Coup de coeur entre artistes 6
Récit érotique écrit par July2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-07-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Coup de coeur entre artistes 6
Je caresse délicatement son sein gauche avec ma main droite passée sous son cou. De la gauche, je descends jusqu’à son mini short. Je lui touche d’abord les fesses à travers le tissus, en réponse elle tend son petit cul contre ma bite durcie. Puis, toujours au dessus du short, j’effleure sa chatte. Elle gémit tout doucement et se cambre. Je glisse alors ma main sous l’élastique et commence à lui caresser le clitoris. Elle gémit en ondulant du bassin, se frottant langoureusement à ma queue.
Je la plaque sur le dos et lui enlève son short et son t-shirt. Sous l’effet de l’excitation, ses tétons pointent ostensiblement. Je ne peux m’empêcher d’aller les goûter. J'embrasse d'abord le haut de son sternum puis descends lentement vers ses seins. Je les caresse puis les parcours du bout de la langue. Je prends mon temps alors que je voudrais les dévorer. Je découvre les sensations procurées par un plaisir lent et doux.
Je titille son téton droit doucement, puis de plus en vite tout en massant son sein droit avec ma main. Elle glisse sa main entre nous pour aller caresser ma queue. Je mords alors légèrement le téton avec lequel je joue. Elle ôte sa main. Je repends là où ma langue s'était arrêtée mais je sens à nouveau sa main. Je serre une nouvelle fois les dents. Elle enlève sa main, pour la remettre au moment où je la lèche à nouveau.
- Non mais c’est que tu aimes ça en fait ! T’es pas si coincée que tu veux le faire croire…- Je n’ai jamais dit que j’étais coincée, j’ai dit que j’avais besoin d’avoir confiance en la personne avec qui je couche, et après ce que tu as fait pour moi hier soir, je pense que je peux te faire confiance et te croire quand tu me dis que tu veux plus que juste une nuit…
J’attrape le débardeur que je viens de lui retirer.
- Puisque maintenant je sais que tu as confiance en moi, lui dis-je en la mettant sur le ventre, et que tu ne sais pas tenir tes mains, je me vois dans l’obligation de faire ça.
J’improvise un lien avec le bout de tissus et lui noue les mains dans le dos avant de la recoucher sur le dos.
- Tu triches ! Me lance-t-elle.
- C’est toi qui m’y force. Je t’avais prévenue que lorsque tu me donnerais le feu vert je reprendrais le contrôle. Et en matière de sexe j’aime avoir le contrôle.
Je reprends l’exploration de sa poitrine. Elle gémit doucement chaque fois que je serre mes dents sur ses tétons durcis. Je passe main entre ses cuisses et constate qu’elle mouille abondamment. J’aime savoir que je fais cet effet là aux femmes.
Je fais glisser ma langue le long de ses abdos subtilement marqués pour arriver à sa chatte. Je l’embrasse d’abord sur l’intérieur des cuisses puis remonte lentement jusqu’à ses lèvres. Je glisse ma langue le long de ces dernières pour aller trouver son clitoris gonflé. Je joue avec en tournoyant ma langue dessus. Son corps se crispe légèrement de plaisir et alors qu’elle veut resserrer ses jambes pour contrôler son excitation, je les lui maintient grandes ouvertes en plaquant mes mains sur ses cuisses. Elle ne résiste pas longtemps avant de laisser exploser sa jouissance.
Je retire mon boxer et me place au-dessus d’elle. Je frotte d’abord ma queue dressée contre sa chatte ruisselante avant de la pénétrer très lentement. Je ne l’enfonce pas beaucoup, et ressors tout aussi lentement. Je fais ça jusqu’à ce qu’elle soit à nouveau au bord de la jouissance et marque un temps de pause.
- S’il te plaît… fais moi jouir… me supplie-t-elle alors.
Je la pénètre alors plus profondément et plus fort jusqu’à ce qu’elle jouisse.
- Détache moi, j’ai aussi envie de profiter de ton corps.
