Petite Laura, Partie 27. La punition dérape
Récit érotique écrit par Portdebrest [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Petite Laura, Partie 27. La punition dérape
La journée est bien avancée… La punition de Lélaps se poursuivra jusqu’à ce que Cerbère, son Maître décide d’arrêter. Cela peut prendre du temps puisque le soumis a besoin d’être corrigé pour ré-apprendre à obéir sans broncher ! Les premières parties du châtiment ont bien excité les spectateurs ; Les queues des trois Maîtres sont raides, les bouches des trois soumis sont occupées… Je vais poursuivre dans le rôle qui m’a été donné aujourd’hui… Armé d’un long fouet, je dois dresser un animal sauvage, nu, empalé au centre du cercle de Vitruve.
Pendant que je matais les trois couples qui se font du bien, Lélaps s’est redressé. Son corps est cerclé de zébrures plus ou moins parallèles allant des cuisses au ventre. Dressé sur ses doigts de pieds, il soulage la tension que lui procure le gode qui lui pénètre le fion. Peu à peu la couleur des sillons évolue du rouge vif pour les plus récentes au bleu foncé pour les plus anciennes… Le silence dans le donjon est seulement troublé par de bruits de succion que font les soumis. C’est vrai aussi que je ne fais plus sifflet le fouet que j’ai entre les mains. Il doit se demander si la partouze en cours à mis au second plan sa punition. Je me glisse discrètement derrière lui.
Prenant de l’élan, je frappe à deux reprises le dos de Lélaps, de haut en bas. Il suffoque de surprise et de douleur. La première marque, verticale, s’est imprimée sur l’omoplate gauche et la seconde colorie la fesse droite. Les traits verticaux croisent les cercles horizontaux. C’est joli ! Je fais siffler le fouet afin de montrer que ce n’est pas terminé. Lélaps tremble. Les bruits de succion ont cessé. Les regards convergent sur le supplicié et son tourmenteur. J’en suis fier même si je sais qu’à un moment ou à un autre je serais remise à la place qui est la mienne. Je fais siffler le fouet aux oreilles de Lélaps...
Argos est nu devant son Maître. Seulement vêtu de sa cage de chasteté que Rémi lui a replacée sans rendre la clé à Cerbère. Ce dernier lave maintenant les traces de sperme qui ont séchées entre les cuisses de son minet. Il a commencé utilisant les restes lacérés de ma jupette qu’il a mouillé avec de l’eau et qu’il frotte dans l’entre-jambe. Puis il retourne son bébé pour lui nettoyer les fesses. Lorsqu’il insiste au fond du sillon fessier, Argos lui arrache le tissus, écarte ses lobes et présente sa chatte de gigolo devant la bouche de celui qui est censé être son Maître. Quant ce dernier commence à lécher le cul offert, Argos attrape la tête de son Maître qu'il serre contre son cul. Je me dis alors que Cerbère n’est pas maître chez lui !
Je fais toujours sifflet le fouet… Voir tous ces corps nus, enchevêtrés, vautrés sur le sol et les canapés du Donjon, me donne de la vigueur. Je ne sais pas si c’est seulement la débauche de sexe qui se prépare ou bien si c’est le fouet qui me donne la puissance… En tous cas je bande comme rarement… Je n’ai pas eu une trique aussi raide depuis que le début de mon traitement ! Justement, il est temps de rappeler à Lélaps qu’il est à ma merci. J’abats la lanière de cuir sur sa poitrine. Surpris, il se contracte et lâche un râle. Son sein gauche à pris une estafilade verticale qui croise les cercles fait précédemment mais j’ai raté le téton. Dommage ! Je fais toujours voltiger la mèche, tente de mieux viser et l’extrémité s’abat sur le côté droit. Il suffoque. La douleur doit être vive car j’ai bien touché le téton et sa corolle qui rougissent aussitôt.
