Coup d'un soir... qui se poursuit (2)
Récit érotique écrit par Portdebrest [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Coup d'un soir... qui se poursuit (2)
La première partie, parue le 14 décembre 2021 raconte mon rendez-vous avec Noël, bel Asiatique que j’ai connu sur un site gay… Je pensais que ce serait une rencontre unique, un « coup d’un soir » selon la formule. Avec lui j’ai pris beaucoup de plaisir puis sous la douche il a arrosé d’eau froide mon trois-pièces et par surprise Noël m’a pris le sexe pour y bloquer une cage de chasteté. Ensuite il m’a dit : - « Tu es vraiment bâti pour prendre des bites, sacré salope… Maintenant je suis certain que tu n’oublieras pas de revenir demain après ton deuxième rendez-vous !
- « Non, Noël, ce n’est pas possible, enlève-moi ça ! Je ne veux pas…J’ai eu beau l’implorer, rien ne l’a fait changer d’avis. J’ai tenté d’enlever ce truc mais il l’avait cliqué serré à la base de mes bourses. Ensuite j’ai commencé à fouiller la maison à la recherche de la clé. Rien ! Noël a rouvert la pièce pour que je récupère mes vêtements. Je me suis habillé tout en laissant la braguette ouverte. J’ai encore fouillé partout mais rien. J’étais en colère jusqu’à ce que Noël me prenne dans ses bras. Il ne m’avait pas encore appelé par mon prénom : - « Ecoute moi Rémi, je veux seulement te revoir avant que tu quittes Paris, si tu avais accepté de dormir ici je n’aurais pas fait ça mais tu vas retourner à ton hôtel… Je te jure que demain je t’enlèverais cette cage, tu sais sous ton pantalon, elle ne se verra pas vraiment »- « Mais qui me prouve que tu me l’enlèveras demain, est ce que ce n’est pas encore un piège ? Je préfère encore montrer ça à un serrurier ou même voir la police !
- « Non, c’est une clé de sécurité et sous le plastic c’est de l’acier inox très difficile à scier. Voilà ce que je te propose Rémi. Demain je travaille du matin, dès que tu arrives, je te donne un collier avec la clé, tu pourras vérifier si c’est la bonne. Et puis, tu vas voir… Tu vas fantasmer sur cet appareil, tu ne pourras pas te branler à l’hôtel et je crois que demain tu auras envie de me revoir.
J’ai fini de me rhabiller et je l’ai quitté sans un mot. J’étais partagé entre la colère, le désespoir, la honte et l’envie. Dans la rue la nuit était tombée et je passais inaperçu. Dans le métro, j’ai eu l’impression que tout le monde regardait entre mes jambes. Même si la bosse était effectivement peu visible, j’avais tendance à marcher les jambes légèrement écartées. A l’hôtel, j’ai pris une nouvelle douche et j’ai bien tenté en savonnant de retirer cet attribut mais rien à faire, même en tentant de glisser une couille avant l’autre. C’était trop serré et mes mouvements ne faisaient que gonfler ma bite, laquelle ne pouvait se déployer tant elle était encagée. J’ai fini par me calmer et j’ai dîné dans la chambre pour ne pas ressortir. J’avoue que cet objet pendant entre mes cuisses ne me laissait pas indifférent. Au moment de me coucher je suis resté nu sur le lit à regarder cet objet sur lequel on trouve beaucoup de chose à lire sur internet et en lisant cela je me suis caressé les tétons, les bourses et l’anus mais sans vraiment prendre du plaisir compte tenu de l’inconfort pour ne pas dire « des douleurs » procurées par la compression de mon organe dans la cage. J’ai mal dormi et au petit matin j’ai encore tenté sous la douche de retirer cet engin. Peine perdue… L’heure passant je devais me rendre à ma réunion.
Dans la rue, dans le métro, à l’accueil… comme hier j’ai l’impression d’être observé, la peur que tout le monde se demande ou pire, devine ce qui m’oblige à écarter les jambes. Malheureusement pour moi, je ne suis pas assis comme les autres dans la salle de réunion. Non, comme conférencier indépendant, je suis le plus souvent debout face aux stagiaires pour bien voir leurs réactions et je marche de l’écran à la salle pour appuyer mes démonstrations. Parfois j’oublie ce que je porte, parfois j’ai l’impression que le poids de l’objet augmente et grossit avec le temps qui passe… A la pause de la mi matinée, je me rends aux toilettes et devant l’urinoir je déboutonne ma braguette. Rouge de honte, je la referme précipitamment pour aller m’asseoir sur la cuvette des WC fermés. Je dois pisser assis comme une fille et en plus c’est à travers les mailles de la cage !
De retour dans la salle on m’offre un café et une viennoiserie, des stagiaires se pressent vers moi pour échanger et dans la bousculade l’un des hommes me heurte, pile entre les jambes. Il s’excuse très platement mais je vois bien qu’il reste étonné. Il a heurté ma cage et se demande peut-être ce que c’était. La séance a repris sans nouvel événement suivi d’un partage de plateaux repas. Les dernières questions et impressions sont échangées. Comme tout le monde est assis, je suis tranquille même si la vue de quelques beaux mecs me rappelle la boîte qui enserre fort mon phallus. Après 15 heures, je suis libre… J’hésite, je ne peux rentrer chez moi comme ça. Je n’envisage pas de voir un serrurier qui va vouloir regarder avant de faire quoi que ce soit. La Police, c’est délicat d’autant que j’aurais du mal à expliquer que je n’étais pas consentant. Je m’arrête boire une bière et finalement, après avoir échangé quelques SMS avec lui, je reprends le chemin de chez Noël. OUI, j’ai envie !
J‘arrive donc devant son immeuble, il m’a donné les codes d’entrée, ascenseur, étage… Je sonne. Noël m’ouvre, il est déjà presque prêt. Juste un petit marcel, un string qui lui cache juste le sexe et des chaussons. J’entre… La pièce principale a changé, un matelas est posé à terre, au pied du canapé. Il semble organisé. Il me prend la main, délicatement et m’embrasse avec douceur.
- « Je sais Rémi, que tu as un train ce soir, tiens cette petite chaînette avec la clé. Tu peux vérifier.
Il a refermé derrière nous. J’ouvre juste mon pantalon et essaie la clé qui fonctionne bien.
- « Non Rémi, s’il te plait, ne l’enlève pas, attend un peu. Bien sûr tu conserves la clé, mets le collier autour de ton cou et laisse-moi te déshabiller.
J’ai enfilé le collier autour de mon cou. Qui ne dit mot, consent dit-on ! Noël prend donc ma non réponse pour un oui et m’embrasse à nouveau. Sur la joue, le coin de la bouche, les lèvres pour ensuite y entrer sa langue. Sans s’arrêter, il enlève ma veste qu’il jette sur le canapé, déboutonne et enlève ma chemise. Il m’embrasse toujours puis me propose une bière. Je prends le temps d’observer son appartement. C’est petit, un loft de célibataire. Bien meublé mais un peu envahit de gadgets et ustensiles divers. Quelques photos de vacances avec des copains. Je termine mon verre. Il s’accroupit retire ma ceinture qu’il jette sur le matelas et baisse mon pantalon, je lève une jambe, l’autre... Je suis maintenant quasi nu, juste habillé de mon petit Tang de dentelles sous lequel j’ai laissé la cage de chasteté bien bouclée et autour de mon cou, le collier et ma cravate. Noël s’est relevé et me suces un téton puis il me regarde en caressant les deux :- « Tu te souviens d’hier quand je t’ai dit que tu es une belle salope et que tu es vraiment bâti pour prendre des bites … Oui bien sûr, puisque tu es revenu ! Parle-moi, dis-moi que tu es mon chéri, que tu aimes la bite.
