Petite Laura, Partie 26. La vengeance est très sexe
Récit érotique écrit par Portdebrest [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Petite Laura, Partie 26. La vengeance est très sexe
Nos Maîtres comme je l’avais imaginé apprécient le dessert en besognant le chéri de Cerbère. Après avoir été pris par chacun d’entre eux, Argos s’est assis sur les attributs de Renaud puis la queue de Gilbert s’est ajoutée dans le canal étroit. Mes Maîtres adorent lorsque leurs membres coulissent l’un contre l’autre, serrés dans un anus accueillant ! Après l’avoir élargi, ils ont changé de position. Après s’être allongés sur le dos tous les deux, jambes croisées, les pubis de mes Maîtres se touchent et ils redressent leurs mandrins. Argos s’accroupit au dessus des deux pics… Il est obligé d’écarter fortement ses lobes fessiers.
Gilbert empoigne les deux engins mâles afin de faciliter la pénétration. Argos s’assoit dessus et descend. Le gland de Gilbert entre le premier, celui de Renaud bute sur la corolle. Ce dernier donne un coup de rein et son gland s’enfonce. Argos grimace… Il n’est pas habitué ! Les Maîtres lui tiennent les mains et le tirent vers le bas. Cette fois la Double-Pénétration est complète. Argos serre les dents.
- « Maintenant, tu es une véritable petite salope d’enculée ! » lui dit Renaud
Et les Maîtres lui donnent, chacun à son tour, un coup de rein. Ainsi, lorsque la bite de Renaud monte, celle de Gilbert s’éloigne du fond et inversement ensuite. Argos s’en prend plein le cul tandis que les Maîtres se préparent à l’assaut en coulissant leurs queues l’une contre l’autre dans le fourreau serré.
Sur l’écran, je vois quee Lélaps a repris possession d’Orthos. Il le tient fermement. Le griffe, le mord… Le soumet à ses volontés. Épuisé, Orthos ne se défend plus. Il est dompté ! L’animal le plus endurant a eu raison des velléités du Frère de Cerbère. Le tyran retourne le faible sur le dos, lui relève les jambes, les pose sur ses épaules. Présente son dard devant l’entrée du puits qu’il perfore d’un coup sec. Sans attendre, il ramone le tube, pilonne l’anus, ses couilles claquent sur les fesses, sa tige coulisse dans la chatte du mec, son gland escalade l’anneau…
Je ne reste pas inactif, je suce maintenant mon Chéri qui a repris en main la tige d’Argos. Sous l’effet de cette branle et de la double pénétration le minet vient de juter ! Enfin il a été pris de spasmes dans son bas ventre car sa prostate ne fournit plus de munitions ; Sa bite doit commencer à chauffer ! Les Maîtres poursuivent les mouvements qui frictionnent leurs deux braquemarts enserrés dans l’étroit canal pelvien. Je suis moins attentif à ce qui se passe autour de moi maintenant que ma bouche est occupée par les attributs de Rémi. Soudain j’entends les maîtres haleter, ils jouissent dans le cul du petit soumis. Ça va lui rafraîchir les boyaux ! Le calme revient. Après quelques instants Nos Maîtres se relèvent et s’embrassent. Ils aiment ces moments où après avoir pris du plaisir en baisant un cul, ils peuvent faire preuve de tendresse l’un envers l’autre pendant qu’Argos nettoie leurs queues avec sa bouche.
Quand ils sont lavés des secrétions et avant de retourner au Donjon, Renaud commande :
- « A toi Rémi, baise cette petite pétasse, à fond… Ne te prive pas, jette lui ta gourme qu’elle se rappelle qu’un Maître ne cède jamais aux caprices des soumis. Ici, il n’est pas le Chéri de son Maître, seulement un petit pédé dont les orifices doivent toujours être disponibles aux Maîtres et même servir de vide-couille à un autre soumis sur ordre d’un dominant. Et toi Laura, tu le branles longuement, du mieux que tu peux et à sec ! Comme ses couilles sont vides, il va découvrir la saveur et la douleur de la jouissance sans sperme !
