Petite Laura, Partie 23. Des idées de vengeance !

- Par l'auteur HDS Portdebrest -
Auteur homme.
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Récit libertin : Petite Laura, Partie 23. Des idées de vengeance ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Petite Laura, Partie 23. Des idées de vengeance !
Je suis le gâteau d’anniversaire ! Olivier, toujours rapide à comprendre se saisit de plusieurs pâtisseries, s’agenouille devant moi, me glisse un éclair au chocolat en bouche et grignote l’autre extrémité. Lorsque nos lèvres se touchent, il me roule une pelle. C’est délicieux ! Il se relève ensuite, enfourne sa belle queue dans le trou d’un Paris-Brest et me la donne à sucer. Les autres ont suivi le mouvement… Des Choux à la crème et Religieuses au café décorent mon corps ; Des Tartelettes au citron meringué sont glissées sous les lanières de mon harnais.

Évidemment Bagoas a tenté de faire tenir d’autres Paris-Brest sur ma queue mais dans cette position tout tombait ! Il les a donc enfilés autour du piston d’Euryale afin de sucer l’ensemble. Quelques secondes plus tard, ils sont tous deux allongés en 69 la bite de l’un encerclée d’un Paris-Brest le tout fourré dans le museau de l’autre et réciproquement… Maître Gilbert complète le tableau en fourrant un éclair dans chacun de leur croupion !

Olivier s’est collé à moi, il a pris mon membre dans sa bouche, c’est agréable mais bon, je n’ai pas récupéré de l’épisode précédent. Dionysos est passé derrière moi, il me tartine consciencieusement les fesses et le dos de crème puis passe sa main sur mes grelots pour les agiter. Ce faisant, il ébranle le cierge qui brûle doucement au dessus de mon trou de balle. La cire chaude lui tombe sur la main et sur mes fesses. Il retire sa pogne pour secouer mon bassin. La cire, abondante éclabousse mes couilles et coule jusqu’à fond de la raie entre mes demi-lunes.

Putain de salaud. Ça brûle ! Il profite que je sois immobilisée, sans défense. Maintenant, il me mange les fesses car il ne se contente pas de lécher la crème qui les recouvre mais les mastique de toutes ses dents. Maître Renaud fait tourner le manège pour que je sois à environ 80 cm du sol, la poitrine face au plafond je suis toujours écartelée à l’intérieur du cercle. Les filins accrochés à mon harnais mes soutiennent quelque peu. Le cierge se consume vite dans cette position. Renaud le retire et va en allumer quelques autres…

Les quatre invités se sont rassemblés pour lécher, sucer, à la fois ma chair et la crème qui la recouvre. Les Maîtres finissent de se mettre à poil. Sur un geste de Renaud, le quatuor se retire de l’estrade. A ma droite Olivier, assis sur un fauteuil se fait sucer par Euryale. A ma gauche Dionysos a fait de même avec Bagoas. En face de moi, je découvre aussi Mon Chéri qui a été enchaîné au mur. Que va t’il encore se passer ?

Maître Renaud s’est saisit de deux cierges, il enjambe le cercle et s’approche de moi, sa queue tendue se présente à ma bouche. Je la gobe sans tarder ! Je suce l’extrémité du gland mais il en veut plus. Dans cette position, ma tête penche en arrière. Il me dit :
- « Laura, Tu vas me prendre en Gorge profonde. Tu devras contrôler le réflexe de vomissement dû à la pression de mon Pénis sur ton Pharynx. Utilise largement ta salive afin de lubrifier pour favoriser la pénétration en profondeur. Attention, si tu me mords, si tu tousses ou si tu te débat la cire chaude coulera sur tes seins !

Je cligne des yeux afin de dire mon accord. Je ne prend pas le risque de bouger. Son membre entre dans ma bouche, poursuit son avance et bute contre ma glotte. J’ai toussoté et quelques gouttes de cire tombent sur ma poitrine déjà bien sensible. C’est chaud, très chaud ! Il s’est retiré. Je me force à saliver davantage, il avance et passe… Un léger spasme me prend et des gouttes tombent en me brûlant. Il se retire et avance à nouveau. J’essaie de noyer ma gorge de salive. Il passe la limite. Je tiens bon. Il est au fond et bouche mes voies respiratoires.