- « OUI, j’aime ta bite, oui je suis une salope, Continues, caresses-moi.
- « Tu sais Rémi, je suis d’origine asiatique et mon engin n’est pas volumineux, long mais pas gros, j’aimerais que tu aimes comme je suis !
- « Continues, j’aime ce que tu me fais…Noël m’embrasse tendrement, sa langue caresse la mienne, fouille ma bouche… Il suce mes lèvres. Je suis subjugué et me laisse faire. Nous sommes maintenant debout sur le matelas, il me retourne et se colle à mon dos. Sa bouche se promène dans mon cou, sur mes épaules et descend dans le dos. Ses mains ont quitté mes tétons pour enlever ma cravate. Ensuite elles rejoignent mes fesses qu’elles pétrissent par-dessus mon string de dentelles. Maintenant il me caresse l’intérieur des cuisses, m’écarte les jambes et en profite pour vérifier que la cage est bien verrouillée. Il se relève pour prendre mes mains, les passes derrière mon dos…- « N’aie pas peur Chéri, tu vas prendre du plaisir… Tu peux partir maintenant ou bien tu restes… Je suis comme dépendant de lui, j’ai trop envie de sentir à nouveau les délices que j’ai éprouvés hier. D’une petite voix je lui réponds :- « Je reste, j’ai envie… mais j’ai peur, il y a des choses…- « D’accord, Je m’occupe de toi. Je vais toujours t’annoncer ce que nous allons faire et si tu penses que ça va trop loin ton mot de sauvegarde pour réduire l’intensité c’est ‘carapace’, je ralentirais et pour arrêter tu dis ‘Papillon’. Attention ‘carapace’ je réduis mon action mais dès que tu prononces ‘Papillon’, on arrête tout, tu enlèves ton carcan, tu pars et tu ne reviens jamais. C’est d’accord ?
Pendant qu’il me parle, il me palpe les bourses et les tétons, ma tige essaye de se tendre mais elle est serrée dans son habitacle. Mon corps est tellement dans l’attente de la jouissance que mon esprit a perdu toute capacité de réflexion. J’arrive à peine à parler, juste à articuler :- « Oui… Ok !
- « Bien, je vais attacher tes mains avec ta cravate.
Ce qu’il fait immédiatement, puis il me couche, le ventre sur le matelas. Enfin il s’allonge sur moi pour des massages corps à corps, peau contre peau. Je me détends. Il me mordille aussi les oreilles. Je suis bien.
- « Chéri, ce serait bien qu’on s’offre l’un à l’autre… Je vais te chauffer les fesses… J’aime voir le rouge sur les culs que je baise. Je vais te les colorer davantage qu’hier… Je ne vais pas te mordre mais me servir de ta ceinture. Ne crains rien, tu gardes ton Tang pour ne pas laisser de traces … Et je vais attacher tes pieds.
Je ne dis rien, ni oui ni les mots de sauvegarde aussi il continue. Ma cheville droite est attachée au pied du canapé et la gauche à celui de la table. Je vois Noël prendre ma ceinture… je prononce dans ma tête les 2 mots pour bien m’en souvenir. Noël me rassure en me disant des mots doux à l’oreille puis commence par une série de coups en douceur. Cinq… dix, il les compte à haute voix. Caresses et une question : « tu aimes ? » Le onzième est un peu plus fort, 5 à gauche et 5 à droite… Pause, caresses et baisers sur la peau qui chauffe… Une autre question « Aimes-tu ce que je te fais ? » encore deux fois 5 soutenus… Comme je pousse de petits cris, mon fouetteur se penche vers moi, m’embrasse, m’ouvre la bouche et me donne un tissu roulé en boule pour le mordre. Il me regarde « c’est pour toi mon chéri ». Je ne dis rien et serre les dents ! Cette fois c’est deux fois dix et à la fin je recrache le tissu :- « Carapace… S’il te plait, Carapace !
- « Mon chéri, Je le savais, tu aimes ça, un peu maso, je ne pensais pas que tu en accepterais autant. Maintenant Amour, je dois te donner du plaisir.
Il déchire alors mon Tang et caresse mes lobes chauffés au rouge. Après m’avoir longuement caressé partout, il m’enduit le bas du dos d’une crème apaisante ; passe sa main sous moi pour tirer vers l’arrière mes burnes et la cage ; me caresse le sillon avant d’y mettre du gel… Enfin il palpe ma rondelle, y introduit un doigt puis deux qu’il tourne pour assouplir et détendre ma chatte.
- « Je vais te sauter maintenant puisque tu aimes les bites ! Mais j’ai un problème car je bande moins quand je vois blanchir une chatte. Je vais remédier à ça !
Sans attendre il me fouette de deux coups secs, forts et rapprochés qui cinglent mon cul nu. Je crie et pendant que je reprends ma respiration je cherche lequel des deux mots je vais utiliser. Avant que je ne réalise Noël vient devant moi, enlève ce qui reste du tissu qui me fermait la bouche, c’est en fait un caleçon et enfile un condom en me disant :- « C’est assez, je dis ‘carapace’ et je vais m’occuper de ta chatte tant qu’elle est rouge, tu vas m’aimer.
Il s’installe entre mes jambes pour me pénétrer. Il écarte mes demi sphères et son membre se présente devant l’entrée, pousse la porte et le gland entre. Je sens une douleur dans mes muscles fessiers qui sont écartés après avoir été maltraités. Du coup, je sens à peine l’intromission. Sa hampe se glisse doucement à l’intérieur et son bassin vient s’appuyer sur mon postérieur brûlant. Couché sur mon dos, son membre dans mon cul il s’agite en moi, cela ne me procure que peu de sensations. Alors il me détache les mains, je me frotte les poignets et me mets à quatre pattes, il se met à genoux, agrippe mes hanches et me laboure le tunnel. Ma tige est compressée dans sa cage, chaque butée ranime l’effet des coups de ceinture. Comme hier, il ne pense qu’à son plaisir ; j’espère bien que, comme hier mon tour viendra puisqu’il considère que c’est chacun son tour. Maintenant, je le sens mieux s’agiter, mon tube s’est rodé au pistonnage, une douce langueur m’envahit, la tension monte. Noël me chevauche avec vigueur, j’entends ses soupirs et ses cris en cadence… Han ! han ! han… Notre plaisir monte et si nous arrivions à la plénitude simultanée… Noël pousse un cri et sa semence se répand dans la capote ; Tu as un cul d’amour me dit ’il ! il se retire aussitôt et mon plaisir disparaît en même temps. Toujours entravé par les pieds, je m’allonge… Vais-je devoir attendre qu’il soit à nouveau en forme ou est ce qu’il va me travailler maintenant ?