- Je suis sûr que tu peux y arriver toute seule…
Elle tire alors sur ses poignets et le nœud que j’ai fait se dénoue. Elle me regarde, perplexe.
- L’art de la persuasion. Tu me fais confiance et tu étais convaincue d’être attachée. Aucune raison d’essayer de te libérer, d’autant que ton esprit était occupé à autre chose.
Elle me pousse en arrière pour je m’allonge sur le dos. A califourchon au-dessus de moi, elle frotte sa chatte contre ma bite tout en parcourant mon torse de baisers.
Elle descend lentement vers ma queue. Elle la caresse du bout des doigts. Puis c’est avec le bout de sa langue qu’elle joue tout en plantant son regard dans le mien. Elle hyper sexy comme ça, les cheveux légèrement décoiffés, les yeux plein de désir. Elle effleure un long moment ma bite avant de la prendre en bouche. Elle glisse ses lèvres avec une extrême lenteur sans me quitter des yeux, comme si elle me défiait. C’est tellement bon, que je ne peux soutenir son regard plus longtemps : je ferme les yeux et bascule la tête en arrière en gémissant.
Elle s’applique à prendre ma queue en entier en bouche, me faisant une gorge profonde. Elle me frôle avec ses dents, montant et descendant le long de ma verge. C’est une sensation exquise.
Incapable de lui laisser le contrôle total de la situation, je ne peux m’empêcher de faire un léger va et vient. Cela n’a pas l’air de la déranger.
Ce qu’elle me fait avec sa bouche est tellement bon qu’il faut que je me canalise pour ne pas gicler dans sa bouche. Pour faire durer nos ébats, je l’attire à moi.
- Mets toi à genoux au-dessus de ma bouche, j’ai encore envie de te goûter bébé…
Elle ne se fait pas prier et vient poser sa chatte humide sur ma bouche. Je fourre directement ma langue dans son vagin et caresse son clitoris d’une main alors que de l’autre je titille son petit trou. Je le caresse d’abord doucement. Comme elle ne manifeste aucun refus, j’appuie un peu plus fortement dessus. Elle gémit. Je me dis que c’est de bon augure pour une autre fois. Je la prendrai bien par derrière mais je veux d’abord en parler avec elle, et là j’ai tout sauf envie de parler.
Je pose mes mains sur ses fesses et fais remonter ma langue jusqu’à son clito. Je le suce d’abord un peu puis le prends entre mes dents. Je serre doucement. Comme elle semble apprécier, je serre de plus en plus en fort. Elle jouit alors, je me délecte de sa cyprine sucrée.
Je la rallonge sur le dos et me positionne au-dessus d’elle en position de pompes.
- Alors, vu ce que tu m’as dit sur toi, ça doit faire un moment qu’aucun mec n’a eu droit de profiter de tout ça, par conséquent une jeune femme d’une vingtaine d’années sans partenaire sexuel a forcément un vibro ou un gode quelque part dans sa chambre…
Elle sourit légèrement en rougissant mais ne peux pas cacher son air surpris.
- L’armée bébé… on nous apprend à analyser les gens… donc si j’étais une nana de ton âge, qui ne fais pas confiance aux gens, où est ce que je pourrais bien ranger un tel objet ?
Je me redresse et jette un coup d’œil à la pièce. Je me lève et ouvre une boîte de laquelle dépasse l’oreille d’une peluche… jackpot ! Et elle est plutôt fournie sous les peluches… je me saisis d’un gode assez fin.
Lorsque je reviens auprès d’elle, elle semble un peu gênée.
- Sois pas gênée, c’est normal de se faire du bien… moi je trouve ça même très excitant de savoir que tu utilises ce genre de jouets… je l’embrasse tendrement. Dis moi si je te fais mal…
Je me mets à genoux entre ses jambes écartées et la pénètre doucement. Je glisse ensuite le gode le long de ma verge. Elle se cambre doucement. Je m’arrête et tire doucement le jouet vers moi quand elle pose sa main sur la mienne.
- Non, continue s’il te plaît… je n’ai pas mal… au contraire, c’est très bon, dit-elle alors que je reprends la pénétration. Les sensations sont beaucoup plus fortes.