Sur l’écran on voit que Lélaps à pris son plaisir. Il reste allongé sur le dos de celui qui vient de recevoir son foutre. Lorsque les Maîtres entrent au Donjon, ils s’avancent en silence vers lui, le relèvent, vont le replacer au centre du cercle pour l’attacher dans la position où il était avant que je mette les cagoules à Cerbère et son toutou. Une fois que Lélaps est installé, ils enlèvent la cagoule d’Orthos et de son Maître. Celui ci se plaint d’avoir été maltraité et Renaud lui répond fermement que la punition de Lélaps a commencé comme il l’avait demandé et qu’il est normal que ceux qui commandent les sévices en connaissent les effets :
- « Tu as donc été initié comme Laura l’a été avant de pouvoir punir Lélaps.
- « Bon ! Cela se paiera ! Où es ta Laura ? Que la punition de Lélaps se poursuive !
- « Elle va arriver après s’être occupée d’Argos.
- « Elle ne doit pas le brutaliser…
- « Ne t’inquiète pas, Elle connaît la limite à ne pas franchir.
Dans la chambre Mon Rémi a pris le petit Chéri en levrette et le ramone. Sa bite est bien enfoncée dans la chatte. Ça coulisse facilement d’autant que le tunnel a été élargit et lubrifié par les éjaculations des Maîtres. Tandis que je continue à branler la crevette, je regarde Mon Chéri en me caressant les tétons. Je me dis que c’est le moment de découvrir ce que ressentent nos Maîtres lorsqu’ils nous baisent en pensant à leur compagnon… Je me glisse sous le vide couilles que les Maîtres viennent de nous offrir pour me placer en 69. Je lui offre ainsi ma zigounette a sucer mais il ne la saisit pas. Je continue pourtant à le branler comme l’a commandé Renaud tandis que mon autre main s’aventure entre les fesses de mon Chéri, à la recherche de son puits d’Amour. Mes doigts ont trouvé l’entrée :
- « Oh ! Laura, Ma Chérie, j’aime m’empaler sur ta main pendant que je culbute le jeune...
Il poursuit :
- « … Argos, tu dois sucer le sexe de Laura si tu veux éviter la fessée !
Finalement l’intéressé obtempère. Il me lèche les noisettes et remonte vers mon gland qu’il décalotte avec ses lèvres pour commencer à me pomper. J’aime et je suis heureuse que Mon Chéri ait pensé à moi en ce moment. Aussi, à chaque fois que les couilles de Rémi butent contre le cul d’Argos, je tente de les lécher. Ce n’est pas facile. J’insiste mais je crains de ne pas y parvenir suffisamment. Je change donc de position car je veux aller plus loin.
Je me glisse derrière Rémi et glisse ma demi dure dans le fondement de mon mari. Je n’arrive pas à bander vraiment en raison du traitement que je prends pour me féminiser mais ça entre. Les léchouilles [[NDLR : c’est une contraction de lécher les couilles]] de Lélaps ont fait un peu d’effet. Peu importe, l’essentiel c’est qu’un bout de moi soit à l’intérieur de mon mari et qu’il sente ce morceau de la chair qui l’aime au moment où il va vider sa sauce dans la chatte d’un beau soumis. Mon amour a repris le mouvement de branle sur la queue du chiot afin de respecter les ordres. Je m’accroche au corps aimé d’un bras et passe l’autre sous Rémi afin de saisir ses belles boules. Je suis ses mouvements de piston car je veux qu’il jouisse ici et maintenant.
Il ne tarde pas et se raidit d’un coup tandis que je sens les saccades qui annoncent l’éjection séminale. Argos gémi à son tour mais cela ne ressemble pas vraiment à une partie de plaisir. Il s’écroule au sol en proie à de multiples crampes qui lui déchirent le bas ventre :
- « ça brûle ! » dit-il.
Encore quelques mouvements et Mon mari a pulvérisé toute sa sauce qui est allée rejoindre celles des Maîtres. Je ressent une immense joie d’avoir assumé le plaisir de mon homme. Je me redresse lentement lorsque Gilbert revient et ordonne :
- « Laura, tu es attendue au Donjon. Rémi, tu replaces la cage de chasteté d’Argos et tu l’amènes sans le nettoyer. Tu laisses tout couler entre ses jambes. Son Maître doit comprendre qui commande ici et il doit savoir ce qu’il encaissé !