Noël est parti à la salle de bain, j’entends la douche couler et de savoir qu’il se savonne les parties intimes me donne envie de me caresser. Je commence par mes seins et le bout de mes tétons qui sont toujours sensibles… Ce faisant je sens la chaînette autour de mon cou et je tire la clé. Que faire ? Ouvrir la cage et me branler, ce sera vite fait mais peu satisfaisant par rapport à ce que j’ai ressenti hier. J’en suis là de mes réflexions quand Noël revient :- « Ah, que veux-tu faire ? Si tu la retires toi-même, tu prends ton pied en solo et adieu, mais je préfère que tu me laisse t’aimer comme je veux, tu ne le regretteras pas, tu partiras ensuite avec la clé et tu reviendras si tu le veux !
- Je ne sais pas… j’ai envie de toi mais je ne veux pas rater mon train ce soir !
- Tu es une belle femelle qui aime les bites, je te promets du plaisir avant ton départ à l’heure prévue. Alors, laisse-moi faire, je vais t’offrir ce que je ne donne pas de plein gré.
Mon amant du jour me lave le cul puis détache un de mes pieds pour le rattacher de l’autre côté, fais de même pour l’autre. Je suis maintenant sur le dos. Ensuite il attache mon poignet gauche au pied du canapé et le droit à celui de la table. Je suis offert, en croix, disponible, certes j’ai la clé mais ne peux pas m’en servir. Il s’allonge sur moi pour me dévorer la bouche, le cou, les aisselles, le ventre ; il fait rouler mes tétons entre ses doigts, me caresse entre les cuisses et malaxe mes testicules à travers la peau des bourses… Ma queue voudrait se tendre, grossir, s’allonger mais elle se trouve confinée dans cet instrument qui lui sert de prison. Noël se retourne pour que nous soyons tête-bêche et il m’enfile sa virilité dans la bouche. Elle a repris du volume… Comme mes mains sont entravées, je suce le bout et entoure son gland de mes lèvres. Lui, est maître du jeu et il donne le tempo en choisissant la profondeur et le rythme. Il s’est saisit de la « Chastity ™ » que je porte et j’entends qu’il la déverrouille… (il avait conservé le double de la clé !). Il retire les deux parties pour libérer mon organe gonflé d’envie. C’est bon… et un peu douloureux car le sang y afflue pour rendre turgescent mon chibre ! Le plaisir monte vite maintenant car il me le prend entre ses lèvres pour une fellation profonde. Je suis attaché mais pas immobile et mes coups de reins répondent à ses assauts. Cela ne va pas durer. Nos bites sont de plus en plus raides. La mienne est aspirée ; mes couilles malaxées et ma chatte caressée. Je crois que je vais exploser.
Sa bouche me quitte ; Mon galant s’accroupit. Non ! Qu’est-ce qu’il fait ? C’est mon tour pourtant !
Il s’est assis sur ma bouche, écarte ses fesses et maintenant c’est son œillet qui se présente devant mon nez, ma bouche et mes lèvres. J’hésite. Certes ça fait partie du sexe entre mecs ! Mais j’attendais vraiment que ce soit lui qui s’occupe de moi.
- « N’hésite pas Rémi, Je vais tenir ma promesse, un dernier effort s’il te plait !
Bon gré mal gré… Je frotte mon nez au fond de son sillon, sur son anus ainsi que ma langue sur sa rondelle. Après quelques mouvements d’assouplissement, je pointe le bout de ma menteuse au milieu du muscle fripé pour tenter une petite pénétration. Les muscles s’entrouvrent portant Noël m’a affirmé hier ne pas être une femelle ! Qu’est-ce qu’il mijote ? il m’est difficile de lui poser la question avec son postérieur sur ma figure. C’est lui qui parle en se relevant :- « Je vais t’offrir ce que je n’ai jamais donné. Je ne suis la femelle de personne même si quelque tombeur m’a forcé. Précisément, J’ai aimé notre rencontre d’hier et pour la première fois, de mon plein gré je vais me laisser prendre… C’est pour cela que je t’ai attaché, je veux contrôler le mouvement.
Pendant qu’il parle, il m’enfile un condom, se retourne, s’accroupit sur mon bassin et d’une main guide mon pénis vers sa vulve. Une fois mon extrémité positionnée, il s’assoit dessus en tenant ses fesses offertes et ouvertes. Il descend doucement, mon gland est entré… son sphincter anal me serre… Il descend encore et ma hampe pénètre son canal d’amour…J’entends un bruit de porte, Mon amour s’est relevé d’un bond. Noël est énervé :- « Que fais-tu là Anton ? Je ne veux plus te voir, tu ne me forceras plus !
- « Ta porte n’était pas bouclée, j’ai pensé que c’était pour moi… Mais je vois que tu as de la visite et que tu es devenu femelle.
Je suis attaché au sol, nu devant un inconnu vêtu d’un ensemble de survêtement sportif. J’ai débandé et je m’agite sans arriver à me détacher. Je demande qu’on me libère mais ils poursuivent leurs échanges.
- Noël : « Je ne serais jamais à toi, tu m’as abusé, je m’offre à qui je veux, sors d’ici !
- Anton : « Tu rigoles, tu es à poil, chaud comme la braise et ton mec…- Noël : « Rémi, c’est son nom !
- Anton : « Donc Rémi et toi vous baisez, faites-le, je ne partirai qu’après.
Je ne vais pas rester là sans réaction :- « Détachez-moi, je vais partir, j’ai un train à prendre.
- Noël : « Non Rémi, tu attends mon chéri, Tu as envie de moi et je vais m’offrir avant que tu ne partes.
- Moi : « Mais…- Anton : « Vous en crevez d’envie, tiens Noël, je vais t’aider, on le détache, tu le baises et il pourra partir.
Anton est grand, au moins 1,90 m, je dirais 90kg de muscles, des mains de boxeur… Sans attendre ni accepter aucune contradiction, il enlève veste et pantalon de survêtement et tennis. Il conserve seulement un string plus symbolique qu’utile. Je le détaille, il est musclé, du genre à fréquenter les salles de gym et soulever de la fonte, des cuisses épaisses et abdos bien dessinés, sans trace de graisse. Dans d’autres circonstances, il serait appétissant. Je ne vois pas comment Noël pourrai lui résisterAnton « Je ne vais pas te toucher Noël, j’ai compris ! C’est ta salope qui va te prendre puisque tu la veux et je regarde. Sinon nous restons là, elle attachée et moi devant la porte donc pas de sexe et pas de train ce soir.
- …/…- Anton « Bon, Noël, on détache le Rémi, avec moi il ne tentera même pas de partir, tu le suces, il te baise et le monde sera content.