- Pour moi aussi… j’aime quand ma queue est bien serrée comme ça, je lui murmure à l’oreille quand le gode est en place et que je m’allonge au-dessus d’elle.
Je commence à lui donner des petits coups de reins. Plus elle gémit, plus je la pilonne fort. Elle enfonce ses ongles dans mon dos quand elle jouit. Je sens que je vais venir mais j’ai encore envie de la sentir autour de moi. Je parviens à me retenir encore quelques minutes de jouir puis j’explose en elle.
Je me retire, ainsi que le gode.
- Tu t’es déjà goûtée ? je lui demande.
Elle fait non de la tête.
- Alors lèche.
Je lui tends le gode. Elle pose juste le bout de la langue dessus.
- Lèche pour de vrai sinon je te l’enfonce dans la bouche. Tu crois que si c’était pas bon je t’aurais léchée comme ça ?
Elle rit doucement et se goûte enfin.
Elle.
- C’est sucré, dis-je. Et comme pour le défier j’ajoute : et toi, tu t’es déjà goûté ?
- Oui, et si tu savais tour ce que j’ai déjà essayé… en matière de sexe y a plus grand-chose qui puisse me surprendre.
Justement, ai-je envie de savoir ? D’un côté oui, mais en même temps je me dis que je vais le regretter. Mais la curiosité est plus forte.
- Bien dis moi alors …- Tu es sûre ? J’ai pas été un enfant de chœur ses 15 dernières années. J’ai même fait des trucs qui pourraient te surprendre…
Il commence à me faire peur, mais trop tard pour faire marche arrière.
- Vas-y. Commençons assez simple : t’as couché avec combien de nanas ?
- Très sincèrement je ne saurai pas te répondre, j’ai pas tenu de compte. Y en a eu beaucoup c’est sûr, rarement deux fois la même, sauf quand j’étais en couple.
Aïe… je savais que je voulais pas savoir… mais en même temps je m’en doutais vu sa réputation.
- Et tu as essayé des choses si surprenantes que ça pour penser que je puisse être surprise ?
- Quand on commence on t’arrête plus ! Me répond-il en riant. Oui, je pense. Tu n’es peut être pas coincée, mais moi j’aime m’envoyer en l’air, et je suis curieux, j’ai pas envie de mourir con. J’ai fait l’amour à des dizaines de personnes, d’âges et d’horizons variés, sur tous les continents. Ça a commencé quand j’ai fugué à Paris. J’avais pas un rond en poche pour manger ou trouver un endroit où dormir. J’ai alors proposé mes services aux gens de quartiers huppés pour laver leur voiture, monter leurs courses, tondre des pelouses. C’est la que j’ai rencontré la femme qui m’a dépucelé. J’avais 17 ans, elle 40. Elle était magnifique, son mari toujours absent. Un après-midi alors qu’elle bronzait sur la terrasse de son appartement, je lavais la voiture dans la cour. Je pensais qu’elle voyait pas que je me branlais. Sans rien trahir de sa découverte, elle m’a demandé de monter : elle disait vouloir me donner l’argent pour le lavage de la voiture. Quand je suis arrivé sur la terrasse, elle se tenait debout devant moi en bikini. Je bandais comme jamais j’avais bandé. Elle a regardé mon entrejambe. Je savais plus où me mettre, je voulais prendre mes jambes à mon cou, mais j’étais tétanisé. Alors que je pensais qu’elle allait me crier dessus, me traiter de pervers, elle a ouvert le haut de son bikini et l’a laissé tomber au sol. Elle a pris ma main et la posée sur son sein. Je comprenais pas ce qu’il m’arrivait. Puis elle m’a emmené dans la chambre et m’a fait l’amour. Autant te dire que c’était du rapide : j’ai jouit en moins d’une minute. Mais elle m’a demandé de revenir tous les jours. Et tous les jours elle me demandait de la baiser. Elle m’a appris tout ce qu’une femme aime qu’on lui fasse sans jamais osé le demandé, m’a fait tout ce qu’un homme puisse rêver qu’on lui fasse.
