Cougar avec une fille et un amant commun
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2012 dans la catégorie Plus on est
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Cougar avec une fille et un amant commun
C’est une histoire simple, comme il en arrive tous les jours. L’héroïne n’est qu’une
simple femme de 40 ans que son mari a laissé tomber pour une une fille plus jeune,
conforme à sa façon de vivre : de montrer qu’il savait plaire aux jeunes femmes. Mon
héroïne Renée a tout fait pour le retenir : elle a de nouveaux seins, son visage est
sans ride. En plus elle a beaucoup lu les meilleures façons de faire l’amour. Le
résultat a été qu’elle a prit d’avantage gout à la baise pour le simple plaisir. Elle
a acquis une bonne connaissance des fellations et a mieux rodé celle de la sodomie.
Elle est prête à tout, même à ce qui lui semble dégradant. Elle s’est souvent donnée à
de jeunes hommes, simplement pour jouir.
Ses moyens lui permettent de vivre sans tracas financiers. Son premier souci est de
chercher une femme à tout faire. Son annonce dans le journal local emmène une quantité
de candidatures. Le choix est difficile sauf quand elle trouve ce qui lui semble une
perle. Une fille de 25 ans, bien comme elle aime. Au début elle ne pense qu’au ménage
et en bavardant elle songe qu’elle verrait bien la fille dans son lit. Pourtant Renée
n’a jamais songé un seul instant à faire l’amour avec une fille.
Elle estime qu’à son âge, elle a le droit de tout essayer. Après tout personne ne lui
dirait rien si elle prenait un jeune amant, alors pourquoi pas une jeune femme. Elle
embauche donc la fille à certaines conditions : Vivre dans la maison, être vêtue sexy,
oublier les sous vêtements. Le plus important, participer aux plaisir de la patronne.
L’ensemble des exigences est souligné d’un clin œil qu’elle veut coquin.
Si la fille a une liaison avec un homme, ne pas hésiter à le faire venir pour le
partager. Surprise Carmen accepte en ayant compris qu’elle devra baiser avec sa
patronne et son amant. Au fond le travail n’est pas crevant et les plaisirs à la base
de tout.
C’est le Lundi matin que Carmen prend son service. Elle arrive déjà dans une tenue
très sexy, petite jupette, pas de slip, oubli du soutien gorge, la poitrine
jaillissante de son corsage.
Renée en est retournée. Comme elle ne porte qu’un simple peignoir de bain elle est
vite nue devant l’autre femme qui l’inspecte en détail. La pudeur n’est pas leur point
fort. Renée vient embrasser sa bonne sur la bouche : leurs langues font ce que font
toutes les langues dans ce cas : elles se disputent dans la bouche de l’autre. Si
Renée s’est présentée ainsi c’est qu’elle ne savait pas trop comment faire pour la
conduire dans son lit. En plus elle ne connait rien en amour homo. Elle a fait le
pari que Carmen, elle devait savoir.
Pour accepter de venir travailler dans de telles conditions il est certain que Carmen
savait ce à quoi elle s’exposait. En plus son copain est du genre je viens ou pas. Sa
façon unique de jouir est dans la masturbation qu’elle pratique souvent plusieurs fois
pas jour.
Ce qu’elle aime bien c’est de se caresser le clitoris avant d’entrer son gode dans la
chatte ou le cul, selon son inspiration du moment.
L’employée et la patronne vont dans la chambre où Renée commence à déshabiller Carmen.
C’est vite fait, Carmen lui tend un sein pour se faire embrasser sur le téton. Pas
innocente, Carmen passe un doigt dans la fente de Renée : elle y trouve les lèvres
toutes mouillées. Le doigt inspecte le reste pour trouver les petits riens qui font
qu’une femme jouit facilement ensuite. Pour mieux jouir, René se couche sur le dos.
Carmen reste assise au bord du lit, près de Renée. Bien sur elle sait où trouver le
clitoris qu’elle frôle souvent en l’oubliant parfois. Renée tend son ventre vers la
main.