Je n’ai visiblement pas mon mot à dire. Quand je suis détaché, je fais un pas vers mes vêtements mais le regard d’Anton qui se place devant moi m’en dissuade. Anton s’assoit sur le canapé et Noël me prend par la main pour me ramener sur le matelas. Evidemment la capote est tombée puisque mon membre a rétréci. Noël s’est agenouillé, m’a pris en bouche et me lèche la tige… Si nous sommes tous les deux entièrement nus, Anton a conservé son string… Je suis perturbé et je n’ai qu’une demi-molle entre les jambes.
- Anton « Dis-moi Rémi, Tu n’aimes pas les voyeurs ou bien c’est mon string qui te gêne ?
- Moi « Ho ! un peu les deux.
- Anton « on peut supprimer une partie de ta gêne !
Sans hésiter, Anton enlève son string pour découvrir un beau morceau en pleine ascension surmontant deux boules gonflées qui pendent dans leur sac poilu. La vue de cet article trois pièces produit un effet immédiat sur le mien qui se réveille. Noël quitte mon appareil génital, me prend la tête pour m’embrasser. Il me roule une pelle, Bouche, langue, lèvres… Il fouille aussi l’intérieur de mes joues. Un vrai baiser d’amour ! Il me fait oublier Anton. Sans cesser de me bécoter, il s’assoit puis pousse ma tête vers son pubis. Je ne veux pas qu’il jouisse maintenant alors je ne touche pas sa queue. Je gobe ses boules, les mouille, les suce… Je crache sur le sillon des fesses pour graisser son ouverture car c’est elle qu’il a décidé de m’offrir. Noël est assis, il tient fermement ma tête. Lentement mes doigts tournent autour de son puit. Je le masse avant d’appuyer sur l’entrée. Une, deux puis trois phalanges sont entrées ; C’est mon index qui s’agite en lui, se retire… Le majeur, plus grand prend sa place, fouille le tunnel ; Les deux ensemble, c’est serré, alors je tourne à l’intérieur pour assouplir l’entrée. Noël pousse des soupirs, râle, sa respiration s’est accélérée !
Il ne me tient plus et se saisissant d’une nouvelle capote, déchire l’étui et l’enfile sur mon phallus tendu. Après s’être mis à genoux, cambré, les fesses en l’air, le cul offert il me dit :- « Rémi, je tiens ma promesse, baise-moi, prend ton pied dans mes entrailles… Tu es le premier à qui je me donne ; le premier… Car je veux oublier celui qui m’a forcé !
- « Oui, Noël, je suis l’amant qui vas te pénétrer, tu vas aimer ma bite, en douceur, tu vas crier, tu vas la réclamer !
Je m’installe à genoux derrière lui et présente mon organe de male devant sa chatte de mec. Le gland entre facilement, ressort, entre à nouveau… Son œillet se resserre autour de la couronne. Noël émet de Ho et des Hou.. Je ressorts pour pénétrer plus en avant … Noël crie « doucement ! » Je fais une pause pour qu’il s’habitue puis je m’enfonce encore. Noël : « Ouille ! attend un peu que je m’habitue ». Je fais une nouvelle pause. Anton s’est approché de moi, écarte mes fesses et me frotte l’anus. Je regarde. Il tient un tube de gel sur lequel est vissée une canule. C’est une bonne idée car son dard est à la fois un peu plus long et beaucoup plus large que celui de Noël. Je me tais, il ne dit rien. L’extrémité de l’embout me pénètre et un jet de lubrifiant enduit mon colon. C’est froid ! En sortant, une giclée m’arrose l’anneau qui est immédiatement ouvert par un doigt. C’est parti pour un trio ! Je pense que Noël laissera faire si Anton évite de le toucher ! Noël m’incite à reprendre mon action. Ma tige est maintenant entrée de quelques centimètres. Petite pause puis je pousse à fond et commence une petite série de mouvements du bassin. Anton ajoute le majeur avec l’index… Ça va ! Le troisième m’arrache un cri. Anton ajoute du gel. Tandis que je ramone la chatte de Noël, Anton fait tourner index, majeur et annuaire pour élargir mon entrée. Je lui fais un signe vers la boîte de capote et il s’équipe rapidement.
Anton nous couche sur le côté, du coup je passe un genou entre les jambes de Noël afin d’accéder plus loin et je passe une main sur son sexe, l’autre s’accroche à ses épaules. Avec Noël nous sommes installés en cuillers, imbriqués. Anton pourra me besogner à loisir sans perturber la relation que m’offre Noël. Et c’est ainsi, cahin-caha, qu’Anton me pousse vers Noël, me bourre le cul, m’agite le boyau et ses mouvements se répercutent en mon amant qui ressent lui aussi la montée du plaisir. La bite d’Anton presse par à-coups ma prostate et je transmets tout cela à celle de Noël via mon membre tendu. Il a saisi le sien et se branle tandis que ma main lui serre le pubis pour accentuer la pression. Chaque secousse masturbe ma queue et trousse sa vulve. Derrière moi Anton bande son arc pour préparer l’envoi de sa flèche et son piston coulisse dans mon cylindre. Je sens de plus en plus ce piston me chauffer le tunnel. Comme dans un moteur, avec l’accélération du mouvement une étincelle se produit. Anton pousse un cri, griffe mes épaules et gicle en moi. Je m’arc-boute, ma prostate explose de bonheur et ma lance empli le cul de Noël. Je comprime le corps de ce dernier qui serre les fesses autour de mon vit et éjacule de longs jets sur le matelas.
Nous reprenons notre souffle. C’est Anton qui bouge le premier. Il se lève en me disant :- « Quelle salope ce Rémi ! Tu as un cul bien serré, j’ai kiffé te posséder à fond… Ça te change de la petite bite à Noël, Je suis sûr que tôt ou tard tu reprendras la mienne.
Comme je bouge dans son dos, Noël qui me tient la main, me dit :- « Reste contre moi Rémi, et toi Anton dégage ! Tu n’aimes personne, tu viens, d’accord ou pas, tu baises… et tu te tires. Sors de chez moi !
- Anton « Bon ça va ! Rémi était d’accord et il a pris son pied. Toi Noël je ne t’ai pas touché et pourtant la queue-leu-leu ne t’as pas déplu au contraire… Salut !
Il sort. Noël me tient fermement la main. Je suis toujours dans son dos, en cuiller contre lui. Le bout de mon sexe, recroquevillé, est resté entre ses fesses.
- « Reste un peu comme ça Rémi, je veux te dire… Mais je n’oserais pas si tu me regardes… Je sais qu’hier j’ai exagéré en te forçant à revenir. Mais je voulais absolument te revoir. Je crois que je t’aime et pas que pour le sexe. Embrasse-moi et reviens vite.
Je me lève en silence, m’essuie avec les lingettes et me rhabille. Noël a enfilé un short. Il vient m’embrasser. Je le quitte en lui disant :- J’ai beaucoup aimé faire l’amour avec toi Noël, dans toutes les positions. Je pense que c’est un peu tôt pour parler d’AMOUR entre nous. Je reviendrais et nous en reparlerons. Maintenant j’ai un train à prendre. A bientôt.