Il marque un temps d’arrêt : cette femme semble avoir beaucoup compté pour lui.
- Puis je suis parti à l’armée. Il y avait peu de filles. Elles dormaient dans un dortoir assez éloigné du nôtre, je suis quand même parvenu à toutes les avoirs. Je me suis fait griller une fois. J’ai fini au gnouf. Et encore j’ai eu de la chance de pas me faire virer parce que le recruteur est intervenu en ma faveur. Elle n’a pas eu cette chance. Retour à la vie civile. Mais on a continué à se voir et on est rester ensemble 4 ans malgré les missions et la distance. Jusqu’au jour où ça ne marchait plus entre nous.
Je sens qu’il ne me dit pas tout sur cette histoire d’amour, mais je le laisse poursuivre.
- A partir de là, j’ai voulu profiter et découvrir un tas de choses. Mes permissions je les passais avec des filles que je ne connaissais pas dans le seul but de découvrir tout ce qui pourrait me donner du plaisir. J’ai essayé le libertinage, la candaulisme, le sm dominé, le sm dominant, le bondage, les lieux publics, les plans à 3, à bien plus aussi, la sodomie (c’est d’ailleurs un sujet que j’aimerai qu’on aborde tous les 2… ) autant la faire que la recevoir …
J’ouvre de grands yeux .
- Je t’avais dit que tu risquais d’être surprise : quand tu te retrouves célibataire en mission au fin fond d’un désert seulement entouré de mecs depuis des semaines, sachant qu’à l’armée y a plus de gays que ce qu’on pense, forcément certains soirs ça peut dévier un peu… eux ça leur manque de se faire enculer, nous on a envie d’autre chose que notre main pour nous soulager. Et franchement, y a pas plus serré qu’un trou de cul… et puis un jour, à force de l’entendre prendre son pied avec une bite dans le cul t’as envie de savoir ce que ça fait. Vous vous avez le point G, nous on a le point P.
- Tu serais pas en train de me dire que tu es bi ?
- Je pense pas être bi, je préfère largement les femmes. J’ai un peu de mal à bander pour un mec. Mais c’est très agréable de se faire enculer en fait. Et y a pas que les mecs qui peuvent sodomiser… je l’ai déjà été par des femmes.
Je la plaque sur le dos et lui enlève son short et son t-shirt. Sous l’effet de l’excitation, ses tétons pointent ostensiblement. Je ne peux m’empêcher d’aller les goûter. J'embrasse d'abord le haut de son sternum puis descends lentement vers ses seins. Je les caresse puis les parcours du bout de la langue. Je prends mon temps alors que je voudrais les dévorer. Je découvre les sensations procurées par un plaisir lent et doux.
Je titille son téton droit doucement, puis de plus en vite tout en massant son sein droit avec ma main. Elle glisse sa main entre nous pour aller caresser ma queue. Je mords alors légèrement le téton avec lequel je joue. Elle ôte sa main. Je repends là où ma langue s'était arrêtée mais je sens à nouveau sa main. Je serre une nouvelle fois les dents. Elle enlève sa main, pour la remettre au moment où je la lèche à nouveau.
- Non mais c’est que tu aimes ça en fait ! T’es pas si coincée que tu veux le faire croire…- Je n’ai jamais dit que j’étais coincée, j’ai dit que j’avais besoin d’avoir confiance en la personne avec qui je couche, et après ce que tu as fait pour moi hier soir, je pense que je peux te faire confiance et te croire quand tu me dis que tu veux plus que juste une nuit…
J’attrape le débardeur que je viens de lui retirer.
- Puisque maintenant je sais que tu as confiance en moi, lui dis-je en la mettant sur le ventre, et que tu ne sais pas tenir tes mains, je me vois dans l’obligation de faire ça.
J’improvise un lien avec le bout de tissus et lui noue les mains dans le dos avant de la recoucher sur le dos.
- Tu triches ! Me lance-t-elle.