Renée ne subit pas, elle veut rendre. Elle arrive à faire écarter les cuisses de
Carmen pour aussi caresser la chatte. Carmen est comme Renée : elle préfère être
branlée couchée. Elle passe un bras autour de cou de son amante pendant que l’autre
main caresse le con de l’autre. L’effet est rapide, trop rapide même. Elles se font
jouir de concert. Renée se lève en laissant Carmen couchée : elle la regarde bien nue,
pour profiter du corps tout neuf.
Renée en veut d’avantage, même si Carmen la rassure en lui expliquant que son gode
peut la satisfaire, Renée veut une bite réelle. Elle ordonne à Carmen de faire venir
con copain pour le partager : elle a envie d’une vraie bite dans le cul.
Quelques jours se passent entrecoupés de petits câlins jouissifs. Elles en sont
maintenant couramment au 69.
Enfin un jour, Carmen lui dit que son amant doit venir le soir même passer la nuit
avec elles deux. Elles préparent un cocktail à base de pilules bleues, celles qui font
bien bander. Elles ne tiennent pas jusqu’à l’arrivée du garçon : elles ont trop envie
de jouir. C’est Carmen qui commence en s’asseyant sur le divan, toujours nue, la main
sur le con. Elle se branle avec ferveur pendant que Renée la regarde avec envie. Elle
aimera sucer la bonne. Alors le voyant occupé elle se masturbe l’anus. Elle y a entré
un doigt vite suivit d’un deuxième. Elle se bourre le cul avec ses doigts qui vont et
viennent dans son rectum. Elle connait la fin : des contractions consécutives,
rapprochées en début qui indiquent son plaisir dominant.
Enfin l’heure arrive où elles ne sont plus seules. Arrive un type bien grand, bien
fait, sensible sans doute. Le peu que voient les filles est une belle bosse sur le
pantalon. Carmen reconnait la bite de son amant. C’est elle qui l’embrasse en prenant
dans sa main le paquet de sexe qui grossit vite tâté ainsi. Lui, Marc est un peu
impressionné de se trouver devant deux femmes nues qui le veulent.
Avant d’aller trop loin elles lui proposent un quelque chose à boire, ce qu’il n’en
refuse pas. Il avale la potion rapidement : le viagra fait effet assez rapidement.
S’il le prend ce n’est que pour le faire bander plus longtemps.
Mais l’effet est très rapide. Il bande déjà quand son amie lui a massé la queue, alors
maintenant qu’il a affaire à deux chipies en chaleur, il va prendre son pied plusieurs
fois. Il ne sait pas où, il s’en fiche complètement. Son seul besoin est de baiser
longuement les deux filles.
C’est Renée qui attaque la première en lui sortant la bite. Le monument apparait. Il
est normal en grosseur et épaisseur. Par contre les couilles sont plus grosses. Renée
prend la bite dans la bouche pendant que Carmen caresse les couilles. Renée est aux
anges avec cet engin contre sa langue. Le gout lui convient bien, La douceur du gland
l’inspire. Du coup elle fait une très bonne fellation. Marc se raidi souvent, Renée
arrête ce qu’elle lui fait pour reprendre un peu plus tard. Arrive le moment ou elle
veut gouter le sperme qui jaillit d’un seul coup dans sa bouche. C’est un peu salé,
crémeux, délicieux. Elle allait l’avaler quand Carmen se montre à elle : elle
l’embrasse sur la bouche pour partager. Le baiser sur la bouche de Marc est encore
plein du gout de la semence.
Comme prévu, même s’il a jouit, Marc reste bandé. Cette fois c’est Carmen qui s’occupe
de la queue. Elle la branle un instant à pleine main avant de venir se coucher près de
Marc :
- Baise moi maintenant, j’ai envie, après tu baiseras ma patronne qui le veut comme
moi et nous recommencerons longuement. Mets-moi là au con.
Il est encore habillé : c’est Renée qui le déshabille. Maintenant il est bien mieux
avec sa queue bien droite. Il se couche lentement sur Carmen qui creuse déjà son
ventre comme si elle ressentait déjà l’effet de la pine dans le con. Elle le guide à
peine pour qu’il entre. Quand il est au fond du puits, il reçoit avec plaisir un doigt
de Renée dans le cul. Elle s’est couchée à coté des amants, son entrejambe pas loin du
visage de Carme qui se croit obligée de la branler.