Juste face au cercle, installé à la place d’honneur Maître Renaud se fait sucer la queue par Orthos qui découvre ce qu’est un vrai Maître qui dirige, conduit, ordonne et parfois punit. Pour le moment c’est une gorge profonde que notre Maître lui impose. Il est bloqué longuement par des bras puissants… Il se débat, bouge et d’un coup serre la mâchoire. Renaud se retire. Orthos s’est à peine redressé pour respirer qu’il se prend un gifle qui le jette à terre. Renaud le relève par le cou pour lui filer une double torgnole suivie d’un coup à l’estomac qui le met à genoux. Ce n’est pas très fort mais suffisant pour qu’il se souvienne de sa position de soumis. Toutes les autres activités ont cessé. Même la lanière de mon fouet est immobile.
Sans attendre davantage Renaud lui pénètre à nouveau la gorge, le plus loin possible. Lui serrant la tête d’une main, il lui bouche le nez de l’autre. Ainsi pris Orthos ne peut plus respirer et Renaud maintien la position. Cela dure. De peur qu’une nouvelle punition soit cette fois bien plus intense, Orthos n’ose pas bouger malgré le manque d’air qui commence à l’étouffer. Au bout d’une minute, il commence à s’affaisser tandis que Renaud le maintien de force. Encore un peu de temps et Renaud lâche sa proie qui s’étend à plat dos sur le sol. Orthos halète pour reprendre de l’air puis essaie de revenir à une respiration régulière.
Le soumis au sol, le Maître l’écrase de tout son poids et lui fourre à nouveau sa bite dans la bouche. Ceci fait il s’allonge tête-bêche sur ce mec résigné pour lui tordre les couilles :
- « Comme ça, tu vois ce qu’est un vrai Maître, Patron et propriétaire de ses sujets soumis !
En entendant ces mots, je reprends mes esprits. Ma mission aujourd’hui est de remettre Lélaps à la place qui est la sienne. Je lui allonge donc un coup de fouet « Aïe », je double d’une second « Aïe » Plutôt ratés. Distrait par la débauche qui se déroule, je ne suis pas concentré sur ma besogne. C’est tout juste si deux traces rosées apparaissent en croix sur son torse. Je prends de l’élan afin de renforcer la troisième frappe et je cingle. L’extrémité va fouetter le bord du cercle qui entrave Lélaps et le coup arrive très amorti sur le flanc. Dommage. Je dois me ressaisir !
Mon Chéri, Rémi continue de s’occuper de Maître Gilbert. Il sait faire monter la pression et faire durer les préliminaires. Gilbert est allongé, bien bandé, bras et jambes écartés. Rémi est au dessus de lui, le caresse et l’embrasse à pleine bouche. Les langues se mélangent, la salive coule. Parfois une main de Rémi se déplace entre les cuisses de notre Maître puis tripote ses burnes, câline la verge et effleure le gland. Juste assez pour que l’érection dure, jamais plus pour ne pas le faire jouir. Ensuite, il quitte le sexe pour revenir câliner les aisselles, le cou, les lobes d’oreilles, les tétons avant de redescendre vers l’entrejambe. J’aimerais tant être avec eux pour...
Je me suis approché de Lélaps. Je tourne autour de lui. Il est maintenant bien enfoncé sur le gode. Il sent ma présence. Quand je passe devant lui, il me crache dessus. Même les yeux bandés, il a mieux visé mieux que moi. J’ai pris son crachat dans la figure. Il se moque de moi, il n’est toujours pas maté. Je suis en train de rater le but qui m’a été confié.
- « Tu vas me le payer Lélaps !
- « Tu n’es qu’une soumise, un trou à bites, une salope Laura. Jamais tu ne pourras me dominer !
Je dois réagir. Certes depuis maintenant quelques mois, je suis subordonné à mes Maîtres, tributaire de leurs volontés et dépendant de leurs désirs. Pourtant il n’est pas question que je laisse croire que les soumis de Cerbère pourraient être supérieurs à Rémi et moi. C’est le moment de vérité. J’ai accepté d’offrir mon corps à mes Maîtres et à ceux que ces derniers me désigneront mais je ne veux pas devenir la pute de leurs soumis. Tout le monde nous regarde.
