Croisière 2
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Croisière 2
Après Calvi, nous musardons le long de la côte sauvage vers le Nord, nous profitons pour nous baigner dans une eau claire et nous jouons au Robinsons. Nous faisons l'amour plusieurs fois par jour à deux ou à trois. Plus nous copulons, plus l'envie de jouissance augmente.
Nous explorons toutes les possibilités qu'offrent nos corps. Nous plongeons dans l'eau pour ensuite bronzer sur la plage.
Au deuxième jour, nous rencontrons un ermite disposant de tout le confort moderne dans son baraquement de fortune. Il s'est fait un potager, récupère l'eau de pluie qu'il filtre pour ses besoins personnels. Il a installé une éolienne er dispose d'un frigo au gaz. Il nous invite à partager son repas puis sa couche pour une sieste à l'ombre. La fraîcheur de son abri est étonnante.
Vêtu d'un pagne, il me caresse sous les yeux complices de mes camarades, son sexe fin et noueux à l'image de son corps, se redresse et pointe vers mon coquillage, il caresse mon pistil, lèche mes seins puis m'embrasse et sa bouche descend centimètres par centimètres vers mon ventre.
Il place ses bras sous mes reins et me soulève pour me boire. Assis en tailleur sous moi, je sens sa tige glissée le long de mon dos. Je m'en saisis, le place à l'entrée de ma vulve et m'empale. Mon pubis cogne contre le sien. Tandis que je coulisse, il empaume mes seins et les malaxe.
Les garçons se masturbent et je prends leur vit dans chaque main puis je me retrouve allongée sur le dos offerte. Il me besogne puissamment tandis que je suce alternativement mes deux amants.
Je suis maintenant concentrée sur ma tâche, le sexe long et large de Paul, celui fin et recourbé de François, je savoure les deux appendices, les yeux fermés, en jouant de la langue, tantôt je butine, tantôt je fais des gorges profondes.
Notre hôte accélère et se répand sur mon ventre et mes seins. J'étale la semence , j'aime cette odeur farineuse reconnaissable entre toutes.
Maintenant je suis à quatre pattes, le sexe de François en moi, celui de Paul dans ma bouche. Les deux compères s'encouragent mutuellement en riant et soudainement permute. Quelques secondes plus tard, Paul éjacule au fond de ma gorge. Je ne peux qu'avaler, incapable de recracher sans vomir. D'ailleurs l'idée ne m'est jamais venue, et je n'ai même pas senti le goût.
Paul s'excuse, surpris lui-même par son éjaculation soudaine. Je lui dis que cela ne m'a pas choquée mais surprise. François me demande ce que je préfère. Je lui réponds que cela m'indiffère, j'aime le sentir éjaculer en moi car je prends la pilule mais j'aime aussi voir mon partenaire éjaculer.
Il me demande s'il peut faire une faciale, il ne l'a jamais fait et il en rêve . J'accepte à condition qu'il m'embrasse après.
Face à moi, il se masturbe énergiquement et m'asperge des seins à la racine des cheveux puis il m'embrasse passionnément.
Nous finissons la soirée avec des grillades au feu de bois sur la plage et un bain de minuit pour regagner le bateau.
Le lendemain, escale au port voisin. Nous louons une voiture pour découvrir l'intérieur. C'est une région sauvage et magnifique. Nous nous arrêtons dans une auberge typique. Après un repas de charcuteries locales et fromages bien arrosé, nous partons danser à proximité. On nous indiqué une vielle bergerie qui a retrouvée une nouvelle vie en devenant un club privé. Nous sommes très bien accueillis , l'ambiance est festive, l'alcool coule à flot et j'ai beaucoup de succès auprès de la gente masculine.
J'ai revêtu pour l'occasion une robe indienne, un corsage blanc bordé de dentelles et des sandales plates sans rien d'autre.
Après les rocks endiablés, on m'apprend à danser le tango argentin, sensuel et rythmé, je passe de mains en mains.
Mes compagnons se sont écroulés de fatigue et de vin et malgré la musique, ronfle sur une table.