Et je sors… Je descends l’escalier, un peu troublé par les paroles de Joël… En bas Anton attend :- Je ne sais pas ce que Joël t’as dit… Je ne suis pas un violeur ! Peut-être seulement que maintenant qu’il t’a rencontré il ne veut plus me voir. Enfin, comme tu as visiblement apprécié comment je t’ai pris, si tu veux encore prendre ma grosse queue appelle-moiIl me donne son 06… je le remercie et pars chercher mon train. Dans le métro, je pense à mon prochain voyage à Paris. J’aurais le choix entre un mec bien monté et un autre qui veux m’Aimer.
- « Non, Noël, ce n’est pas possible, enlève-moi ça ! Je ne veux pas…J’ai eu beau l’implorer, rien ne l’a fait changer d’avis. J’ai tenté d’enlever ce truc mais il l’avait cliqué serré à la base de mes bourses. Ensuite j’ai commencé à fouiller la maison à la recherche de la clé. Rien ! Noël a rouvert la pièce pour que je récupère mes vêtements. Je me suis habillé tout en laissant la braguette ouverte. J’ai encore fouillé partout mais rien. J’étais en colère jusqu’à ce que Noël me prenne dans ses bras. Il ne m’avait pas encore appelé par mon prénom : - « Ecoute moi Rémi, je veux seulement te revoir avant que tu quittes Paris, si tu avais accepté de dormir ici je n’aurais pas fait ça mais tu vas retourner à ton hôtel… Je te jure que demain je t’enlèverais cette cage, tu sais sous ton pantalon, elle ne se verra pas vraiment »- « Mais qui me prouve que tu me l’enlèveras demain, est ce que ce n’est pas encore un piège ? Je préfère encore montrer ça à un serrurier ou même voir la police !
- « Non, c’est une clé de sécurité et sous le plastic c’est de l’acier inox très difficile à scier. Voilà ce que je te propose Rémi. Demain je travaille du matin, dès que tu arrives, je te donne un collier avec la clé, tu pourras vérifier si c’est la bonne. Et puis, tu vas voir… Tu vas fantasmer sur cet appareil, tu ne pourras pas te branler à l’hôtel et je crois que demain tu auras envie de me revoir.
J’ai fini de me rhabiller et je l’ai quitté sans un mot. J’étais partagé entre la colère, le désespoir, la honte et l’envie. Dans la rue la nuit était tombée et je passais inaperçu. Dans le métro, j’ai eu l’impression que tout le monde regardait entre mes jambes. Même si la bosse était effectivement peu visible, j’avais tendance à marcher les jambes légèrement écartées. A l’hôtel, j’ai pris une nouvelle douche et j’ai bien tenté en savonnant de retirer cet attribut mais rien à faire, même en tentant de glisser une couille avant l’autre. C’était trop serré et mes mouvements ne faisaient que gonfler ma bite, laquelle ne pouvait se déployer tant elle était encagée. J’ai fini par me calmer et j’ai dîné dans la chambre pour ne pas ressortir. J’avoue que cet objet pendant entre mes cuisses ne me laissait pas indifférent. Au moment de me coucher je suis resté nu sur le lit à regarder cet objet sur lequel on trouve beaucoup de chose à lire sur internet et en lisant cela je me suis caressé les tétons, les bourses et l’anus mais sans vraiment prendre du plaisir compte tenu de l’inconfort pour ne pas dire « des douleurs » procurées par la compression de mon organe dans la cage. J’ai mal dormi et au petit matin j’ai encore tenté sous la douche de retirer cet engin. Peine perdue… L’heure passant je devais me rendre à ma réunion.
Dans la rue, dans le métro, à l’accueil… comme hier j’ai l’impression d’être observé, la peur que tout le monde se demande ou pire, devine ce qui m’oblige à écarter les jambes. Malheureusement pour moi, je ne suis pas assis comme les autres dans la salle de réunion. Non, comme conférencier indépendant, je suis le plus souvent debout face aux stagiaires pour bien voir leurs réactions et je marche de l’écran à la salle pour appuyer mes démonstrations. Parfois j’oublie ce que je porte, parfois j’ai l’impression que le poids de l’objet augmente et grossit avec le temps qui passe… A la pause de la mi matinée, je me rends aux toilettes et devant l’urinoir je déboutonne ma braguette. Rouge de honte, je la referme précipitamment pour aller m’asseoir sur la cuvette des WC fermés. Je dois pisser assis comme une fille et en plus c’est à travers les mailles de la cage !
De retour dans la salle on m’offre un café et une viennoiserie, des stagiaires se pressent vers moi pour échanger et dans la bousculade l’un des hommes me heurte, pile entre les jambes. Il s’excuse très platement mais je vois bien qu’il reste étonné. Il a heurté ma cage et se demande peut-être ce que c’était. La séance a repris sans nouvel événement suivi d’un partage de plateaux repas. Les dernières questions et impressions sont échangées. Comme tout le monde est assis, je suis tranquille même si la vue de quelques beaux mecs me rappelle la boîte qui enserre fort mon phallus. Après 15 heures, je suis libre… J’hésite, je ne peux rentrer chez moi comme ça. Je n’envisage pas de voir un serrurier qui va vouloir regarder avant de faire quoi que ce soit. La Police, c’est délicat d’autant que j’aurais du mal à expliquer que je n’étais pas consentant. Je m’arrête boire une bière et finalement, après avoir échangé quelques SMS avec lui, je reprends le chemin de chez Noël. OUI, j’ai envie !
J‘arrive donc devant son immeuble, il m’a donné les codes d’entrée, ascenseur, étage… Je sonne. Noël m’ouvre, il est déjà presque prêt. Juste un petit marcel, un string qui lui cache juste le sexe et des chaussons. J’entre… La pièce principale a changé, un matelas est posé à terre, au pied du canapé. Il semble organisé. Il me prend la main, délicatement et m’embrasse avec douceur.
- « Je sais Rémi, que tu as un train ce soir, tiens cette petite chaînette avec la clé. Tu peux vérifier.
Il a refermé derrière nous. J’ouvre juste mon pantalon et essaie la clé qui fonctionne bien.
- « Non Rémi, s’il te plait, ne l’enlève pas, attend un peu. Bien sûr tu conserves la clé, mets le collier autour de ton cou et laisse-moi te déshabiller.
J’ai enfilé le collier autour de mon cou. Qui ne dit mot, consent dit-on ! Noël prend donc ma non réponse pour un oui et m’embrasse à nouveau. Sur la joue, le coin de la bouche, les lèvres pour ensuite y entrer sa langue. Sans s’arrêter, il enlève ma veste qu’il jette sur le canapé, déboutonne et enlève ma chemise. Il m’embrasse toujours puis me propose une bière. Je prends le temps d’observer son appartement. C’est petit, un loft de célibataire. Bien meublé mais un peu envahit de gadgets et ustensiles divers. Quelques photos de vacances avec des copains. Je termine mon verre. Il s’accroupit retire ma ceinture qu’il jette sur le matelas et baisse mon pantalon, je lève une jambe, l’autre... Je suis maintenant quasi nu, juste habillé de mon petit Tang de dentelles sous lequel j’ai laissé la cage de chasteté bien bouclée et autour de mon cou, le collier et ma cravate. Noël s’est relevé et me suces un téton puis il me regarde en caressant les deux :- « Tu te souviens d’hier quand je t’ai dit que tu es une belle salope et que tu es vraiment bâti pour prendre des bites … Oui bien sûr, puisque tu es revenu ! Parle-moi, dis-moi que tu es mon chéri, que tu aimes la bite.