- C’est toi qui m’y force. Je t’avais prévenue que lorsque tu me donnerais le feu vert je reprendrais le contrôle. Et en matière de sexe j’aime avoir le contrôle.
Je reprends l’exploration de sa poitrine. Elle gémit doucement chaque fois que je serre mes dents sur ses tétons durcis. Je passe main entre ses cuisses et constate qu’elle mouille abondamment. J’aime savoir que je fais cet effet là aux femmes.
Je fais glisser ma langue le long de ses abdos subtilement marqués pour arriver à sa chatte. Je l’embrasse d’abord sur l’intérieur des cuisses puis remonte lentement jusqu’à ses lèvres. Je glisse ma langue le long de ces dernières pour aller trouver son clitoris gonflé. Je joue avec en tournoyant ma langue dessus. Son corps se crispe légèrement de plaisir et alors qu’elle veut resserrer ses jambes pour contrôler son excitation, je les lui maintient grandes ouvertes en plaquant mes mains sur ses cuisses. Elle ne résiste pas longtemps avant de laisser exploser sa jouissance.
Je retire mon boxer et me place au-dessus d’elle. Je frotte d’abord ma queue dressée contre sa chatte ruisselante avant de la pénétrer très lentement. Je ne l’enfonce pas beaucoup, et ressors tout aussi lentement. Je fais ça jusqu’à ce qu’elle soit à nouveau au bord de la jouissance et marque un temps de pause.
- S’il te plaît… fais moi jouir… me supplie-t-elle alors.
Je la pénètre alors plus profondément et plus fort jusqu’à ce qu’elle jouisse.
- Détache moi, j’ai aussi envie de profiter de ton corps.
- Je suis sûr que tu peux y arriver toute seule…
Elle tire alors sur ses poignets et le nœud que j’ai fait se dénoue. Elle me regarde, perplexe.
- L’art de la persuasion. Tu me fais confiance et tu étais convaincue d’être attachée. Aucune raison d’essayer de te libérer, d’autant que ton esprit était occupé à autre chose.
Elle me pousse en arrière pour je m’allonge sur le dos. A califourchon au-dessus de moi, elle frotte sa chatte contre ma bite tout en parcourant mon torse de baisers.
Elle descend lentement vers ma queue. Elle la caresse du bout des doigts. Puis c’est avec le bout de sa langue qu’elle joue tout en plantant son regard dans le mien. Elle hyper sexy comme ça, les cheveux légèrement décoiffés, les yeux plein de désir. Elle effleure un long moment ma bite avant de la prendre en bouche. Elle glisse ses lèvres avec une extrême lenteur sans me quitter des yeux, comme si elle me défiait. C’est tellement bon, que je ne peux soutenir son regard plus longtemps : je ferme les yeux et bascule la tête en arrière en gémissant.
Elle s’applique à prendre ma queue en entier en bouche, me faisant une gorge profonde. Elle me frôle avec ses dents, montant et descendant le long de ma verge. C’est une sensation exquise.
Incapable de lui laisser le contrôle total de la situation, je ne peux m’empêcher de faire un léger va et vient. Cela n’a pas l’air de la déranger.
Ce qu’elle me fait avec sa bouche est tellement bon qu’il faut que je me canalise pour ne pas gicler dans sa bouche. Pour faire durer nos ébats, je l’attire à moi.
- Mets toi à genoux au-dessus de ma bouche, j’ai encore envie de te goûter bébé…
Elle ne se fait pas prier et vient poser sa chatte humide sur ma bouche. Je fourre directement ma langue dans son vagin et caresse son clitoris d’une main alors que de l’autre je titille son petit trou. Je le caresse d’abord doucement. Comme elle ne manifeste aucun refus, j’appuie un peu plus fortement dessus. Elle gémit. Je me dis que c’est de bon augure pour une autre fois. Je la prendrai bien par derrière mais je veux d’abord en parler avec elle, et là j’ai tout sauf envie de parler.