Il prend son temps. Lorsqu’il se retire, je respire rapidement. Je salive lorsque je sens qu’il y retourne. Il passe sans encombre. Après plusieurs aller-retours, je me suis habituée mais cette fois il s’est installé et reste au fond quelques secondes de plus. En fait, j’ai commencé à compter et le temps s’écoule. 20, au moins, mais je ne compte pas depuis le début… 30 ! Il reste… 45 je n’en peux plus. Il veux m’asphyxier devant des spectateurs ? C’est pour cela qu’il a enchaîné Rémi ! Je ne veux pas mourir filmé en direct sur réseau crypté !

Je bouge pour faire comprendre que je n’en peux plus. Toute la cire liquide des deux cierges s'étale sur mon torse et mon ventre. Il se retire et pendant que je tente de reprendre ma respiration, il me baise la bouche longuement, de plus en plus vite et fini par y éjaculer toute sa semence que je m’empresse d’avaler.
- « C’est bien Laura, Très bien, tu as dépassé tes limites, plus d’une minute... Je laisse la place à Gilbert.

Pendant que Maître Gilbert s’approche, Renaud a fait tourner le cercle. Maintenant, je regarde le sol. Il tend le filin accroché à l’arrière de ma ceinture pour relever mon postérieur. Les quatre invités ont l’air rassasié. Enfin c’est une façon de parler car en réalité Olivier et Dionysos se sont vidés tandis que Euryale et Bagoas en ont pris plein leur cul après avoir été abreuvés lors d’une séance de fellation. Au moins, ils devraient tous être calmés.

Gilbert présente son membre à ma bouche. Je lui suce doucement le gland et la hampe. Dans cette position je ne pourrais pas le prendre en gorge profonde. Il le sait. Il bande vite, ressort du cercle puis entre à nouveau pour se placer entre mes jambes. Il s’accroupit et écarte mes lobes charnus pour me caresser l’anneau. C’est froid au début et ça me fait du bien. Le gel qu’il a mis sur ses doigts calme l’irritation consécutive aux coulées de cire chaude. Je sais qu’il va me posséder en s’offrant à la vue de son compagnon et amour de toujours.

Je suis là pour leur donner tout le plaisir possible par délégation et je sais qu’ils le prennent en regardant l’autre dominer, asservir et baiser leur proie tandis qu’ils réservent pour leur seul couple l’amour et la tendresse. Et d’ailleurs, je suis la bonne personne à leur service car j’aime quand ils m’abusent y compris et même surtout lorsque Rémi celui qu’ils m’ont choisi comme Mari, doit les regarder nous cocufier. Je suis devenue une Sissy soumise, exhibitionniste, masochiste et heureuse de l’être.

La queue de Maître Gilbert vient de forer l’entrée et ses hanches se dandinent derrière moi. Ses aller-retours me chauffent les entrailles ! Il m’a saisit les reins pour mieux me buriner. Je suis sa chose, sa propriété, son instrument de plaisir ! Il en profite… Et j’en profite aussi car je sens que ma prostate réagit, j’en suis très heureuse car je commence à m’habituer à jouir de la seule possession de ma chatte ! Maître Renaud observe son ami en grimaçant quelque peu. Deviendrait-il jaloux ? Ce serait alors une transformation profonde de la vie au moulin qui se traduirait fatalement par mon éviction totale et définitive.

Maître Renaud s’est dirigé vers les cierges allumés et s’en saisit. Il passe à l’intérieur du cercle et commence à les pencher pour qu’ils coulent sur mon dos. Le brusque revirement de situation me coupe l’envie. La cire chaude s’étale sur mon dos et mes reins. C’est moi qui prend la punition et cela doit plaire à Gilbert qui redouble d’effort pour tamponner mon petit cul. Je comprends alors que les Maîtres ne sont pas jaloux l’un de l’autre mais qu’ils veillent à ce que leur relation reste intacte même s’ils prennent leurs jouissances en baisant quelqu’un d’autre. Cela ne tarde pas. Maître Gilbert se raidit derrière moi et il projette son foutre dans ma foufoune. Il s’agite encore un peu et se retire pour aller embrasser Maître Renaud.

Les invités se sont levés, attendant la suite. Les Maîtres sortent du cercle que Renaud manœuvre. Je suis maintenant debout sur les cales, comme l’homme de Vitruve mais tout enduit de cire et, entraînée par le cercle, je tourne sur moi même. Les Maîtres se sont installés l’un en face de l’autre et moi au milieu. Gilbert tient en main un martinet :
- « Laura ! Je te rappelle que tu peux utiliser les mots de sécurité. ‘Orange’ afin de ralentir et ‘Rouge’ pour arrêter la séance… Tu connais les conséquences si tu utilises ‘Rouge’ !