- « OUI, j’aime ta bite, oui je suis une salope, Continues, caresses-moi.
- « Tu sais Rémi, je suis d’origine asiatique et mon engin n’est pas volumineux, long mais pas gros, j’aimerais que tu aimes comme je suis !
- « Continues, j’aime ce que tu me fais…Noël m’embrasse tendrement, sa langue caresse la mienne, fouille ma bouche… Il suce mes lèvres. Je suis subjugué et me laisse faire. Nous sommes maintenant debout sur le matelas, il me retourne et se colle à mon dos. Sa bouche se promène dans mon cou, sur mes épaules et descend dans le dos. Ses mains ont quitté mes tétons pour enlever ma cravate. Ensuite elles rejoignent mes fesses qu’elles pétrissent par-dessus mon string de dentelles. Maintenant il me caresse l’intérieur des cuisses, m’écarte les jambes et en profite pour vérifier que la cage est bien verrouillée. Il se relève pour prendre mes mains, les passes derrière mon dos…- « N’aie pas peur Chéri, tu vas prendre du plaisir… Tu peux partir maintenant ou bien tu restes… Je suis comme dépendant de lui, j’ai trop envie de sentir à nouveau les délices que j’ai éprouvés hier. D’une petite voix je lui réponds :- « Je reste, j’ai envie… mais j’ai peur, il y a des choses…- « D’accord, Je m’occupe de toi. Je vais toujours t’annoncer ce que nous allons faire et si tu penses que ça va trop loin ton mot de sauvegarde pour réduire l’intensité c’est ‘carapace’, je ralentirais et pour arrêter tu dis ‘Papillon’. Attention ‘carapace’ je réduis mon action mais dès que tu prononces ‘Papillon’, on arrête tout, tu enlèves ton carcan, tu pars et tu ne reviens jamais. C’est d’accord ?
Pendant qu’il me parle, il me palpe les bourses et les tétons, ma tige essaye de se tendre mais elle est serrée dans son habitacle. Mon corps est tellement dans l’attente de la jouissance que mon esprit a perdu toute capacité de réflexion. J’arrive à peine à parler, juste à articuler :- « Oui… Ok !
- « Bien, je vais attacher tes mains avec ta cravate.
Ce qu’il fait immédiatement, puis il me couche, le ventre sur le matelas. Enfin il s’allonge sur moi pour des massages corps à corps, peau contre peau. Je me détends. Il me mordille aussi les oreilles. Je suis bien.
- « Chéri, ce serait bien qu’on s’offre l’un à l’autre… Je vais te chauffer les fesses… J’aime voir le rouge sur les culs que je baise. Je vais te les colorer davantage qu’hier… Je ne vais pas te mordre mais me servir de ta ceinture. Ne crains rien, tu gardes ton Tang pour ne pas laisser de traces … Et je vais attacher tes pieds.
Je ne dis rien, ni oui ni les mots de sauvegarde aussi il continue. Ma cheville droite est attachée au pied du canapé et la gauche à celui de la table. Je vois Noël prendre ma ceinture… je prononce dans ma tête les 2 mots pour bien m’en souvenir. Noël me rassure en me disant des mots doux à l’oreille puis commence par une série de coups en douceur. Cinq… dix, il les compte à haute voix. Caresses et une question : « tu aimes ? » Le onzième est un peu plus fort, 5 à gauche et 5 à droite… Pause, caresses et baisers sur la peau qui chauffe… Une autre question « Aimes-tu ce que je te fais ? » encore deux fois 5 soutenus… Comme je pousse de petits cris, mon fouetteur se penche vers moi, m’embrasse, m’ouvre la bouche et me donne un tissu roulé en boule pour le mordre. Il me regarde « c’est pour toi mon chéri ». Je ne dis rien et serre les dents ! Cette fois c’est deux fois dix et à la fin je recrache le tissu :- « Carapace… S’il te plait, Carapace !
- « Mon chéri, Je le savais, tu aimes ça, un peu maso, je ne pensais pas que tu en accepterais autant. Maintenant Amour, je dois te donner du plaisir.
Il déchire alors mon Tang et caresse mes lobes chauffés au rouge. Après m’avoir longuement caressé partout, il m’enduit le bas du dos d’une crème apaisante ; passe sa main sous moi pour tirer vers l’arrière mes burnes et la cage ; me caresse le sillon avant d’y mettre du gel… Enfin il palpe ma rondelle, y introduit un doigt puis deux qu’il tourne pour assouplir et détendre ma chatte.
- « Je vais te sauter maintenant puisque tu aimes les bites ! Mais j’ai un problème car je bande moins quand je vois blanchir une chatte. Je vais remédier à ça !
Sans attendre il me fouette de deux coups secs, forts et rapprochés qui cinglent mon cul nu. Je crie et pendant que je reprends ma respiration je cherche lequel des deux mots je vais utiliser. Avant que je ne réalise Noël vient devant moi, enlève ce qui reste du tissu qui me fermait la bouche, c’est en fait un caleçon et enfile un condom en me disant :- « C’est assez, je dis ‘carapace’ et je vais m’occuper de ta chatte tant qu’elle est rouge, tu vas m’aimer.
Il s’installe entre mes jambes pour me pénétrer. Il écarte mes demi sphères et son membre se présente devant l’entrée, pousse la porte et le gland entre. Je sens une douleur dans mes muscles fessiers qui sont écartés après avoir été maltraités. Du coup, je sens à peine l’intromission. Sa hampe se glisse doucement à l’intérieur et son bassin vient s’appuyer sur mon postérieur brûlant. Couché sur mon dos, son membre dans mon cul il s’agite en moi, cela ne me procure que peu de sensations. Alors il me détache les mains, je me frotte les poignets et me mets à quatre pattes, il se met à genoux, agrippe mes hanches et me laboure le tunnel. Ma tige est compressée dans sa cage, chaque butée ranime l’effet des coups de ceinture. Comme hier, il ne pense qu’à son plaisir ; j’espère bien que, comme hier mon tour viendra puisqu’il considère que c’est chacun son tour. Maintenant, je le sens mieux s’agiter, mon tube s’est rodé au pistonnage, une douce langueur m’envahit, la tension monte. Noël me chevauche avec vigueur, j’entends ses soupirs et ses cris en cadence… Han ! han ! han… Notre plaisir monte et si nous arrivions à la plénitude simultanée… Noël pousse un cri et sa semence se répand dans la capote ; Tu as un cul d’amour me dit ’il ! il se retire aussitôt et mon plaisir disparaît en même temps. Toujours entravé par les pieds, je m’allonge… Vais-je devoir attendre qu’il soit à nouveau en forme ou est ce qu’il va me travailler maintenant ?