J’arrache le bandeau des yeux de Lélaps. Maintenant c’est les yeux dans les yeux que le rapport de force va trouver son dénouement. Je serre le fouet entre mes mains et le fait tournoyer au dessus de lui. Il n’aura plus la surprise, il va voir le fouet se diriger vers lui mais, à la vitesse où le pétard va l’atteindre, il ne saura ni l’endroit ni la force de l’impact avant de sentir le choc ! Je dois me concentrer, oublier que je suis aussi nu(e) que lui, effacer de mes pensées les corps et les sexes qui nous entourent et les yeux qui nous observent, me détacher des odeurs des mâles. Bref éloigner de moi tout ce qui a causé mes précédents ratés.
Je ne vois plus que lui. Lélaps. Mon fouet dans la main et le pétard au bout. Je serre le dents. . Le fouet tournoie devant lui. Je le fais claquer en l’air afin de montrer que je sais m’en servir. Je fixe bien en face ce chien au service de Cerbère. Je lance le premier coup qui touche le sein gauche et cette fois le téton est atteint. Dans le mille !
- « OUH !!! Putain de salope
Cette fois, il commence à regretter son arrogance. Je fais claquer le fouet deux fois en l’air et puis l’abat en biais sur la poitrine. Le coup a été si rapide que personne n’a pu voir sa trajectoire. Mais un fil blanc apparaît aussitôt là où le sang a reflué sous le choc. La trace passe rapidement au rouge.
- « AHHH !!!
Je vais accélérer car j’ai cru apercevoir Cerbère qui se lève. Le fouet claque une fois en l’air avant de toucher Lélaps en diagonale et tracer un X sur sa poitrine. Il serre les dents et ne réagit plus. J’ai raté le téton droit. Cerbère s’approche. Je lance le fouet de toutes mes forces. Gagné ! Le téton est touché et une nouvelle ligne rejoint les précédentes. Sans attendre je frappe à nouveau à l’horizontale au niveau des seins. Le dessin commence à me plaire. Je prends à nouveau mon élan avec rage…
Cerbère me saisit le poignet, je résiste. Il va en prendre une lorsque Gilbert crie :
- « ROUGE ! C’est bon Laura, la séance est terminée.
Je regarde Maître Gilbert pour vérifier si j’ai bien compris… Lélaps est sans réaction… Du sang perle sur plusieurs des traces au niveau de sa poitrine. Cerbère m’a arraché le fouet et, avant qu’il ne s’en serve contre moi, Gilbert m’a éloigné de lui.
- « Cerbère, tu aurais dû utiliser le code d’arrêt plus tôt. Rouge pour tout interrompre ou bien Orange pour tempérer l’action. Ne te plains pas et puis je crois que ton rebelle ne voudras pas revenir ici pour une autre séance. Il devrait t’obéir désormais.
Maître Gilbert m’amène vers Renaud en me glissant à l’oreille :
- « Tu as fait fort, un peu trop, il risque d’en conserver des traces. Maintenant tu peux recevoir ta récompense mais n’oublie jamais qu’avec Rémi, vous êtes à nous. Alors obéissance et respect sinon…
Orthos a quitté Renaud pour aller détacher Lélaps tandis que Cerbère lui retire le gode. Gilbert calme ma fureur. Renaud me caresse. La séance lui a plu ! Vu la vigueur de son sexe, voir le fouet en action le fait bander fortement. Rémi nous rejoints. Maître Renaud se dirige vers Gilbert et lui roule une pelle d'enfer tout en massant sa queue puis ils se mettent en 69 sur le tapis du donjon. Rémi se caresse en les regardant. Je lui fais signe de s'approcher et j’enfourne sa hampe dans ma bouche. Très agréable, elle est courbée vers le haut. Je le pompe goulûment. Je plaque mes mains sur ses fesses bien rondes pour imprimer un rythme régulier à ma pipe. Sa queue courbée cogne mon palais. Renaud ordonne à Argos de nous rejoindre :
- « Argos, ne reste pas seul, viens ici, tu as encore des leçons à prendre. Profite, Cerbère et Orthos sont occupés avec Lélaps.