Il frappe aussitôt mon dos et fait décoller la cire de mon corps... Je tourne, le torse… Je tourne encore, les fesses… Encore un demi tour, la poitrine ! Au fur et à mesure des demi-tours et des coups de martinet, la croûte des cierges tombe au sol et ma peau apparaît de plus en plus rougie.

Soudain, alors que je suis face à Gilbert, un coup cingle mes fesses. Je crie de stupeur. En tournant je vois Renaud qui tient en main une verge souple. C’est avec elle qu’il m’a frappé le cul et qu’il recommence sur mes seins. Maintenant je reçois simultanément côté pile le martinet et côté face la verge. Un demi tour et le martinet est côté face et la verge coté pile… Les coups pleuvent et cela continue. Je serre les dents. Je dois montrer ma détermination à obéir et accepter ce que veulent les Maîtres. Pourtant je souffre. Je pousse parfois des cris lorsqu’un coup est plus appuyé que les autres. Soudain, tout s’arrête… C’est terminé ou seulement une pause.

Je respire un peu mieux. Toujours écartelé, j’attends. Renaud s’approche de moi :
- « Tu es courageuse Laura. Tu sais ce que tes Maîtres veulent pour toi et tu acceptes les plaisirs et la souffrance qu’ils te procurent. Aujourd’hui, tu reçois une leçon dont tu sauras tirer les enseignements.

Il me caresse et m’embrasse, je suis surprise, ce n’est pas dans ses habitudes. Il ne me détache pas mais me passe un bandeau sur les yeux et poursuit :
- « Tu dois aussi apprendre à faire confiance, les yeux fermés, sans savoir ce qui va arriver pour mieux apprécier les plaisirs et les douleurs.

Je sens une bouche entourer ma queue et la sucer. Une autre bouche s’est avancée vers la mienne et des lèvres m’embrassent, une langue entre dans ma bouche. Je crois reconnaître celle de Gilbert. J’aime cette douceur. Des mains titillent mes couilles et d’autres mes mamelons. J’ignore lesquels des maîtres et des invités participent. Je m’attend à ce que d’une seconde à l’autre ma chatte soit honorée puisqu’une main cajole les lobes de mon cul.

Schlaak ! Une brûlure m’irradie le dos. Je hurle ! C’est bien plus fort que les verges et le coup a frappé de haut en bas. Je serre les dents. Les mains et les bouches qui me font du bien se sont déplacées vers la zone douloureuse. Un baume rafraîchissant coule dessus. Je me détends lentement…

Schlaak ! Schlaak ! Deux coups à suivre ont frappé mes tétons. Peut être avec une cravache ? C’est chaud ! Maintenant, plus aucun bruit ni aucun attouchement… Je suis dans l’attente ! Oui, j’attends la suite que j’espère et que je redoute. Je l’espère car je sais que cela contente mes Maîtres ; Je le redoute car j’ai peur de renoncer. Pourtant ce qui m’est pénible c’est d’attendre la suite qui va arriver sans aucun doute, aussi je demande :
- « Mes Maîtres, Merci de poursuivre… C’est feu vert si vous le souhaitez, vert comme la couleur de l’espérance que j’ai de vous être agréable.

Mais je dois attendre leur bon vouloir. Je me détends et...
Simultanément mes fesses et mes noisettes sont maltraitées par des chocs répétitifs puis de mains empoignent mes tétons tandis que mes demi-lobes sont roués de coups. Ça s’arrête pour une pause, longue et inquiétante. La leçon reprend par une série de 10 verges qui s’abat sur mon dos, mes cuisses et mon postérieur. Nouvelle pause. J'entends des déplacements autour de moi… Changent ils de place ? Sont ils partis ou vont il chercher d’autres instruments ?

La série reprend par devant et par derrière.. Je souffle !Du haut en bas… je geins !En biais, vertical et horizontal… Je crie! Cela ne semble pas devoir se terminer.
- « ORANGE !
Le cri m’a échappé, je le regrette aussitôt car malgré tout j’aime cette sensation de recevoir toute l’attention de mes Maîtres et de leur donner du plaisir. Les coups ont cessé. Des mains chaudes et odorantes me caressent et embaument les traces brûlantes. C’est agréable. Mes bras aussi me font mal car ils sont tirés vers le haut depuis… D’ailleurs depuis combien de temps suis je ainsi à la merci des tourmenteurs ? J'entends Renaud qui me parle à l’oreille :
- « Ma chère Laura, tu n’as pas encore découvert l’étendue de ce que tu dois connaître. Après la pause que tu as réclamée tu expérimenteras le plaisir absolu, mélange de douleur et de jouissance. Je veux que tu saches ce qu’il en est avant de dominer ce chien fou de Lélaps. Nous allons te laisser te reprendre jusqu’à ce que tu donnes le feu vert. Olivier va te donner à boire.