Noël est parti à la salle de bain, j’entends la douche couler et de savoir qu’il se savonne les parties intimes me donne envie de me caresser. Je commence par mes seins et le bout de mes tétons qui sont toujours sensibles… Ce faisant je sens la chaînette autour de mon cou et je tire la clé. Que faire ? Ouvrir la cage et me branler, ce sera vite fait mais peu satisfaisant par rapport à ce que j’ai ressenti hier. J’en suis là de mes réflexions quand Noël revient :- « Ah, que veux-tu faire ? Si tu la retires toi-même, tu prends ton pied en solo et adieu, mais je préfère que tu me laisse t’aimer comme je veux, tu ne le regretteras pas, tu partiras ensuite avec la clé et tu reviendras si tu le veux !
- Je ne sais pas… j’ai envie de toi mais je ne veux pas rater mon train ce soir !
- Tu es une belle femelle qui aime les bites, je te promets du plaisir avant ton départ à l’heure prévue. Alors, laisse-moi faire, je vais t’offrir ce que je ne donne pas de plein gré.
Mon amant du jour me lave le cul puis détache un de mes pieds pour le rattacher de l’autre côté, fais de même pour l’autre. Je suis maintenant sur le dos. Ensuite il attache mon poignet gauche au pied du canapé et le droit à celui de la table. Je suis offert, en croix, disponible, certes j’ai la clé mais ne peux pas m’en servir. Il s’allonge sur moi pour me dévorer la bouche, le cou, les aisselles, le ventre ; il fait rouler mes tétons entre ses doigts, me caresse entre les cuisses et malaxe mes testicules à travers la peau des bourses… Ma queue voudrait se tendre, grossir, s’allonger mais elle se trouve confinée dans cet instrument qui lui sert de prison. Noël se retourne pour que nous soyons tête-bêche et il m’enfile sa virilité dans la bouche. Elle a repris du volume… Comme mes mains sont entravées, je suce le bout et entoure son gland de mes lèvres. Lui, est maître du jeu et il donne le tempo en choisissant la profondeur et le rythme. Il s’est saisit de la « Chastity ™ » que je porte et j’entends qu’il la déverrouille… (il avait conservé le double de la clé !). Il retire les deux parties pour libérer mon organe gonflé d’envie. C’est bon… et un peu douloureux car le sang y afflue pour rendre turgescent mon chibre ! Le plaisir monte vite maintenant car il me le prend entre ses lèvres pour une fellation profonde. Je suis attaché mais pas immobile et mes coups de reins répondent à ses assauts. Cela ne va pas durer. Nos bites sont de plus en plus raides. La mienne est aspirée ; mes couilles malaxées et ma chatte caressée. Je crois que je vais exploser.
Sa bouche me quitte ; Mon galant s’accroupit. Non ! Qu’est-ce qu’il fait ? C’est mon tour pourtant !
Il s’est assis sur ma bouche, écarte ses fesses et maintenant c’est son œillet qui se présente devant mon nez, ma bouche et mes lèvres. J’hésite. Certes ça fait partie du sexe entre mecs ! Mais j’attendais vraiment que ce soit lui qui s’occupe de moi.
- « N’hésite pas Rémi, Je vais tenir ma promesse, un dernier effort s’il te plait !
Bon gré mal gré… Je frotte mon nez au fond de son sillon, sur son anus ainsi que ma langue sur sa rondelle. Après quelques mouvements d’assouplissement, je pointe le bout de ma menteuse au milieu du muscle fripé pour tenter une petite pénétration. Les muscles s’entrouvrent portant Noël m’a affirmé hier ne pas être une femelle ! Qu’est-ce qu’il mijote ? il m’est difficile de lui poser la question avec son postérieur sur ma figure. C’est lui qui parle en se relevant :- « Je vais t’offrir ce que je n’ai jamais donné. Je ne suis la femelle de personne même si quelque tombeur m’a forcé. Précisément, J’ai aimé notre rencontre d’hier et pour la première fois, de mon plein gré je vais me laisser prendre… C’est pour cela que je t’ai attaché, je veux contrôler le mouvement.
Pendant qu’il parle, il m’enfile un condom, se retourne, s’accroupit sur mon bassin et d’une main guide mon pénis vers sa vulve. Une fois mon extrémité positionnée, il s’assoit dessus en tenant ses fesses offertes et ouvertes. Il descend doucement, mon gland est entré… son sphincter anal me serre… Il descend encore et ma hampe pénètre son canal d’amour…J’entends un bruit de porte, Mon amour s’est relevé d’un bond. Noël est énervé :- « Que fais-tu là Anton ? Je ne veux plus te voir, tu ne me forceras plus !
- « Ta porte n’était pas bouclée, j’ai pensé que c’était pour moi… Mais je vois que tu as de la visite et que tu es devenu femelle.
Je suis attaché au sol, nu devant un inconnu vêtu d’un ensemble de survêtement sportif. J’ai débandé et je m’agite sans arriver à me détacher. Je demande qu’on me libère mais ils poursuivent leurs échanges.
- Noël : « Je ne serais jamais à toi, tu m’as abusé, je m’offre à qui je veux, sors d’ici !
- Anton : « Tu rigoles, tu es à poil, chaud comme la braise et ton mec…- Noël : « Rémi, c’est son nom !
- Anton : « Donc Rémi et toi vous baisez, faites-le, je ne partirai qu’après.
Je ne vais pas rester là sans réaction :- « Détachez-moi, je vais partir, j’ai un train à prendre.
- Noël : « Non Rémi, tu attends mon chéri, Tu as envie de moi et je vais m’offrir avant que tu ne partes.
- Moi : « Mais…- Anton : « Vous en crevez d’envie, tiens Noël, je vais t’aider, on le détache, tu le baises et il pourra partir.
Anton est grand, au moins 1,90 m, je dirais 90kg de muscles, des mains de boxeur… Sans attendre ni accepter aucune contradiction, il enlève veste et pantalon de survêtement et tennis. Il conserve seulement un string plus symbolique qu’utile. Je le détaille, il est musclé, du genre à fréquenter les salles de gym et soulever de la fonte, des cuisses épaisses et abdos bien dessinés, sans trace de graisse. Dans d’autres circonstances, il serait appétissant. Je ne vois pas comment Noël pourrai lui résisterAnton « Je ne vais pas te toucher Noël, j’ai compris ! C’est ta salope qui va te prendre puisque tu la veux et je regarde. Sinon nous restons là, elle attachée et moi devant la porte donc pas de sexe et pas de train ce soir.
- …/…- Anton « Bon, Noël, on détache le Rémi, avec moi il ne tentera même pas de partir, tu le suces, il te baise et le monde sera content.
Je n’ai visiblement pas mon mot à dire. Quand je suis détaché, je fais un pas vers mes vêtements mais le regard d’Anton qui se place devant moi m’en dissuade. Anton s’assoit sur le canapé et Noël me prend par la main pour me ramener sur le matelas. Evidemment la capote est tombée puisque mon membre a rétréci. Noël s’est agenouillé, m’a pris en bouche et me lèche la tige… Si nous sommes tous les deux entièrement nus, Anton a conservé son string… Je suis perturbé et je n’ai qu’une demi-molle entre les jambes.
- Anton « Dis-moi Rémi, Tu n’aimes pas les voyeurs ou bien c’est mon string qui te gêne ?
