Coup de foudre
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Coup de foudre
Je suis en stage à Paris, j’y suis arrivé hier au soir par le train exprès de Montpellier. Je loge dans une chambre d’hôtel payée par ma boite. Ce matin, comme tous les matins, j’ai décidé d’aller prendre mon petit déjeuner dans un café pas loin. Ce n’est jamais qu’un bistrot comme les autres, sauf que la place manque. Le serveur me demande si je veux aller à une table occupée par une seule personne, une jeune fille que je vois de dos. Je n’ai pas le choix, j’accepte.
Quand je suis assis, je regarde cette fille et là boum dans mon cœur, je tombe du ciel devant elle. Je pense que je n’attendais qu’elle. Je ne peux quitter son regard. Je l’aime déjà, malgré ma copine restée sur place, c’est elle qui me faut, aucune autre de la vaut. Nous prenons un air indifférent pour nous saluer. Le serveur arrive :
- Donnez moi un croissant et du lait au café pas très chaud, demande la fille.
Miracle, elle aima la même chose que moi et en plus avec l’accent méridional.
A mon tour de demander la même chose qu‘elle. Nous nous sourions, sans dire un mot il me semble que nous nous comprenons déjà.
Elle part la première. Je sors un instant plus tard, elle a disparu. Tant pis pour moi. Je pense souvent à elle toute la journée.
Le lendemain je la vois à la même table. Je vais la rejoindre. Nous nous sourions, j’ose lui dire bonjour. Elle répond en rougissant un peu. Nous déjeunons ensemble, le serveur sait reconnaitre ses clients, il nous porte la même chose que la veille.
Ainsi passe la semaine, sauf que le samedi j’ai des doutes : viendra-t-elle ? Si la voilà. C’est aujourd’hui ou jamais. Nous commençons à bavarder, elle ne connait pas du tout Paris. Je connais assez bien la capitale pour y avoir fait mes études. Je me propose comme guide. Elle l’accepte volontiers. Je ne suis pas un guide bien organisé. Nous sommes dans le 7° arrondissement, à coté de l’Ecole militaire. La seule curiosité est cette monstruosité de Tour Eiffel. Je vais donc lui montrer cette tour en ferraille et le tout Paris vu d’en haut. Pour en réserver la surprise je la fais passer par une rue perpendiculaire. Je pousse même le vice à nous assoir sur un banc, sous les arbres.
Cette fois ça devient sérieux. Nous nous regardons et nous embrassons. Nous ne savons pas nous tenir convenablement. Je commence à chercher ses seins. Elle aurait pu me rejeter. Elle accepte mes caresses. Je veux aller plus loin en posant ma main sur un genou.
Elle me demande d’arrêter, j’en suis déçu, j’ai envie d’elle depuis que je l’ai vue.
Elle me fait un bisou sur la bouche, me prend la main et m’entraine vers je ne sais où. Nous passons devant une pharmacie :
- Vas acheter ce qu’il faut.
Je ne demande même pas quoi. J’achète une grosse boite de préservatifs que je glisse dans une poche. Cette fois même si elle me conduit je prends son bras. Nous échangeons encore un bisou. Nous allons dans un bel appartement qu’elle occupe, elle m’explique qu’elle est en stage aussi, qu’elle occupe un logement de sa grand-mère qui ne vit plus à Paris, mais chez elle à coté de Toulouse, d’où son accent.
Elle m’embrasse longuement à tel point qu’elle me fait bander. Elle s’en aperçoit évidement. Pourtant elle ne fait rien pour me toucher. J’ai de plus envie d’elle, après tout elle ne m’a rien dit pour les préservatifs.