Merci de me donner un avis sur cette histoires. photos de Petite Laura disponible par mail par mail : (Portdebrest@yahoo.com)
Pendant que je matais les trois couples qui se font du bien, Lélaps s’est redressé. Son corps est cerclé de zébrures plus ou moins parallèles allant des cuisses au ventre. Dressé sur ses doigts de pieds, il soulage la tension que lui procure le gode qui lui pénètre le fion. Peu à peu la couleur des sillons évolue du rouge vif pour les plus récentes au bleu foncé pour les plus anciennes… Le silence dans le donjon est seulement troublé par de bruits de succion que font les soumis. C’est vrai aussi que je ne fais plus sifflet le fouet que j’ai entre les mains. Il doit se demander si la partouze en cours à mis au second plan sa punition. Je me glisse discrètement derrière lui.
Prenant de l’élan, je frappe à deux reprises le dos de Lélaps, de haut en bas. Il suffoque de surprise et de douleur. La première marque, verticale, s’est imprimée sur l’omoplate gauche et la seconde colorie la fesse droite. Les traits verticaux croisent les cercles horizontaux. C’est joli ! Je fais siffler le fouet afin de montrer que ce n’est pas terminé. Lélaps tremble. Les bruits de succion ont cessé. Les regards convergent sur le supplicié et son tourmenteur. J’en suis fier même si je sais qu’à un moment ou à un autre je serais remise à la place qui est la mienne. Je fais siffler le fouet aux oreilles de Lélaps...
Argos est nu devant son Maître. Seulement vêtu de sa cage de chasteté que Rémi lui a replacée sans rendre la clé à Cerbère. Ce dernier lave maintenant les traces de sperme qui ont séchées entre les cuisses de son minet. Il a commencé utilisant les restes lacérés de ma jupette qu’il a mouillé avec de l’eau et qu’il frotte dans l’entre-jambe. Puis il retourne son bébé pour lui nettoyer les fesses. Lorsqu’il insiste au fond du sillon fessier, Argos lui arrache le tissus, écarte ses lobes et présente sa chatte de gigolo devant la bouche de celui qui est censé être son Maître. Quant ce dernier commence à lécher le cul offert, Argos attrape la tête de son Maître qu'il serre contre son cul. Je me dis alors que Cerbère n’est pas maître chez lui !
Je fais toujours sifflet le fouet… Voir tous ces corps nus, enchevêtrés, vautrés sur le sol et les canapés du Donjon, me donne de la vigueur. Je ne sais pas si c’est seulement la débauche de sexe qui se prépare ou bien si c’est le fouet qui me donne la puissance… En tous cas je bande comme rarement… Je n’ai pas eu une trique aussi raide depuis que le début de mon traitement ! Justement, il est temps de rappeler à Lélaps qu’il est à ma merci. J’abats la lanière de cuir sur sa poitrine. Surpris, il se contracte et lâche un râle. Son sein gauche à pris une estafilade verticale qui croise les cercles fait précédemment mais j’ai raté le téton. Dommage ! Je fais toujours voltiger la mèche, tente de mieux viser et l’extrémité s’abat sur le côté droit. Il suffoque. La douleur doit être vive car j’ai bien touché le téton et sa corolle qui rougissent aussitôt.
Juste face au cercle, installé à la place d’honneur Maître Renaud se fait sucer la queue par Orthos qui découvre ce qu’est un vrai Maître qui dirige, conduit, ordonne et parfois punit. Pour le moment c’est une gorge profonde que notre Maître lui impose. Il est bloqué longuement par des bras puissants… Il se débat, bouge et d’un coup serre la mâchoire. Renaud se retire. Orthos s’est à peine redressé pour respirer qu’il se prend un gifle qui le jette à terre. Renaud le relève par le cou pour lui filer une double torgnole suivie d’un coup à l’estomac qui le met à genoux. Ce n’est pas très fort mais suffisant pour qu’il se souvienne de sa position de soumis. Toutes les autres activités ont cessé. Même la lanière de mon fouet est immobile.