- Moi « Ho ! un peu les deux.
- Anton « on peut supprimer une partie de ta gêne !
Sans hésiter, Anton enlève son string pour découvrir un beau morceau en pleine ascension surmontant deux boules gonflées qui pendent dans leur sac poilu. La vue de cet article trois pièces produit un effet immédiat sur le mien qui se réveille. Noël quitte mon appareil génital, me prend la tête pour m’embrasser. Il me roule une pelle, Bouche, langue, lèvres… Il fouille aussi l’intérieur de mes joues. Un vrai baiser d’amour ! Il me fait oublier Anton. Sans cesser de me bécoter, il s’assoit puis pousse ma tête vers son pubis. Je ne veux pas qu’il jouisse maintenant alors je ne touche pas sa queue. Je gobe ses boules, les mouille, les suce… Je crache sur le sillon des fesses pour graisser son ouverture car c’est elle qu’il a décidé de m’offrir. Noël est assis, il tient fermement ma tête. Lentement mes doigts tournent autour de son puit. Je le masse avant d’appuyer sur l’entrée. Une, deux puis trois phalanges sont entrées ; C’est mon index qui s’agite en lui, se retire… Le majeur, plus grand prend sa place, fouille le tunnel ; Les deux ensemble, c’est serré, alors je tourne à l’intérieur pour assouplir l’entrée. Noël pousse des soupirs, râle, sa respiration s’est accélérée !
Il ne me tient plus et se saisissant d’une nouvelle capote, déchire l’étui et l’enfile sur mon phallus tendu. Après s’être mis à genoux, cambré, les fesses en l’air, le cul offert il me dit :- « Rémi, je tiens ma promesse, baise-moi, prend ton pied dans mes entrailles… Tu es le premier à qui je me donne ; le premier… Car je veux oublier celui qui m’a forcé !
- « Oui, Noël, je suis l’amant qui vas te pénétrer, tu vas aimer ma bite, en douceur, tu vas crier, tu vas la réclamer !
Je m’installe à genoux derrière lui et présente mon organe de male devant sa chatte de mec. Le gland entre facilement, ressort, entre à nouveau… Son œillet se resserre autour de la couronne. Noël émet de Ho et des Hou.. Je ressorts pour pénétrer plus en avant … Noël crie « doucement ! » Je fais une pause pour qu’il s’habitue puis je m’enfonce encore. Noël : « Ouille ! attend un peu que je m’habitue ». Je fais une nouvelle pause. Anton s’est approché de moi, écarte mes fesses et me frotte l’anus. Je regarde. Il tient un tube de gel sur lequel est vissée une canule. C’est une bonne idée car son dard est à la fois un peu plus long et beaucoup plus large que celui de Noël. Je me tais, il ne dit rien. L’extrémité de l’embout me pénètre et un jet de lubrifiant enduit mon colon. C’est froid ! En sortant, une giclée m’arrose l’anneau qui est immédiatement ouvert par un doigt. C’est parti pour un trio ! Je pense que Noël laissera faire si Anton évite de le toucher ! Noël m’incite à reprendre mon action. Ma tige est maintenant entrée de quelques centimètres. Petite pause puis je pousse à fond et commence une petite série de mouvements du bassin. Anton ajoute le majeur avec l’index… Ça va ! Le troisième m’arrache un cri. Anton ajoute du gel. Tandis que je ramone la chatte de Noël, Anton fait tourner index, majeur et annuaire pour élargir mon entrée. Je lui fais un signe vers la boîte de capote et il s’équipe rapidement.
Anton nous couche sur le côté, du coup je passe un genou entre les jambes de Noël afin d’accéder plus loin et je passe une main sur son sexe, l’autre s’accroche à ses épaules. Avec Noël nous sommes installés en cuillers, imbriqués. Anton pourra me besogner à loisir sans perturber la relation que m’offre Noël. Et c’est ainsi, cahin-caha, qu’Anton me pousse vers Noël, me bourre le cul, m’agite le boyau et ses mouvements se répercutent en mon amant qui ressent lui aussi la montée du plaisir. La bite d’Anton presse par à-coups ma prostate et je transmets tout cela à celle de Noël via mon membre tendu. Il a saisi le sien et se branle tandis que ma main lui serre le pubis pour accentuer la pression. Chaque secousse masturbe ma queue et trousse sa vulve. Derrière moi Anton bande son arc pour préparer l’envoi de sa flèche et son piston coulisse dans mon cylindre. Je sens de plus en plus ce piston me chauffer le tunnel. Comme dans un moteur, avec l’accélération du mouvement une étincelle se produit. Anton pousse un cri, griffe mes épaules et gicle en moi. Je m’arc-boute, ma prostate explose de bonheur et ma lance empli le cul de Noël. Je comprime le corps de ce dernier qui serre les fesses autour de mon vit et éjacule de longs jets sur le matelas.
Nous reprenons notre souffle. C’est Anton qui bouge le premier. Il se lève en me disant :- « Quelle salope ce Rémi ! Tu as un cul bien serré, j’ai kiffé te posséder à fond… Ça te change de la petite bite à Noël, Je suis sûr que tôt ou tard tu reprendras la mienne.
Comme je bouge dans son dos, Noël qui me tient la main, me dit :- « Reste contre moi Rémi, et toi Anton dégage ! Tu n’aimes personne, tu viens, d’accord ou pas, tu baises… et tu te tires. Sors de chez moi !
- Anton « Bon ça va ! Rémi était d’accord et il a pris son pied. Toi Noël je ne t’ai pas touché et pourtant la queue-leu-leu ne t’as pas déplu au contraire… Salut !
Il sort. Noël me tient fermement la main. Je suis toujours dans son dos, en cuiller contre lui. Le bout de mon sexe, recroquevillé, est resté entre ses fesses.
- « Reste un peu comme ça Rémi, je veux te dire… Mais je n’oserais pas si tu me regardes… Je sais qu’hier j’ai exagéré en te forçant à revenir. Mais je voulais absolument te revoir. Je crois que je t’aime et pas que pour le sexe. Embrasse-moi et reviens vite.
Je me lève en silence, m’essuie avec les lingettes et me rhabille. Noël a enfilé un short. Il vient m’embrasser. Je le quitte en lui disant :- J’ai beaucoup aimé faire l’amour avec toi Noël, dans toutes les positions. Je pense que c’est un peu tôt pour parler d’AMOUR entre nous. Je reviendrais et nous en reparlerons. Maintenant j’ai un train à prendre. A bientôt.
Et je sors… Je descends l’escalier, un peu troublé par les paroles de Joël… En bas Anton attend :- Je ne sais pas ce que Joël t’as dit… Je ne suis pas un violeur ! Peut-être seulement que maintenant qu’il t’a rencontré il ne veut plus me voir. Enfin, comme tu as visiblement apprécié comment je t’ai pris, si tu veux encore prendre ma grosse queue appelle-moiIl me donne son 06… je le remercie et pars chercher mon train. Dans le métro, je pense à mon prochain voyage à Paris. J’aurais le choix entre un mec bien monté et un autre qui veux m’Aimer.
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