Je pose mes mains sur ses fesses et fais remonter ma langue jusqu’à son clito. Je le suce d’abord un peu puis le prends entre mes dents. Je serre doucement. Comme elle semble apprécier, je serre de plus en plus en fort. Elle jouit alors, je me délecte de sa cyprine sucrée.
Je la rallonge sur le dos et me positionne au-dessus d’elle en position de pompes.
- Alors, vu ce que tu m’as dit sur toi, ça doit faire un moment qu’aucun mec n’a eu droit de profiter de tout ça, par conséquent une jeune femme d’une vingtaine d’années sans partenaire sexuel a forcément un vibro ou un gode quelque part dans sa chambre…
Elle sourit légèrement en rougissant mais ne peux pas cacher son air surpris.
- L’armée bébé… on nous apprend à analyser les gens… donc si j’étais une nana de ton âge, qui ne fais pas confiance aux gens, où est ce que je pourrais bien ranger un tel objet ?
Je me redresse et jette un coup d’œil à la pièce. Je me lève et ouvre une boîte de laquelle dépasse l’oreille d’une peluche… jackpot ! Et elle est plutôt fournie sous les peluches… je me saisis d’un gode assez fin.
Lorsque je reviens auprès d’elle, elle semble un peu gênée.
- Sois pas gênée, c’est normal de se faire du bien… moi je trouve ça même très excitant de savoir que tu utilises ce genre de jouets… je l’embrasse tendrement. Dis moi si je te fais mal…
Je me mets à genoux entre ses jambes écartées et la pénètre doucement. Je glisse ensuite le gode le long de ma verge. Elle se cambre doucement. Je m’arrête et tire doucement le jouet vers moi quand elle pose sa main sur la mienne.
- Non, continue s’il te plaît… je n’ai pas mal… au contraire, c’est très bon, dit-elle alors que je reprends la pénétration. Les sensations sont beaucoup plus fortes.
- Pour moi aussi… j’aime quand ma queue est bien serrée comme ça, je lui murmure à l’oreille quand le gode est en place et que je m’allonge au-dessus d’elle.
Je commence à lui donner des petits coups de reins. Plus elle gémit, plus je la pilonne fort. Elle enfonce ses ongles dans mon dos quand elle jouit. Je sens que je vais venir mais j’ai encore envie de la sentir autour de moi. Je parviens à me retenir encore quelques minutes de jouir puis j’explose en elle.
Je me retire, ainsi que le gode.
- Tu t’es déjà goûtée ? je lui demande.
Elle fait non de la tête.
- Alors lèche.
Je lui tends le gode. Elle pose juste le bout de la langue dessus.
- Lèche pour de vrai sinon je te l’enfonce dans la bouche. Tu crois que si c’était pas bon je t’aurais léchée comme ça ?
Elle rit doucement et se goûte enfin.
Elle.
- C’est sucré, dis-je. Et comme pour le défier j’ajoute : et toi, tu t’es déjà goûté ?
- Oui, et si tu savais tour ce que j’ai déjà essayé… en matière de sexe y a plus grand-chose qui puisse me surprendre.
Justement, ai-je envie de savoir ? D’un côté oui, mais en même temps je me dis que je vais le regretter. Mais la curiosité est plus forte.
- Bien dis moi alors …- Tu es sûre ? J’ai pas été un enfant de chœur ses 15 dernières années. J’ai même fait des trucs qui pourraient te surprendre…
Il commence à me faire peur, mais trop tard pour faire marche arrière.
- Vas-y. Commençons assez simple : t’as couché avec combien de nanas ?
- Très sincèrement je ne saurai pas te répondre, j’ai pas tenu de compte. Y en a eu beaucoup c’est sûr, rarement deux fois la même, sauf quand j’étais en couple.
Aïe… je savais que je voulais pas savoir… mais en même temps je m’en doutais vu sa réputation.
- Et tu as essayé des choses si surprenantes que ça pour penser que je puisse être surprise ?