Je commence à la caresser dans le dos, elle se cambre comme pourrait le faire un chat. Je commence à la déshabiller. Elle se laisse faire en me regardant dans les yeux. J’embrasse tout ce que je découvre. J’ai son approbation dans ce que je lui fait. Elle est nue maintenant devant moi : qu’elle est belle et sexy. Rien que sa poitrine à elle seule vaut le déplacement. Son ventre est un peu rentré. C’est cet ensemble qui la fait adorable. Je bande encore plus, je me déshabille à mon tour. Elle me regarde encore dans les yeux, puis regarde ma bite. Je me demande pourquoi elle ne me touche pas. J’ai la réponse aussitôt :
- Fait attention, je te veux partout où normalement un homme entre avec son sexe, mais je suis vierge de partout. Baises moi, fait moi jouir.
- Avant, il faut que je te dise que je t’aime.
- Moi aussi, sinon je ne t’aurai jamais demandé de me baiser.
- Tu me veux où d’abord.
- Je ne sais pas, par où tu commences avec une fille ?
- Je la suce pour la faire jouir.
- Alors suces moi, s’il te plait.
En plus elle me dit des politesses. Je crois que je suis tombé sur le bon numéro. Sucer cette fille splendide, vierge qui se donne ainsi c’est un cadeau du ciel. Que je réussisse à la faire jouir est mon vœux le plus cher.
Je ne peux m’empêcher de poser cette question qui me taraude :
- Connais tu le plaisir ?
- Oui, quand je me caresse.
C’est déjà ça, elle sait ce que jouir veut dire. Maintenant je peux la coucher, elle le fait d’elle même, attend ma venue pour m’embrasser encore plus fort : c’est un baiser d’un femme amoureuse, pas attirée uniquement par le sexe. Je commence à lui caresser la poitrine, je trouve des seins parfaits. Je les sens durcir. Quand ma bouche se pose sur un téton, nous nous régalons tous les deux, moi à cause de la douceur de son sein, elle à cause ma bouche qui la tête.
- Suces moi.
Je vais poser ma bouche sur son pubis. Je mets deux doigts dans la chatte. Je recherche son clitoris. Dès que je le trouve se retire mes doigtset ma bouche les remplace. Je commence à lécher ce bouton. Elle pourrai me caresser la bite, elle s’en garde bien. Je me tourne pour être à l’aise, je suis à peu près bien mis entre ses jambes. D’abord j’ai une vue globale sur sa chatte et ensuite la porte ouvert pour la sucer comme il faut. Je reviens sur le clitoris. Pour sans doute être mien sucée elle met ses jambes par-dessus mes épaules. Je suis bloqué par la tête, mais j’aime et son odeur et son gout. J’ai sucé plusieurs filles au paravent, jamais avec cet amour au fond de moi. De toutes façons leur sexe n’avaient pas ces avantages.
J’arrive enfin à la faire jouir. Son premier orgasme avec moi. J’entre un seul doigt dans son vagin, je cherche le point G que je trouve facilement. Maintenant je la fais jouir sans cesse, sans exagérer. Je caresse avec deux doigts son anus.
Elle me laisse faire ce que je veux de son corps. Quand je reviens à ses cotés elle me demande ce qu’elle peut me faire à la bite : elle l’a en main.
- Tu peux me branler.
- Comment je fais.
Je suis tombé sur une « innocenta » ( prononcer innoucento) qui ne connait rien ou elle le fait exprès. Je suis son premier homme.
Je lui montre comment faire. Elle se débrouille plutôt bien. Il faut que je l’arrête. Je lui montrerai plus tard comment me sucer et déguster mon sperme.
Je suis étonné qu’elle m’ait fait acheter des préservatifs ( à cette époque le sida n’existait pas encore). Seul procédé anti contraceptif qui existait de façon légale en France. J’enfile ce bout de caoutchouc. J’aurai aimé m’en passer.
Elle me regarde faire avec intérêt : elle sait où je vais mettre ma queue. Elle écarte déjà les cuisses en m’attendant, elle se touche un peu la chatte comme pour vérifier qu’elle est toujours vierge. Elle m’attire sur elle. Nous nous disons des « je t’aime » sans arrêt. Elle me dirige sur son vestibule et quand j’y suis :
- Baises moi.