Je fais plus amples connaissances avec mes cavaliers, ce sont de robustes autochtones rompus aux activités manuelles, ils m'entrainent dans une série de slows et s‘intéressent de près à ma personne. Beaucoup de questions mais aussi de propositions et d' attouchements, je me laisse faire en gloussant, ivre d'alcool, de fatigue mais aussi émoustillée par ces corps de mâles viriles, je me retrouve dans une pièce annexe, le corsage défait, les seins à l'air. Un homme dans mon dos me les caresse, un autre écrase sa bouche contre la mienne. Je ne refuse pas son baiser, sa langue épaisse et baveuse investit ma cavité buccale, ma langue s'enroule autour de la sienne. Il me tient par la taille quand je sens des mains sur mes fesses qui me déculotte. Je suis physiquement incapable de réagir, inconsciemment je me laisse faire, passive et consentante. Je suis couché sur une table et je sens que l'on me pénètre, ma robe est relevée sur mon visage et je suis incapable de savoir qui me baise. Je sens simplement une odeur de vin et de tabac, une odeur de sueur aussi.
Avec le recul, je pense que je recherchais ce moment, mon sexe est humide et sa verge glisse facilement. Il me besogne longtemps avant de se répandre en moi. Les insultes fusent. Je suis traitée de tous les noms.
Il baisse ma robe et plaque sa verge maculée sur mes lèvres. Il me saisit la nuque et j'ouvre docilement la bouche pour le nettoyer.
Cela a sans doute excité ses comparses car un deuxième homme m'investit. Son sexe est nettement plus large et j'en ressens du bienfait. L'orgasme de son prédécesseur a fait tomber mon excitation et je sens à nouveau ma jouissance proche. Je donne des coups de reins et invective mon baiseur lui demandant de me prendre plus fort. Il ahane sous l'effort et on entend un clapotis obscène. A son tour, il jouit ce qui entraîne mon orgasme . On m'a entendu dans tout l'établissement maintenant désert.
Le patron a assisté à toute la scène, il a sorti sa verge, la glisse dans mon vagin qui dégouline. Il me tourne sur le ventre, prend le sperme qui bave et m'enduit l'anus. Il tourne ses doigts à l'intérieur et graisse le conduit.
Je n'ai jamais pratiqué la sodomie et je me débats « Non ! Pas là, Ça fait trop mal ! » peine perdue, je le sens déterminé à ne pas utiliser mon conduit débordant de foutre.
Ses collègues me tiennent, l'un me chuchote à l'oreille que je vais être dépucelée et qu'après je ne pourrai plus m'en passer. L'autre, qu'une salope comme moi doit en faire l'expérience.
Mon enculeur se présente à l'entrée, il parcourt ma raie, se positionne et force l'entrée qui résiste. Il me dit de pousser comme pour chier, sa verge passe l'anneau. Il stoppe quelques instants et demande qu'on me lâche. Il me demande si c'est douloureux, je lui avoue que ça va et l'implore d'aller doucement.
Il enduit son sexe de vaseline, se présente à l'entrée, nous poussons de concert. Je n'ai rien senti de vraiment douloureux mais par contre je me suis sentie remplie comme jamais, il me dit qu'il me sent bien. Quelques minutes plus tard, il éjacule et se retire. Nous sommes seuls, les autres « clients » sont répartis.
Il me demande d'aller aux toilettes, il me suit, me regarde uriner, surtout que vu la propreté de l'endroit, je suis accroupie sur la lunette. Il me demande de me tourner et de me pencher, il prend un tube en plastique et m'injecte le contenu d'une poire en caoutchouc. Il m'explique qu'il pratiquait régulièrement un lavement à sa défunte femme qui ne pouvait avoir d'autres rapports.
Bref, j'expulse quelques minutes plus tard, des matières fécales mêlée à son sperme puis retourne auprès de mes compagnons. Je les réveille et retournons à l'auberge.
J'ai gardé pour moi cet épisode mais l'expérience m'a beaucoup appris sur mon rapport à la sexualité et mes pratiques comme on dit aujourd'hui.
De retour au port, la capitainerie nous informe qu'un couple de jeunes femmes recherche un embarquement pour le continent.
Nous les invitons à bord pour faire plus ample connaissance.
