que quelque soit le message, je répondrais à tout le monde. A ma prochaine !
Certains d’entre vous me reconnaîtront peut-être car j’ai déjà commencé un récit sur ce site, mais celui-ci ne me satisfaisait plus. En fait, je n’ai pas envie d’écrire une fiction à la première personne, plutôt de vous proposer une confession « 100% real story ». Pour vous, je serais Mowgli, en tout cas c’est ainsi que je me nommerais. Pourquoi ? Parce que je lui ressemble et que j’avais le choix avec Jésus, mais j’aurais eu l’impression d’en faire trop. La deuxième chose à savoir est que je suis encore un petit puceau malgré mes 28 ans… La plupart des gens ont du mal à y croire, même s’ils ont affaire à la vérité dans sa plus simple nudité. Et c’est cette histoire de ma virginité que j’ai envie de vous conter.
Je vous laisse le temps de sortir vos bites des paquets un peu trop serrés dans l’étroitesse de vos entrejambes. Tenez-là bien en main, on ne sait jamais si elle décidera de vous écouter ou de jouir quand bon lui semblera.
Sachez que ma virginité est un choix, ce n’est ni une contrainte religieuse, ni une erreur de la nature. A vrai dire, j’ai déjà eu deux relations, où j’ai pu tester quelques pratiques, mais elles furent soit pas assez satisfaisantes, soit trop courtes pour que je puisse en découvrir plus. En clair, je suis puceau uniquement parce que mon cul ne s’est jamais fais pénétrer. En ce qui concerne ma queue, elle ne pourra jamais pénétrer parce que j’en suis incapable, suite à un phimosis que je n’ai pas envie d’opérer. Une partie de moi a envie de passer à l’acte avec quelqu’un qui acceptera mon corps tel que Dame Nature l’a crée ; et une autre partie plus perverse aime l’idée d’être un actif ignoré, coincé dans le corps d’un passif.
Au-delà de cette facétie de Dame Nature, je crois avoir eu de la chance quant à mon physique. Certes j’ai un corps de petit minet avec mon 1 mètre 80 et mes 60 kilos, mais j’ai une gueule qui vaut le détour. Les cheveux longs et noirs comme les ailes d’une corneille, un regard de Gorgone aux yeux bleus, une peau aussi blanche que la crème et une bouche cramoisie à damner un saint. Ceci dit, j’ai beau avoir un corps féminins et les traits du visage qui l’accompagne, je reste un mâle avec son lot de poils qui recouvrent d’une fourrure plus d’une partie de mon corps. Aucune envie de me raser, sinon à quoi me sert de me croire sauvage (Wild).
Comme chaque nuit où l’insomnie s’abat sur la proie de ma personne, je fantasme sur ce que pourrait être ma sexualité si je devais y succomber. J’ai beau avoir un corps pur, du moins redevenu après plus de cinq ans de solitude, j’ai l’esprit très porté sur la chose comme un adolescent en rut… ou comme n’importe quel gars en fait. Cette nuit même, je réfléchissais à la manière dont j’aurai pu perdre ma virginité dans mon adolescence. Face à ce fantasme, je fus dans l’incapacité de dormir tellement il m’obsédait, je bandais comme un âne au point de choper mon traversin entre les cuisses pour le violer. Encore maintenant, je suis obligé de me stopper dans l’écriture afin de me masturber frénétiquement et d’évacuer un trop plein d’excitation.
J’ai l’impression de le voir devant moi, ce mec avec qui j’aurais eu ma première expérience. Ce n’est pas le beau gosse du lycée, il est plutôt du type lambda, un adolescent commun dont le corps à peine dessiné présente encore les stigmates de la puberté. D’ailleurs il est n’importe quel adolescent puisque Robin, de son petit nom, pense au cul en mode continu. Chaud et bandant en permanence, quelque soit l’endroit même en pleine salle de classe. A chaque fois que mes yeux tombaient sur son paquet, j’avais l’impression qu’il était trop plein de sa turgescence. Et moi ? J’étais du style plutôt naïf dans ma jeunesse, alors ça m’aurait fait mourir de rire ou j’en serais peut-être impressionné, mais je ne me serais jamais approché de sa queue. Sauf que… En tant que vierge qui se respecte, j’ai beau avoir une grande part de naïveté que je traîne avec le temps, elle se mélange avec une putain de perversité.