Rien ne s’oppose à notre union. J’entre sans aller trop vite, je traverse son hymen, je le sens et elle pousse un petit cri. Ensuite elle reste inerte. Je suis au fond de son ventre. Je commence les vas et viens. Elle reste immobile jusqu’au moment où elle commence à pousser des oh, ha, oui, de plus en plus forts. Je jouis dans son sexe, elle jouit également juste une demi seconde après moi. Je m’écroule sur elle, mes lèvres sur les siennes. J’enlève le préservatif...
Ensuite nous parlons :
- Tu as bien aimé, je t’ai senti jouir.
- Oui, mais j’ai eu un peu mal au début. Je ne pensais pas jouir ainsi.
- Tu me sembles bien douée.
- Maintenant il faut que tu me la mettes au cul.
- Attends un peu que je récupère.
- Dépêche toi de récupérer, j’ai trop envie.
Cette conversation me fait bander. Elle s’en aperçoit bien vite, la coquine. Je lui mouille l’anus en profitant de l’occasion pour le lui caresser. Je lui met mon pouce. Il rentre facilement.
Au tour de ma pine : je la met en levrette, elle me tend d’elle-même son cul. Cette fois j’ai réellement peur de lui faire mal. Elle écarte ses fesses à deux mains. Je la sens totalement décontractée. Avant d’entrer je prend ses seins dans mes mains pour la peloter un brin. Je pose ma bite sur l’anus, j’entre dans son cul tout neuf. Je la sens se tendre un instant quand j’entre le gland, puis une fois passé elle se détend totalement. Elle murmure des « je t’aime » et encore. Je la lui mets à fond. Quand je suis loin dans son ventre, elle pose une main sur son clitoris et le branle. Elle a compris aussitôt la meilleur façon de se faire sodomiser.
Elle dit bien aimer mon intrusion dans ses boyaux et je la sens jouir plusieurs fois. Je jouis enfin en elle, elle prend mon sperme au fond d’elle-même.
Nous ne faisons que baiser, comme de jeunes mariés. Le lendemain, dimanche nous oublions le bistrot.
J’ai pu, au fil des semaines lui faire visiter Paris et sa Tour.
Elle est nommée à Toulouse, je fais ma demande de mutation. Depuis nous vivons ensemble avec nos enfant déjà grands. Croyez moi, nous nous aimons toujours et baisons de mieux ne mieux.
Quand je suis assis, je regarde cette fille et là boum dans mon cœur, je tombe du ciel devant elle. Je pense que je n’attendais qu’elle. Je ne peux quitter son regard. Je l’aime déjà, malgré ma copine restée sur place, c’est elle qui me faut, aucune autre de la vaut. Nous prenons un air indifférent pour nous saluer. Le serveur arrive :
- Donnez moi un croissant et du lait au café pas très chaud, demande la fille.
Miracle, elle aima la même chose que moi et en plus avec l’accent méridional.
A mon tour de demander la même chose qu‘elle. Nous nous sourions, sans dire un mot il me semble que nous nous comprenons déjà.
Elle part la première. Je sors un instant plus tard, elle a disparu. Tant pis pour moi. Je pense souvent à elle toute la journée.
Le lendemain je la vois à la même table. Je vais la rejoindre. Nous nous sourions, j’ose lui dire bonjour. Elle répond en rougissant un peu. Nous déjeunons ensemble, le serveur sait reconnaitre ses clients, il nous porte la même chose que la veille.
Ainsi passe la semaine, sauf que le samedi j’ai des doutes : viendra-t-elle ? Si la voilà. C’est aujourd’hui ou jamais. Nous commençons à bavarder, elle ne connait pas du tout Paris. Je connais assez bien la capitale pour y avoir fait mes études. Je me propose comme guide. Elle l’accepte volontiers. Je ne suis pas un guide bien organisé. Nous sommes dans le 7° arrondissement, à coté de l’Ecole militaire. La seule curiosité est cette monstruosité de Tour Eiffel. Je vais donc lui montrer cette tour en ferraille et le tout Paris vu d’en haut. Pour en réserver la surprise je la fais passer par une rue perpendiculaire. Je pousse même le vice à nous assoir sur un banc, sous les arbres.