Sur un petit bateau, il faut bien s'entendre sur bien des sujets, non seulement savoir vivre en collectivité mais aussi sur la manière de voyager.
A suivre…
Nous explorons toutes les possibilités qu'offrent nos corps. Nous plongeons dans l'eau pour ensuite bronzer sur la plage.
Au deuxième jour, nous rencontrons un ermite disposant de tout le confort moderne dans son baraquement de fortune. Il s'est fait un potager, récupère l'eau de pluie qu'il filtre pour ses besoins personnels. Il a installé une éolienne er dispose d'un frigo au gaz. Il nous invite à partager son repas puis sa couche pour une sieste à l'ombre. La fraîcheur de son abri est étonnante.
Vêtu d'un pagne, il me caresse sous les yeux complices de mes camarades, son sexe fin et noueux à l'image de son corps, se redresse et pointe vers mon coquillage, il caresse mon pistil, lèche mes seins puis m'embrasse et sa bouche descend centimètres par centimètres vers mon ventre.
Il place ses bras sous mes reins et me soulève pour me boire. Assis en tailleur sous moi, je sens sa tige glissée le long de mon dos. Je m'en saisis, le place à l'entrée de ma vulve et m'empale. Mon pubis cogne contre le sien. Tandis que je coulisse, il empaume mes seins et les malaxe.
Les garçons se masturbent et je prends leur vit dans chaque main puis je me retrouve allongée sur le dos offerte. Il me besogne puissamment tandis que je suce alternativement mes deux amants.
Je suis maintenant concentrée sur ma tâche, le sexe long et large de Paul, celui fin et recourbé de François, je savoure les deux appendices, les yeux fermés, en jouant de la langue, tantôt je butine, tantôt je fais des gorges profondes.
Notre hôte accélère et se répand sur mon ventre et mes seins. J'étale la semence , j'aime cette odeur farineuse reconnaissable entre toutes.
Maintenant je suis à quatre pattes, le sexe de François en moi, celui de Paul dans ma bouche. Les deux compères s'encouragent mutuellement en riant et soudainement permute. Quelques secondes plus tard, Paul éjacule au fond de ma gorge. Je ne peux qu'avaler, incapable de recracher sans vomir. D'ailleurs l'idée ne m'est jamais venue, et je n'ai même pas senti le goût.
Paul s'excuse, surpris lui-même par son éjaculation soudaine. Je lui dis que cela ne m'a pas choquée mais surprise. François me demande ce que je préfère. Je lui réponds que cela m'indiffère, j'aime le sentir éjaculer en moi car je prends la pilule mais j'aime aussi voir mon partenaire éjaculer.
Il me demande s'il peut faire une faciale, il ne l'a jamais fait et il en rêve . J'accepte à condition qu'il m'embrasse après.
Face à moi, il se masturbe énergiquement et m'asperge des seins à la racine des cheveux puis il m'embrasse passionnément.
Nous finissons la soirée avec des grillades au feu de bois sur la plage et un bain de minuit pour regagner le bateau.
Le lendemain, escale au port voisin. Nous louons une voiture pour découvrir l'intérieur. C'est une région sauvage et magnifique. Nous nous arrêtons dans une auberge typique. Après un repas de charcuteries locales et fromages bien arrosé, nous partons danser à proximité. On nous indiqué une vielle bergerie qui a retrouvée une nouvelle vie en devenant un club privé. Nous sommes très bien accueillis , l'ambiance est festive, l'alcool coule à flot et j'ai beaucoup de succès auprès de la gente masculine.
J'ai revêtu pour l'occasion une robe indienne, un corsage blanc bordé de dentelles et des sandales plates sans rien d'autre.
Après les rocks endiablés, on m'apprend à danser le tango argentin, sensuel et rythmé, je passe de mains en mains.
Mes compagnons se sont écroulés de fatigue et de vin et malgré la musique, ronfle sur une table.