Je me rends donc rapidement au Donjon. Lélaps est à nouveau au centre du cercle, les yeux bandés. Un billot de bois surmonté d’un manche réglable est installé entre ses jambes… Ses doigts de pieds sont à quelques centimètres du bas du cercle. Un gode fixé sur le haut du manche touche son trou du cul. Cerbère a enduit de gel le gode en forme de poire qui fait 2 cm de diamètre sur 2 cm de long puis s’agrandit peu à peu sur 15 cm de long pour faire environ 6 cm de diamètre au plus large. Lélaps est descendu quelque peu pour que seuls ses doigts de pied touchent le sol. La partie haute est entrée en lui et il tente de plier ses bras pour ne pas descendre. Renaud explique :
- « J’ai réglé la descente à 6 millimètres par minute. Dans une vingtaine minutes soit il se tiendra encore sur ses doigts de pieds soit sa chatte aura accepté d’accueillir un objet plus large que ce qu’il n’a jamais eu… Laura, il est à toi !
Devant lui est posé un long fouet en cuir. Je le saisit par le manche, large afin de bien le tenir. Je passe la dragonne de sécurité autour de mon poignet et je me mets en position. Je me suis entraînée pour bien m’en servir et je sais, pour avoir été à l’autre bout du fouet, que bien manié, il peut être très douloureux. Je le fais claquer. Je veux que Lélaps sache ce qui l’attend, sans connaître ni le moment ni la force du coup qui va s’abattre.
Je regarde Cerbère dans les yeux pour lui faire comprendre que c’est moi seul qui dirige la séance, même si c’est lui qui l’a ordonnée. Argos dont le branlage continu qui lui a été infligé lui noue l’abdomen, est arrivé courbé en deux derrière Rémi.. Il va se réfugier devant les genoux de son Maître. Ce dernier me fixe à son tour. J’entends que son petit chéri lui raconte comment il a été possédé. Comme le Maître des chiens pense que c’est moi qui lui ai infligé le martinet, je comprends son regard méchant.
Le fouet tourne toujours autour de Lélaps. A chaque sifflement, il se crispe en attendant le coup qui ne vient pas. J’aime cette forme de torture lorsque le harcelé finit par préférer recevoir la cinglée plutôt qu’attendre toujours en craignant le pire. Durant ce temps, les minutes s’écoulent et avec elles, le cercle s’est abaissé de quelques centimètres… Peut être deux et il reste bien dressé sur ses doigts de pieds.
Renaud me fait signe qu’il faut y aller. Je poursuit les moulinets en me rapprochant du dos et des fesses. Au premier coup qu’il reçoit Lélaps a sursauté et s’est un peu enfoncé sur le gode. J’imprime alors une belle cadence. Ce n’est pas encore très fort mais j’atteins des zones qui ont déjà eu droit au martinet et il sent bien la douleur. Je poursuit. A cette cadence et avec cette force, il doit penser que la punition se poursuit au martinet.
Je tourne autour de lui sans le toucher tout en faisant sifflet le fouet. Je m’éloigne un peu afin de pouvoir augmenter l’amplitude des mes mouvements et à deux reprises et avec plus de forces je lui corrige les fesses et le dos. Il hurle et se contracte de tous ses muscles, reste ainsi quelques secondes puis se relâche pour s’empaler un peu plus sur le gode. Je prends mon temps et sans faire de bruit, je le contourne. Cette fois, je donne de l’élan à l’instrument de ma vengeance et l’abat avec brutalité une fois à hauteur de son ventre, une autre fois sur sa poitrine. Il sursaute une nouvelle fois et un cri s’étrangle dans sa gorge.
Je le laisse avaler ses larmes et reprendre son souffle. Ne pas aller trop vite pour que la séance dure longtemps et pourtant ne pas laisser au corps nu le temps de se reposer. Je reprends les moulinets et affleure à intervalles irréguliers la peau rougie par les petites frappes répétées. Les vrais coups font apparaître des stries dont la couleur vire du rouge au bleu. Maintenant Lélaps ne se retient plus, il descend progressivement sur le pal qui doit être entré à moitié.. Je frappe une nouvelle fois et le fouet s’enroule autour de sa ceinture lui laissant une marque écarlate. Un seul coup cette fois ci. Je ne veux pas qu’il considère que la punition est calée sur un rythme régulier.