Sans attendre davantage Renaud lui pénètre à nouveau la gorge, le plus loin possible. Lui serrant la tête d’une main, il lui bouche le nez de l’autre. Ainsi pris Orthos ne peut plus respirer et Renaud maintien la position. Cela dure. De peur qu’une nouvelle punition soit cette fois bien plus intense, Orthos n’ose pas bouger malgré le manque d’air qui commence à l’étouffer. Au bout d’une minute, il commence à s’affaisser tandis que Renaud le maintien de force. Encore un peu de temps et Renaud lâche sa proie qui s’étend à plat dos sur le sol. Orthos halète pour reprendre de l’air puis essaie de revenir à une respiration régulière.
Le soumis au sol, le Maître l’écrase de tout son poids et lui fourre à nouveau sa bite dans la bouche. Ceci fait il s’allonge tête-bêche sur ce mec résigné pour lui tordre les couilles :
- « Comme ça, tu vois ce qu’est un vrai Maître, Patron et propriétaire de ses sujets soumis !
En entendant ces mots, je reprends mes esprits. Ma mission aujourd’hui est de remettre Lélaps à la place qui est la sienne. Je lui allonge donc un coup de fouet « Aïe », je double d’une second « Aïe » Plutôt ratés. Distrait par la débauche qui se déroule, je ne suis pas concentré sur ma besogne. C’est tout juste si deux traces rosées apparaissent en croix sur son torse. Je prends de l’élan afin de renforcer la troisième frappe et je cingle. L’extrémité va fouetter le bord du cercle qui entrave Lélaps et le coup arrive très amorti sur le flanc. Dommage. Je dois me ressaisir !
Mon Chéri, Rémi continue de s’occuper de Maître Gilbert. Il sait faire monter la pression et faire durer les préliminaires. Gilbert est allongé, bien bandé, bras et jambes écartés. Rémi est au dessus de lui, le caresse et l’embrasse à pleine bouche. Les langues se mélangent, la salive coule. Parfois une main de Rémi se déplace entre les cuisses de notre Maître puis tripote ses burnes, câline la verge et effleure le gland. Juste assez pour que l’érection dure, jamais plus pour ne pas le faire jouir. Ensuite, il quitte le sexe pour revenir câliner les aisselles, le cou, les lobes d’oreilles, les tétons avant de redescendre vers l’entrejambe. J’aimerais tant être avec eux pour...
Je me suis approché de Lélaps. Je tourne autour de lui. Il est maintenant bien enfoncé sur le gode. Il sent ma présence. Quand je passe devant lui, il me crache dessus. Même les yeux bandés, il a mieux visé mieux que moi. J’ai pris son crachat dans la figure. Il se moque de moi, il n’est toujours pas maté. Je suis en train de rater le but qui m’a été confié.
- « Tu vas me le payer Lélaps !
- « Tu n’es qu’une soumise, un trou à bites, une salope Laura. Jamais tu ne pourras me dominer !
Je dois réagir. Certes depuis maintenant quelques mois, je suis subordonné à mes Maîtres, tributaire de leurs volontés et dépendant de leurs désirs. Pourtant il n’est pas question que je laisse croire que les soumis de Cerbère pourraient être supérieurs à Rémi et moi. C’est le moment de vérité. J’ai accepté d’offrir mon corps à mes Maîtres et à ceux que ces derniers me désigneront mais je ne veux pas devenir la pute de leurs soumis. Tout le monde nous regarde.