Leur plaisir est triple. Si le sperme gicle dans le ventre de Carmen elle lui donne sa
cyprine en flots. Elle sent autour des doigts qu’elle avait mis dans le con de Renée
les spasmes réguliers de son orgasme.
Si les femmes en veulent encore, lui bande toujours à sa grande surprise.
Il est couché sur le dos, alors Renée en profite pour venir poser ses fesses sur sa
bite. Elle tient la pine avec sa main, la promène tout le long de sa fente avant de la
fixer juste à l’entré de son cul :
- Encules moi. Fais-moi jouir par le cul.
Elle se laisse aller en descendant lentement pendant que la pine entre dans son anus.
Elle attend de bien sentir le pubis de l’amant sur ses fesses avant de se branler.
Elle commence le long va-et-vient qui la lime. Carmen sans se démonter passe derrière
Renée pour la caresser. Si elle pose une main sur un sein, l’autre va remplacer celle
qui la branle. Renée ne semble pas se contenter de peu, elle n’arrête pas de jouir,
alors Carmen va poser son con sur le visage de son amant. Il la connait assez pour
savoir quoi lui faire. Si le bouton a sa part, il va également sur et dans le cul. Les
deux femmes sont attirées l’une vers l’autre. Elles se penchent en avant pour
s’embrasser longuement : leurs langues participent à leurs ébats.
Elles jouissent presque ensemble alors, elles se consacrent au plaisir de cet homme.
La masturbation est courante : elles s’y mettent à deux pour prendre la queue toujours
bandée. Lui, regarde excité ce qu’elles lui font. Il arrive à donner deux fois son
sperme qu’elles se disputent.
Arrive la fin : il débande brusquement quand le médicament ne fait plus effet. Il en
est presque soulagé. Il a du jouir de droite et de gauche plus de 3 heures, et surtout
plus d’une vingtaine de fois.
Renée lui demande de venir habiter chez elle. La réponse est négative: il viendra deux
fois par semaine uniquement pour les baiser;
simple femme de 40 ans que son mari a laissé tomber pour une une fille plus jeune,
conforme à sa façon de vivre : de montrer qu’il savait plaire aux jeunes femmes. Mon
héroïne Renée a tout fait pour le retenir : elle a de nouveaux seins, son visage est
sans ride. En plus elle a beaucoup lu les meilleures façons de faire l’amour. Le
résultat a été qu’elle a prit d’avantage gout à la baise pour le simple plaisir. Elle
a acquis une bonne connaissance des fellations et a mieux rodé celle de la sodomie.
Elle est prête à tout, même à ce qui lui semble dégradant. Elle s’est souvent donnée à
de jeunes hommes, simplement pour jouir.
Ses moyens lui permettent de vivre sans tracas financiers. Son premier souci est de
chercher une femme à tout faire. Son annonce dans le journal local emmène une quantité
de candidatures. Le choix est difficile sauf quand elle trouve ce qui lui semble une
perle. Une fille de 25 ans, bien comme elle aime. Au début elle ne pense qu’au ménage
et en bavardant elle songe qu’elle verrait bien la fille dans son lit. Pourtant Renée
n’a jamais songé un seul instant à faire l’amour avec une fille.
Elle estime qu’à son âge, elle a le droit de tout essayer. Après tout personne ne lui
dirait rien si elle prenait un jeune amant, alors pourquoi pas une jeune femme. Elle
embauche donc la fille à certaines conditions : Vivre dans la maison, être vêtue sexy,
oublier les sous vêtements. Le plus important, participer aux plaisir de la patronne.
L’ensemble des exigences est souligné d’un clin œil qu’elle veut coquin.
Si la fille a une liaison avec un homme, ne pas hésiter à le faire venir pour le
partager. Surprise Carmen accepte en ayant compris qu’elle devra baiser avec sa
patronne et son amant. Au fond le travail n’est pas crevant et les plaisirs à la base
de tout.