Cette fois ça devient sérieux. Nous nous regardons et nous embrassons. Nous ne savons pas nous tenir convenablement. Je commence à chercher ses seins. Elle aurait pu me rejeter. Elle accepte mes caresses. Je veux aller plus loin en posant ma main sur un genou.
Elle me demande d’arrêter, j’en suis déçu, j’ai envie d’elle depuis que je l’ai vue.
Elle me fait un bisou sur la bouche, me prend la main et m’entraine vers je ne sais où. Nous passons devant une pharmacie :
- Vas acheter ce qu’il faut.
Je ne demande même pas quoi. J’achète une grosse boite de préservatifs que je glisse dans une poche. Cette fois même si elle me conduit je prends son bras. Nous échangeons encore un bisou. Nous allons dans un bel appartement qu’elle occupe, elle m’explique qu’elle est en stage aussi, qu’elle occupe un logement de sa grand-mère qui ne vit plus à Paris, mais chez elle à coté de Toulouse, d’où son accent.
Elle m’embrasse longuement à tel point qu’elle me fait bander. Elle s’en aperçoit évidement. Pourtant elle ne fait rien pour me toucher. J’ai de plus envie d’elle, après tout elle ne m’a rien dit pour les préservatifs.
Je commence à la caresser dans le dos, elle se cambre comme pourrait le faire un chat. Je commence à la déshabiller. Elle se laisse faire en me regardant dans les yeux. J’embrasse tout ce que je découvre. J’ai son approbation dans ce que je lui fait. Elle est nue maintenant devant moi : qu’elle est belle et sexy. Rien que sa poitrine à elle seule vaut le déplacement. Son ventre est un peu rentré. C’est cet ensemble qui la fait adorable. Je bande encore plus, je me déshabille à mon tour. Elle me regarde encore dans les yeux, puis regarde ma bite. Je me demande pourquoi elle ne me touche pas. J’ai la réponse aussitôt :
- Fait attention, je te veux partout où normalement un homme entre avec son sexe, mais je suis vierge de partout. Baises moi, fait moi jouir.
- Avant, il faut que je te dise que je t’aime.
- Moi aussi, sinon je ne t’aurai jamais demandé de me baiser.
- Tu me veux où d’abord.
- Je ne sais pas, par où tu commences avec une fille ?
- Je la suce pour la faire jouir.
- Alors suces moi, s’il te plait.
En plus elle me dit des politesses. Je crois que je suis tombé sur le bon numéro. Sucer cette fille splendide, vierge qui se donne ainsi c’est un cadeau du ciel. Que je réussisse à la faire jouir est mon vœux le plus cher.
Je ne peux m’empêcher de poser cette question qui me taraude :
- Connais tu le plaisir ?
- Oui, quand je me caresse.
C’est déjà ça, elle sait ce que jouir veut dire. Maintenant je peux la coucher, elle le fait d’elle même, attend ma venue pour m’embrasser encore plus fort : c’est un baiser d’un femme amoureuse, pas attirée uniquement par le sexe. Je commence à lui caresser la poitrine, je trouve des seins parfaits. Je les sens durcir. Quand ma bouche se pose sur un téton, nous nous régalons tous les deux, moi à cause de la douceur de son sein, elle à cause ma bouche qui la tête.
- Suces moi.
Je vais poser ma bouche sur son pubis. Je mets deux doigts dans la chatte. Je recherche son clitoris. Dès que je le trouve se retire mes doigtset ma bouche les remplace. Je commence à lécher ce bouton. Elle pourrai me caresser la bite, elle s’en garde bien. Je me tourne pour être à l’aise, je suis à peu près bien mis entre ses jambes. D’abord j’ai une vue globale sur sa chatte et ensuite la porte ouvert pour la sucer comme il faut. Je reviens sur le clitoris. Pour sans doute être mien sucée elle met ses jambes par-dessus mes épaules. Je suis bloqué par la tête, mais j’aime et son odeur et son gout. J’ai sucé plusieurs filles au paravent, jamais avec cet amour au fond de moi. De toutes façons leur sexe n’avaient pas ces avantages.