Autour de moi les couples se sont formés. Cerbère se fait lécher par Argos dont les cuisses luisent des coulées de sperme qui ont été éjectées de sa chatte. Maître Renaud a immobilisé Orthos et le force pour qu’il lui suce le membre. Mon Chéri, allongé au sol caresse Gilbert. Il sait y faire, passant des aisselles aux tétons, du nombril à l’intérieur des cuisses pour contenter notre Maître, en prenant garde à ne pas toucher aux parties génitales. Il fait durer les préliminaires car il sait que le plaisir ne doit venir qu’au terme de la punition que tous observent car cela aussi les excite.
Gilbert empoigne les deux engins mâles afin de faciliter la pénétration. Argos s’assoit dessus et descend. Le gland de Gilbert entre le premier, celui de Renaud bute sur la corolle. Ce dernier donne un coup de rein et son gland s’enfonce. Argos grimace… Il n’est pas habitué ! Les Maîtres lui tiennent les mains et le tirent vers le bas. Cette fois la Double-Pénétration est complète. Argos serre les dents.
- « Maintenant, tu es une véritable petite salope d’enculée ! » lui dit Renaud
Et les Maîtres lui donnent, chacun à son tour, un coup de rein. Ainsi, lorsque la bite de Renaud monte, celle de Gilbert s’éloigne du fond et inversement ensuite. Argos s’en prend plein le cul tandis que les Maîtres se préparent à l’assaut en coulissant leurs queues l’une contre l’autre dans le fourreau serré.
Sur l’écran, je vois quee Lélaps a repris possession d’Orthos. Il le tient fermement. Le griffe, le mord… Le soumet à ses volontés. Épuisé, Orthos ne se défend plus. Il est dompté ! L’animal le plus endurant a eu raison des velléités du Frère de Cerbère. Le tyran retourne le faible sur le dos, lui relève les jambes, les pose sur ses épaules. Présente son dard devant l’entrée du puits qu’il perfore d’un coup sec. Sans attendre, il ramone le tube, pilonne l’anus, ses couilles claquent sur les fesses, sa tige coulisse dans la chatte du mec, son gland escalade l’anneau…
Je ne reste pas inactif, je suce maintenant mon Chéri qui a repris en main la tige d’Argos. Sous l’effet de cette branle et de la double pénétration le minet vient de juter ! Enfin il a été pris de spasmes dans son bas ventre car sa prostate ne fournit plus de munitions ; Sa bite doit commencer à chauffer ! Les Maîtres poursuivent les mouvements qui frictionnent leurs deux braquemarts enserrés dans l’étroit canal pelvien. Je suis moins attentif à ce qui se passe autour de moi maintenant que ma bouche est occupée par les attributs de Rémi. Soudain j’entends les maîtres haleter, ils jouissent dans le cul du petit soumis. Ça va lui rafraîchir les boyaux ! Le calme revient. Après quelques instants Nos Maîtres se relèvent et s’embrassent. Ils aiment ces moments où après avoir pris du plaisir en baisant un cul, ils peuvent faire preuve de tendresse l’un envers l’autre pendant qu’Argos nettoie leurs queues avec sa bouche.
Quand ils sont lavés des secrétions et avant de retourner au Donjon, Renaud commande :
- « A toi Rémi, baise cette petite pétasse, à fond… Ne te prive pas, jette lui ta gourme qu’elle se rappelle qu’un Maître ne cède jamais aux caprices des soumis. Ici, il n’est pas le Chéri de son Maître, seulement un petit pédé dont les orifices doivent toujours être disponibles aux Maîtres et même servir de vide-couille à un autre soumis sur ordre d’un dominant. Et toi Laura, tu le branles longuement, du mieux que tu peux et à sec ! Comme ses couilles sont vides, il va découvrir la saveur et la douleur de la jouissance sans sperme !
Sur l’écran on voit que Lélaps à pris son plaisir. Il reste allongé sur le dos de celui qui vient de recevoir son foutre. Lorsque les Maîtres entrent au Donjon, ils s’avancent en silence vers lui, le relèvent, vont le replacer au centre du cercle pour l’attacher dans la position où il était avant que je mette les cagoules à Cerbère et son toutou. Une fois que Lélaps est installé, ils enlèvent la cagoule d’Orthos et de son Maître. Celui ci se plaint d’avoir été maltraité et Renaud lui répond fermement que la punition de Lélaps a commencé comme il l’avait demandé et qu’il est normal que ceux qui commandent les sévices en connaissent les effets :
- « Tu as donc été initié comme Laura l’a été avant de pouvoir punir Lélaps.