C’est le Lundi matin que Carmen prend son service. Elle arrive déjà dans une tenue
très sexy, petite jupette, pas de slip, oubli du soutien gorge, la poitrine
jaillissante de son corsage.
Renée en est retournée. Comme elle ne porte qu’un simple peignoir de bain elle est
vite nue devant l’autre femme qui l’inspecte en détail. La pudeur n’est pas leur point
fort. Renée vient embrasser sa bonne sur la bouche : leurs langues font ce que font
toutes les langues dans ce cas : elles se disputent dans la bouche de l’autre. Si
Renée s’est présentée ainsi c’est qu’elle ne savait pas trop comment faire pour la
conduire dans son lit. En plus elle ne connait rien en amour homo. Elle a fait le
pari que Carmen, elle devait savoir.
Pour accepter de venir travailler dans de telles conditions il est certain que Carmen
savait ce à quoi elle s’exposait. En plus son copain est du genre je viens ou pas. Sa
façon unique de jouir est dans la masturbation qu’elle pratique souvent plusieurs fois
pas jour.
Ce qu’elle aime bien c’est de se caresser le clitoris avant d’entrer son gode dans la
chatte ou le cul, selon son inspiration du moment.
L’employée et la patronne vont dans la chambre où Renée commence à déshabiller Carmen.
C’est vite fait, Carmen lui tend un sein pour se faire embrasser sur le téton. Pas
innocente, Carmen passe un doigt dans la fente de Renée : elle y trouve les lèvres
toutes mouillées. Le doigt inspecte le reste pour trouver les petits riens qui font
qu’une femme jouit facilement ensuite. Pour mieux jouir, René se couche sur le dos.
Carmen reste assise au bord du lit, près de Renée. Bien sur elle sait où trouver le
clitoris qu’elle frôle souvent en l’oubliant parfois. Renée tend son ventre vers la
main.
Renée ne subit pas, elle veut rendre. Elle arrive à faire écarter les cuisses de
Carmen pour aussi caresser la chatte. Carmen est comme Renée : elle préfère être
branlée couchée. Elle passe un bras autour de cou de son amante pendant que l’autre
main caresse le con de l’autre. L’effet est rapide, trop rapide même. Elles se font
jouir de concert. Renée se lève en laissant Carmen couchée : elle la regarde bien nue,
pour profiter du corps tout neuf.
Renée en veut d’avantage, même si Carmen la rassure en lui expliquant que son gode
peut la satisfaire, Renée veut une bite réelle. Elle ordonne à Carmen de faire venir
con copain pour le partager : elle a envie d’une vraie bite dans le cul.
Quelques jours se passent entrecoupés de petits câlins jouissifs. Elles en sont
maintenant couramment au 69.
Enfin un jour, Carmen lui dit que son amant doit venir le soir même passer la nuit
avec elles deux. Elles préparent un cocktail à base de pilules bleues, celles qui font
bien bander. Elles ne tiennent pas jusqu’à l’arrivée du garçon : elles ont trop envie
de jouir. C’est Carmen qui commence en s’asseyant sur le divan, toujours nue, la main
sur le con. Elle se branle avec ferveur pendant que Renée la regarde avec envie. Elle
aimera sucer la bonne. Alors le voyant occupé elle se masturbe l’anus. Elle y a entré
un doigt vite suivit d’un deuxième. Elle se bourre le cul avec ses doigts qui vont et
viennent dans son rectum. Elle connait la fin : des contractions consécutives,
rapprochées en début qui indiquent son plaisir dominant.
Enfin l’heure arrive où elles ne sont plus seules. Arrive un type bien grand, bien
fait, sensible sans doute. Le peu que voient les filles est une belle bosse sur le
pantalon. Carmen reconnait la bite de son amant. C’est elle qui l’embrasse en prenant
dans sa main le paquet de sexe qui grossit vite tâté ainsi. Lui, Marc est un peu
impressionné de se trouver devant deux femmes nues qui le veulent.
Avant d’aller trop loin elles lui proposent un quelque chose à boire, ce qu’il n’en
refuse pas. Il avale la potion rapidement : le viagra fait effet assez rapidement.