Je ne pourrais pas dire comment les choses sont censées déraper, mais j’imagine les clichés s’accumuler. D’abord, l’un se doit d’aller dormir chez l’autre, afin que l’action se déroule en plein milieu de la nuit. Si les hétéros imaginent les filles en petites tenues à se battre avec des polochons, je ne vois pas pourquoi je ne porterais pas ma tenue favorite : le tee-shirt/boxer, coordonnés s’il vous plait en bleu, rouge ou violet. Lui préfère le sobre du blanc ou du noir. Après tout, il se fait tard et ça fait longtemps qu’on s’est mis à l’aise, avachis sur le sol de la chambre.
Personne ne s’attend à ce qu’il va se passer, mais les jeux vidéo s’épuisent et la conversation se limite, il faut bien trouver quelque chose à faire pour passer le temps. En fait, je vois le sérieux partir en vrille lorsqu’un défi est lancé de purs mâles.
« Arrête mec, je suis certain que tu es incapable de me maîtriser. »
« Tu es sérieux. Putain, je vais te mettre à l’amande. »
Comme à mon habitude, je réagis au quart de tour, surtout que la légèreté de ma tenue m’assure la triomphe. A vrai dire, mon orgueil me voit toujours sortir vainqueur même contre ceux avec qui je n’ai aucune chance de rivaliser. Peu m’importe, car mon corps se noue dans tous les sens afin de tordre ma proie tel un serpent s’enroulant autour pour mieux l’étouffer.
Toutes griffe dehors, je me jette sur Robin. Effet de surprise garanti. Un guépard sur sa gazelle, sauf que l’animal est moins farouche que je ne l’espérais, se défendant avec assez de fougue pour taire mon arrogance. Heureusement que nos corpulences sont à arme égale car je réussis à bloquer ses jambes avec mes genoux et mes mains s’agrippent à ses poignets dans un étau. Il a beau se débattre, il est pris au piège de mes membres, même si j’ai beaucoup de mal à le garder en respect. Nous haletons tous les deux devant l’effort fourni, surtout que nous ne sommes pas des sportifs aguerris.
Je réussis entre deux souffles à dire : « Maintenant, dis-moi qui est le maître. »
« Pas question. Tu peux continuer à me retenir, je suis très bien dans cette position. »
Et en effet, je constate que le mec en profite pour frotter sa queue contre mon corps. Je ne sais pas depuis combien de temps dure son petit jeu, mais sa bite présente une grosseur assez importante pour qu’elle me fasse rougir de la tête au pied. Surtout qu’il ne se gêne pas pour y aller franchement, alors que j’essaye de trouver une position qui arrête son mouvement. Il est même assez débrouillard pour que mes fesses se positionnent avec précision sur son membre viril. Rien n’y fera jusqu’à ce que je succombe à mon tour.
De le sentir aussi vorace de sexe m’excite grave, au point que je le rattrape vite dans la turgescence avec ma queue. A moins que ce ne soit les nouvelles sensations, que me procure sa bite coller à mon trou, qui me mettent dans un état second. Pour mieux assurer ma prise sur son sexe, je décide de m’asseoir carrément sur son bas-ventre, afin de le faire coulisser contre la raie de mes fesses. Immédiatement le résultat escompté se fait jour par la violence avec laquelle il se sert de mon cul pour se masturber comme si j’étais une vulgaire poupée gonflable. Ses mains s’agrippent sur mes hanches pour mieux contrôler le rythme de mes mouvements, mais le sentant prêt à venir, je me rejette en arrière pour lui laisse goûter un moment de répit.
Ses yeux me crient de continuer, mais je préfère le frustrer en allant à la découverte de son corps. Je relève son tee-shirt pour découvrir un corps plus musclé qu’il n’y paraît, aux pectoraux bien plus saillant que les miens. Je ne peux résister à venir y coller ma bouche pour que ma langue y parcours la rondeur, avant d’aller mordre son téton tout dur d’excitation. Je plaque mon corps contre le sien et commence un va-et-vient qui ne le laisse pas de marbre à l’entendre gémir avec férocité. Mon ventre danse à un rythme frénétique pour que mon déhanché puisse épouser la forme de son sexe avec plus de force. Soumis au plaisir, la pupille de ses yeux se dilate au point que j’y lis le désir ardent qui l’habite. Sans m’en rendre compte, je me dévoue déjà à ses envies, même si j’en récupère autant de sensations.
En effet, Robin veut profiter un maximum de la situation, en partant à la conquête de mes fesses où il vient y déposer une main délicate, mais pleine de sens. Lui aussi y parcourt la rondeur de la courbe, pour s’attarder plus longuement sur la raie du boxer qui dissimule mon trou. Je trouve étrange qu’il ne tente pas de glisser sa main sous le tissu afin d’être en contact direct avec la chair. Au contraire, il continue de jouer comme si le sous-vêtement n’existait pas en me doigtant rigoureusement. Je me surprends à gémir comme une bête assoiffée et il ne tarde pas à comprendre le message en profitant de la situation. Perdu dans l’envoûtement de son regard, je ne m’attendais à ce qu’il me culbute sur le côté pour mieux me dominer de sa hauteur.