- Quand on commence on t’arrête plus ! Me répond-il en riant. Oui, je pense. Tu n’es peut être pas coincée, mais moi j’aime m’envoyer en l’air, et je suis curieux, j’ai pas envie de mourir con. J’ai fait l’amour à des dizaines de personnes, d’âges et d’horizons variés, sur tous les continents. Ça a commencé quand j’ai fugué à Paris. J’avais pas un rond en poche pour manger ou trouver un endroit où dormir. J’ai alors proposé mes services aux gens de quartiers huppés pour laver leur voiture, monter leurs courses, tondre des pelouses. C’est la que j’ai rencontré la femme qui m’a dépucelé. J’avais 17 ans, elle 40. Elle était magnifique, son mari toujours absent. Un après-midi alors qu’elle bronzait sur la terrasse de son appartement, je lavais la voiture dans la cour. Je pensais qu’elle voyait pas que je me branlais. Sans rien trahir de sa découverte, elle m’a demandé de monter : elle disait vouloir me donner l’argent pour le lavage de la voiture. Quand je suis arrivé sur la terrasse, elle se tenait debout devant moi en bikini. Je bandais comme jamais j’avais bandé. Elle a regardé mon entrejambe. Je savais plus où me mettre, je voulais prendre mes jambes à mon cou, mais j’étais tétanisé. Alors que je pensais qu’elle allait me crier dessus, me traiter de pervers, elle a ouvert le haut de son bikini et l’a laissé tomber au sol. Elle a pris ma main et la posée sur son sein. Je comprenais pas ce qu’il m’arrivait. Puis elle m’a emmené dans la chambre et m’a fait l’amour. Autant te dire que c’était du rapide : j’ai jouit en moins d’une minute. Mais elle m’a demandé de revenir tous les jours. Et tous les jours elle me demandait de la baiser. Elle m’a appris tout ce qu’une femme aime qu’on lui fasse sans jamais osé le demandé, m’a fait tout ce qu’un homme puisse rêver qu’on lui fasse.
Il marque un temps d’arrêt : cette femme semble avoir beaucoup compté pour lui.
- Puis je suis parti à l’armée. Il y avait peu de filles. Elles dormaient dans un dortoir assez éloigné du nôtre, je suis quand même parvenu à toutes les avoirs. Je me suis fait griller une fois. J’ai fini au gnouf. Et encore j’ai eu de la chance de pas me faire virer parce que le recruteur est intervenu en ma faveur. Elle n’a pas eu cette chance. Retour à la vie civile. Mais on a continué à se voir et on est rester ensemble 4 ans malgré les missions et la distance. Jusqu’au jour où ça ne marchait plus entre nous.
Je sens qu’il ne me dit pas tout sur cette histoire d’amour, mais je le laisse poursuivre.
- A partir de là, j’ai voulu profiter et découvrir un tas de choses. Mes permissions je les passais avec des filles que je ne connaissais pas dans le seul but de découvrir tout ce qui pourrait me donner du plaisir. J’ai essayé le libertinage, la candaulisme, le sm dominé, le sm dominant, le bondage, les lieux publics, les plans à 3, à bien plus aussi, la sodomie (c’est d’ailleurs un sujet que j’aimerai qu’on aborde tous les 2… ) autant la faire que la recevoir …
J’ouvre de grands yeux .
- Je t’avais dit que tu risquais d’être surprise : quand tu te retrouves célibataire en mission au fin fond d’un désert seulement entouré de mecs depuis des semaines, sachant qu’à l’armée y a plus de gays que ce qu’on pense, forcément certains soirs ça peut dévier un peu… eux ça leur manque de se faire enculer, nous on a envie d’autre chose que notre main pour nous soulager. Et franchement, y a pas plus serré qu’un trou de cul… et puis un jour, à force de l’entendre prendre son pied avec une bite dans le cul t’as envie de savoir ce que ça fait. Vous vous avez le point G, nous on a le point P.
- Tu serais pas en train de me dire que tu es bi ?
- Je pense pas être bi, je préfère largement les femmes. J’ai un peu de mal à bander pour un mec. Mais c’est très agréable de se faire enculer en fait. Et y a pas que les mecs qui peuvent sodomiser… je l’ai déjà été par des femmes.
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