J’arrache le bandeau des yeux de Lélaps. Maintenant c’est les yeux dans les yeux que le rapport de force va trouver son dénouement. Je serre le fouet entre mes mains et le fait tournoyer au dessus de lui. Il n’aura plus la surprise, il va voir le fouet se diriger vers lui mais, à la vitesse où le pétard va l’atteindre, il ne saura ni l’endroit ni la force de l’impact avant de sentir le choc ! Je dois me concentrer, oublier que je suis aussi nu(e) que lui, effacer de mes pensées les corps et les sexes qui nous entourent et les yeux qui nous observent, me détacher des odeurs des mâles. Bref éloigner de moi tout ce qui a causé mes précédents ratés.
Je ne vois plus que lui. Lélaps. Mon fouet dans la main et le pétard au bout. Je serre le dents. . Le fouet tournoie devant lui. Je le fais claquer en l’air afin de montrer que je sais m’en servir. Je fixe bien en face ce chien au service de Cerbère. Je lance le premier coup qui touche le sein gauche et cette fois le téton est atteint. Dans le mille !
- « OUH !!! Putain de salope
Cette fois, il commence à regretter son arrogance. Je fais claquer le fouet deux fois en l’air et puis l’abat en biais sur la poitrine. Le coup a été si rapide que personne n’a pu voir sa trajectoire. Mais un fil blanc apparaît aussitôt là où le sang a reflué sous le choc. La trace passe rapidement au rouge.
- « AHHH !!!
Je vais accélérer car j’ai cru apercevoir Cerbère qui se lève. Le fouet claque une fois en l’air avant de toucher Lélaps en diagonale et tracer un X sur sa poitrine. Il serre les dents et ne réagit plus. J’ai raté le téton droit. Cerbère s’approche. Je lance le fouet de toutes mes forces. Gagné ! Le téton est touché et une nouvelle ligne rejoint les précédentes. Sans attendre je frappe à nouveau à l’horizontale au niveau des seins. Le dessin commence à me plaire. Je prends à nouveau mon élan avec rage…
Cerbère me saisit le poignet, je résiste. Il va en prendre une lorsque Gilbert crie :
- « ROUGE ! C’est bon Laura, la séance est terminée.
Je regarde Maître Gilbert pour vérifier si j’ai bien compris… Lélaps est sans réaction… Du sang perle sur plusieurs des traces au niveau de sa poitrine. Cerbère m’a arraché le fouet et, avant qu’il ne s’en serve contre moi, Gilbert m’a éloigné de lui.
- « Cerbère, tu aurais dû utiliser le code d’arrêt plus tôt. Rouge pour tout interrompre ou bien Orange pour tempérer l’action. Ne te plains pas et puis je crois que ton rebelle ne voudras pas revenir ici pour une autre séance. Il devrait t’obéir désormais.
Maître Gilbert m’amène vers Renaud en me glissant à l’oreille :
- « Tu as fait fort, un peu trop, il risque d’en conserver des traces. Maintenant tu peux recevoir ta récompense mais n’oublie jamais qu’avec Rémi, vous êtes à nous. Alors obéissance et respect sinon…
Orthos a quitté Renaud pour aller détacher Lélaps tandis que Cerbère lui retire le gode. Gilbert calme ma fureur. Renaud me caresse. La séance lui a plu ! Vu la vigueur de son sexe, voir le fouet en action le fait bander fortement. Rémi nous rejoints. Maître Renaud se dirige vers Gilbert et lui roule une pelle d'enfer tout en massant sa queue puis ils se mettent en 69 sur le tapis du donjon. Rémi se caresse en les regardant. Je lui fais signe de s'approcher et j’enfourne sa hampe dans ma bouche. Très agréable, elle est courbée vers le haut. Je le pompe goulûment. Je plaque mes mains sur ses fesses bien rondes pour imprimer un rythme régulier à ma pipe. Sa queue courbée cogne mon palais. Renaud ordonne à Argos de nous rejoindre :
- « Argos, ne reste pas seul, viens ici, tu as encore des leçons à prendre. Profite, Cerbère et Orthos sont occupés avec Lélaps.
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