Avec une adresse brutale, mon pote me choppe par le cul et me renverse la tête contre le sol. Je me retrouve à quatre pattes, on ne peut plus ouvert à la merci de sa bite. Encore une fois, il prend son temps pour conquérir ce territoire vierge avec sa langue, fourrageant son visage dans le creux de mes fesses. Curieusement, il laisse toujours mon boxer en place, le mouillant avec abondance de sa salive. Ce ne sont plus des gémissements qui sortent de ma bouche, ce sont des cris, à tel point que Robin est obligé de me fourrer une de ses chaussettes dans la bouche pour me faire taire. Je n’ai jamais rien ressenti de pareil, j’ai l’impression que mon bas-ventre va exploser sous ses caresses ; je me vois obliger de lui demander d’arrêter, car j’ai la sensation que je vais jouir sans même me toucher la queue.
Je m’allonge sur le dos dans l’attente que la pression retombe. Haletant comme des coureurs après un marathon, nous reprenons notre souffle en vue de la ligne finale. D’une douceur inattendue, Robin s’amuse à masser mon corps, n’en laissant aucune partie susceptible d’être jalouse des autres. Ses mains se rapprochent de mon visage, allant de ma joue jusqu’à mes cheveux en bataille. Je ne me fais pas prier pour le laisser se poser sur mon corps, quitte à lui laisser le temps de trouver sa place idéale. Sans qu’il n’émette la moindre résistance, j’attrape sa bouche de mes lèvres gourmandes, se laissant fondre comme s’il n’attendait que ce moment depuis le début. Nos corps s’emballent pleine d’une intense électricité, à l’image de nos langues qui se tordent avec violence pour exprimer cette sensualité contenue.
Si vous pensez qu’il est impossible de faire venir un mec rien qu’en se frottant à son pénis dans la volupté, vous avez beaucoup plus de choses à apprendre que moi sur le sexe. Sachez que les deux seuls mecs avec qui j’ai eu un semblant d’expérience ont joui dans leurs boxer plus d’une fois. Croyez au pouvoir de mon déhanché puissant et ravageur ! Or, comment Robin pourrait y résister ? J’ai beau être en dessous, il m’est impossible de m’imaginer en étoile de mer. Je suis peut-être rien qu’un petit passif, mais certainement pas inactif. J’agrippe de mes mains avides ce corps abandonné pour mieux le sentir contre le mien, ce qui nous fond dans une seule vague dont je contrôle le rythme avec précision. Peu à peu, l’ampleur se fait plus grande, la vitesse plus rapide et la force plus agressive dans un crescendo harmonique. Afin de le rendre plus accro à la jouissance, j’approche ma bouche de son oreille pour lui faire entendre mon souffle animal. Comme ensorcelé, Robin se lance dans une frénésie pleine de fougue, sa queue battant contre la mienne cherchant à y défoncer le mur de mon corps pour y creuser un trou où se loger. Prêt à craquer, je soulève mes hanches dans un dernier effort, qui ne lui laisse pas le temps de réfléchir… il est déjà en train de venir. Jouissant à grandes eaux, nos corps sont pris de spasmes incontrôlables alors que nos boxers trempent dans le mélange de nos spermes. Ayant déchargé ses batteries, Robin s’écroule sur moi, soulagé de la frustration adolescente. Je ne peux revenir sur la scène passée, que je m’endors sous le poids d’une fatigue accablante. Plus rien n’importe, hormis le sommeil dans les bras l’un de l’autre.
Je ne peux pas vous dire le nombre de fois où j’ai été obligé de m’arrêter d’écrire parce que j’avais besoin de me branler. Rêvant aux litres de sperme éruptives durant vos lectures, je fus traversé par une idée au génie pervers, ce d’inclure le lecteur comme acteur de l’histoire. Certes vous pouvez commenter l’épisode en m’envoyant un mail (wildmowgli@outlook.com), mais vous pouvez en choisir la suite. Que ce soit à travers une photo, une vidéo ou quelques mots, imposez-moi vos fantasmes, vos délires, vos trips ou vos envies. Incrustez vous dans mes fantasmes, donnez moi de la substance pour écrire une histoire qui vous appartient. Et sachez que j’ai Robin et plein d’autres qui tournent dans la tête, vous n’avez qu’à en sélectionner un… ou plusieurs. A vous de voir !
Sachez que quelque soit le message, je répondrais à tout le monde. A ma prochaine !
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