- « Bon ! Cela se paiera ! Où es ta Laura ? Que la punition de Lélaps se poursuive !
- « Elle va arriver après s’être occupée d’Argos.
- « Elle ne doit pas le brutaliser…
- « Ne t’inquiète pas, Elle connaît la limite à ne pas franchir.
Dans la chambre Mon Rémi a pris le petit Chéri en levrette et le ramone. Sa bite est bien enfoncée dans la chatte. Ça coulisse facilement d’autant que le tunnel a été élargit et lubrifié par les éjaculations des Maîtres. Tandis que je continue à branler la crevette, je regarde Mon Chéri en me caressant les tétons. Je me dis que c’est le moment de découvrir ce que ressentent nos Maîtres lorsqu’ils nous baisent en pensant à leur compagnon… Je me glisse sous le vide couilles que les Maîtres viennent de nous offrir pour me placer en 69. Je lui offre ainsi ma zigounette a sucer mais il ne la saisit pas. Je continue pourtant à le branler comme l’a commandé Renaud tandis que mon autre main s’aventure entre les fesses de mon Chéri, à la recherche de son puits d’Amour. Mes doigts ont trouvé l’entrée :
- « Oh ! Laura, Ma Chérie, j’aime m’empaler sur ta main pendant que je culbute le jeune...
Il poursuit :
- « … Argos, tu dois sucer le sexe de Laura si tu veux éviter la fessée !
Finalement l’intéressé obtempère. Il me lèche les noisettes et remonte vers mon gland qu’il décalotte avec ses lèvres pour commencer à me pomper. J’aime et je suis heureuse que Mon Chéri ait pensé à moi en ce moment. Aussi, à chaque fois que les couilles de Rémi butent contre le cul d’Argos, je tente de les lécher. Ce n’est pas facile. J’insiste mais je crains de ne pas y parvenir suffisamment. Je change donc de position car je veux aller plus loin.
Je me glisse derrière Rémi et glisse ma demi dure dans le fondement de mon mari. Je n’arrive pas à bander vraiment en raison du traitement que je prends pour me féminiser mais ça entre. Les léchouilles [[NDLR : c’est une contraction de lécher les couilles]] de Lélaps ont fait un peu d’effet. Peu importe, l’essentiel c’est qu’un bout de moi soit à l’intérieur de mon mari et qu’il sente ce morceau de la chair qui l’aime au moment où il va vider sa sauce dans la chatte d’un beau soumis. Mon amour a repris le mouvement de branle sur la queue du chiot afin de respecter les ordres. Je m’accroche au corps aimé d’un bras et passe l’autre sous Rémi afin de saisir ses belles boules. Je suis ses mouvements de piston car je veux qu’il jouisse ici et maintenant.
Il ne tarde pas et se raidit d’un coup tandis que je sens les saccades qui annoncent l’éjection séminale. Argos gémi à son tour mais cela ne ressemble pas vraiment à une partie de plaisir. Il s’écroule au sol en proie à de multiples crampes qui lui déchirent le bas ventre :
- « ça brûle ! » dit-il.
Encore quelques mouvements et Mon mari a pulvérisé toute sa sauce qui est allée rejoindre celles des Maîtres. Je ressent une immense joie d’avoir assumé le plaisir de mon homme. Je me redresse lentement lorsque Gilbert revient et ordonne :
- « Laura, tu es attendue au Donjon. Rémi, tu replaces la cage de chasteté d’Argos et tu l’amènes sans le nettoyer. Tu laisses tout couler entre ses jambes. Son Maître doit comprendre qui commande ici et il doit savoir ce qu’il encaissé !
Je me rends donc rapidement au Donjon. Lélaps est à nouveau au centre du cercle, les yeux bandés. Un billot de bois surmonté d’un manche réglable est installé entre ses jambes… Ses doigts de pieds sont à quelques centimètres du bas du cercle. Un gode fixé sur le haut du manche touche son trou du cul. Cerbère a enduit de gel le gode en forme de poire qui fait 2 cm de diamètre sur 2 cm de long puis s’agrandit peu à peu sur 15 cm de long pour faire environ 6 cm de diamètre au plus large. Lélaps est descendu quelque peu pour que seuls ses doigts de pied touchent le sol. La partie haute est entrée en lui et il tente de plier ses bras pour ne pas descendre. Renaud explique :
- « J’ai réglé la descente à 6 millimètres par minute. Dans une vingtaine minutes soit il se tiendra encore sur ses doigts de pieds soit sa chatte aura accepté d’accueillir un objet plus large que ce qu’il n’a jamais eu… Laura, il est à toi !