Je bois à petites gorgées. Olivier prend mon pouls et je le sens aussi passer de la pommade sur la peau et les muscles maltraités. Puis plus rien. Le silence. Ils sont partis se restaurer sans doute ! Je réfléchis car Renaud m’a annoncé que la suite serait encore plus rude et qu’il veut que je tienne la distance ! Je dois donc retarder les plus possible le moment de demander ‘Orange’ et m’abstenir absolument d’invoquer le ‘Rouge’. Je pense aussi à mon chéri qu’ils ont bâillonné et attaché afin qu’il ne vienne pas à mon aide. Il a certainement subi cet entraînement avant de me connaître et doit ressentir dans son corps ce que j’expérimente maintenant.

J’entends à nouveau des bruits de pas, et je sens des frôlements autour de moi. Je me sens prête pour aller jusqu’au bout.
- «  Vert ! Je donne le feu vert…
- « En es tu sure Laura ?
- «  Oui, je suis sure… Je n’en peux plus d’attendre.

Pourtant, il ne se passe rien. J’ai seulement l’impression que le cercle a commencé à tourner doucement sur lui même et moi au centre. Je sens le vent du martinet à lanières de tissus tourner autour de moi longuement. Maintenant il me caresse et échauffe doucement mes muscles endoloris. Aucune partie n’est oubliée, ma peau toute entière est préparée à la grande finale. Soudain j’entends un fouet claquer dans l’air.

Je me raidis immédiatement et j’attends le coup qui ne vient pas. Le sifflement de la languette retentit à mes oreilles. Celui qui s’en sert est un expert, il ne me touche pas... pour le moment. Je guette le moindre mouvement et :
Schlaak !!!
Je hurle, c’est plus fort que ce que j’ai reçu jusqu’à ce jour. Ça brûle ! Des larmes me montent aux yeux. Mon dos a pris cher. J’ai à peine le temps de me remettre que ce sont mes fesses qui ont pris ? Un peu moins fort me semble t’il… mais c’est une série de 5 que je reçois et qui impriment l’ensemble de mes fesses dans le sens horizontal. Un coup supplémentaire, un peu décalé et puissant comme le premier de la série, s’est abattu sur mon dos. J’ai encore crié puis je serre les dents. Je ne dois pas décevoir les Maîtres et encore moins demander que cela cesse car je ne veux pas être exclu.

C’est de nouveau le calme, des larmes coulent sur mes joues. Maître Gilbert me glisse à l’oreille le mot ‘Orange’ mais il n’en est pas question. Je dois tenir ! Olivier est revenu, il palpe mon postérieur et mon dos meurtris. J’ai compris ce que Cerbère attend de moi quand il viendra avec Lélaps, aussi il me semble que la leçon devrait être terminée… Pourtant, je reste plantée là, dans l’attente, sans savoir si je vais être libérée ou si la leçon va se poursuivre.

Pendant qu’il me donne à nouveau à boire, je l’entends faire ses recommandations :
- « Les frappes sont bien marquées. Elles disparaîtront dans quelques jours mais fais attention, sa peau est sensible et il ne faudrait pas que les stries deviennent définitives !
Et avant que je réalise ce que signifie cette phrase, la languette du fouet me cingle le torse ! La douleur est immense. La souffrance irradie tout mon corps. J'entends des murmures :
- « Orange, Orange !
Je pleure à chaudes larmes mais je serre les dents. Je ne lâche rien et fait non de la tête.
Mon calvaire se poursuit par un coup encore plus puissant qui vrille mon ventre suivi d’un autre sur le haut des cuisses. Je hurle, je me débat, je pleure. La souffrance est lancinante mais je me dois d’endurer. Un main a saisi mes couilles et une bouche s’est emparée de ma petite bite. Je ne lâcherais rien… Les Maîtres ont leurs raisons pour me martyriser ainsi. Je me dois d’apprendre à servir pour leur plaisir.

J'entends le sifflement du fouet, je sens le vent de la languette sur mon visage…
Des idées de vengeance me viennent !

N’hésitez pas à me contacter si vous voulez une photo de Petite Laura dont les seins ont un peu grossi… et si vous avez des commentaires et avis ! (Portdebrest@yahoo.com)
A suivre…

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