J’arrive enfin à la faire jouir. Son premier orgasme avec moi. J’entre un seul doigt dans son vagin, je cherche le point G que je trouve facilement. Maintenant je la fais jouir sans cesse, sans exagérer. Je caresse avec deux doigts son anus.
Elle me laisse faire ce que je veux de son corps. Quand je reviens à ses cotés elle me demande ce qu’elle peut me faire à la bite : elle l’a en main.
- Tu peux me branler.
- Comment je fais.
Je suis tombé sur une « innocenta » ( prononcer innoucento) qui ne connait rien ou elle le fait exprès. Je suis son premier homme.
Je lui montre comment faire. Elle se débrouille plutôt bien. Il faut que je l’arrête. Je lui montrerai plus tard comment me sucer et déguster mon sperme.
Je suis étonné qu’elle m’ait fait acheter des préservatifs ( à cette époque le sida n’existait pas encore). Seul procédé anti contraceptif qui existait de façon légale en France. J’enfile ce bout de caoutchouc. J’aurai aimé m’en passer.
Elle me regarde faire avec intérêt : elle sait où je vais mettre ma queue. Elle écarte déjà les cuisses en m’attendant, elle se touche un peu la chatte comme pour vérifier qu’elle est toujours vierge. Elle m’attire sur elle. Nous nous disons des « je t’aime » sans arrêt. Elle me dirige sur son vestibule et quand j’y suis :
- Baises moi.
Rien ne s’oppose à notre union. J’entre sans aller trop vite, je traverse son hymen, je le sens et elle pousse un petit cri. Ensuite elle reste inerte. Je suis au fond de son ventre. Je commence les vas et viens. Elle reste immobile jusqu’au moment où elle commence à pousser des oh, ha, oui, de plus en plus forts. Je jouis dans son sexe, elle jouit également juste une demi seconde après moi. Je m’écroule sur elle, mes lèvres sur les siennes. J’enlève le préservatif...
Ensuite nous parlons :
- Tu as bien aimé, je t’ai senti jouir.
- Oui, mais j’ai eu un peu mal au début. Je ne pensais pas jouir ainsi.
- Tu me sembles bien douée.
- Maintenant il faut que tu me la mettes au cul.
- Attends un peu que je récupère.
- Dépêche toi de récupérer, j’ai trop envie.
Cette conversation me fait bander. Elle s’en aperçoit bien vite, la coquine. Je lui mouille l’anus en profitant de l’occasion pour le lui caresser. Je lui met mon pouce. Il rentre facilement.
Au tour de ma pine : je la met en levrette, elle me tend d’elle-même son cul. Cette fois j’ai réellement peur de lui faire mal. Elle écarte ses fesses à deux mains. Je la sens totalement décontractée. Avant d’entrer je prend ses seins dans mes mains pour la peloter un brin. Je pose ma bite sur l’anus, j’entre dans son cul tout neuf. Je la sens se tendre un instant quand j’entre le gland, puis une fois passé elle se détend totalement. Elle murmure des « je t’aime » et encore. Je la lui mets à fond. Quand je suis loin dans son ventre, elle pose une main sur son clitoris et le branle. Elle a compris aussitôt la meilleur façon de se faire sodomiser.
Elle dit bien aimer mon intrusion dans ses boyaux et je la sens jouir plusieurs fois. Je jouis enfin en elle, elle prend mon sperme au fond d’elle-même.
Nous ne faisons que baiser, comme de jeunes mariés. Le lendemain, dimanche nous oublions le bistrot.
J’ai pu, au fil des semaines lui faire visiter Paris et sa Tour.
Elle est nommée à Toulouse, je fais ma demande de mutation. Depuis nous vivons ensemble avec nos enfant déjà grands. Croyez moi, nous nous aimons toujours et baisons de mieux ne mieux.
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excellente histoire