Je fais plus amples connaissances avec mes cavaliers, ce sont de robustes autochtones rompus aux activités manuelles, ils m'entrainent dans une série de slows et s‘intéressent de près à ma personne. Beaucoup de questions mais aussi de propositions et d' attouchements, je me laisse faire en gloussant, ivre d'alcool, de fatigue mais aussi émoustillée par ces corps de mâles viriles, je me retrouve dans une pièce annexe, le corsage défait, les seins à l'air. Un homme dans mon dos me les caresse, un autre écrase sa bouche contre la mienne. Je ne refuse pas son baiser, sa langue épaisse et baveuse investit ma cavité buccale, ma langue s'enroule autour de la sienne. Il me tient par la taille quand je sens des mains sur mes fesses qui me déculotte. Je suis physiquement incapable de réagir, inconsciemment je me laisse faire, passive et consentante. Je suis couché sur une table et je sens que l'on me pénètre, ma robe est relevée sur mon visage et je suis incapable de savoir qui me baise. Je sens simplement une odeur de vin et de tabac, une odeur de sueur aussi.
Avec le recul, je pense que je recherchais ce moment, mon sexe est humide et sa verge glisse facilement. Il me besogne longtemps avant de se répandre en moi. Les insultes fusent. Je suis traitée de tous les noms.
Il baisse ma robe et plaque sa verge maculée sur mes lèvres. Il me saisit la nuque et j'ouvre docilement la bouche pour le nettoyer.
Cela a sans doute excité ses comparses car un deuxième homme m'investit. Son sexe est nettement plus large et j'en ressens du bienfait. L'orgasme de son prédécesseur a fait tomber mon excitation et je sens à nouveau ma jouissance proche. Je donne des coups de reins et invective mon baiseur lui demandant de me prendre plus fort. Il ahane sous l'effort et on entend un clapotis obscène. A son tour, il jouit ce qui entraîne mon orgasme . On m'a entendu dans tout l'établissement maintenant désert.
Le patron a assisté à toute la scène, il a sorti sa verge, la glisse dans mon vagin qui dégouline. Il me tourne sur le ventre, prend le sperme qui bave et m'enduit l'anus. Il tourne ses doigts à l'intérieur et graisse le conduit.
Je n'ai jamais pratiqué la sodomie et je me débats « Non ! Pas là, Ça fait trop mal ! » peine perdue, je le sens déterminé à ne pas utiliser mon conduit débordant de foutre.
Ses collègues me tiennent, l'un me chuchote à l'oreille que je vais être dépucelée et qu'après je ne pourrai plus m'en passer. L'autre, qu'une salope comme moi doit en faire l'expérience.
Mon enculeur se présente à l'entrée, il parcourt ma raie, se positionne et force l'entrée qui résiste. Il me dit de pousser comme pour chier, sa verge passe l'anneau. Il stoppe quelques instants et demande qu'on me lâche. Il me demande si c'est douloureux, je lui avoue que ça va et l'implore d'aller doucement.
Il enduit son sexe de vaseline, se présente à l'entrée, nous poussons de concert. Je n'ai rien senti de vraiment douloureux mais par contre je me suis sentie remplie comme jamais, il me dit qu'il me sent bien. Quelques minutes plus tard, il éjacule et se retire. Nous sommes seuls, les autres « clients » sont répartis.
Il me demande d'aller aux toilettes, il me suit, me regarde uriner, surtout que vu la propreté de l'endroit, je suis accroupie sur la lunette. Il me demande de me tourner et de me pencher, il prend un tube en plastique et m'injecte le contenu d'une poire en caoutchouc. Il m'explique qu'il pratiquait régulièrement un lavement à sa défunte femme qui ne pouvait avoir d'autres rapports.
Bref, j'expulse quelques minutes plus tard, des matières fécales mêlée à son sperme puis retourne auprès de mes compagnons. Je les réveille et retournons à l'auberge.
J'ai gardé pour moi cet épisode mais l'expérience m'a beaucoup appris sur mon rapport à la sexualité et mes pratiques comme on dit aujourd'hui.
De retour au port, la capitainerie nous informe qu'un couple de jeunes femmes recherche un embarquement pour le continent.
Nous les invitons à bord pour faire plus ample connaissance.
Sur un petit bateau, il faut bien s'entendre sur bien des sujets, non seulement savoir vivre en collectivité mais aussi sur la manière de voyager.
A suivre…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
super vos histoires
Ou est Croisière 1, le début?
J'aime beaucoup. Cette femme n'a aucune limites