S’il le prend ce n’est que pour le faire bander plus longtemps.
Mais l’effet est très rapide. Il bande déjà quand son amie lui a massé la queue, alors
maintenant qu’il a affaire à deux chipies en chaleur, il va prendre son pied plusieurs
fois. Il ne sait pas où, il s’en fiche complètement. Son seul besoin est de baiser
longuement les deux filles.
C’est Renée qui attaque la première en lui sortant la bite. Le monument apparait. Il
est normal en grosseur et épaisseur. Par contre les couilles sont plus grosses. Renée
prend la bite dans la bouche pendant que Carmen caresse les couilles. Renée est aux
anges avec cet engin contre sa langue. Le gout lui convient bien, La douceur du gland
l’inspire. Du coup elle fait une très bonne fellation. Marc se raidi souvent, Renée
arrête ce qu’elle lui fait pour reprendre un peu plus tard. Arrive le moment ou elle
veut gouter le sperme qui jaillit d’un seul coup dans sa bouche. C’est un peu salé,
crémeux, délicieux. Elle allait l’avaler quand Carmen se montre à elle : elle
l’embrasse sur la bouche pour partager. Le baiser sur la bouche de Marc est encore
plein du gout de la semence.
Comme prévu, même s’il a jouit, Marc reste bandé. Cette fois c’est Carmen qui s’occupe
de la queue. Elle la branle un instant à pleine main avant de venir se coucher près de
Marc :
- Baise moi maintenant, j’ai envie, après tu baiseras ma patronne qui le veut comme
moi et nous recommencerons longuement. Mets-moi là au con.
Il est encore habillé : c’est Renée qui le déshabille. Maintenant il est bien mieux
avec sa queue bien droite. Il se couche lentement sur Carmen qui creuse déjà son
ventre comme si elle ressentait déjà l’effet de la pine dans le con. Elle le guide à
peine pour qu’il entre. Quand il est au fond du puits, il reçoit avec plaisir un doigt
de Renée dans le cul. Elle s’est couchée à coté des amants, son entrejambe pas loin du
visage de Carme qui se croit obligée de la branler.
Leur plaisir est triple. Si le sperme gicle dans le ventre de Carmen elle lui donne sa
cyprine en flots. Elle sent autour des doigts qu’elle avait mis dans le con de Renée
les spasmes réguliers de son orgasme.
Si les femmes en veulent encore, lui bande toujours à sa grande surprise.
Il est couché sur le dos, alors Renée en profite pour venir poser ses fesses sur sa
bite. Elle tient la pine avec sa main, la promène tout le long de sa fente avant de la
fixer juste à l’entré de son cul :
- Encules moi. Fais-moi jouir par le cul.
Elle se laisse aller en descendant lentement pendant que la pine entre dans son anus.
Elle attend de bien sentir le pubis de l’amant sur ses fesses avant de se branler.
Elle commence le long va-et-vient qui la lime. Carmen sans se démonter passe derrière
Renée pour la caresser. Si elle pose une main sur un sein, l’autre va remplacer celle
qui la branle. Renée ne semble pas se contenter de peu, elle n’arrête pas de jouir,
alors Carmen va poser son con sur le visage de son amant. Il la connait assez pour
savoir quoi lui faire. Si le bouton a sa part, il va également sur et dans le cul. Les
deux femmes sont attirées l’une vers l’autre. Elles se penchent en avant pour
s’embrasser longuement : leurs langues participent à leurs ébats.
Elles jouissent presque ensemble alors, elles se consacrent au plaisir de cet homme.
La masturbation est courante : elles s’y mettent à deux pour prendre la queue toujours
bandée. Lui, regarde excité ce qu’elles lui font. Il arrive à donner deux fois son
sperme qu’elles se disputent.
Arrive la fin : il débande brusquement quand le médicament ne fait plus effet. Il en
est presque soulagé. Il a du jouir de droite et de gauche plus de 3 heures, et surtout
plus d’une vingtaine de fois.
Renée lui demande de venir habiter chez elle. La réponse est négative: il viendra deux
fois par semaine uniquement pour les baiser;
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