Devant lui est posé un long fouet en cuir. Je le saisit par le manche, large afin de bien le tenir. Je passe la dragonne de sécurité autour de mon poignet et je me mets en position. Je me suis entraînée pour bien m’en servir et je sais, pour avoir été à l’autre bout du fouet, que bien manié, il peut être très douloureux. Je le fais claquer. Je veux que Lélaps sache ce qui l’attend, sans connaître ni le moment ni la force du coup qui va s’abattre.
Je regarde Cerbère dans les yeux pour lui faire comprendre que c’est moi seul qui dirige la séance, même si c’est lui qui l’a ordonnée. Argos dont le branlage continu qui lui a été infligé lui noue l’abdomen, est arrivé courbé en deux derrière Rémi.. Il va se réfugier devant les genoux de son Maître. Ce dernier me fixe à son tour. J’entends que son petit chéri lui raconte comment il a été possédé. Comme le Maître des chiens pense que c’est moi qui lui ai infligé le martinet, je comprends son regard méchant.
Le fouet tourne toujours autour de Lélaps. A chaque sifflement, il se crispe en attendant le coup qui ne vient pas. J’aime cette forme de torture lorsque le harcelé finit par préférer recevoir la cinglée plutôt qu’attendre toujours en craignant le pire. Durant ce temps, les minutes s’écoulent et avec elles, le cercle s’est abaissé de quelques centimètres… Peut être deux et il reste bien dressé sur ses doigts de pieds.
Renaud me fait signe qu’il faut y aller. Je poursuit les moulinets en me rapprochant du dos et des fesses. Au premier coup qu’il reçoit Lélaps a sursauté et s’est un peu enfoncé sur le gode. J’imprime alors une belle cadence. Ce n’est pas encore très fort mais j’atteins des zones qui ont déjà eu droit au martinet et il sent bien la douleur. Je poursuit. A cette cadence et avec cette force, il doit penser que la punition se poursuit au martinet.
Je tourne autour de lui sans le toucher tout en faisant sifflet le fouet. Je m’éloigne un peu afin de pouvoir augmenter l’amplitude des mes mouvements et à deux reprises et avec plus de forces je lui corrige les fesses et le dos. Il hurle et se contracte de tous ses muscles, reste ainsi quelques secondes puis se relâche pour s’empaler un peu plus sur le gode. Je prends mon temps et sans faire de bruit, je le contourne. Cette fois, je donne de l’élan à l’instrument de ma vengeance et l’abat avec brutalité une fois à hauteur de son ventre, une autre fois sur sa poitrine. Il sursaute une nouvelle fois et un cri s’étrangle dans sa gorge.
Je le laisse avaler ses larmes et reprendre son souffle. Ne pas aller trop vite pour que la séance dure longtemps et pourtant ne pas laisser au corps nu le temps de se reposer. Je reprends les moulinets et affleure à intervalles irréguliers la peau rougie par les petites frappes répétées. Les vrais coups font apparaître des stries dont la couleur vire du rouge au bleu. Maintenant Lélaps ne se retient plus, il descend progressivement sur le pal qui doit être entré à moitié.. Je frappe une nouvelle fois et le fouet s’enroule autour de sa ceinture lui laissant une marque écarlate. Un seul coup cette fois ci. Je ne veux pas qu’il considère que la punition est calée sur un rythme régulier.
Autour de moi les couples se sont formés. Cerbère se fait lécher par Argos dont les cuisses luisent des coulées de sperme qui ont été éjectées de sa chatte. Maître Renaud a immobilisé Orthos et le force pour qu’il lui suce le membre. Mon Chéri, allongé au sol caresse Gilbert. Il sait y faire, passant des aisselles aux tétons, du nombril à l’intérieur des cuisses pour contenter notre Maître, en prenant garde à ne pas toucher aux parties génitales. Il fait durer les préliminaires car il sait que le plaisir ne doit venir qu’au terme de la punition que tous observent car cela aussi les excite.
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Quelle imagination ! J'adore.